Le dépucelage, passons aux actes !
Alors Mam, ce soir, c’est le grand soir, Nicolas m’a expliqué le topo, tu ne peux pas reculer, il a fait un sans-faute aux math.
Il faudra bien que je tienne parole, mais vu que ton père sera là, je pense que je vais aller chez Luce, cela lui fera bizarre, mais il doit commencer à être habitué. J’espère juste que son mari n’est pas aussi présent, ce qui compliquerait la donne.
Je crois bien, car j’ai l’interdiction d’y aller ce soir, car le père passe exceptionnellement la soirée en famille, Je suppose que sa secrétaire a les Anglais qui ont débarqué, il te reste deux solutions, l’hôtel ou repousser d’un jour ou deux, ce qui sera mieux pour le chauffer.
Je vais essayer de l’atteindre sur skype, c’est plus discret que le téléphone et lui proposer la totale dans un ou deux jours, du fait que nos maris sont présents.
Tu as raison et souligne bien que pour une première fois, tu n’as pas envie de le faire à la va-vite, ni le bâcler.
Mais le dimanche arrivant, les deux pères vont au match, ce qui fait que l’excuse d’une autre leçon, peut amener une solution, Luce amène son fils en se disant qu’un petit coup de bélier dans son cloaque ne lui ferait pas de mal, elle commence sérieusement à y prendre goût à la tête chercheuse de Louis et au reste également. Il lèche super bien et quand il lui alèse le croupion, c’est le 7ème ciel assuré, la grimpée des rideaux. Enfin, pour son fiston, l’ouverture au monde sans qu’elle soit forcée de parfaire son éducation. On verra après s’il y a lieu d’approfondir la chose.
Arrivé à la maison, Nicolas se précipite vers Nicole avec un paquet de feuilles pour lui montrer son sans-faute, l’air de dire maintenant, tu es à moi, je pourrai enfin perdre ma gourme.
Maman, tu ne veux pas aller réviser le traité de Rome avec Louis, je crois qu’il n’a pas tout compris et moi, j’ai hâte de montrer mes résultats à Nicole. Pour une fois que je me suis surpassé.
Comme prévu, les deux couples se séparent, chacun dans une chambre différente et nous allons nous intéresser plus particulièrement au couple Nicole et Nicolas, l’autre ayant déjà ses habitudes fornicatrices.
Sitôt la porte fermée, Nicolas étreint Nicole et lui embrasse la bouche avidement, tout en lui caressant la poitrine.
Calme-toi Nicolas, ne serait-il pas mieux que nous soyons nus pour continuer ? J’aimerais tant voir un beau garçon comme toi dans le plus simple appareil. Laisse-moi te déshabiller.
Sans attendre sa réponse, elle enlève toute la partie supérieure, y compris le maillot de corps avant de s’attaquer à la ceinture.À ce moment-là, elle constate la puissance de son désir, il bande vraiment très fort, il faudra faire bien attention qu’il ne perde pas ses moyens tout de suite, sans toutefois trop traîner, la durée du match de football n’est pas éternelle.
Maintenant à toi lui dit Nicole.
Hésitant et tremblant devant ce qui se présente devant lui, rongé par la peur de faire faux, Nicolas arrive tant bien que mal à la débarrasser de ses habits et tout de suite il saisit les nichons de Nicole.
Doucement, c’est pas des ballons de basket ? Si tu veux tu peux les sucer, j’aime bien et toutes les femmes en principe aussi.
Ce que j’aimerais bien, c’est de déguster ton élixir intime, depuis que j’ai touché ta culotte la dernière fois, j’en rêve chaque nuit, pendant deux jours, je ne me suis pas lavé la main pour ne pas le perdre.
Mon chou, c’est doux à mes oreilles, pour bien pouvoir en profiter, je vais me mettre sur le dos et tu vas mettre ta tête entre mes cuisses et là je te laisse déguster tant que tu veux, comme tu veux, mais n’oublie pas le petit bouton qui est en haut de mes lèvres. Si c’était une voiture, on le nommerait l’accélérateur.
C’est ainsi que Nicolas se retrouva le nez en face de cette moule tant désirée, mais il avait vraiment l’impression d’être couché sur une béquille tant il bandait, cependant, pour rien au monde, il n’aurait voulu différer de faire connaissance avec le sexe de Nicole, une belle huître sur un tapis de mousse blonde ornée d’une perle de plaisir en son sommet. Il ne se lassait pas de lécher ces lèvres si goûteuses, il s’enivrait de ce miellat d’amour, passant et repassant la langue à gauche, à droite, en haut, puis en bas d’où montait une odeur un peu plus forte, mais finalement tant va la bouche au con qu’à la fin la langue fatigue.
Pour sa part, Nicole jubilait de plaisir et les orgasmes qu’elle faisait le plus discrètement possible, se succédaient.
Viens en moi, j’ai envie de sentir ton sexe dans le mien, pour la première fois, on va la faire à la missionnaire, c’est toi qui vas faire la manuvre.
Nicolas se relève de ce puits de bonheur, les mâchoires un peu fatiguées par un exercice inhabituel, il place sa virilité en face de la féminité de Nicole et tranquillement caresse d’abord un peu le sexe en le promenant entre les lèvres, puis brusquement, la tension étant extrême, se plante sauvagement dans le sexe de Nicole.
Suit une succession de : Harf ! Han ! De bûcheron maniant sa cognée, hie ! Plus moderne, marquant la satisfaction de se faire accueillir avec tant de bienveillance. Mais la température à l’intérieur est torride et le sexe de Nicolas n’est pas du tout habitué à être à si bonne enseigne, si bien que rapidement, la cote d’alerte sonne et l’armée de libération des spermatozoïdes demande justement la liberté d’aller arroser ce lieu si bienveillant. Permission accordée et les vannes s’ouvrent et c’est la vidange de fond du lac Itaipu, l’inondation de la plaine du Parana.
Récit de Nicole
« Je place mes jambes autour de sa taille, le ceinturant et j’attire son visage vers le mien, je le serre dans mes bras et constate que finalement, c’est aussi bon qu’avec mon fils et que je ne suis pas loin de tomber amoureuse de ce gamin, il est si, comment le dire, je ne sais pas. Neuf, généreux, aimant et l’avantage, c’est que je ne commets pas l’inceste avec lui. J’espère que Louis ne sera pas jaloux si je m’attache à ce nouvel amour. Je le serre contre mon cur et le remercie de m’avoir donné tant de plaisir. Il faut dire qu’à ces mots, on sent la fierté qui l’envahit.
Je relâche mon étreinte et le laisse basculer à côté de moi. Je sens cependant qu’il est un peu inquiet sur sa performance, mais je le rassure tout de suite que c’était parfait, que mon plaisir, je l’avais eu plusieurs fois quand il m’a léché. J’hésite un peu à lui rendre la pareille et me mets sur mode attente. Il faut lui laisser reprendre son souffle. »
C’est alors qu’un peu reposé, Nicolas annonce :
Avec mes camarades, on a un peu discuté comment c’est l’amour et il paraît que la femme des fois suce son partenaire.
Qu’entends-tu par sucer ? Fait Nicole pour le taquiner.
Hé ! Bien, elle prend le sexe de son ami dans la bouche et le lèche comme si c’était une sucette, il paraît que même parfois elle le lèche jusqu’à ce qu’il éjacule et qu’elle avale.
Cela te ferait plaisir si je le fais ? Questionne Nicole.
Oh ! Oui, surtout si tu avales.
Mais il est encore tout fatigué, on va le laisser un peu se reposer.
Mais tu as dit que ton mari va rentrer après le match, si on attend trop on aura pas le temps, si tu le prends en bouche, je vais vite revenir excité.
À ces mots, Nicole s’incline vers le pubis d’un noir de jais et prend en bouche ce sexe qui ne paie pas encore de mine, délicatement, elle retrousse le prépuce et place sa langue sur l’urètre, ce qui agit comme un électrochoc qui rend toute sa dureté, délicatement, elle plonge ce sexe dans sa bouche jusqu’à mi-hauteur et le ressort en faisant presque un suçon sur le gland elle passe sa langue sur le frein, ce qui évidement crée un autre électrochoc.
Maintenant, c’est bien agréable de le sucer, d’avoir ce beau salami à déguster, la remplit de passion, surtout que c’est celui de son nouvel amour, elle a vraiment envie de lui faire un plaisir maximum, elle fait le vide dans sa bouche pour augmenter encore la sensation sur le pénis et avec la main, elle entame une masturbation en parallèle avec ce qui reste hors de la bouche et parfois, elle prend les pruneaux dans ses doigts et les caresse amoureusement.
À ce rythme, même si cela fait pas si longtemps qu’il a éjaculé, Nicolas sent la sève qui est en train de monter à la surface et d’un coup à gros bouillon, il gicle en recrépissant les amygdales de Nicole qui n’en perd pas une miette et avale d’un coup toute cette production.
Nicole pense :
« Aujourd’hui, je ne vais pas le forcer à partager son sperme en lui faisant un baiser baveux. Mais il faudra bien le prochain coup qu’il partage afin qu’il sache le goût »
Viens on passe sous la douche et on se brosse les dents, il n’est pas nécessaire que nos spécialistes du ballon rond s’aperçoivent de quelque chose.
Mais je n’ai pas pris la mienne
Je te prêterai la mienne si tu n’es pas trop dégoutté.
Non, c’est que je n’ai pas l’habitude.
Peu après, tout le monde se retrouve dans le salon et Luce demande à son rejeton si l’étude a bien avancé.
Non mère, aujourd’hui, il y a des tas de parties que je n’ai pas bien compris, il me faudra un complément.
Alors si tu as le courage Nicole, on prend un thé et si tu pouvais continuer la révision ce serait bien. J’ai pris goût au sans-faute.
Certainement, on fait un petit break et on reprend la révision.
Retournant dans la chambre de Louis, il sort ses cours, mais a l’esprit un peu distrait.
Attention Nicolas, le tarif n’a pas changé, si ce n’est que les gages n’existent plus et pour pouvoir baiser à nouveau avec moi, tu dois faire un excellent travail et une note en conséquence.
Aïe, c’est la douche froide et il se rend compte que ce n’est pas acquis définitivement et qu’il va devoir continuer à travailler en conséquence. Ils renouvellent la méthode de la semaine précédente et Nicole ne le relâche que quand il peut lui démontrer sans support toute la théorie de son prochain examen.
Au milieu de la semaine, les deux amies se retrouvent pour papoter et parler de leurs récentes aventures.
Merci Nicole, tu m’as sorti deux épines du pied, Nicolas qui va mieux que bien et en plus tu l’as dégrossi si j’en crois mes informations.
Je t’en prie, ce n’était vraiment pas une corvée, j’y ai pris beaucoup de plaisir, s’il a un plus petit sexe que Louis, il est très passionné, ce qui m’a créé une jouissance excellente. Mais je lui ai annoncé qu’il ne pourrait baiser avec moi, que si ses notes continuent d’être au plafond et il semble que cela marche. D’autre part, j’ai moins l’impression de culpabilité qu’avec Louis, quoique son membre me fait aussi beaucoup de bien, une fois l’interdit consommé. Et toi, tu n’es pas intéressée d’essayer Nicolas ?
Pas tout de suite, tant que Louis satisfait mes ovaires et que tu t’occupes de Nicolas, on ne va pas interférer. Mais au fait, pour les prochaines vacances, je serai en déplacement professionnel au Japon, chose que je n’ai pas envie de rater, tu ne prendrais pas Nicolas avec toi.
Je vois, tu vas me pousser dans les parties triangulaires. Ce serait possible, mais avec mon mari, cela ne va pas être la joie. Il faudrait que la demande vienne de Louis.
Tant qu’à faire, pousse-le de faire venir sa pétasse. Cela pourrait être intéressant.