Je revins à moi quand je sentis que mon corps se déplaçait sans que mes jambes ne bougent. Je ne savais plus où jétais, quelle heure il était et ce que je faisais là. Javais la tête en bas et sentais que mon ventre et mon bassin reposaient sur quelque chose de large et massif. Quand jouvris les yeux, mon regard tomba sur un fessier féminin de large dimension que mouvait des cuisses et des mollets massivement musclés. Je me rendis alors compte quune femme de fort gabarit me portait sur une de ses épaules. Je sentais dailleurs sa large main sur mes fesses nues pour me maintenir en place Mes fesses étaient nues ? Mais pourquoi me trouvais je ainsi porté sur l épaule dune femme ? Je sentais aussi que mes jambes étaient vêtues de…bas ? Quelque chose mentourait la poitrine et je sentais des bretelles sur mes épaules ? Un soutien-gorge ?? Cest là que tout revint à ma mémoire: lauberge, la matrone qui mavait travesti, les sous-vêtements en dentelle, les bas, les fessées, les humiliations publiques, les rugbyman, le géant qui abusa de moi, les cascades de sperme et la serveuse jalouse qui voulait me tuer ! Pris de panique que je sois encore à sa merci, je me redressai rapidement en mappuyant sur l épaule musclée qui me portait. Jentendis alors la voie de la matrone qui me rassura:
Calme toi ma puce, tu es en sécurité. Je tai sauvée juste avant que Germaine ne t étouffe. Quand je suis entrée dans la cuisine, je lai vue de dos entrain de serrer quelque chose contre elle. Tu es si mince que tu étais entièrement cachée pas sa carrure. Je lui ai demandé si tout allait bien et elle ma répondu oui dun ton étrange. Quand jai vu que ta petite culotte traînait par terre et connaissant les antécédents violents de cette fille, jai tout de suite eu peur pour toi. Si elle avait décidé den finir avec toi, tu nétais pas de taille à lutter. Je me suis donc précipité vers elle. Quand elle vit quelle était démasquée, elle te saisit à bras le corps et te lança sur moi avant de fuir. Jai pu rattraper ton petit corps inanimé de justesse avant que tu ne técrases contre le mur. Elle y avait mis tellement de force que tout tes os auraient pu se briser. Je tai ensuite chargée délicatement sur mon épaule et je temmenais dans une chambre pour te soigner.
Je fus rassuré. La matrone me fit glisser vers lavant pour que mes fesses reposent sur son puissant avant bras et quelle puisse me voir. Elle marchait comme si je ne pesais rien. Je nous vis dans un miroir du long couloir. La différence de taille était énorme. Mes jambes maigres paraissaient minuscules contre ses biceps. Je ne parle même pas de mes bras ! Ils avaient lair 10 fois plus petits ! Ma taille était si fine quelle était plus petite quune des cuisses de mon héroïne. Je me sentais si petit et si faible, vêtu seulement de lingerie féminine en fine dentelle, sans culotte même, dans les bras de cette géante. Je mis ma tête contre son épaule puissante et me laissai bercer le long du trajet. Elle mis sa main libre dans le dos pour me caresser.
Nous arrivâmes dans la chambre où elle me posa délicatement sur un immense lit king size. De ses gros doigts, elle retira mes bas, dégrafa mon soutien-gorge et me laissa juste la perruque.
Tu as besoin dune bonne douche. Marcel ne ta pas loupé ! Ce nest pas la première fois quil me recouvre une serveuse de sperme. Il les choisit toujours dans ce format, petites et minces comme toi. Autant te dire que Germaine na aucune chance avec ses 110 kg. ça ne mest pas venu à lesprit quil pourrait se satisfaire avec une tafiole comme toi. Ce nest pas si surprenant. Avec ces sous-vêtements et ce maquillage, tu es sûrement la plus féminine de toutes les serveuses qui sont passées dans cette auberge.
Je buvais ses paroles. Jappréciais de plus en plus dêtre considéré comme une tapette ultra féminine. Jen oubliais presque ce petit bout de chair que javais entre les jambes et qui était bien la seule chose de masculine chez moi, même sil était si petit quon pouvait le prendre pour un clitoris un peu développé. La matrone souleva mon corps nu par la taille et memmena à la salle de bain pour me poser dans la baignoire. Elle fit couler une eau juste tiède et se mit à genoux. Elle savonna tout mon petit corps avec un gros de savon de Marseille. Elle essayait dêtre douce, mais cest difficile dadapter sa force quand vous faîtes 120kg et que vous devez manipuler une puce dà peine 50kg comme moi. Ses frottements rudes me secouaient donc. Ce nétait pas si désagréable, je prenais de plus en plus de plaisir à me sentir léger. Elle se servit de sa large paume pour me frotter. Elle insista sur mon anus qui avait bien besoin dêtre lavé, souillé par le foutre et la charcuterie. Elle insista aussi sur mon petit sexe qui ne tarda pas à durcir. Me voyant aussi excité, elle se releva et enleva sa robe. Je fus surpris ! Moi qui mattendais à voir les formes disgracieuses dune aubergiste qui ne faisait plus attention à elle depuis longtemps, je vis au contraire une femme à qui des années de travaux de force avaient donné une silhouette rendue gracieuse par des muscles massifs et puissants. A chacun de ses mouvements, je voyais ses biceps se gonfler, les muscles de ses cuisses rouler sous sa peau et ses mollets se galber. Elle était superbe ! Elle dégrafa son soutien-gorge pour libérer des énormes seins qui se tenaient encore très bien pour son âge, probablement parce quils étaient soutenus par des muscles pectoraux puissants. Elle enleva sa grosse culotte en coton. Son ventre était plat et parfois, je pouvais voir ses abdominaux se dessiner. Son sexe était épilé comme il fallait. Je restai bouche bée devant ce spectacle. La matrone se rendit compte de mon étonnement.
On dirait que tu aimes ce que tu vois ?
Oui ! Vous êtes superbe ! Tellement musclée ! Tellement plus que moi !
Cest sûr ! Tu es bien chétif. On voit que tu nas pas lhabitude de faire travailler tes muscles. Je vais te faire découvrir ce quest une vraie femme de la campagne ma chérie…
A suivre.