En ces temps là, Hercule, le héros bien connu, va vers Némée où un lion affamé sévit. Avant darriver à sa destination Hercule veut se reposer un peu, passer un moment avec un mortel normal, dans une famille de monsieur tout le monde, lassé quil est de ne voir que des demis dieux comme lui. A Cléone, il trouve un passant Monorchos, qui linvite à passer la soirée, chez lui. Madame est à la maison, satisfaite de voir un voyageur étranger. Monorchos est bien gentil mais ses façons de faire lamour sont primaires. Hercule semble bien pourvu, bien résistant.
Elle, Calista, veut quavec Monorchos, ils se fassent du bien ensemble. Qui sait, ce visiteur aime aussi les hommes ? Le trio est assis devant la porte, au soleil couchant. Les vêtements dHercule se résument à une simple tunique qui ne cache rien de la nature du héros. La femme, regarde excité le membre encore flasque dHercule. Dun simple regard à son mari, elle comprend quil na rien contre.
— Si je me sacrifie à toi, Ho ! Hercule, tu me donneras quoi ?
— Que veux-tu femme, parles.
— Que te me baise, devant mon mari, que tu lencules aussi devant moi.
— Sil ne veut pas ?
— Te prêter son cul, oui, il aime ça.
Tout en parlant la bite dHercule gonfle doucement. Il bande même carrément. Seul le mari est de marbre. Pourtant au fond de lui même il ne voit aucun inconvénient à se donne lui aussi à cet extra terrestre. Hercule ne refuse pas, Calista est contre lui. Elle passe une main sous la tunique, puis comme pour découvrir ce quelle voit : elle passe sous la tunique, vers la queue qui est bandée. La taille est impressionnante. Calista regrette davoir fait ce marché. Comment recevoir ce gourdin partout. Dans la bouche, en louvrant bien, passe, dans le vagin sans doute, mais dans son petit trou ? Et son mari pourra-t-il se faire enculer sans dommage ?
Elle na pas fini de poser ses questions quand elle sent la main dHercule sur la cuisse. Et cette main monte en caressant. Elle donne encore plus envie à Calista. Monorchos sent lui aussi une main sur sa cuisse. Elle monte bien vite vers ses couilles. Il se laisse faire volontiers : depuis le temps quune main dhomme ne lui a pas rendu une telle visite : il bande comme un âne. Calista regarde les réactions de son homme. Il se lève, se met face à Hercule pour lui montrer sa bite. Il espérait quil serait masturbé par une main fantastique (dit-on) dHercule. Celui qui va aller tuer le lion, est gourmand de cette queue. Il la prend dans ses lèvres. En laspirant il la fait encore bander un peu plus. Le gourdin du demi-dieu remonte sa tunique. On dirait un mat de tente. En remuant un peu la pine sort au grand jour. Le prépuce descendu un peu fait voir une bonne partie de gland violacé. Une petite goutte perle..
Hercule mordille un peu la queue. Il fait descendre le prépuce pour avoir en bouche le gland du mortel. Connaissant les désirs de celui quil suce, Hercule passe une main sur les fesses. Il écarte la raie. Doucement, pour faire languir lhomme il arrive sur le petit trou. Malgré la grosseur relative de ses doigts, Hercule caresse doucement le tour, vient toucher avant dentrer. La bite du peloté est plus que bandée. Elle touche le palais dHercule. Enfin il donne une phalange à cet homme gourmant dHercule, dun mâle.
Il est bien un demi dieu : il fait une fellation au mari, il monte sa main dans la figue de madame. Ses doigts sagitent en cadence, masturbent Calista. Elle ne peut tenir bien longtemps devant la main qui la masturbe. Elle est presque allongée. Hercule veut lui donner encore plus de plaisir, il plante deux doigts plus bas, dans le petit trou. Elle en veut plus. Hercule fait jouir Monorchos. Le sperme part dans la bouche, il en met partout et Hercule à un air extasié. Il aime la semence humaine plus que celle des dieux. Il fait sortir la queue de sa bouche (ça fait comme un floc). Il est près pour la suite avec la mortelle.
Elle vient sur ses genoux, les cuisses écartées en grand. Elle pensait quelle pouvait, elle, baiser. Cest la pine dHercule qui la surprend. Elle pousse un cri de surprise, un cri de douleur et enfin en autre de plaisir. Il pistonne le con sans cesse. Elle sa laisse baiser magistralement. Hercule patiente jusquà lorgasme humain. Puis attiré par lextraordinaire, il relève à peine la mortelle la fait se remettre sur lui : il lencule, malgré des cris de protestation. Si elle refuse au début, il en a besoin : à lOlympe, peu de déesses acceptent la queue dHercule dans leur petit trou.
Et prise par le désir, enfin Calista accepte la bite. Son cul souvre comme il ne la jamais été. Excitée, elle passe deux doigts sur son clitoris.
Ses spasmes coïncident avec ceux violents dHercule.
Il peut aller plus loin à Némée pour chasser le lion : son premier travail !