Récit réel écrit sur lordre de ma femme et de ma belle-sur
Chapitre 1
Tout a commencé par une mauvaise habitude, depuis longtemps, je suis attiré par les sous-vêtements féminins, bien sûr, je mefforce de le cacher à mon entourage, il y a bien eu quelquefois des problèmes, ma femme ayant trouvé des strings, soutien-gorge et autre qui ne lui appartenaient pas, mais dans lensemble, je dois dire que jai eu beaucoup de chance. Ma proie préférée était la sur de mon épouse, Lily, dont je suis, depuis toujours, secrètement amoureux. Je ne peux dire combien de strings, porte-jarretelles, body, etc., jai pu lui chaparder, je me doutais bien quelle avait compris mon petit manège, mais jamais elle ne mavait surpris la main dans le sac, mais jamais une allusion, ah si ! un jour, au téléphone, alors que nous parlions de je ne sais plus quoi, je lui ai demandé de répéter ce quelle mavait dit et là, elle me sort « tu devrais arrêter la branlette, ça rend sourd » et moi mû par je ne sais quoi, je lui avais répondu, peut être, mais ça fait du bien, puis on en est resté la.
Bien sûr, jai continué mon petit jeu allant même jusquà lui piquer ses clefs un jour, dans son sac à main, alors quelle était partie avec ma femme à la plage et javais fait un double de ses clefs, et depuis, dès que possible, connaissant ses horaires de travail, je me rendais chez elle de temps en temps, je fouillais dans ses sous-vêtements, choisissant les plus beaux. Elle ne porte que des AUBADE, LISE, CHARNELLE, ou CHANTAL THOMAS, autant vous dire que je me régalais, essayant toute cette belle lingerie chez elle et me masturbant dedans, et au grès de mes recherches, jai fini par tomber sur beaucoup plus amusant : des godemichets, 4 au total, de différentes tailles, allant du plus petit au plus gros, je les ai tous essayés, ce qui reste dans ma mémoire comme un des plus beaux souvenirs et depuis ce jour, je ne manquais pas de retourner chez elle et tantôt en string et soutien-gorge, tantôt en guêpière, je me donnais du plaisir avec les godes à Lily.
Un jour que je fouillais dans son tiroir où elle ramasse ces jouets, je suis tombé sur un gode-ceinture. Que pouvait-elle faire avec ça ? Etant célibataire, je sais bien quelle en profite ; mais avec qui samuse-t-elle avec cet engin, jai déjà eu des doutes sur le fait quelle est souvent avec des copines, mais je sais aussi quelle a des amants (quelle préfère marié, selon ses propres dires afin dêtre tranquille) bon, il faudra que jéclaircisse cela me dis-je, mais pour linstant, je vais essayer ce gode- ceinture sur moi. Malgré le lubrifiant, jai eu beaucoup de mal en lintroduisant, tellement il est gros, mais enfin jai réussi à avoir du plaisir entre les mouvements de va-et-vient et ma main qui me masturbait. Quel pied !
Après lavoir nettoyé, je remis tout en place et me voilà reparti.
Le temps passait avec toujours mes incursions dans les sous-vêtements de Lily et ses godes, et puis vint un jour où nous nous trouvions tous les deux tandis que ma femme était au travail, où au hasard dune conversation (du moins cest ce que je pensais) le sujet des fantasmes est arrivé sur le tapis, Lily me raconta comment elle avait réussi a réalisé la plupart de ses fantasmes sauf un, auquel lui demandais-je ? Et elle, de me répondre : celui de faire l’amour avec un homme travesti en femme et que ce soit moi qui joue le rôle de lhomme.
Je nen revenais pas (bien sûr comme beaucoup dhommes qui se travestit, cela est un de mes fantasmes à moi aussi)
— Et toi, c’est quoi ton fantasme ? me demanda-t-elle.
Je nallais pas lui avouer cela tout de même et je lui répondis :
— Mon fantasme à moi cest de te faire lamour…
Avant même davoir finis ma phrase, je me mis à rougir en me disant que je venais de faire la plus belle connerie de ma vie, si elle va raconter cela à sa sur, je suis dans de beaux draps, mais à ma plus grande surprise, elle éclate de rire et me dit
— On en reparlera.
Une semaine a passé depuis la discussion que jai eue avec Lily au sujet des fantasmes, et comme tous les vendredis après midis, je ne travaille pas ; il fait un temps superbe et je viens de me baigner, bien sûr, comme toujours à poil, car nous navons aucun vis-à-vis, et des murs de 2 mètres entourent la maison et le terrain. Je viens de me faire un café lorsque jentends la porte dentrée souvrir et Lily apparaît, merde ! Jai oublié de fermer la porte à clef et bien que je narrête pas de lui dire de sonner et de ne pas rentrer comme cela, car elle nest pas chez elle et elle est là devant moi ; jai lair dun enfant pris la main dans le sac ; je rougis, je narrive même pas à lengueuler, bref, jai lair dun con avec la bite à lair. Et là, elle éclate de rire :
— Cest avec ça que tu voudrais me baiser ?
Je crois navoir jamais vu une bite aussi petite, ah ! tu peux faire le malin avec toutes les copines et les nanas de la famille, en fait, jai toujours entendu dire que plus les mecs parlaient de leurs bites, plus ils en étaient complexés, mais je maperçois que cest vrai.
Cest vrai que je ne suis pas gâté par la nature ; au repos, mon sexe fait 6 centimètres, et en érection, à peine 10 centimètres, mais quand même de là, à mhumilier comme cela et moi qui reste comme un con, la tasse de café dans la main droite et la gauche sur ma bite toute molle.
— Bon, ne reste pas là, à me mater, va enfiler un truc sinon je crois que je vais me pisser dessus dit-elle.
Je méclipse dans la salle deau et je reviens avec mon peignoir. AH NON ! Quand je dis un truc, cest quelque chose qui correspond à ta morphologie, pas un peignoir dhomme, tu nen es pas un, alors, viens avec moi dans la chambre. Penaud, je la suis, me demandant ce quelle a voulu dire, et je la vois ouvrir le tiroir de sa sur, en sortir un string et me le jeter à la figure : enfile ça, cela te correspond beaucoup plus, mais enfin Lily, essayais-je de répondre et là, elle me répond : depuis le temps que tu me piques mes culottes, tu crois quoi ? Que je ne suis pas au courant peut-être ? Tu enfiles ça et tu la fermes et en même temps, elle sort le soutien-gorge coordonné avec le string et me lance : attends ! il te manque quelque chose. Et elle me sort un porte-jarretelles et des bas, le tout appartenant à ma femme Nathalie.
Je ne sais plus quoi penser ni quoi faire, jessaye de me rebeller, mais elle ne me laisse pas le choix en mannonçant : tu as le choix ou bien tu enfiles tout ça, ou bien jappelle Nath et je lui raconte tout ce que je sais. Ne pouvant me soustraire, je mabandonne et lui obéis.
Me voilà donc devant Lily en string, porte-jarretelles, et soutien-gorge et pour couronner le tout, avec des bas. Bien sûr, ce nest pas la première fois, mais là, devant Lily cest trop dur.
Viens avec moi dans le séjour, on va boire un café entre filles, me dit-elle, car tu es presque une nana, sauf ton truc ridicule quon voit à travers le string, arrange-toi comme tu veux, mais cache-moi cette bite molle vers larrière entre tes jambes, car cest vraiment ignoble à regarder, comment a-t-elle pu deviner que cest de cette façon que je procède ? Mais non, elle ne le sait pas, elle a simplement eu lidée ou bien elle sait que la plupart des travestis font comme cela, et me voilà devant elle, à camoufler ma nouille entre mes jambes.
— Eh bien voilà qui est mieux ! sexclame-t-elle.
Je lui fais un café et jen prends un également, bon, dis-moi depuis combien de temps tu te travestis ?
Je suis sûre que cest depuis toujours, et force mest de lui confier que oui, jai commencé à ladolescence, dabord avec les slips de ma mère, puis au fur et à mesure avec ceux que je chapardais par ci et par là. Tu ne veux pas savoir pourquoi je suis venue aujourdhui, me demande-t-elle. Euh si, pourquoi ? Eh bien, jétais venue pour te dire que javais réfléchis et que jétais daccord pour que lon assouvisse nos fantasmes, une fois, pas plus, mais après ce que jai vu, je crois que je vais changer mon fusil dépaule, donc en fait, on va faire autrement, vendredi prochain à 14h, tu me retrouveras dans votre maison de campagne, mais à la différence de ce que tu voulais, cest moi qui vais te baiser, tu seras la femme et moi l’homme, je vais réfléchir et te donner mes consignes dans la semaine par téléphone, elle se lève et me dit en partant :
— Bien-sûr, cela reste entre nous ma belle.
Moi, je reste comme un con tandis quelle sen va, je crois que jai mis au moins 10 minutes à réagir. Après son départ, jai bien essayé de me branler, mais impossible, ma nouille ne voulant pas durcir.