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Théâtre pour adultes – Chapitre 2

Théâtre pour adultes - Chapitre 2



Comme vous le savez, on a réussi à se faire embaucher dans un club très privé, un club gay, pour y présenter une mini pièce de théâtre.

On ne passe qu’une fois par semaine, il y a une autre petite troupe qui passe aussi une fois, le week-end, comme nous.

Dans la semaine, ce sont des numéros qui sont présentés, apparentés au cirque ou aux cabarets, mais version pornographique. En tant que participant aux spectacles, j’ai une entrée gratuite, et je ne me prive pas de venir assister à beaucoup de représentations. Je vais vous conter mes numéros préférés:

1 – Auto sodomie.

C’est notre partenaire black qui est en scène. Il fait un strip-tease, un nu intégral, puis s’installe dans un fauteuil, les jambes relevées sur les accoudoirs. Il soulève son boudin noir qui pendouille, et on peut voit une grosse pastille rouge entre ses miches, le socle d’un plug. Il joue avec sa bite, la caresse, la masturbe tendrement, pour la faire s’épanouir tout en bandant mou. Elle a atteint sa longueur maximale (32 cm) mais reste souple.

Il retire son plug, aussi large que son sexe, puis s’enfile sa queue dans son fion grand ouvert. Il ne se la met pas toute bien sûr, mais dix bons centimètres qui semblent le satisfaire. Le reste de sa bite fait un arc de cercle, du pubis à l’anus, et il le caresse, le frotte, pour se donner du plaisir, et se faire jouir, si l’on en croit ses gémissements et grognements.

Il dégage son engin, et le branle à deux mains, tandis que son sperme s’écoule entre ses fesses. Il bande dur maintenant, ouvre ses lèvres en grand, et se fait jouir une deuxième fois, dans la bouche.

Il avale tout, c’est terminé.

2 – Auto fellation.

J’ai déjà visionné des vidéos de mecs qui ont la chance de pouvoir se la sucer, mais en y repensant ils n’arrivent qu’à se lécher le gland, au mieux se le gober, mais pas plus.

Notre homme est un contorsionniste doué d’une extrême souplesse. Il se déshabille et démarre son numéro. Il nous offre des positions irréalistes dans lesquelles il parvient à se bouffer la queue toute entière, jusqu’aux couilles, en gorge profonde. et ne manque pas une occasion pour se faire une bonne pipe.

Pour le final, il se met en chandelle, la queue au dessus de sa bouche, et il se branle avec les pieds. Il se fait jouir et décharge direct dans sa gueule.

Lui aussi avale tout et c’est fini.

3 – Gymnastique.

Ils sont six, tous à poil, des superbes minets d’à peine vingt ans, mignons, beaux, bien gaulés et bien couillus. Ils font des figures en force et en souplesse, par deux, par trois ou par six. Ils sont très imaginatifs et nous présentent des pauses très érotiques. Chacune d’elle est prétexte à de chauds contacts au cours desquels ils se caressent, se roulent des pelles, se sucent, s’enculent.

Pour la fin ils nous proposent un feu d’artifice de foutre. Ils se mettent en cercle, de dos les uns aux autres, puis font une souplesse arrière. Ils se retrouvent en petit pont, appuyés sur les pieds et les épaules, les têtes qui se touchent: une merveilleuse rosace.

Ils sont arc-boutés, et leurs bites dominent la situation, magistralement dressées. Ils se branlent, se font jouir, éjaculent en abondance, giclent à répétition les uns sur les autres.

4 – Magie.

Ils sont deux, le magicien et son assistant, un travesti en bas jarretelles et string.

Le maître dispose de deux boîtes de huit boules de la taille de celles de billard, et de quatre couleurs différentes (2 jaunes, 2 rouges, 2 noires et 2 blanches dans chacune). Il fait venir un spectateur sur scène, le fait déverser une boite dans un sac noir opaque, et le fait mélanger. L’assistant se place à quatre pattes, sur une banquette, de cul au public. Il a un string spécial, sans ficelle au milieu, mais une fine bande sur chaque fesse et qui laissent la raie et le trou accessibles.

Le spectateur participant pioche les boules au hasard dans la boite non vide, et les passent au magicien. Celui-ci les enfilent l’une derrière l’autre dans le cul de son comparse. Le spectateur regagne sa place.

L’illusionniste enfonce une main dans le sac noir, et l’autre dans le fion de son partenaire. Il les retirent, avec dans chacune d’elle une boule de la même couleur. Il recommence, encore et encore, et récupère à chaque fois une paire identique.

Le tour continue. Il remet quatre boules dans le trou offert, toutes jaunes. Il nous montre un bout de ficelle, le roule en pelote, et l’enfonce bien au chaud lui aussi. Il rajoute les quatre boules rouges. Il enfonce sa main, fiste le travesti, et la retire avec un bout de la ficelle. Il tire, et toutes les boules ressortent, couleurs alternées, et reliées entre elles par le cordon, comme un collier de grosses perles.

Toujours de la magie. Il introduit les boules blanches et noires dans le conduit de son assistant, puis le fiste sans retenue. Il ressort son bras et nous invite à bien regarder son subordonné, mais surtout son oeillet dilaté. Celui-ci s’ouvre de plus en plus, et on voit une énorme boule apparaitre. L’homme à quatre pattes pousse de toutes ses forces, et après de très longues secondes de suspense, il finit par éjecter une seule boule, grosse comme un pamplemousse. Elle est à damiers, noirs et blancs, comme un mini ballon de football.

C’est terminé.

5 – Avaleurs de godes.

Je connaissais les avaleurs de sabres, mais eux ont préféré remplacer ces armes par des objets plus agréables, de superbes godes. Ils sont deux, et se présentent habillés d’un mini short. Une musique démarre, un slow, ils se prennent par les hanches et dansent en se frottant l’un à l’autre, et en se roulant une longue pelle. L’un deux s’accroupit, enlève le dessous de son partenaire, et le suce vite fait, histoire de le faire bander. Il se relève, et c’est au tour de l’autre de lui rendre la politesse.

Ils sont à poil, avec une grande caisse à côté. Ils en sortent un gode chacun (environ 50×5), et se l’enfonce dans le cul, entièrement, jusqu’à le faire disparaitre. Ils attrapent deux autres godes identiques, et se les enfoncent dans la gorge, ne laissant que quelques centimètres dépasser de leur bouche. Ils sont de profil pour qu’on les voient mieux, et on aperçoit le gode anal qui ressort légèrement. Chacun se saisit de l’extrémité de ses godes, une dans chaque main, et fait aller et venir les joujoux dans ses orifices. C’est magnifique, on a l’impression d’un seul et même manche qui traverse leur corps. C’est magnifique aussi de voir comme ils bandent.

Ils retirent les objets, les remettent dans la boite, et en ressortent un bien plus long, un bon mètre, avec un gland à chaque bout. Chacun gobe une extrémité, puis ils se rapprochent l’un de l’autre. Dès qu’ils le peuvent, ils se chopent la queue pour se branler. Ils continuent à avancer jusqu’à ce que leurs bouches se touchent.  Ils se dégagent et recommence l’exercice avec leurs culs, jusqu’à ce que les miches se collent.

Voilà un nouveau gode, de taille intermédiaire. Un des deux est à quatre pattes, et son copain enfile le toy entre ses fesses. Il lui a introduit tout entier, puis s’agenouille derrière lui. Il l’encule, et pousse le joujou encore plus loin. Il se retire, et se met à quatre pattes lui aussi pour lui bouffer le cul. Il a sa gueule enfouie entre ses fesses, puis se recule avec le gland du jouet entre ses dents. Il en dégage une bonne partie, qu’il suce comme on fait un bonne pipe, puis se décide à l’avaler au fur et à mesure qu’il sort du trou de son pote.

Il l’a tout en gorge, en bouche, dont seul ressort l’autre gland. Le mec libéré de cet engin se retourne, suce le bout, et l’engloutit à son tour, sauf les derniers centimètres. Son ami, dégagé de l’objet, se retourne et lui offre cul. Il lui met le bout dedans, pousse tout avec sa bouche, le fait disparaitre entièrement, puis l’encule. Il se retire et le gode est recraché par ce cul accueillant.

On applaudit à tout rompre, et il refont l’exercice en inversant les rôles.

On approche du final. La musique reprend, et ils dansent à nouveau en se tripotant la bite et se bouffant la poire. Ils se séparent, se branlent chacun pour soi, et déchargent sur l’autre.

6 – Lutte.

Il s’agit d’un combat entre deux grands gaillards, musclés, certainement d’anciens professionnels reconvertis. Ils sont vêtus d’un simple slip, de couleur différente pour mieux les distinguer, et mettre leurs corps d’athlètes en valeur. Les règles de la rencontre nous sont annoncées: cela va se jouer en deux manches, dont la victoire se fait lorsque l’un des deux parvient à enlever la petite culotte de l’autre.

Le match est bien entendu truqué, ils en connaissent l’issue, mais nous proposent une lutte très réaliste, toute en force mais sans brutalité. C’est un corps à corps permanent, où ils prennent des positions super érotiques, suggestives, qui mettent le public en émoi. A la fin du match, il y a deux possibilités:

— Un des deux a gagné les deux manches, et son adversaire doit se soumettre à lui. Il se fait alors enculer, casser le cul, une sodomie profonde, virile, qui se terminent par une éjaculation faciale et nettoyage de queue.

— Ils font match nul, et vont se récompenser mutuellement. Ils se font alors un 69 très chaud, gourmand, goulu, vorace, au cours duquel ils se dévorent la bite, les couilles, le cul, comme des affamés. Ils concluent en se masturbant chacun son tour, pour balancer leur purée dans la bouche de l’autre.

Ce sont là mes numéros favoris, mais si le spectacle est sur scène, il est aussi dans la salle. Certains clients n’hésitent pas à exhiber leur queue, pour se masturber en solitaire, se faire branler par un autre, ou encore se faire sucer. Il y en a même qui se lèvent et vont au fond de la salle, pour pouvoir s’enculer sans masquer la vue de la scène aux autres.

Voici ce que nous propose ce club très privé, presque secret, et que j’ai eu la chance de découvrir.

  









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