Petite balade en montagne
(ces événements se sont déroulés dans le beau département du Jura.)
Comme tous les ans je vais encore passer les vacances de la Toussaint chez mes grands-parents avec toute la Grande famille.
Je commence à en avoir passé l’âge mais mes parents ne veulent rien changer à la tradition.
La seule chose qui me console, c’est que je vais revoir mes cousins et cousines. Ils sont à peu près du même âge que moi et on s’entend bien. Cousins/cousines-enfin en quelque sorte.
Mais je vais aussi revoir mon cousin Charles, et c’est un vrai pot de colle.
Les retrouvailles se passent comme d’habitude, je retrouve ma chambre habituelle dans cette grande maison. Mes cousines sont déjà là, toujours aussi belles mais je ne suis pas moche non plus.
Le vilain petit canard est là aussi. Petit Pas tant que ça. Il a beau avoir deux ans de moins que moi, mais comme je ne suis pas très grande, il me dépasse presque d’une tête. Mais il a poussé si vite qu’on dirait un échalas.
La première semaine se traîne, il faut dire que du côté des Rousses en dehors des vacances d’hiver avec le ski, hors saison c’est assez calme.
Mais nos grands-parents ont voulu nous faire une surprise. Ils nous ont organisé une randonnée en montagne en sac à dos et dodo sous la tente de quatre jours avec une nuit dans un petit refuge le dernier soir. Et si nous le décidons, peut-être même deux de plus.
Chique Enfin un peu de liberté entre la jeunesse. Deux de mes cousines sont partantes. Le seul hic c’est qu’ils veulent absolument que Charles soit de la partie. Enfin Ça fera une bonne bête de somme.
Nous partons le lundi vers 7h00, les paysages sont magnifiques dans la région et en cette saison c’est assez désertique.
Vers midi, la chaleur commence à réchauffer l’atmosphère et nous nous arrêtons près d’un petit bois rachitique pour casser la croûte.
Je suis en train de boire quelques gorgées d’eau encore fraîche quand Annie s’isole un peu pour une pause pipi.
C’est une belle blonde. Elle est en minishort et teeshirt assez moulants. Elle est assez fine mais sa poitrine orgueilleuse et des fesses bien remplies font ressortir toute sa sensualité.
Elle tourne rapidement la tête de gauche à droite puis rassurée, déboutonne son short et se met accroupie pour uriner.
C’est là que je remarque que Charles qui s’était un peu éloigné lui aussi, doit avoir une vision imprenable sur son anatomie d’où il est.
Annie urine longuement et il n’en perd pas une goutte, c’est le cas de le dire. Sale petit vicieux.
Cette situation incongrue offre un fabuleux spectacle à ce puceau.
Annie se redresse, s’essuie avec un kleenex et remonte son short qui était sous ses genoux quand elle découvre le voyeur. Elle va vers lui, l’injurie copieusement et lui colle une énorme baffe. Il l’avait bien cherché ce petit con.
Comme pénitence, elle lui refile son sac et sa tente à transporter. Il n’ose pas refuser et prend la charge supplémentaire.
La journée avance et la température tombe. Dans ce coin à cette saison, il gèle déjà pratiquement toutes les nuits.
On sest fait surprendre par la nuit avec le changement d’heure qui a eu lieu hier. Nous pressons le pas pour arriver au bivouac situé à côté d’un petit lac quand on s’aperçoit que Charles ne suit plus. On l’appelle mais il ne répond pas. Inquiètes nous rebroussons chemin et entendons ses appels au secours.
Il se débat dans l’eau glacée, les sacs le tirent vers le fond. Julie lui dit de les larguer mais exténué il n’y arrive pas. Courageuse, elle plonge pour l’aider, lui retire sa charge et le ramène sur la rive. On les récupérera demain quand il fera jour.
Il est si fatigué qu’il faut qu’on l’aide pour rejoindre notre bivouac où Annie a monté la seule tente qui nous reste.
Le gros problème, c’est que nous manquons de pas mal de choses. Une seule tente pour quatre et deux sacs de couchage, sans compter les vivres et effets de rechange encore dans le lac.
Julie qui grelotte elle aussi, nous explique que dans ce cas-là, il n’y a qu’une source de chaleur qui peut les réchauffer, la chaleur humaine.
Elle est assez grande et presque athlétique bien qu’un peu trop enveloppée. Elle adore porter des tenues moulantes qui mettent son corps en valeur d’une façon presque provocante.
Elle déclare :
-Il faut le déshabiller aussi, le frictionner et nous serrer dans les duvets.
On a bien essayé de téléphoner pour avoir de l’aide mais nous sommes dans une zone blanche.
Nous relions les deux sacs de couchage qu’il nous reste, Julie retire ses vêtements trempés avec difficulté pendant qu’Annie et moi nous occupons de Charles. Il est vraiment maigre comme un clou mais nous découvrons dans son caleçon une nouille de belle taille recroquevillée par le froid.
Je me glisse dans le couchage en sous-vêtements, Charles et Julie se mettent au milieu complètement nus et Annie entre comme elle peu dans le peu de place qu’il lui reste. Nous sommes serrés comme sardines en boite.
La nuit fût longue et peu confortable mais dans un demi-sommeil avant mon réveil, je sens quelque chose de dur contre mes fesses. Charles dort encore mais la nouille d’hier a changé de consistance.
Comment sa verge a pu prendre une telle ampleur ?
Je me rappelle d’une limace peut-être un peu plus grande que la moyenne mais ce qui se presse dans mon dos me parait un peu disproportionné en érection. Enfin, ce n’est peut-être qu’une impression.
Son corps est chaud, même un peu fiévreux mais au moins notre solution a porté ses fruits.
Nous nous levons les uns après les autres. Julie cache sa nudité avec des affaires qu’on lui prête.
Charles ne la quitte pas des yeux, le petit vicelard.
Quand il sort lui aussi du couchage, je constate que je ne m’étais pas trompée. Son pénis à un pouvoir d’érection peu commun. Il a presque doublé de longueur. Il essaie de cacher sa verge mais ses mains ne peuvent tout couvrir.
Julie et Annie ont les yeux fixés au niveau de son sexe. Julie s’exclame :
-Putain ! Le vilain petit canard s’est transformé en cygne, que dis-je ? En étalon ! Vous avez vu ce que le cousin cachait entre ses jambes, les filles ?
Il ne sait où se mettre. Nous l’habillons comme nous pouvons avec ce que nous avons dans nos sacs.
Nous avons pu récupérer les affaires dans l’eau mais Charles est si grand qu’il a dû remettre ses affaires que nous avons essorées comme on a pu.
Pendant la journée, la chaleur a un peu séché ses affaires mais il faudra attendre d’être au chalet après-demain pour pouvoir bien les sécher ainsi que celles de Julie. Pour les duvets il faudra plusieurs jours avant qu’ils soient de nouveau opérationnels.
La deuxième nuit est enfin là. On pourrait remonter la deuxième tente mais il y a toujours le problème des duvets. Il va falloir employer la même méthode que la nuit dernière.
On constate que les sous-vêtements de Charles sont toujours humides. Annie lui demande de les retirer. Il lui répond :
-Je ne veux pas, je ne vais pas me mettre à poil devant vous !
Vont-elles arriver à leur fin ?
(À suivre)