Je suis un homme de soixante ans, et cela fait plus de quarante ans que je ne pense qu’à la queue, la mienne et celle des autres. Je vais régulièrement dans les sex-shops et leurs salles obscures pour y faire des rencontres faciles, uniquement des hommes, et baiser si affinité.
Lors d’un de mes récents passages j’y ai fat une rencontre inoubliable. Je me branlais en matant trois mecs s’offrir du bon temps dans une salle légèrement éclairée, deux qui se roulaient des pelles et se faisaient sucer par un troisième, lorsque je vois une silhouette passer dans le couloir, puis repasser presque aussitôt. Il y a un homme près de moi, qui se masturbe lui aussi, et je l’interpelle:
— J’ai rêvé, ou c’est une femme qui est passée?
— Non, c’est un trans.
— Tu veux dire un travesti?
— Non, un transsexuel. Je crois qu’il fait la pute et qu’il vient ici pour chercher des clients.
Pute ou pas, je m’en fous, j’ai assez souvent rêvé de me faire un être du troisième genre pour ne pas tenter ma chance. Je referme mon pantalon et vais à sa recherche. Il est adossé au mur, magnifique: la trentaine, de longs cheveux noirs, un rouge à lèvres voyant, un large décolleté sur une grosse poitrine, une mini jupe, de longues jambes et des chaussures à talons hauts. Je lui demande ce qu’il est exactement, et il me confirme ce que l’on m’a dit en précisant qu’il n’a pas changé son sexe et qu’il a gardé sa grosse queue. Je lui dis que j’ai envie de lui, lui demande s’il est libre, mais malheureusement il attend quelqu’un. Je suis trop déçu et il me console en me disant qu’il vient ici toutes les semaines et que ce sera pour une autre fois. Je repars la queue basse pour voir si les trois hommes sont toujours là: ils y sont bien et celui qui les mâtait avec moi les a rejoint pour une baise à quatre. Je sors ma queue et espère rebander.
De temps en temps je sors dans le couloir, le manche à la main, pour voir si la belle créature est toujours là. Il se rend compte de mon manège, et me fait signe d’approcher. Le mec qu’il attendait lui a posé un lapin et il me propose d’aller chez lui, si j’accepte ses conditions. Je me doute de ce qu’il veut:
— On m’a dit que tu étais une pute. Tu veux combien?
— On t’a mal renseigné, mais ça me fait plaisir. Je suis exhibitionniste et j’adore m’afficher en prostituée mais c’est tout. Je ne baise pas pour le pognon mais pour le plaisir.
— C’est quoi alors tes conditions?
Il m’explique que si l’on baise ce sera lui qui décide de tout le scénario et il me fixe les grandes lignes:
1) Il me baise, me considère comme une femelle et moi comme un mâle.
2) S’il est satisfait de moi, et uniquement, je pourrais le baiser à mon tour, le considérer comme je veux.
3) Il me baise à nouveau.
4)Il aime s’offrir aux regards d’autres en baisant, et je devrais accepter de m’exhiber à nos spectateurs.
Tout me convient, c’est ce que je fais souvent dans les sex-shops: je baise, je me fais baiser, à la vue de tous. Je lui dis que je suis ok et on part chez lui.
Une fois arrivé il m’emmène à sa chambre et me fait me mettre à l’aise. Je me déshabille entièrement tandis qu’il garde ses bas, jarretelles, et talons hauts. Je suis bouche bée, les yeux écarquillées devant son anatomie: de gros et superbes seins, un corps imberbe, un ventre plat, de belles hanches, de longues cuisses et jambes, et surtout une bite de rêve que je fixe avec insistance:
— Elle te plait ma queue?
— Oui, elle est trop belle, déjà au repos. Elle fait combien en pleine forme?
Il m’annonce ses mensurations, fier de lui, et je réalise que c’est une des plus grosses mais aussi la plus longue que je n’ai jamais connue. Pour autant elle n’est pas monstrueuse, semble acceptable, et je le rassure quand au fait qu’il pourra me la mettre comme il veut.
Il allume son ordinateur posé sur un bureau, se connecte à internet, et pianote. Il me fait regarder l’écran et je vois qu’il entre en contact avec un correspondant; ils échangent quelques banalités puis décident d’allumer leur Cam.
Il me fait m’agenouiller pour le sucer, et regarder la vidéo qui s’affiche: je vois un cul, un gros cul, un beau cul, avec un objet rouge entre les fesses. L’objet s’allonge, c’est un gode qu’il s’était mis et qu’il expulse, un très long gode de près quarante centimètres. Je vois alors une main qui s’empare d’un large plug et qui le fourre dans le cul. Puis notre contact se retourne et je vois une jolie bite bien raide sur laquelle s’active une main. Un message apparait à l’écran et ils vont dialoguer à intervalles plus ou moins longs pour faire des pauses verbales et se concentrer sur les images:
— Tu en as trouvé une nouvelle? Elle a l’air bonne, c’est une salope elle aussi.
— Oui, une cochonne comme toi.
— Elle a de la chance de sucer ta grosse queue, elle me donne envie.
Je réalise alors que je me montre à un inconnu, avec le risque que mes images circulent sur la toile, mais je m’en fous. J’ai enfin mon trans et je ne veux pas le perdre.
Je suce toujours, me régale de cette longue bite, tandis que l’autre se branle et continue ses échanges. Ils commentent mes talents de suceuse, puis il veux me voir bouffer les couilles de mon amant. Je m’exécute et il en profite pour reluquer la bite dressée à l’air libre et lui dit de voir comment il aimerait la prendre dans le cul. Il se retourne, retire le plug, et se met un autre gode à peine plus court que le premier. Il l’enfonce entièrement, le pousse avec les doigts, le fait disparaitre, et se remet le plug.
Il se retourne à nouveau, se branle sauvagement, puis écrit pour voir mon partenaire éjaculer dans ma bouche et que j’avale tout. J’ai la bouche ouverte, la langue sortie, face à la cam pour que l’autre ne perde rien du spectacle. Mon partenaire se retire puis gicle généreusement sur ma langue. Je reste quelques secondes sans bouger, pour bien me faire voir, puis j’engloutis tout et ouvre la gueule pour montrer qu’il ne reste rien.
Le mec à l’autre bout accélère la cadence de son poignet et il décharge à son tour sur son bureau. Il se baisse et on voit son visage, la bouche au ras du bureau. Il prend une paille, courte et large, il ramasse ses éjaculations pour faire une petite flaque qu’il aspire et avale. Il lèche ensuite le bureau et exhibe sa bouche vide. Il nous quitte sans un mot.
Mon amant semble satisfait de moi, de ma fellation et de m’être offert à la caméra. Je lui demande alors si j’ai droit de le baiser et il m’indique que j’ai mal compris la règle du jeu. Il doit me baiser d’abord et une pipe, même à fonds, ça ne compte pas. Je regarde sa queue encore bien raide, d’autant plus qu’il n’a cessé de se masturber, et je vois qu’il ne plaisante pas. Il prend un tube de lubrifiant dans sa commode et je le suis à la cuisine. Je m’allonge sur la table, sur le dos, je maintiens mes jambes en l’air et je lui offre mon cul comme la dernière des trainées. Il enfile deux gants en plastique très fin et commence un fouillage en bonne règle. Ses doigts pénètrent tout seuls grâce au gel, et je ne sais même pas ce que mon trou se prend: bien plus que deux doigts, quatre, six peut-être huit. Il estime que je suis assez ouvert, même s’il est sûr que j’accepterais un bon fist, mais ne veut pas trop m’élargir pour que je sente bien sa queue, et lui ma paroi. Il retire ses gants, saisi sa bite et me la plante d’un seul coup. Il me lime, me ramone, me défonce à un rythme soutenu et régulier, tel une machine:
— Tu aimes ça salope, une bonne bite dans le cul, il a bien fait de me poser un lapin l’autre connard, tu es encore meilleure que lui. Humm, il est bon ton trou, et tu as l’air de l’aimer ma queue, tu bandes salope.
Il se saisit de mon manche et me branle. Je le supplie d’arrêter, qu’il va me faire jouir et qu’ensuite je ne pourrais pas lui faire l’amour comme j’en ai tant envie. Il me sourit, me dit de ne pas m’inquiéter, que l’on a tout notre temps et qu’il saura me refaire bander. Je le laisse faire et je reçois très vite mon sperme sur mes seins et sur mon ventre. Il continue à me matraquer un bon moment et se décide enfin à se retirer. Il fait le tour de la table et me tire vers lui pour me faire pencher la tête en arrière. Il vient dans ma bouche et me baise la gueule en douceur avec des mouvements profonds mais tendres. Je n’ai plus à maintenir mes jambes, j’ai les mains libres, et je me tripote la queue, essaye de la réveiller.
Il va bientôt jouir, se dégage, et il me fait mettre à quatre pattes sur la table pour le sucer. Il ne me baise plus la bouche, mais me laisse faire:
— Tu es une bonne chienne toi, une des meilleures que j’ai eu. Tu auras bien mérité de me baiser mon chéri, je vais être ta pute comme tu as été la mienne, ta pute gratuite.
Je le pompes de mon mieux et il finis par gicler, m’offrir ma deuxième ration.
C’est maintenant lui, ou elle, je ne sais plus, qui va m’appartenir. J’ai du sperme sur mon corps, veut aller à la salle de bain, mais elle m’en dissuade (finalement j’aime penser que c’est une femme). Elle m’accompagne à la chambre et me promets de bien s’occuper de moi. On se couche l’un contre l’autre et elle me caresse, trempe ses doigts dans ma semence et les suce. Elle me chauffe à blanc cette salope:
— Oh, c’est bon ma chérie, tu es aussi cochonne que tu es belle. Tu sais que j’ai cru que tu étais une vraie femme au sex-shop.
— Merci mon chou, tu n’as pas était trop déçu de ce que j’ai entre les jambes?
— Ne dis pas de bêtises, une femelle avec une queue, c’est à pleurer de bonheur. Tu es ma miss France, ma miss monde, ma miss univers.
— Tu es gentil toi, demande moi ce que tu veux mon chaton, je ne te refuses rien.
— Tu embrasses?
— En principe non, mais je t’ai promis de tout accepter, alors.
— Je ne veux pas t’obliger, si tu ne veux pas tant pis.
— Non, tu peux, et puis tu me donnes envie, elle est belle ta bouche. Tu veux que j’enlève mon rouge?
— Non, surtout pas, tu as l’air trop pute comme ça. Il est comestible je suppose?
Elle confirme et je soude mes lèvres aux siennes. Elle sort sa langue pour me l’offrir à sucer mais me refuse l’entrée de sa bouche. Je pourrais la forcer puisqu’elle est à moi mais je respecte son choix, elle est trop ravissante pour que je la brutalise. Je suce sa langue comme je sucerais une bite, avec le même appétit, et je caresse son corps, ses globes parfaits, son ventre, ses flans, ses hanches, son sexe, son sexe que j’espérais une chatte tellement elle est femelle. Sa queue me ramène à la réalité, sans déception puisque c’est ça que j’aime plus que tout, une belle queue.
Ma bouche quitte la sienne, descend dans son cou, s’attarde sur ses seins, ses tétons, continue sur son ventre jusqu’à son entre cuisses. Je ne suce pas son sexe rasé, mais je l’embrasse amoureusement, le lèche délicatement, comme du temps ou j’aimais les femmes et leur belles vulves. Je suis maintenant entre ses cuisses, et relève ses jambes pour lécher sa raie bien rasée elle aussi. Je titille sa rondelle, taquine son illet, fourre un doigt, la langue, le fouille, l’ouvre:
— Je vais te baiser ma belle, je vais te prendre comme une femme, m’imaginer que ta raie est une fente, ton trou un vagin, ta bite un clito.
Je viens sur elle, ses jambes sur mes épaules, et je lui fais faire une souplesse arrière pour me coller à elle, ma trique renaissante plantée dans son intimité:
— Oh ma chérie, elle est bonne ta chatte, ça fait si longtemps que je n’ais pas tringler une femme, je ne me rappelais pas que c’était aussi bon. Tu mouilles bien ma salope, je te veux, je te veux toute, embrasse moi.
Je pose à nouveau mes lèvres sur les siennes et elle s’abandonne, m’offre la plus chaude pelle de ma vie. Je suis comme un fou, je m’étais promis de la baiser en douceur, et je la matraque de toute mes forces:
— Pute, salope, quand je pense que j’ai abandonné les femmes pour les hommes, quelle connerie, vous êtes cent fois plus chiennes que nous, je vais t’en mettre de la bite dans la chatte, putasse, je vais l’inonder ton huître.
Je l’embroche à fonds la caisse, elle gémis, elle jouis par son trou, elle m’encourage à lui en mettre encore plus. Je tiens la cadence encore un peu puis je jouis, j’éjacule, dans des râles profonds.
Je me retire, m’allonge, effondré, et elle se penche sur moi pour me nettoyer la queue. Elle va à la salle de bain pour se laver, et ça va être à son tour de me baiser à nouveau. Je me dis alors que j’ai peut-être été trop loin, et que je vais charger.
Elle revient, tout sourire, et s’allonge contre moi. On vient de se faire deux bonnes baises et on s’offre une pause câlin avant la dernière ligne droite. On se caresse, on se bécote, on se dit des gentillesses, puis elle décide, ou plutôt il décide de reprendre nos activités lubriques. Je le suce, le fait bander, et il passe un appel. J’entends ce qu’il dit, mais pas son correspondant:
— Salut, tu es chez toi?
— !!!!!!!!!!!!!!!
-Tu es prêt pour un plan?
— !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
— Non, on est deux, je me suis trouvé un salaud comme tu les aimes.
— !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
— Ok, on se met en place.
Il raccroche, m’emmène au salon, puis sur son balcon terrasse. Il habite au dernier étage d’une résidence, à l’angle du bâtiment, et personne n’a vue sur son parterre. Il a une table de jardin, je me penche dessus, et il me fouille le cul, toujours avec un gant, avant de m’enfiler puis de s’emparer d’une paire de jumelle. Son téléphone sonne et il met le haut parleur:
— Tu es toujours aussi belle ma salope, aussi bandante, tu viens me voir quand que je te baise?
— Tu le sais, quand tu veux, si tu m’offres d’abord ta bouche et ton cul.
— Va te faire foutre.
— C’est ce que je viens de faire, je me suis faite enculée par ce salaud, et très bien enculée.
— Salope, ça t’amuse de m’allumer. Passe moi ta pute.
Il me donne le téléphone et redouble d’ardeur pour me limer. Mon inconnu s’adresse à moi:
– Salut enculé, tu aimes les grosses queues on dirait?
— Oui, elle est bonne sa bite.
— Vise la mienne, et dis moi ce que tu en penses.
Mon chéri me passe les jumelles et m’indique où regarder. Il y a un grand immeuble au loin, on ne peut rien distinguer à l’il nu, mais équipé de cet appareil puissant je distingue parfaitement une superbe colonne fièrement érigée. Je redonne ses jumelles à mon partenaire et la discussion reprend:
— Alors, elle te plait. Elle plus belle que celle de ta femelle, non?
— Pas sûr, et puis elle est virtuelle, alors que celle de mon homme est bien réelle.
— Quel homme? Tu te fais mettre par une gonzesse, mais si tu veux un vrai homme je suis à ta disposition.
— Non, merci, j’ai ce qu’il faut. C’est un vrai mâle qui m’encule et si tu avait sa trique dans le cul tu penserais autrement. Il me baise comme un dieu mon étalon, et tu devrait l’essayer, ça te ferait du bien.
— C’est elle qui te souffle ces mots? Viens me voir quand tu auras finis de te faire mettre, et je vais casser ton putain de cul, je vais te baiser mieux qu’un dieu, je vais te baiser comme un diable.
— Non, merci, j’ai ma dose pour aujourd’hui, aucun homme ne m’a jamais aussi bien aimé.
— C’est parce que tu ne me connais pas. Demande mon numéro à ta copine, et appelle moi quand tu auras envie de ma queue. Je vais te matraquer le cul, le faire pleurer de bonheur au point que tu vas en redemander. Et ensuite je te ferais monter par mes chiens. Qu’est ce que tu en penses?
Je reste sans mots, et il enchaine:
— Tu ne dis pas non, salaud, tu es un bon enculé comme je les aime. Bon maintenant on arrête de discuter, je veux t’entendre gémir, grogner, jouir, voir si elle te fait autant de bien que tu le dis cette pétasse.
Je gémis, je grogne, comme il le demande, mais surtout j’encourage, je félicite mon bienfaiteur avec des mots au masculin (mon homme, mon mec, mon amant, le meilleur, mon salaud, mon queutard….) juste pour emmerder cet inconnu et venger mon partenaire chéri. Je m’en prends plein le cul, puis je me retourne bouche ouverte pour recevoir de chaudes giclées de foutre bien crémeux. Le téléphone repart:
— Tu es un bon toi, regardes moi bien et ouvres grand ta gueule, ça va être ma tournée.
Je mâte sa queue avec les jumelles et il mâte ma bouche offerte. Il est au ras de la fenêtre, il se branle comme un sauvage, et je vois de longues éjaculations bien épaisses s’écraser sur la vitre. J’agite ma langue et je lèche dans le vide, comme pour dévorer son foutre appétissant. Il a fini de jouir, et le téléphone reprend une dernière fois:
— Salaud, je te veux, tu vas être notre vide couilles à moi et à mes chiens. Appelle moi enculé, appelle moi, je sais que tu en as envie. Bon et maintenant passe moi Alex.
Je découvre alors le prénom ambigu et logique de mon hôte, mais je découvre surtout en les entendant discuter que leurs agressions verbales n’étaient qu’une mise en scène pour mieux s’amuser, et qu’ils sont très complices; ça me rassure pour ma chérie que j’adore. Elle me remercie pour l’avoir défendue, puis je la quitte avec la promesse de se revoir au sex-shop et de se refaire une séance.
Je rentre chez moi, super excité, je me fous à poil et me sers un apéro. Je sirote mon verre, le manche à la main.
J’ai un papier sur la table, un papier avec le numéro de téléphone de mon inconnu.
A suivre…
