Titou, tu me donnes un bonbon, Titou, tu maides à jouer à la poupée, Titou, joue avec moi, Titou tu mapprends à jouer aux billes ? Titou, tu portes mon cartable ? Titou apprend moi à faire du vélo.
Depuis quelle est née, Titou est là, il a grandi en donnant à sa petite sur tout ce quelle voulait, elle en a profité, il a quatre ans de plus quelle et il a toujours adoré sa petite sur.
Cela à débuté par les jeux et les devoirs que Tristan faisait avec sa sur et à continué par :
Titou cest quoi se masturber ? A 14 ans elle en avait dix et expliquer cela à une fillette nest pas vraiment facile, il est arrivé à lui faire comprendre, que ça il ne pouvait pas lui montrer.
Quand elle a eu 14 ans il a fallut lui apprendre à embrasser les garçons, cela nest pas des plus facile pour un frère aîné.
Comme pour la masturbation il a expliqué comme il pouvait, ensuite elle se débrouillait très bien seule et ils se masturbaient souvent ensemble, il lui a même montré en lembrassant sur la bouche, ça il pouvait le faire.
Aujourdhui Margotte a 16 ans, Tristan en a 20, il est à la fac il prépare une licence de droit, il veut être avocat.
Margotte passe son bac quelle réussit, ils ont fêté ça en famille mais ce soir cest son anniversaire, elle va avoir 17 ans, Tristan doit venir, elle est impatiente, il y a un mois quelle ne la pas vu.
Elle voit arriver la voiture, il se gare dans la cour, elle se précipite pour lui sauter au cou mais est freinée dans son élan.
Une magnifique jeune fille blonde, qui ne doit pas avoir plus de 18 ans sort de la voiture de Tristan.
Qui est cette intruse, qui prend la main de Titou et qui lui sourit Béate ? Margotte est jalouse.
— Bonjour Margotte, tu ne viens pas membrasser ? Je te présente mon amie Carole !
— Bonjour Tristan, bonjour mademoiselle !
Margotte na pas embrassé son frère et fait immédiatement volte face, pour sengouffrer dans la maison.
Tristan présente Carole à ses parents mais ne voit pas sa sur, il demande où elle est, on lui répond quelle est montée dans sa chambre en courant.
Il sexcuse et monte voir sa sur, frappe à la porte et entre, elle est sur le lit, en pleur.
— Margotte pourquoi tu pleures ma chérie ?
— Tu ne maimes pas !
— Bien sur je taime, pourquoi dis-tu cela ?
— Si tu maimais, tu ne viendrais pas ici avec une fille !
— Mais enfin Margotte, cest ma copine !
Margotte en pleur se jette au cou de son frère et se plaque contre lui, sa petite poitrine contre son torse, une jambe passée entre celles de son frère.
— Cest moi ta copine, tu nas pas le droit den avoir une autre, je tattendais seul aujourdhui, je voulais que tu me fasses lamour pour mes dix sept ans et devenir ta copine, ta chérie !
— Mais ce nest pas possible Margotte, tu es ma sur, je ne peux pas te faire lamour ma chérie !
— Si tu peux, tu dois maimer, me faire lamour, je ne veux être qua toi!
— Ce nest pas possible Margotte !
— Tu ne maimes pas cest ça, tu me trouve laide !
— Pas du tout, tu es très belle et je taime fort, très fort mais pas pour te faire lamour pour taimer comme ma sur !
Margotte cherche la bouche de Tristan mais celui ci la repousse délicatement.
— Non Margotte, on ne peut pas faire ça !
— Une fois, embrasse-moi une seule fois mon amour et je ne demanderais plus rien, comme tu mas embrassé pour mapprendre !
— Une seule fois alors, promis ?
— Oui mon amour !
Tristan prend sa sur dans les bras et prend sa bouche, la langue de la jeune fille vient à la rencontre de la sienne, il sent sur sa bouche le goût des larmes, qui coulent encore de ses jolis yeux.
Le baiser dure longtemps, beaucoup trop longtemps pour quun et lautre ait envi dy mettre fin, la main de Tristan est sous la jupe de sa sur pétrit les fesses menues, lautre main caresse le dos.
Elle ne le lâche pas, sa main caresse la verge de son frère au travers du pantalon, ouvre la fermeture et passe sous le tissu, comme la main de Tristan qui est sur sa jeune vulve et la caresse, elle masturbe le pieu bandé.
La culotte glisse le long de ses jambes, il vient de la pousser sur le lit, elle écarte les jambes, la bouche vient sur sa jeune vulve, ouvre le fruit odorant de la langue, elle cherche à donner du plaisir, à recueillir le jus qui en sort, caresse la jeune fente, va lécher lanus et remonte sur le clitoris.
La jeune fille gémit, le plaisir est intense, elle sait quil va lui faire lamour, quil laime, que lui aussi attendait ce moment depuis toujours.
Elle veut lui rendre le plaisir quil lui donne, le pantalon glisse le long des jambes musclées, elle découvre la virilité dressée, la caresse du bout des doigts, la prend à pleine main, approche sa jeune bouche inexpérimentée, passe sa langue sur le gland rose, grossi par le désir, il est dans sa bouche, le goût est agréable, elle fait des vas et vient, aspire la verge en entier, elle va au fond de sa gorge.
Tristan continu à lécher, à titiller la vulve de la langue, il la veut, le moment est venu de senfoncer en elle, il remonte sa bouche sur les jeunes seins à peine marqués, les deux aréoles sont minuscules, deux tous petits tétons fleurissent sur la poitrine, dressent avec fierté, demandant la caresse de la langue et des doigts.
— Tu vas avoir un peu mal ma chérie !
— Non, aime-moi, je taime mon amour !
Il a dirigé le pieu de chair vers le petit fruit gorgé de mouille, il senfonce en elle, attend, quand il sent la résistance de lhymen, lui prend la bouche et pousse sa verge au fond du petit vagin étroit.
Un petit gémissement, quand il la déflorée, elle ne bouge pas, il est en elle, sent palpiter la gaine autour de son membre distendu, il donne de petits coups de reins, ressort doucement pour mieux se renfoncer dans cette vulve juteuse.
Elle gémit sous lui, son bassin vient au devant du pieu qui lui donne ce plaisir inouï quelle attendait tant, il vient de la défloré et juste un picotement au passage de sa verge quand il la déflorée est venue perturber son plaisir.
Elle jouit sans discontinuer, se mort la lèvre pour ne pas hurler son bonheur, il lui semble que la verge grossit encore, les longs jets de semence viennent frapper sa matrice, lui emplissent le vagin du jus de Tristan, un instant, elle a perdue la notion du temps, cest si bon si brûlant, si fort, quelle le mord à lépaule quand dans un dernier élan il vient percuter son utérus, bien au fond de son ventre.
Ils sont épuisés, un contre lautre sur le lit, en sueur, le sperme coule de sa vulve.
— Merde jai joui en toi !
— Ce nest pas grave mon amour, comme jai des règles très douloureuses et irrégulières, je prends la pilule depuis six mois, cest meilleur que la masturbation mon amour, pourtant, tu as été un bon prof pour ça aussi !
— Tu te souviens, tu tenais à me montrer comment tu faisais, ton impudeur était jouissive, tu quittais ta culotte, écartais tes jambes, assise à même le sol devant moi et caressais ta petite minette avec les doigts !
— Oui je me souviens aussi, que tu ne te privais pas pour sortir ta petite chose et te donner aussi du plaisir devant moi, elle a bien changé ta chose, je ne pensais pas quun sexe dhomme soit si gros !
— Il nest pas gros ma chérie, il est normal !
— Je ne sais pas je nen ai jamais vu dautre, tu repars ce soir ?
— Non, je reste quelques jours !
— Tu viendras ce soir ?
— Je ne pourrais pas, je serais avec Carole ?
— Tu las dépucelé, elle aussi ?
— Oui, tu es bien curieuse ?
— Tu me prendrais avec vous, jaimerais bien essayer avec une fille, jen ai envie depuis longtemps !
— Je ne sais pas si elle voudrait, moi jaimerais bien vous avoir toutes les deux avec moi !
— Laisse moi faire alors, elle ne dira pas non, tu verras, jai mon idée !
— Il faut quon aille rejoindre les autres en bas, ils doivent se demander ce quon fabrique !
— Ils savent que quand on est tous les deux il ne faut pas venir nous déranger, en plus jai fermé la porte à clef, on est tranquille, sils viennent on aura le temps de shabiller, tu ne veux pas recommencer ?
— Si, jen ai très envi mais il faut rejoindre les autres, Carole est seule et ne connaît personne, elle va men vouloir !
La suite bientôt
Barbebleue