Jétais un peu gêné, cétait la première fois que je faisais quelque chose de sexuel avec quelquun de mon groupe damis…
Niveau discrétion, il y avait mieux ! Mais je me disais que si Thomas voulait garder le secret pour lui, il lui fallait bien garder le mien… les premières semaines se passent tranquillement, Thomas visite des appartements, mais sans succès. On a pris de drôles dhabitude, quand lun ou lautre a envie de sexe, il lui suffit désormais de dire à lautre « Tas pas envie ? » et ça finit toujours pareil : je le suce et il me branle jusquà ce quon ait tous les deux joui. Thomas a un appétit sexuel de lapin, il me réveille en me mettant sa bite dans ma bouche (ça mamuse beaucoup), il aime que je le suce quand il prend sa douche, pendant la pause de midi, tous les soirs sans exception et même, il menvoie des « Tas pas envie ? » par texto avant les intercours pour que je le rejoigne aux toilettes. Javais tellement pris goût à sa queue que plus le temps passait, plus je demandais à le sucer de moi-même.
Avant que Thomas narrive à luniversité, il fréquentait beaucoup un jeune avec qui il était en classe depuis le collège (moi, jai un an de plus). Ce jeune, cest Rudy, un garçon brun, mat de peau, les yeux légèrement en amande et le regard noir. Déscolarisé très tôt, il a la réputation (à juste titre) dun petit délinquant spécialisé dans le vol et lincendie de véhicules en tout genre avec une passion évidente pour la bagarre. Cest bien sûr le genre de garçon qui renvoie limage dun mec macho, sexiste et bien sûr homophobe… Cest alors que Thomas me dit :
Ça te dérange si Rudy passe ici ce dans la soirée, ça fait longtemps que je lai pas vu et comme il sort dans le coin ce soir, je me suis dit quon aurait pu se boire une bière avant. Je sortirais bien, mais jai un cours obligatoire à 8h00 demain…
Je lui réponds que ça ne me pose aucun problème, je nai rien de personnel contre lui, au contraire, du peu que je le connaisse, il a lair dun mec sympa. Rudy arrive comme prévu, on se débouche quelques bières et je sens que ce dernier me lance par moments des petites vannes sous-entendant certaines choses… Je fais semblant de ne pas comprendre, jouant la discrétion fidèle à moi-même, mais je me pose tout de même des questions. Quand un dialogue sinstalle :
Rudy : « Ben Alexis je trouve que tas une drôle de façon de faire quand tu mets ta bière à la bouche ! »
Moi : « Comment ça !»
Rudy : « On dirait que tu la suces ! »
Moi : « Je suis désolé que ma façon de boire te dérange… »
Rudy : « Daprès Thomas, tu as quelques penchants gay ! Hein Thomas. »
Thomas : « Non ! Mais je déconnais Rudy enfin ! »
Moi : « Tu as dit ça Thomas ? »
Thomas : « Ça va ! Jai dit que je blaguais, on va pas en faire une histoire ! »
Rudy : « Tavais pas lair de blaguer quand tu mas dit quil mate du porno gay quand il est dans la sale de bain »
Thomas qui devint rouge « Mais non ! Tu vois pas que je te faisais marcher, tu prends vraiment tout au pied de la lettre ! »
Le dialogue sinterrompt, je suis furieux que Thomas ait essayé de griller ma couverture en omettant bien de parler de lui ! Latmosphère redescend, on parle de sport jusquau moment où Rudy déclare quil veut changer la musique dambiance, il prend mon téléphone (qui était déverrouillé sur la table) et commence à chercher une playlist sur Deezer. Satisfait de son choix, il garde mon téléphone en main, mais je ny prête pas attention, puis il le redépose, verrouillé à côté de moi, lair de rien. La soirée continue quand la playlist choisie par Rudy commence à être franchement mauvaise, je déverrouille mon téléphone et tombe sur la page de mon historique de navigation pleine des nombreux sites gay que javais visités… Un nouveau dialogue épineux se met en route :
Rudy : « On dirait bien quen fait, la bite, ça te connaît petit PD »
Moi complètement désemparé : « Si cest pour mal me parler, tu dégages Rudy OK ? »
Rudy : « Par contre, cest drôle parce que depuis que Thomas est chez toi, on dirait que tu nas plus visité tes sites de tantouze »
Thomas : « Franchement, tabuses Rudy là! »
Rudy « Tu veux que je te dise, je pense que taimes ça aussi, mais tes franchement con, pourquoi tu le vends si toi aussi tes une tante ? »
Thomas bégayant « Je, heu… non ! »
Moi « Tes vraiment idiot mec ! Vous savez quoi, je vais me caler devant la télé, à un de ces quatre Rudy ! »
Je quitte la pièce et jallume la télé dans ma chambre, métends à demi-allongé sur le lit. Jai un nud dans le ventre, cest sûr, Rudy va dire à tout le monde ce quil a vu dans mon historique ! Jentends quelques bouts de conversation et du mouvement à côté «… pourquoi tu mas emmené là! », «… baiser avec lui… », « ça texcite… ».
Je vois la porte de ma chambre souvrir, Rudy entre dun pas décidé dans ma chambre, me fait face, déboutonne son pantalon, descend sa braguette ainsi que son caleçon et sort sa bite en état flaccide devant moi. Je le regarde et ne sais pas trop quoi penser… Derrière lui, dans lencadrement de la porte, Thomas est debout, médusé, on dirait quil voit un fantôme !
Ben alors, cest pas ça que taimes ? Les bonnes grosses bites ? Vas-y, montre-moi ce quil y a de si bon à jouer à la pédale !
sexclama Rudy en forçant un rire bruyant.
Javais devant moi la bite rasée de Rudy encore molle et sans même que je men rende compte, je commençais à lécher son gland, ce fut long à venir et je mis quelques minutes à lui donner une érection, Thomas aussi avait sorti sa bite et se branlait en regardant la scène… Quand il dit :
Gicle lui dans la bouche, tu vas voir comme cest bon !
Rudy lui répond :
Quoi, cest tout ce que vous faites ? Vous êtes des tafioles pour tafioles en fait ! Désape-toi Alexys, cest bien ça que vous faites les gays, vous vous la mettez dans le cul ! Je vais te vacciner moi !
Je ne sais pas quelle folie ma pris de mexécuter, surtout face à un mec qui minsultait comme ça, javais déjà été soumis, mais là, ce nétait pas un jeu, Rudy était vraiment décidé à casser du PD et il venait de sortir une capote de sa poche. A peine jeusse eu retiré mes vêtements que les deux étaient nus. Rudy étais bien bâti, épaules carrées, pectoraux légèrement dessinés, pas de traces de musculature travaillée, mais une bite très épaisse et longue de 18 centimètres, Thomas, égal à lui-même, avait de timides abdos et une poitrine moyennement plate avec sa fine bite de 17 centimètres. Rudy qui avait enfilé sa capote me retourna brutalement et me prit à sec sans préparation, je hurlais de douleur, mais il me tenait fermement plaqué contre le matelas par ses cuisses, ses bras puissant ainsi qu’à laide de Thomas qui avait fait le tour du lit pour me maintenait les épaules. Rudy demanda à Thomas de mettre sa bite dans ma bouche pour me faire taire, ce quil fût !
Je suis incapable de dire pendant combien de temps les deux complices mont malmené, je me rappelle seulement de leurs derniers coups de reins ou Rudy et Thomas éjaculèrent en même temps, de la capote remplie que Rudy jeta au sol avant de se rhabiller et de lever le camp sans dire un mot et bien sûr du goût du sperme de Thomas dans ma bouche que je recrachai aussitôt.
Je mallongeai sur le dos avec une immense douleur au rectum quand Thomas, désolé, sapprocha de moi et me suça jusquà me finir avec sa bouche, il avala sans objections, se coucha à côté de moi et me dit :
Tas aimé? Ou détesté?
Je fus incapable de lui répondre, mais je pensais « les deux à la fois… ».
