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Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. – Chapitre 9

Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. - Chapitre 9



7 AOÛT

Il est 9 heures. Je marche en direction de la maison. Eleni m’a prêté quelques vêtements. Le T-Shirt le plus large qu’elle possède et une jupe ample ! Ma robe est ruinée. Hier, à peine allongée, j’avais fini par vomir mon trop plein d’alcool ! Heureusement, Eleni m’a raconté qu’elle avait réussi à me faire arriver jusqu’à sa salle de bain et je n’ai pas fait trop de dégâts ! Et j’ai fini nue au lit On dit qu’une fin de concours, et à fortiori de thèse, ça mérite toujours une bonne cuite pour se vider la tête Celle-ci aura eu des conséquences inattendues

Aurais-je cru que je coucherais à nouveau avec une femme, surtout si jeune, si belle ? Elle, l’amoureuse de mon jeune amant ! J’ai adoré la baiser ! J’ai adoré la déflorer, lui faire découvrir son premier orgasme partagé Quel corps de rêve, si parfait et si réactif, si sensible. Elle est faite pour l’amour !  Mon Adonis va bien s’amuser et prendre un sacré pied, ce petit con ! A moins qu’elle ne devienne complètement lesbienne Peut-être qu’après cette première expérience et cet orgasme puissant elle va se dire que c’est ce qu’il lui faut ! D’ailleurs, son plaisir à me regarder nue, à nous regarder, depuis des semaines, son absence de jalousie à mon égard c’était peut-être assez ambigu finalement. Peut-être qu’au fond, c’est de moi qu’elle tombait amoureuse ?

J’arrive à la maison. Je suis crevée. J’ai mal à la tête. Je cherche un comprimé de paracétamol dans mon vanity et je me jette sur le lit.

Midi. Il fait encore très chaud. Je me prépare une salade de légumes. Pas de nouvelles d’Adonis. Il s’est peut-être demandé pourquoi je n’étais pas venue à la crique ce matin. Tant pis pour lui, il n’avait qu’à m’accompagner au port, on n’en serait pas là ! Mais ça aurait été bien dommage, je dois le reconnaître Je ne cesse de repenser à la petite Eleni. C’était si puissant et si doux Elle était si belle dans sa première jouissance Inconsciemment, en pensant à elle, je commence à me caresser doucement le ventre, les seins Mon dieu, j’ai encore envie d’elle ! Je ne suis pas rassasiée de son jeune corps de déesse, et elle n’a pas encore exploré tout le mien Il y a encore tant de plaisir à échanger Mais Adonis ?

Ma main s’enfonce dans ma chatte Je vibre. Viens Viens Prends-moi Prends-mon con, mon cul Pénètre-moi, lèche-moi Je te sens entre mes cuisses Mes seins mon ventre mon cul Tu me caresses, me saisis, me dévore Eleni Eleni Eleni ! Oui ! Allongée sur la terrasse, je te crie ma jouissance

Je marche. Je descends vers le port. Il est bientôt 17 heures. Je veux la revoir. Il faut que je la revoie

J’arrive sur le port. J’aperçois le restaurant. Est-elle là aujourd’hui ? Et si elle est là que dira-t-elle ? Je m’approche lentement de la terrasse du restaurant. J’ai la gorge nouée. Je guette, je ne la vois pas Mais si, ça y est Elle est là-bas, à l’intérieur, elle prend une commande Elle est encore plus belle Robe cache-cur à fines bretelles et à volants, échancrée, plongeant magnifiquement entre ses petits seins nus drapés dans le fin tissu rouge, survolant ses fesses et laissant espérer à chaque pas, par la fente du tissu cachotier, la promesse du galbe de ses tendres cuisses  Rouge à lèvre assorti au vermillon de sa robe. Sandales étroites à talon, légèrement dorées, à lanières fines et bride aux chevilles, admirable écrin pour ses pieds parfaits. Elle brille, elle resplendit au centre du restaurant. Les hommes la suivent, la guettent, les femmes l’envient, la jalousent Et moi, figée, au milieu de la rue piétonne Est-ce vraiment moi qui hier me suis glissée, là, dans la douceur de ces élégantes courbes qui font ployer l’univers dans leur attraction sans limite ? Est-ce moi qui ai dévié la course de cet astre inaccessible ?

Elle m’a vue. Elle aussi s’est arrêtée soudainement. Elle m’a fixée. Un trouble fugace dans son regard. Un léger sourire. L’esquisse d’un signe de sa main légère Elle m’a saluée ! Elle s’est retournée. On l’appelle

Je n’aurai pas les moyens de me payer un nouveau dîner dans ce restaurant ce soir. Mais peut-être au moins un verre ? Il faut que je lui parle.

Je m’attable à l’intérieur. Eleni s’approche bientôt. Elle sourit doucement, lèvres fermées. Mais ses yeux brillent.

–    Bonjour Eleni, ça va ?

–    Bonjour Julia. Ca va bien, un peu fatiguée Mais je dois encore travailler jusqu’à 22 heures

–    J’espère au moins que tu as pu dormir un peu avant de commencer.

–    Pas beaucoup

–    Eleni Je voudrais On pourrait prendre un verre après ton travail ?

–    Je Oui Pourquoi pas

–    Je t’attendrai

–    D’accord

La divine serveuse finit par prendre ma commande. Lorsqu’elle m’apporte mon Coca, elle ne parvient pas cette fois-ci à contenir un franc sourire.

Je sirote lentement ma boisson. Je prends mon temps. Eleni s’affaire, il y a de plus en plus de monde. Elle est parfaite dans son rôle, très serviable, précise, efficace, elle s’adresse aux clients indistinctement en Grec, Anglais, Allemand, Français, toujours très distinguée. Je ne la quitte pas des yeux.

Mais il est temps que je m’éloigne, il est bientôt 19 heures, le patron regarde avec de plus en plus d’insistance vers ma table. Il doit s’attendre à ce que je commande autre chose, mais au prix du moindre Coca ici

Je quitte le port et me dirige vers la plage qui commence à se vider. Tant mieux. Je m’assois sur le sable, sans enlever ma robe. J’hésite à aller me baigner. Je ressens encore les dégâts d’hier soir. Je vais m’allonger un peu, j’irai plus tard.

Des éclats de voix me réveillent. Un groupe de jeunes s’est installé à quelques mètres. Je regarde ma montre : 20 heures. J’ai dormi comme une masse ! Je m’assois. Les jeunes parlent allemand, ils rient, de temps en temps il me semble voir quelques regards se tourner vers moi en souriant… Oh la la, si ça se trouve ils étaient au bar hier soir et ont été témoins de ma lamentable prestation Peut-être même font-ils partie de ceux qui dansaient et en voulaient à mes miches ! Il vaut mieux que je déguerpisse. Tant pis pour la baignade. En me levant, j’aperçois blondinet assis de l’autre côté du groupe. J’avais vu juste.

Je décide de retourner doucement vers le village. Je flâne dans des ruelles peu fréquentées par les touristes, remontant lentement vers les hauteurs. J’arrive à nouveau à la petite église. Je m’assois sur un banc de la place. La vue sur la baie est sublime à cette heure. A l’ouest, le soleil disparaît dans les flots, irradiant le ciel et la mer de rayons rouges, orange, puis tirant de plus en plus vers des violets, des verts. Les premières étoiles apparaissent déjà vers l’est. La lune s’est levée. Des lumières clignotent sur la mer, sans doute des barques de pêcheurs. Le phare de la pointe ouest de l’île, la plus escarpée paraît-il, s’est allumé. D’autres, loin au nord, signalent la présence d’autres îles. Eleni. Adonis. Votre île est magnifique !

Je redescends. Je n’ai encore rien mangé mais je n’avais pas faim. Encore une demie heure avant de rejoindre Eleni. Je traîne sur le port, repasse devant le bar d’hier soir déjà très animé mais je n’ai aucune envie d’y retourner !

22 heures. Je me rapproche du restaurant Je m’assois sur le banc le plus proche face au port. Eleni ne vient toujours pas. Je l’aperçois encore en salle, il y a beaucoup de monde, son service déborde. Enfin, je la vois déboucher de la ruelle qui longe le côté du restaurant. Elle me rejoint.

–    Bonsoir Julia.

–    Bonsoir Eleni. Ca va ? Pas trop crevée ?

–    Crevée, c’est pareil que fatiguée ? Si, un peu. Mais j’ai l’habitude. Je fais ça depuis plusieurs années. Le mois d’août c’est toujours horrible. La semaine prochaine je finirai encore plus tard. Où veux-tu aller ?

–    A vrai dire, je n’ai pas très envie d’aller dans un bar ce soir Trop de bruit. Tu connais un endroit calme ?

–    Pas ici. Tout est animé sur le port l’été. Il y a de la musique partout. Si tu préfères on peut marcher un peu au bord de la mer.

–    D’accord.

Eleni m’entraîne vers le bout du port. La route bifurque, remonte vers l’intérieur de l’île. Un sentier continue, lui, à longer la côte. Nous le suivons. Eleni a retiré ses sandales à talons. Elle est sublime dans sa robe rouge, dos nu largement ouvert, marchant pieds nus dans la nuit, légère.

Rien à voir avec les falaises du côté sud, la côte est rocheuse mais bien plus basse ici. On doit pouvoir accéder assez facilement à la mer en contrebas. Il n’y a plus de lampadaires sur ce chemin mais la lumière de la lune et des étoiles suffit à y voir suffisamment clair. Nous passons une petite butte dans le prolongement d’une pointe rocheuse et, de l’autre côté, le bruit du village s’évanouit. Au creux de ce pli, Eleni me fait signe de la suivre. Elle quitte le chemin et s’avance sur les rochers descendant doucement vers la mer. Nous débouchons dans un creux entre deux gros rochers, une petite plateforme léchée par les flots. C’est comme la crique d’Adonis, en miniature. Nous nous asseyons face à la mer.

–    C’est magnifique Eleni. Toi aussi tu as ta crique secrète !

–    Elle n’est pas vraiment secrète ! Il y a beaucoup de gens qui suivent ce sentier en journée. Mais j’aime venir ici le soir. C’est calme.

–    Tu crois qu’on peut se baigner ?

–    Si tu veux. Mais pas moi. Je n’ai pas de maillot de bain.

–    Il n’y a personne

–    On ne sait pas.

–    Tu as peur ?

–    Je ne l’ai jamais fait.

–    Hier soir non plus tu ne l’avais jamais fait Regarde. Moi j’y vais aussi. Une fois dans l’eau, plus personne ne verra rien. Et tu verras, c’est complètement différent, c’est tellement mieux.

Je me relève et m’avance d’un pas vers la mer. Je fais tomber ma robe sur le rocher. Je dégrafe mon soutien-gorge. Enfin, je fais glisser ma culotte blanche. Eleni est assise juste derrière moi à ma droite. Elle voit mes fesses généreuses, le flanc de mes seins Je m’approche de l’eau, m’accroupis, m’assois au bord du rocher, les pieds dans l’eau. Je n’ai aucun mal à m’élancer.

Après un rapide plongeon pour m’habituer à l’eau, je remonte vite à la surface et me retourne vers Eleni.

–    Viens ! C’est super tu verras. Ca te fera du bien de nager pour te détendre après cette journée de travail.

Eleni ne répond pas. Elle me regarde fixement, souriante. Je nage un peu. Lui fais signe, lui souris. Enfin elle se lève et s’approche du bord du rocher. Son pied effleure l’eau. Bientôt, les bretelles de la robe rouge glissent sur ses épaules, le tissu s’affale sur la roche, libérant d’un seul coup le corps presque nu de mon amante-rivale. Sa culotte, coton et dentelle blanche, échancrée, chic et sexy, s’éclipse tout aussi promptement. Eleni se tient debout sur le rocher, dans sa fière nudité, face à moi. Elle me fixe toujours. Je suis une nouvelle fois subjuguée. Le temps s’est arrêté.

Lentement la jeune déesse s’accroupit, se penche vers l’eau sombre et, tout à coup, disparaît. Sous l’eau je sens un courant furtif à ma droite. Eleni rejaillit quelques secondes plus tard, à 5 mètres derrière moi. Elle sourit. Elle rit. Elle est heureuse.

–    Tu as raison Julia, c’est super !

–    On se sent plus libre, non ?

–    Oui. Surtout pour moi. C’est tellement osé de faire ça ! Tu nous as rendus fous, Adonis et moi !

–    Tu sais, moi non plus je ne faisais pas de nudisme avant. Mais je ne pourrai plus m’en passer !

–    Pour moi, ça risque d’être difficile d’en faire ici en plein jour ! C’est pour les touristes, mais les gens d’ici seraient choqués

–    Alors fais-le la nuit ! Ou à la crique…

–    Peut-être

Je me remets à nager vers elle. Elle s’échappe. Elle nage très bien, nettement plus vite que moi. Elle s’éloigne vers le large. Enfin, à au moins cent mètres du rivage, elle s’arrête et fait la planche. Je m’approche. Je vois ses petits seins dépasser à peine des flots, la tâche brune au milieu de son corps si blanc sous la lune, ses pieds qui battent à peine, au ralenti. Je la rejoins lentement et m’allonge moi aussi sur le dos, à ses côtés.

–    C’est magnifique ce ciel J’ai l’impression de flotter dans une mer d’étoiles.

Eleni ne dit rien. Nous nous taisons, deux corps en suspension au cur de la galaxie. Je tourne la tête vers elle et m’aperçois qu’elle aussi me regarde. Nos bras en croix se frôlent du bout des doigts. Contact.

Nous sommes face à face, debout dans la mer. Nos pieds et nos bras nous maintiennent à flot. Très lentement, imperceptiblement, nos corps se rapprochent, nos têtes, nos lèvres Nos bouches se touchent, se séparent. Ma poitrine frôle parfois ses petits seins dressés. Nos jambes, dans leur chorégraphie sous-marine, s’emmêlent et se démêlent. Je voudrais tant remonter, là, dans le creux

–    Julia

–    Eleni

–    Je ne sais pas ce qui m’arrive.

–    Moi non plus.

–    Tu es belle.

–    Tu es plus que belle. Tu ES la beauté.

–    Non. Toi.

–    Tu es folle.

–    Oui.

–    Eleni Ma petite déesse

Nos bouches se rencontrent une nouvelle fois, de plus en plus fougueuses, dévorantes Puis Eleni recommence à nager. Elle me prend la main, m’entraînant à sa suite. Elle plonge, je la suis. Nous jouons, sous l’eau, à nous toucher, nous attraper, nous caresser. Ma main agrippe son pied, sa jambe. Je sens la sienne sur ma cuisse. Puis un bras entoure ma taille, je m’enfuis, elle me rattrape. Sa main, sur mes fesses entre mes fesses Mon sein Elle le presse. Le tient. Je ne m’enfuis plus. Ma cuisse, enfin, entre ses jambes, contre son bas-ventre La sienne, si fine, qui vient taper doucement contre mon sexe nu Nous nous embrassons. Lentement. Longuement. Tendrement. Follement. Nos nages se conjuguent pour rester enlacées, portées par les flots. Doucement, flottant, sans plus nous détacher, nous nous rapprochons de la rive.

Eleni s’accroche au rocher. Elle se hisse. Je regarde son corps nu émerger dans la lumière nocturne. Ses hanches, ses petites fesses blanches Elle s’allonge. Je la rejoins. Le rocher est encore chaud. Nos corps se rapprochent. Couchées sur le côté, nos bouches se rejoignent. Ce sont des milliers de baisers. Des élans plus fougueux où nos langues se caressent sans fin. De gentilles morsures  Ses mains sont posées sur mes seins, mon dos. Elles me caressent doucement, si doucement, gentiment amoureusement. Ses seins, ses jolis petits seins si fermes, aux tétons si sensibles. Ses petites fesses dont les muscles réagissent au moindre effleurement. Je les parcours en tous sens. Les caresse, les serre, les tiens longuement dans mes mains écartées Mes jambes se lovent contre les siennes. Doucement, Eleni presse son corps contre le mien et l’invite à basculer.

Je suis sur le dos. Eleni me surplombe. Nos regards débordent de désir. Mes deux mains se plaquent à nouveau sur ses fesses. Je les pétris, les écarte doucement, parcours lentement de mon index son étroite vallée. Eleni s’abaisse. Sa bouche se pose en haut de ma poitrine. Elle couvre chaque centimètre carré de peau de minuscules baisers. Lentement, elle descend. Je ne parviens plus à toucher ses fesses. Je parcours son dos, sa colonne vertébrale, sa nuque fragile, ses épaules délicates. Ses baisers escaladent et tournent sans fin sur mon mamelon gauche, gonflé de désir, prêt à éclater Il éclate : elle a baisé le sommet de mon téton dressé et tout mon être a tressailli. Elle poursuit. Elle me suce. Me tète. Mange tout mon sein. C’est si doux, si bon ! Elle poursuit sur mon sein droit. Elle me rend folle. Elle a compris. Elle veut me faire jouir. Elle reprend sa descente. Mon ventre est dévoré. Elle atteint mon triangle Elle le hume. Le lèche. Mon odeur de femme s’est répandue. Sa langue remonte le long du pli de mes cuisses. Ses doigts caressent, massent doucement les muscles de mon pubis, ceux du haut de mes cuisses, de l’aine Elle ne se presse pas. Ressent toutes mes vibrations. Réagit.

Mon sexe est humide, offert. Elle le contemple. Je relève la tête et la regarde : hésitante Désirante. Hier, elle n’a pas osé. Nos regards se croisent. Sans me quitter des yeux, sa bouche s’abaisse et se plaque délicatement sur le haut de ma fente. Elle l’embrasse tendrement. Je retiens mon souffle, plongée dans son regard empli de désir. Soudain, doucement, je sens sa langue qui s’immisce entre mes chairs. Elle hésite, goûte, s’enfonce. Je ressens puissamment, dans tout mon ventre, chaque millimètre de son frottement sur mes lèvres. Enfin, la petite pointe de chair ardente s’étend de tout son long au creux de ma faille. Puis elle remonte, lentement, vers mon bouton qui l’attend. Eleni a fermé les yeux. Elle me lèche consciencieusement, appuyant fortement, longuement, s’enivrant de mes sucs, de ma grisante fragrance intime. Elle ne veut rien en perdre. Les vagues qui me traversent sont longues, amples, puissantes Elle descend. Je sens sa langue dans mon vestibule. Son parfait visage, son nez pointu, se perdent entre mes lèvres L’agile instrument de sa bouche s’avance dans mon vagin Il en fait tout le tour, le caresse, le chérit Ses mains agrippent mes cuisses, se plantent dans mes chairs molles. Je me raidis. Un premier frisson me transperce. Eleni Ma douce beauté. Entre mes cuisses. Qui me mange. Qui me baise Ses doigts se sont approchés. Un pouce lutine en mesure mon bouton enflé, empli de jouissance. D’autres doigts me fouillent Je les sens en moi, contre mes parois, ils me caressent, m’écoutent, me répondent, me guident, vers le plaisir incessant, qui monte, qui m’inonde D’autres doigts mais combien en a-t-elle ? de plus en plus coquins, se sont faufilés entre mes deux belles collines. Elle nous a vus, Adonis et moi, elle sait Je l’aide. Elle s’immisce sans difficulté. Elle avance au plus loin dans mes entrailles, tandis que sa langue caresse tout le pourtour de ce puits étroit. Je n’en peux plus. C’est si puissant. Eleni, tu es une fée, tu comprends tout, le moindre de mes frissons, de mes gémissements, de mes contractions Je geins continuellement. Mon corps vibre. Les vagues se succèdent, de plus en plus rapprochées. Enfin, de mon bouton tendu s’élance une onde violente qui dure, s’élargit, remonte, se gonfle des frissons de mon con, de mon cul, de mon ventre, éclate dans ma poitrine et déferle en mon âme

Arquée, le sexe tendu vers le ciel nocturne, un râle puissant éclate au fond de ma gorge, envahit ma bouche et s’élance vers l’infini, tandis qu’un jet puissant jaillit entre mes jambes. Eleni poursuit, elle m’accompagne, précautionneusement, par petites touches. Je l’inonde à nouveau. Elle crie. Elle aime. Elle rit. Elle adore ! Je tremble. Je m’effondre.

Doucement, Eleni se faufile entre mes jambes repliées. Des baisers couvrent mon bas-ventre, l’intérieur de mes cuisses, le pourtour de mon sexe Enfin, elle glisse et vient doucement poser sa tête entre mes seins lourds, comblés.

Les yeux dans les étoiles, je caresse doucement les cheveux d’Eleni. Son visage, ses épaules, le haut de son dos. Elle pose de temps en temps un baiser sur mon sein. Elle se repose. Nous sommes si bien sur la pierre tiède. Les minutes s’écoulent.

–    Julia.

–    Ma beauté

–    Il faut partir. Je dois aller dormir. Je travaille demain.

–    Attends encore un peu S’il te plaît

–    

J’ai envie d’elle. De son corps. Je la pousse doucement sur le côté. Elle se laisse faire. Je coulisse. Mes mains retrouvent sa croupe sublime. Je la saisis. Fermement. Puissamment. Mon pubis se plaque contre le sien. Nos poitrines se collent. Nos bouches se dévorent, se mordent, se cherchent, se repoussent. Ma cuisse entre ses jambes écrase son sexe trempé. Elle en fait de même sur ma chatte inondée. Cette union est sauvage.

–    Julia

–    Ma chérie…

–    Montre-moi, par derrière

Cette coquine veut que je pénètre son cul ! Mes ébats avec Adonis l’ont sans doute intriguée, émoustillée ! Ma foi, j’aime tellement son ravissant derrière, je vais m’en occuper avec le plus grand soin ! Dommage que je n’aie aucun accessoire sous la main.

Je pétris ses fesses. Je les écarte. Chaque pression déclenche en elle un frisson et un soupir. Elle m’attend. Doucement, je m’écarte de son corps et la laisse reposer contre le rocher, face au sol. Je me positionne à califourchon au-dessus de son dos. Lentement mes mains massent ses épaules, son dos. Ma langue parcourt son épine dorsale. Mon bassin, d’abord immobile, commence à danser doucement. Mon sexe se pose sur ses divines collines. Bientôt, je masse tout son doux petit cul de ma vulve humide et de mes cuisses brûlantes. Son bassin vient à la rencontre de mon entrejambe, je sens ses deux demi-sphères se contracter au rythme de ma danse. Ma liqueur intime se répand sur son postérieur. Elle laisse échapper un gémissement.

–    Julia j’aime ton sexe j’aime tout

–    Et moi j’adore ton cul ma petite cochonne !

–    Oui je suis une cochonne avec toi ! Pour toi !

Je me redresse subitement et lui donne une claque sur la fesse droite. Elle crie mais je sens le plaisir contracter son postérieur. Je recommence. Au moins dix fois d’affilée. A chaque fessée le ton de ses cris devient plus lubrique, ses fesses se contractent plus longtemps J’arrête. Ma bouche se pose sur sa fesse droite. Je l’embrasse doucement. Je recommence. Je couvre ses deux globes blancs de délicats baisers. Je les lèche. Entièrement. Consciencieusement. Le goût de mon propre sexe envahit ma bouche. Enfin, j’écarte doucement les deux lobes charnus. La lune, bien haute, éclaire toute sa vallée.  Sa délicate rondelle, mignonne et rose, est aussi absolument désirable que tout son corps parfait. Son bassin bascule légèrement. Elle m’offre son anneau. Je m’avance entre ses chairs, langue tendue.

Je lèche. Je lèche avec application la raie d’Eleni. Entièrement. Du creux de ses reins à celui de ses cuisses. J’ai relevé son postérieur. Je descends parfois entre ses jambes, à la rencontre de son con, m’enivrer du goût et du parfum de son jus dont je me suis si goulûment abreuvée hier. Elle danse. Elle tressaille à chaque passage en son vestibule et dans le creux de son mignon orifice serré, juste au-dessus. Petit à petit je m’attarde davantage sur ce cercle prometteur. Ma langue tente d’en forcer l’ouverture. Je pénètre de quelques millimètres. Je tourne, je vrille, j’insiste. Eleni gémit. Je lèche avidement son petit trou du cul. Je l’aime. Je le veux. Il s’ouvre de plus en plus. Doucement je pose mon index. Elle frémit, murmure quelque chose en grec. J’appuie. Le passage interdit s’entrouvre, mon doigt pénètre lentement l’étroit tunnel. Je fais attention. Je ne veux pas lui faire mal. Elle contracte et décontracte ses sphincters sur mon doigt qui parvient bientôt à s’introduire entièrement. Je commence à le faire danser doucement en elle au rythme de son plaisir. Ma langue, elle, continue ses allers-retours entre son con et son cul. Elle se démène pour ses deux puits de jouissance ! Son anneau s’est habitué à ma présence en elle. Je vais et viens de plus en plus librement. Il est temps de corser l’affaire ! Mon majeur rejoint mon index et vient frapper à sa porte dérobée. Elle s’entrouvre et les deux compères forcent doucement le passage encore trop étroit pour deux. Eleni gémit, contracte son dos. Je m’arrête, caresse amoureusement ses belles fesses offertes, ma langue calme son anneau, elle se relâche. Le tunnel se détend doucement. Mes doigts continuent leur progression. Ils s’agitent un peu, tâtent son intérieur, caressent et massent gentiment. Mon autre main, elle, enveloppe l’avant de son entrejambe. Ses doigts s’occupent avec minutie de la fente de mon amante et de son clitoris gorgé de sang. Les gémissements et les petits cris d’Eleni ne cessent plus. Mes doigts vont et viennent en son mignon derrière, de plus en plus vite, de plus en plus loin. Le reste de la main tape contre son périnée et le haut de sa raie. Ma langue s’active maintenant exclusivement à l’entrée de son vagin. Toute son intimité m’appartient et je l’honore consciencieusement. Eleni n’est plus que jouissance et son plaisir rayonne en moi, irradie ma chatte et mon cul qui dansent et se contractent à son rythme. D’un coup, elle se tend. Son buste se redresse. Son anneau serre mes doigts. Un hurlement grave. Une vibration totale. Longue. Souffle coupé. Eleni jouit. Elle prend son pied. Orgasme monumental. Entre ses jambes une source abondante s’écoule.

Ma main droite quitte son entrejambe et vient se poser sur mon sexe. Je branle à toute vitesse mon clitoris brûlant. Une main dans le sublime cul d’Eleni, l’autre sur ma chatte, j’atteins presque instantanément le sommet du plaisir. Je hurle et je m’affale sur sa croupe relevée que je mords à pleines dents.

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Prochain chapitre : Retrouvailles

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