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Travaux agricoles – Chapitre 10

Travaux agricoles - Chapitre 10



Nous revenons Fabienne et moi de labourer. Aujourdhui nous navons pas battu notre record dendurance. Avant de terminer le champ, javais supplié Fabienne de stopper le tracteur.

— Aah ! Pour une fois je tai eu ! a-t-elle triomphé.

Je lai prise aux hanches pour une chevauchée échevelée sur ma queue. Elle na pas résisté longtemps ni moi. Nous avons mis deux bonnes minutes avant de pouvoir repartir sans se désunir.

Arrivés dans la remise, ma verge a repris sa forme. Je veux refaire lamour avant de descendre. Fabienne nest pas de cet avis.

— Non, mon chéri, allons dans notre chambre. Cest plus confortable.

Bien que je ne laide pas, elle parvient à se soulever assez pour que ma queue sorte de son logement. Sa jupe retombe sur ses cuisses. En grommelant je la suis.

— Allons mon chéri, ne fais pas la tête.

— Alors permets-moi de tenculer pour la peine.

— Si ça peut te faire plaisir

Alléché, je la suis. Je ne me réajuste pas : inutile puisque je vais me déshabiller tout de suite. Arrivé à la maison nous sommes accueillis par des cris, des hurlements. Que se passe-t-il ? Nous nous précipitons vers la chambre de Francis doù parviennent les voix. Le spectacle nous cloue sur le seuil : André et Annie, nus enlacés sur le lit, Anémone, leur mère, qui essaye de les séparer et nos enfants, nus également qui tente de len empêcher. Tout ce monde piaille à qui mieux mieux !

— Quest-ce qui se passe ?

Assourdis par leurs cris, ils ne mentendent pas. Je mavance suivi de Fabienne.

— VOS GUEULES LÀ DEDANS !

Ce coup-ci ils perçoivent ma voix de stentor ! Silence soudain. Nos enfants sécartent. Anémone hésite entre séparer les jumeaux ou nous faire face. Elle choisit de nous affronter. Le frère et la sur libérés reprennent létreinte interrompue.

— Espèces de parents dégénérés ! Ah elle est belle léducation que vous donnez à vos enfants ! Et comme si cela ne suffisait pas vous entraînez de pauvres innocents dans vos débauches ! De quelles punitions les avez-vous menacés pour parvenir à vos fins !

Plaff ! Fabienne qui sénervait au fur et à mesure de la tirade assène une maitresse gifle. Anémone interloquée se fige sous leffet de la surprise. Se reprenant, elle déverse sa colère sur ma femme.

— Tu ne sais pas ce dont une mère est capable pour défendre ses enfants, une vraie louve en colère, espèce de grosse truie !

Elle se précipite ongles en avant. Je la ceinture et la soulève du sol.

— Grosse truie toi-même ! fulmine Fabienne. Ça veut jouer les louves, mais ça se gardait bien dintervenir quand ses enfants en avaient besoin ! Elle disait rien la louve quand son mari baisait et enculait ses petits !

— Comment tu oses ! Insulter un mort ! Quelle honte ! Jamais il ne leur a fait du mal !

— Tu es encore plus bête que je ne le croyais si tu ne ten étais pas aperçu !

Pendant ce temps les jumeaux terminent létreinte que leur mère avait interrompue. Anémone gesticule en pédalant mais je la tiens bien.

— Voulez-vous me lâcher !

— Pas question ! lance Fabienne. Ah tu voulais dicter ta volonté ! Tu croyais pouvoir nous insulter, insulter nos enfants en toute impunité ? Mauvais calcul ma vieille ! Tu vas voir comment une louve, une vraie, défend ses petits ôtez-vous de là vous autres !

Annie et André sempressent de descendre du lit. Jy dépose mon fardeau sans le lâcher.

— Ah ! Elle va voir de quel bois je me chauffe ! Déshabillez-moi cette grosse dondon !

Francis et Florence viennent à la rescousse. Nous parvenons non sans mal à ôter la jupe et la culotte qui souffrent des gesticulations de leur propriétaire. Je maintiens les jambes tandis que mes enfants entravent les bras.

— Ça cest un beau cul ! sexclame Fabienne. Tu vas voir ce que je fais à un cul pareil !

Vlan !

— Aouh ! Aouh ! Aïe !

Je calme ma femme déchainée.

— Ça suffit chérie, nous ne sommes pas des sadiques.

— Bon ça va, jarrête.

Fabienne caresse les rondeurs cramoisies. Anémone renifle mais ne tente pas de séchapper. Apprécierait-elle ? Les jumeaux serrés lun contre lautre contemplent la scène sans oser intervenir.

— Regardez comme elles sont jolies ces fesses, le rose leur va bien. Nest-ce pas quelles ont bonne mine ? ricane ma femme.

Sa main ségare dans la raie. Anémone soupire. Jai limpression que ses jambes veulent sécarter Oui !

— Oh ! Mais cest quelle mouille ! La grosse truie a envie de baiser !

— Meuh non !

— Mais si, mais si ! Mon François va se faire un plaisir de te satisfaire !

Ça alors ! Si je mattendais Fabienne qui moffre ce cul somptueux ! Cest vrai que le spectacle est excitant comme latteste ma verge qui pointe devant la salopette ouverte.

— André et Annie, au lieu de rester planté venez nous aider ! Votre mère a besoin de vous !

— Nooon ! Pas ça !

— Mais si, mais si ! Prenez chacun une jambe oui Vas-y chéri, pine-la ! Montre ce que cest quun vrai homme !

— Je ne veux pas

— Ne fais pas lidiote ! Tu sais bien que tu en redemanderas !

— Non ! Je veux pas je veux pas

Jhésite. Forcer une femme contre son gré, nest pas dans mes habitudes.

— Quest-ce que tu attends chéri ?

— Euh

— Naie aucun scrupule, elle nespère que ça, fais-moi confiance.

Puisquelle le dit Jôte ma salopette et grimpe sur le lit entre les jambes écartées. Je frotte du gland la vulve exposée.

— Je veux paaas ! Aaah ! Je veux paaas !

Ce ne sont pas des gémissements de révolte ça. Fabienne a raison. Je plante le dard.

— Han !

— Aaah ! Je veux paaas ! Je veux paaas ! je veux paaas !

Les dénégations dAnémone qui nen sont pas ponctuent mes coups de rein. Quest-ce quelle mouille ! Ma queue clapote dans un vagin dégoulinant ! Francis et Florence sécartent. Les bras libérés agrippent le coussin.

— Je veux paaas ! Je veux paaas ! je veux paaas !

Annie et André, subjugués par le délire de leur mère caressent les cuisses. Mes poils du pubis sont trempés. Le couvre lit aura besoin dêtre lavé !

— Je veux paaas ! Je veux paaas ! je veux paaaaaas ! Mmmmh !

Son orgasme déclenche le mien.

— Aarrgghh !

Encore trois coup de rein et je me retire.

— Francis ! A ton tour ! ordonne Fabienne.

Mon fils me remplace entre les cuisses. Mais Oh Ce nest pas le vagin quil vise de sa queue raide. Le petit coquin ! Il veut lenculer ! Comment va-t-elle réagir ? Ma foi, elle ne rouspète pas et le laisse faire. Apprécierait-elle ou ma précédente intervention a annihilé ses défenses ? Non, je crois quelle apprécie !

— Ouiii ! Aaah Ouiii !

— Qui aurait-dit quelle aimait la sodomie, dis-je à Fabienne.

— Pas étonnant avec son mari. Il était connu comme un enculeur de première.

— Ah bon ? Comment le sais-tu ? Je nai jamais entendu parler.

— Oh toi ! Si on ne te mets pas le nez dans le caca tu ne sens rien ! Il perforait tous les culs du voisinage si tu veux savoir.

— Même le tien ?

— Il a essayé mais je lai menacé de tout te révéler. Il na pas insisté car il avait peur de toi. Les autres femmes ne le repoussaient pas.

— Comment se fait-il que cela ne sest pas ébruité ?

— Oh ! Elles nallaient pas sen vanter.

Cest vrai, je me souviens, il y avait des regards, des gestes osés en public Sacré Albert ! Bah ! Cest de lhistoire ancienne et cela ne me concerne pas. Les gémissements et borborygmes samplifient. Francis maintient Anémone par les hanches et la pilonne de bon cur. Les jumeaux contemplent leur mère étonnés de la voir jouir comme une bête.

— Aaaah ! Ouiii ! Encore ! Meuh ! Ouiii !

Francis seffondre. Fabienne le fait descendre du lit. Anémone soupire toujours écartelée.

— A-t-on tour André, montre à ta mère que tu laimes autant que ta sur.

— Tu tu

— Mais oui, tu en meurs denvie.

— Euh Tu tu crois quelle voudra ?

— Jen suis sûre !

Le garçon se couche à coté dAnémone. Annie les rejoint sur le lit.

— Tu veux bien Maman ?

Fabienne nous prend Francis et moi par la main.

— Venez, laissons les se découvrir, viens toi aussi Florence.

Nous sortons de la pièce. Sur le seuil je me retourne. Anémone sest retournée et serre ses enfants contre elle.

— Mes chéris

Pas de problème cest gagné. Je referme doucement.

— Vous pouvez être fier de vous hein ! attaque Fabienne dans le couloir.

— Hé ! Ne renverse pas les rôles. Qui nous a demandé de la baiser ? Jai dailleurs été étonné de ta générosité.

— Nallez pas imaginer parce que je vous ai poussés dans les bras dAnémone, que je vous autorise à tremper votre quéquette où bon vous semble. Florence, Annie et moi-même doivent vous suffire !

Hochement de tête approbateur de ma fille !

— Et Anémone ? se plaint Francis euh Exceptionnellement, sempresse-t-il dajouter devant le froncement de sourcil.

Ma femme et Florence se consultent du regard.

— Exceptionnellement, on te laccorde.

À mon tour dêtre déçu.

— Euh et moi ?

— Daccord, on VOUS laccorde.

Jenlace Fabienne. Un clin dil à mon fils :

— Cette mansuétude mérite récompense nest-ce pas Francis ?

Il sourit et embrasse sa sur. Jentraîne ma femme dans notre chambre laissant les enfants se débrouiller tous seuls.

— Si nous reprenions la conversation que les événements avec Anémone ont interrompu ?

Fabienne me regarde étonnée.

— Je vois pas

— Tu mavais fait une proposition alléchante.

— Quelle proposition ?

— Tu avais accepté dans le cul.

— Ah ça ? Tu y tiens ?

— Sil te plait ma chérie

— Pourquoi tu ne tes pas défoulé sur Anémone ? Tu lui aurais fait plaisir à elle

— Parce que toi Bon, je taime trop pour te faire de la peine, nen parlons plus.

Elle se jette à mon cou.

— Tu es un amour mon chéri.

La jupe tombe au sol. Je transporte Fabienne sur le lit. Elle guide elle-même la queue en bonne position. Aurait-elle peur que je me trompe dorifice ? Je nen ai pas lintention. Florence, Annie et maintenant Anémone sont là pour satisfaire mes envies de sodomie

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