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Travaux agricoles – Chapitre 4

Travaux agricoles - Chapitre 4



Samedi soir. Fabienne ma convaincu de la nécessité dune mise au point avec les enfants. Après le repas, nous passons au salon. Je mets une musique dambiance et viens minstaller à coté de ma femme qui membrasse dans le cou.

— Merci ma chérie.

— Je crois, déclare Francis à Florence, que nous sommes de trop dans cette pièce. Viens on va les laisser en paix.

— Non, non, restez, votre père a quelque chose à vous dire.

Le frère et la sur sassoient sur lautre canapé, lun contre lautre comme deux amoureux, puis, un peu gêné sécartent.

— Voilà Hum Jai récemment appris euh comment pourrai-je le formuler disons que, il semblerait que vous vous comportiez plus en amants quen frère et sur et

— Et alors ? déclare ma fille sur la défensive.

Par bravade elle se rapproche de Francis et passe une main sur ses épaules.

— On la jamais caché, poursuit-elle. Cest pas notre faute si tu voyais rien. Maman na rien dit, elle.

— Je ne vous reproche rien. Ce qui est fait est fait.

— Tu aurais lintention de nous en empêcher ? menace Francis qui se lève à demi du siège.

— Laisse-moi finir je te prie. Je disais que jai appris vos coucheries et presque en même temps que votre mère a succombé aux avances de son fils.

— Tu as quelque chose à dire Papa ! sinsurge Florence.

Je souris à sa véhémence.

— Oui ! Jai à dire que moi aussi jai goûté à tes charmes ma chérie.

Cest au tour de Francis de réagir !

— Comment ? Tu as baisé avec Papa ? Cest dégueulasse !

— Et alors ? Tu le fais bien avec Maman !

— Cest pas pareil.

— Et pourquoi donc ?

— Tst ! Tst ! Tst ! Calmez-vous les enfants ! Nous en avons discuté votre mère et moi et sommes convenu que ni lun ni lautre ne souhaitions cesser ces relations que le commun des mortels qualifient dincestueuses, et je subodore quil en est de même pour vous.

— Ben dis donc Papa, où tas appris à parler comme ça ? se moque Florence.

— Ton père était le meilleur en Français au lycée agricole, explique Fabienne.

— En clair ça veux dire quoi ?

Je reconnais là le sens pratique de mon fils.

— Ben maintenant que je suis au courant, comptes-tu toujours baiser ta mère et ta sur ?

— Euh

— Nous dirons que ta réponse est affirmative. Et toi Florence, veux-tu cesser toutes relations sexuelles avec ton frère ou moi ?

— Non, Papa.

— Vous voyez, nous sommes tous daccord pour continuer.

— Tu ne mas pas demandé mon avis chéri, intervient Fabienne.

— Pardon, mais comme nous en avions discutés auparavant

— Je tiens à le proclamer à mes enfants, moi non plus je ne veux euh je veux que rien ne change entre nous mes chéris.

« Mes chéris » ? Quest-ce à dire ? Bah ! On verra plus tard.

— Vous voyez, il ny a pas de raison de sinterdire ce qui nous fait plaisir. Par contre je souhaiterais apprendre comment vous avez commencé entre vous, qui en a eu lidée. Cest toi Francis ?

— Euh non.

— Alors toi Florence ?

— Euh Cest Annie qui men a parlé

— Annie ? Parce quelle avec son frère ?

— Ou-oui

Je me tourne vers Fabienne.

— Tu savais ça ma chérie ?

— Non, je navais jamais posée la question.

— Ainsi dapprendre que les deux jumeaux faisaient lamour entre eux vous a donné lidée ?

— Ou-oui Papa.

— Ma foi, cest peut-être mieux ainsi. Dorénavant, entre nous il sera inutile de se cacher, par contre je vous demande la plus grande discrétion vis-à-vis de lextérieur. Les gens ne comprendraient pas.

Le frère et la sur se regardent en souriant. Ce que je leur propose leur va à merveille.

— Dis Papa, on pourra quand même recevoir Annie et André ? sinquiète Francis.

— Ah ! Parce que vous euh vous amusez ensemble ?

— Euh Oui.

Jen apprends de belles ! Des parties carrées entre les jeunes ! Ces gosses ! Quelle imagination !

— Bah ! Du moment que cela ne sébruite pas. Vous êtes sûr quils sont discrets?

— Ils ont autant à perdre que nous, affirme Francis. On a confiance en eux.

— Dans ces conditions, il me semble que nous pourrons les incorporer au cercle familial.

— Les incorporer ? Cela veut dire agir avec eux comme avec nos enfants ? me murmure Fabienne.

— Ne mas-tu pas dit que tu trouvais André intéressant ? lui dis-je sur le même ton.

— Cest bien ce que javais compris que tu voulais dire. Tu nas pas honte ?

Je poursuis à haute voix.

— Vous pouvez les inviter quand il vous plaira les enfants. Je compte sur vous pour leur réclamer la plus grande prudence.

— Tu peux nous faire confiance Papa, affirme mon fils très sûr de lui.

— Bon, une bonne chose de faite cette mise au point. Il faut fêter ça. Florence ma puce, peux-tu sortir quatre flutes de champagne et toi Francis, va chercher la bouteille qui refroidit au réfrigérateur. Tu la mettras dans un seau à glace.

Les deux jeunes se lèvent. Fabienne mapostrophe.

— Toi, je te retiens !

— Tu nes pas satisfaite de la manière dont les enfants acceptent la situation?

— Je ne parle pas de ça. Quest-ce qui ta pris de me mettre André dans les pattes ? Pour te donner lexcuse de fricoter avec Annie ?

— Avoue quil ne test pas indifférent.

— Oh ce culot !

— Blague à part, si les jeunes sont aussi intimes que je le suppose, il nous aurait été difficile de garder le secret. Il est préférable de le partager avec eux.

Francis dépose le seau à glace. Je débouche la bouteille et remplis les verres.

— A notre santé et à nos amours !

— A la notre !

Francis repose sa flute.

— Je crois que nous allons vous laisser terminer la bouteille. Tu viens Florence ?

— Mais non, vous nallez pas partir comme ça, la soirée nest pas terminée, intervient Fabienne. Dis mon chou, tu nas rien à solliciter de ta fille ?

— Euh

— Viens ici Florence, ton père veut te demander quelque chose

Je lui avais fais part de mon fantasme de me faire sucer par mon enfant. Je nimaginais pas que ma femme allait me le proposer dès ce soir. Ma fille sapproche curieuse. Voyant que je ne bouge pas Fabienne me houspille.

— Alors chéri quest-ce que tu attends ?

Jhésite.

— Si tu étais gentille

— Oui Papa ?

Je me décide à ouvrir ma braguette et extraire un sexe encore mou.

— Euh Tu me sucerais.

Interloquée Florence regarde alternativement la hampe qui se développe et sa mère.

— Fais ce que dit ton père ma chérie.

— Je jai jamais fait.

— Je te montre, Francis viens ici ! Assieds-toi à coté de ton père ! Ôtez votre pantalon ! Tous les deux !

— A condition que vous vous déshabilliez aussi.

— Daccord François, tout le monde à poil !

Cest à qui sera nu le premier. Francis gagne haut la main, puis moi et Florence. Fabienne termine la dernière. Il faut dire quelle a pris la précaution de ranger ses vêtements sur une chaise.

— Quest-ce que cest ce foutoir ! Rangez-moi vite vos affaires ! rouspète-t-elle Mieux que ça ! Francis ! Veux-tu plier correctement ton pantalon !

Nous nous regardons les yeux brillants un peu gênés. Cest la première fois que nous nous exposons nu en famille. Fabienne prend la direction des opérations.

— Les hommes ! Vous vous asseyez là ! Écartez les genoux !

Elle saccroupit devant Francis. Tout en me regardant avec un large sourire, elle saisit la verge de son fils et la masturbe doucement.

— Fais comme moi ma chérie.

Florence sagenouille à mes pieds.

— Tu commences par caresser la tige pour quelle raidisse

Les doigts touchent ma queue qui réagit immédiatement. Que la masturbation est douce !

— Tu donnes des petits bécots sur le bout

Les deux femmes se penchent sur leur trophée.

— Bien Tu décalottes le gland

— Sssh !

Un même gémissement sourd de nos lèvres à Francis et moi. Fabienne commente sa démonstration.

— Tu donnes des petits coups de langue sur la pointe sur le bouclier du gland sur la tige Tu remontes au sommet Tu arrondis les lèvres et tu enfournes le gland Mmmh !

— Aah ! gémit Francis à mes cotés.

— Jy arrive pas, se plaint Florence.

Sa bouche est trop petite, le bouclier ne passe pas.

— Mais si tu y arrives ! Ouvre grand la bouche Tu vois Attention à tes dents cest fragile un homme Tu fais entrer et sortir plus profond

— Arrgg !

Florence se redresse brutalement :

— Rheu ! Rheu ! Rheu !

— Respire ma chérie, reprends ton calme, va doucement, tu verras comme cest bon de sentir le gland envahir la gorge.

Ma fille recommence. Cest divin ! A chaque pénétration elle enfonce un peu plus ma queue. Cest une bonne élève. Avec un peu de pratique elle sucera aussi bien que ma femme.

— Cest bien Arrête ! (Oh non !) Tu lèches le sexe maintenant comme une sucette (Oh oui !) Redonne des coups de langue Passe une main sous les couilles amuse-toi à les triturer

— Aïe !

— Excuse-moi Papa.

— Pas si fort ma chérie, je te lai dit, cest fragile un homme ! Remets le gland en bouche Enfonce-le Bien profond Masturbe la tige en même temps

Les deux femmes sactivent sur nos sexes. Francis gémit les yeux fermés je devine quil est au bord de lexplosion.

— Fais attention ma chérie, quand tu sens la queue gonfler tu serres à la base pour freiner la montée du sperme Puis quand ça se calme tu recommences, petits baisers, sucette, bouche Mmmh !

Jamais une fellation ne mavait procuré autant de plaisir. Est-ce parce que ma fille la pratique ou plutôt parce que Fabienne la guide, et que nous faisons cela en famille ? Je résiste du mieux que je peux pour profiter au maximum de ces instants privilégiés. Il nen est pas de même pour Francis qui sabandonne avec force gémissements. Sa mère déglutit sans sourciller. Ah ! Si Florence pouvait faire de même

— Sil te plait ma chérie, arrête ! ordonne Fabienne. Je tapprendrai plus tard à avaler.

Ma queue hoquète de désappointement, mais ma femme a raison. Ce ne serait pas une bonne idée pour une première fellation.

— Tu tu avales ça ?

— Oui, ma chérie, au début cest bizarre mais on sy fait très bien. Puis les hommes adorent.

— Cest vrai Papa ?

— Oui ma puce, mais je ne suis pas pressé, nous avons le temps.

— Par contre moi je nai pas le temps. Allez ! Debout les hommes ! Nous prenons votre place. A votre tour de nous procurer du plaisir !

Jextirpe Francis encore à moitié groggy du canapé et linstalle entre les jambes de Fabienne. Moi, je magenouille devant Florence. Jai sous les yeux sa chatte blonde aux poils clairsemés. On devine très bien le sexe rose. A coté la touffe châtain de Fabienne beaucoup plus drue parait anormalement sombre. Je la connais bien cette chatte, je sais comment extraire le clitoris des poils pour satisfaire ma bien aimée. Francis saura-t-il faire ?

Javance et donne un coup de langue dans la fente rose.

— Oh oui Papa !

— Tu lui fais quoi ? sinquiète Francis.

— Tu nas jamais embrassé une fille sur le sexe ?

— Euh Pourquoi faire ?

— Si je comprends bien, toi en dehors de tremper ta quéquette dans un trou tu ne connais rien aux choses de lamour.

Je lève les yeux vers Fabienne.

— Tu ne lui as rien appris dautre ma chérie ?

— Jai essayé, mais il était toujours trop pressé. Daccord il ne fait que pénétrer mais il le fait bien.

— Ben de toute façon on en arrive là, quel est le problème ? sétonne mon fils.

— Oui, mais on peut y parvenir aussi par de jolis chemins de traverse, sourit ma femme.

— Il faut tout lui apprendre à ce garnement.

Florence est plus délurée de ce coté, influence dAnnie ou de son frère André ? Elle écarte les lèvres du sexe avec les doigts et présente le clitoris à mes lèvres.

— Mmmh ! Ouiii Papa !

Francis est vexé.

— Daprès vous je suis un arriéré ! Cest votre faute. En tant que parent vous devez veiller à mon éducation !

— Dans ce domaine lenseignement pratique nest pas de notre ressort si on en croit la moralité publique, précise Fabienne. Mais on veut bien faire une exception. Imite ton père.

Jai posé les cuisses de Florence sur mes épaules et jenfouis la figure dans ses poils. Alternativement jagace le clitoris ou jintroduis un bout de langue dans louverture du vagin.

— Cest dégoutant ce quil fait !

— Pas plus dégoutant que de sucer ta queue, sale gamin ! le houspille sa mère. Allez ! Montre que tu es un homme.

Francis prend à son tour les cuisses sur les épaules. Fabienne écarte les lèvres de son sexe.

— Tu vois ce petit bout ? Tu le prends entre tes lèvres Vas-y ! Nait pas peur, ça ne mord pas Oui Ssh ! Tu ten sors bi Mmh ! bien Oui Continue Passe la langue dessus Bi Bien Lèche autour

Francis a un mouvement de recul.

— Si ! Mais si ! Tu y arrives si tu veux Aah ! Plus bas Écarte les poils avec les doigts Caresse avec la langue Oui Encore plus bas Oui dans le petit trou Si ! Enfonce la pointe de la langue Aaah ! Que cest bon !

Je lencourage.

— Tu fais honneur à tes parents fiston.

Jintroduis un doigt puis deux dans le vagin de Florence.

— Aaah ! Papa-a-a !

Poussant la main plus loin je pénètre une phalange trempée dans lanus.

— Oh Oui !

Jalterne les pénétrations dans les deux orifices tout en suçotant le clitoris. Jai de la peine à maintenir le bassin car Florence se tortille de plaisir sur le canapé. Je ne sais pas ce que Francis fait à sa mère, mais celle-ci ne se plaint pas !

— Oui ! Tu conti continues ! Oui ! Je je pars Ouiiii !

— Mmeuhhh ! gémit Florence en écho.

Nous nous dégageons laissant les femmes pantelantes reprendre leur souffle. Je remarque que Francis a récupéré de la fellation. Sa queue pointe devant son ventre. Une belle queue presque aussi longue que la mienne mais plus fine. Il est temps de conclure. Je mapproche de Fabienne le dard en main.

— Non mon chéri, cest la fête à nos enfants.

Elle attire Francis par la verge.

— Montre à ton père comment tu maimes Ouch ! Du calme mon chou Ouiii ! Aah! Aah ! Aah !

Mon fils pilonne ma femme avec la fougue de la jeunesse. Je me tourne vers ma fille.

— Tu veux bien ma puce ?

En guise de réponse elle mattire violemment en elle. Jai à peine le temps de positionner le gland quune chatte avide lengloutit. Le surplus de cyprine accumulé pendant le cunnilingus coule autour de la verge jusque sur les testicules chatouillés par les gouttes. Nayant pas encore déchargé de la soirée, ma queue est dune raideur extrême. Ne martyrise-t-elle pas Florence ? Il ne semble pas. Elle fait pratiquement tout le travail lançant et retirant le bassin au devant du pieu qui la transperce.

— Papa-aah ! Papa-a-aah ! Paaaah !

Je tente de calmer la cadence, je ne veux pas meffondrer trop tôt. Rien ny fait.

— Papa-a-aah ! Paaapaaa-aah ! Ouiiiii !

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