J’émergeais sur le lit conjugal de la résidence de vacances, jetant un il au réveil qui affichait 15h00. Mes souvenirs remontaient à la veille, mon vrai dépucelage avec Paul, le récit à Noémie, le retour de Marie puis le dodo dans la voiture. Aucune trace du retour jusqu’au mobil-home ni de trajet voiture lit. J’entendais la respiration de Marie à côté de moi. Je me lève, m’étire, ressens une drôle de sensation tout le long de mon corps, la soirée d’hier a laissé des traces. J’avance jusqu’à la salle de bain, sans toutefois allumer afin de ne pas avoir les yeux qui piquent. Je retire la robe, puis la perruque, mais celle-ci ne vient pas, me faisant même assez mal à la tête. Tant pis, me dis-je, tout en dégrafant le haut de bikini, puis le laissant tomber. Je vais pour retirer ma fausse poitrine, mais le contact de mes mains sur cette dernière m’électrise la peau : je sens une vraie poitrine de femme, ornée de tétons arrogants qui trônent au milieu d’une belle aréole. Je n’en reviens pas, que m’arrive-t-il ? C’était ça la sensation ressentie quand je me suis étiré.
Inquiète, curieuse, je baisse alors le shorty de bain avec beaucoup d’appréhension, pour constater que mes attributs masculins ont disparus, remplacés par un beau sexe de femme. Je passe une main, ressent un frisson quand j’écarte les lèvres, puis trouve un clitoris. Un peu étourdi par cette découverte, je m’assois Une soirée, un rapport avec un mec, le lendemain je me réveille en femme. Je me relève, me regarde dans le miroir, pour remarquer que ma silhouette s’est également efféminée, creusant la partie sous mes côtes, faisant ressortir mon bassin. J’enfile un peignoir à Marie, puis reviens la voir dans la chambre, je la couvre de baisers pour la réveiller, jusqu’à ce qu’elle émerge à son tour. Je la laisse revenir à elle, puis lui annonce la nouvelle.
— Marie ! Il m’est arrivé un truc trop bizarre pendant la nuit ! lui chuchotais-je.
— Ah ?
— Oui, regarde !
Sur ces mots, j’écarte le peignoir, lui révélant ma désormais naturelle féminité. Abasourdie, elle se frotte les yeux avant de reporter le regard sur moi. Elle allume, me regarde, curieuse, appréhensive, puis me demande simplement :
— Je peux toucher ?
— Euh, oui, si tu veux.
Joignant le geste à la parole, ses mains commencent de s’aventurer sur mon visage, mon cou, puis descendent sur ma taille, elle m’attire à elle puis m’embrasse, avant que ses mains ne remontent sur mes seins. Elle en prend un, le jauge, agace le téton, puis recommence avec l’autre. Elle les palpe, les malaxe dans une douceur infinie, s’approche, les embrasse, prend un téton dans sa bouche, le mordille gentiment, puis rend la pareille au second. Je sens une incroyable chaleur m’emplir le ventre. Le ressentant, elle me fait descendre sur le dos, puis poursuit son exploration imprégnant mon corps si fluet de baisers. Petit à petit, elle se rapproche de mon sexe ce qui me fait écarter les jambes naturellement. Elle glisse un doigt le long de ma fente, m’électrisant au passage, puis glisse un doigt, et remonte me chatouiller le clitoris, ce qui me provoque un long soupir mêlé d’un petit couinement. Elle recommence, une fois, deux fois, me provocant toujours la même réaction, avant d’approcher sa tête, pour embrasser le dessus de mon sexe, étrangement bien épilé.
Ses baisers descendent sur mes lèvres, puis sa langue passe tout le long de la fente, agile et maligne, allant de mon vagin à mon clitoris. Elle s’en prend à ce dernier, le léchant, le mordillant, l’agaçant, et moi, face à ça, je me tort de plaisir dans tous les sens, incapable de résister à ses assauts. Soudain, je sens un corps étranger pénétrer en moi, et avant que je comprenne qu’elle m’a planté un doigt, je ressens une nouvelle secousse électrique, mon corps s’arque boute, et je hurle de bonheur, terrassé par cette vague de plaisir, avant de me réveiller brutalement.
Le soleil se lève gentiment, la voiture est calme, les filles dorment toujours, Noémie devant, Marie sur la banquette arrière à moitié sur moi. Mes yeux s’adaptent à la luminosité, parcourent rapidement l’environnement proche, avant de se poser sur la tâche humide de ma robe : ce rêve de dingue m’a fait éjaculer et la robe a tout absorbé. Je réveille délicatement Marie, puis Noémie, nous rentrons, puis Noémie nous laisse, retournant voir son copain. On s’engage dans la douche avec Marie, tout en se racontant nos ébats de la veille, puis je lui raconte mon rêve. Propres, j’enfile juste un caleçon et nous retournons dormir, pour nous réveiller en milieu de matinée. Pendant le déjeuner, Marie revient sur mon rêve, et me demande :
— Ça te plairait vraiment ?
— De ?
— D’être une femme à temps plein.
— Non. J’ai trouvé ça merveilleux dans ce rêve, surtout avec toi, j’ai apprécié avoir de vrais attributs féminins, c’était top, et c’était éphémère. Je sais également que c’est possible, la chirurgie aujourd’hui le permet. Mais je ne serai jamais vraiment femme à 100%, je ne pourrai pas avoir d’enfant en tant que femme par exemple, et j’aime trop te donner du plaisir avec ma bite, je ne saurais me passer de ça, même avec un strapless ou un strapon. Non, je me sens vraiment bien comme ça, en travesti à temps partiel, avoir des rapports actif / passif avec toi ou un autre ou une autre.
— Ouf, ça me rassure, j’avais peur que tu t’engages dans cette voie. J’ai besoin de toi en mec moi, tu es mon véritable amour et si je veux du cul avec une femme j’ai Noémie. Et puis, y’a que toi qui connais mon plaisir, hier soir, je me suis fait chier, c’était nul.
Les vacances continuèrent sur un rythme davantage tranquille, après une sortie « en homme » dans un parc aquatique le samedi, sans vraiment de péripéties, puis une seconde semaine plus tranquille, ponctuée de triolisme avec Noémie certains soirs. Arriva le dernier soir de Noémie, on décida toutes les 3 d’aller à la soirée de fin de séjour organisée au centre du village. J’interrogeais Marie sur ses intentions afin de savoir comment m’habiller, elle me répondit malicieusement « no limit ». A cela, je lui dis qu’elle allait voir rouge.
Je pris la salle de bain pour ajuster mon épilation de jambes, maillot, aisselles, afin d’être au top. Un tanga de satin couleur carmin, à dentelles, par-dessus mon pénis libre et un plug anal, un soutien-gorge assorti avec ma fausse poitrine dedans, puis ma perruque blonde collée comme les précédentes fois. Une mini-jupe plissée, assortie de fleurs mais majoritairement rouge foncé, m’arrivant à mi-cuisse, complétée d’un top en dentelle noire à manches mi- longues, pour parfaire ma tenue. Quelques bijoux bien sentis, une touche de maquillage et de rouge à lèvres assorti à mes dessous et le reflet du miroir me renvoya une image de jeune femme attirante. Je termine ma préparation passant du monoï sur mes jambes puis sors de la salle de bain, croisant Marie qui s’amuse à me mater et me siffler. J’enfile une parie d’escarpins noirs, et me voilà prête. Ma dulcinée me rejoint, je la vois glisser des préservatifs dans son sac à main et j’en fais autant. On s’embrasse langoureusement, réajustons notre maquillage puis nous nous dirigeons vers le centre.
Pas mal de monde est déjà là, des têtes plus ou moins connues que nous avons eu l’occasion de croiser lors de ces deux semaines. Les animateurs font un bref récapitulatif de la semaine passée, et décident d’élire « miss et mister of the week ». Candidatures ouvertes, la musique se lance et les gens bougent un peu. Marie me prend par la main, Noémie nous suit, et nous allons nous inscrire, nous sommes une dizaine de prétendantes, et il y a à peu près autant de prétendants. Une fois les inscriptions closes, il faut faire un semblant de défilé et se présenter rapidement, je que j’arrive à faire désormais avec aisance, prenant une voix aussi fluette que possible. S’en suit le repas, pendant lequel les votes sont ouverts. Puis, pendant le dessert, les animateurs se chargent du dépouillement.
Nous sommes de nouveaux appelées, pour l’annonce des résultats. Machisme oblige, le Mister est nominé en premier, puis c’est au tour de la Miss. Arrive en troisième, Marie s’avance, félicitée par l’ensemble de l’assemblée. Devant elle, Nadia, une superbe femme noire aux cheveux magnifiques, déchaine les foules quand elle s’avance chercher son bouquet et sa couronne de dauphine. Puis arrive l’annonce de la reine de la soirée. Le silence se fait, le nombre de voix est annoncé, puis le nom de Mélanie C. Stupéfaite, je me fige et Noémie doit me chatouiller et me pousser pour que je m’avance. Je reçois la couronne dorée, le bouquet, la bise, et la petite ceinture de décoration qui va bien. Un bref « Merci à tous » et le bal de fermeture est lancé, m’obligeant à l’ouvrir avec Maxime, le vainqueur de la soirée, un charmant homme de 35 ans environ, qui me toise d’une tête malgré mes talons. Il m’entraîne dans la danse, et je m’abandonne totalement à lui, suivant ses pas sur les différents styles musicaux servant l’ouverture, enivrée par son parfum.
De nouveau, je sens une douce chaleur m’emplir le ventre quand il me serre contre lui les quelques secondes de slow. Puis tout le monde se met à danser, et la soirée avance tranquillement. Je change plusieurs fois de cavaliers avant de retomber sur Maxime, qui me dévore du regard en m’invitant à nouveau à danser avec lui. Je sens rapidement ou il veut en venir, voyant son bermuda un peu déformé à l’entrejambe. On tourne beaucoup, puis on s’éloigne de la piste, rejoignant les tables. J’en profite pour récupérer mon sac à main, avant qu’on prenne congé de la soirée, jusqu’à se retrouver dans l’obscurité des « coulisses ». Virilement, il me plaque contre le mur, m’offre un long baiser auquel je réponds, j’y prends vraiment du plaisir et je n’ai plus l’excuse de l’alcool de l’autre soir, il en profite pour me peloter, les seins, les fesses, ses mains sur mon corps sont magiques, puis il finit par rencontrer la partie externe du plug en s’exclamant « hoho ! ». Je lui demande si on peut s’isoler, je crains qu’on soit vus et dérangés, il me dit de le suivre et ouvre une porte un peu plus loin qui mène dans un salon, il doit faire partie du staff pour avoir ce genre d’accès.
On se glisse dedans, il s’assoit sur un fauteuil, je me mets à califourchon sur lui, profitant qu’il me pelote à nouveau pour l’embrasser langoureusement. J’initie un mouvement de recul, descend à genoux devant lui en embarquant son bermuda, puis son caleçon. Je découvre face à moi une colonne de chair plutôt imposante, plus que celle de Paul, mais ne me décourage pas, portée par l’euphorie du moment. Dopée par ma première expérience de la semaine précédente, je branle gentiment ce vît avant de l’embrasser, le décalotter et le prendre en bouche. D’une main je le maintiens tout en faisant des va et viens avec ma bouche, de l’autre je lui masse les testicules, j’entends ses râles de plaisir qui m’encouragent à continuer, à m’enfoncer plus loin dans la gorge ce jouet vivant, puis il se lève, me fait reculer, m’attrape la tête et me baise littéralement la bouche. Il gère son rythme, continue ses va et vient, puis se rassoit quand il sent la sauce arriver. D’une main sûre, je le reprends pour le guider dans ma bouche, entame de brefs petits mouvements, puis me lèche un doigt, et le dirige vers son cul, pour caresser son illet.
Il se laisse faire, puis, dans un long râle, m’envoie dans la bouche une grande quantité de sperme, que j’avale sans sourciller.
Se reprenant plusieurs minutes après, il déplie un linge pour la protéger et m’invite à m’allonger sur la banquette, j’écarte mes jambes afin qu’il vienne se glisser entre. Il fait remonter ma jupe, retire mon tanga, et observe étrangement mon pénis qui grandit de plus en plus.
— Petite trav Tu as usurpé le concours, mais tout le monde est tombé dans le panneau, moi le premier Tant pis, on va quand même s’amuser
— Allez viens, je ne tiens plus !
Sans ajouter mot, il se met à jouer avec le plug, le retirant et l’enfonçant dans mon anus, m’arrachant des couinements de plaisir, puis le retire. Je profite de ce répit pour prendre mon sac, lui sortir le lubrifiant anal et les préservatifs adaptés à cet usage. Il prend le lubrifiant, s’en met sur les doigts, puis viens me badigeonner l’illet. Il y glisse un doigt, puis un deuxième et me doigte de cette manière un moment, avant de s’avancer et me sucer. Je me sens rapidement partir et le lui fait savoir, il interrompt ses caresses pour venir présenter son gland contre mon anus. Je saisis un coussin de la banquette, le glisse sous mes reins et m’offre à lui, puis il s’avance et se positionne. Il prend sa bite en main, me caresse le petit trou avec, puis s’enfonce délicatement en moi, me faisant profiter de chaque centimètre de son pénis vraiment plus gros que ce que j’ai connu, tout en se penchant pour m’embrasser. Merde, il n’a pas mis de capote me dis-je Tant pis. Il fait quelques allers-retours à ce rythme de découverte, puis commence à accélérer pour me pilonner de plus en plus fort, m’arrachant chaque fois un cri de plaisir.
Il se retire, me dit de me tourner en levrette, puis se renfonce en moi sans ménagement ni difficulté, pour me baiser au sens propre du terme. Cela dure un moment, puis je le sens ralentir et amplifier ses mouvements, avant de s’enfoncer au plus profond de moi, puis éjaculer une seconde fois. Je sens son liquide chaud sur ma prostate, ce qui me déclenche un orgasme dévastateur me faisant moi aussi éjaculer sur la banquette.
Une fois qu’il reprend ses esprits, il se met à son tour à 4 pattes, et je le regarde, surprise.
— Prends-moi à ton tour, fait moi l’amour, réalise mon fantasme
Je lui lubrifie l’anus, puis lui enfonce mes doigts pour le préparer. Quand je le sens prêt, j’enfile un préservatif, puis je me positionne derrière lui comme je l’aurais fait avec Marie. Je prends ma bite en main, et lui administre le même traitement qu’il m’a fait subir, frottant mon gland sur son illet. Ne tenant plus, je m’enfonce en lui, commence de petits aller-retours pour le besogner tant bien que mal, avant de lui attraper la bite et le branler pendant que je vais et je viens en lui. La sensation est étrange, différente d’une sodomie hétérosexuelle, mais cela m’excite tout autant, et je sens la sauce monter en moi, sous mes coups de boutoirs, ses râles de plaisir, ses « baise moi petite salope » avant d’entendre la porte s’ouvrir, laissant apparaître deux mecs du staff.
Je réalise alors le montage de la supercherie, des votes truqués, un mec ou un ami du staff d’animation élu de la soirée, la prétendante qui lui plait le plus élue également, puis tout le monde vient en profiter Ceux-ci se figent, stupéfaits, devant la scène, Miss Domaine, cette si belle blonde aguicheuse, en train de sodomiser Mister Domaine, ce beau gosse bourré de testostérone. Ne sachant que faire, on s’arrête, puis je me retire sans dire mot. L’un d’entre eux, Rémi, s’avance face à nous.
— J’en étais sûr que tu étais trop belle pour être honnête petite salope. On va vérifier si tu mérites ton élection.
Il baisse son short et son caleçon dans le même temps, pour me présenter un pénis aussi imposant que celui de son collègue. N’ayant guère le choix, je le prends en main et commence à le branler pour le faire grandir, puis je lui administre la même fellation qu’à Maxime, avec la même douceur et les mêmes mouvements. Je le sens venir, mais il s’arrête, et s’adresse à son pote :
— Eh Dimitri, elle suce vraiment bien cette petite, je suis jaloux de Max qui a pu en profiter plus longtemps haha ! Tu veux essayer ?
L’autre s’avance, et dans ma lancée, je lui inflige le même traitement, je le fais chavirer rapidement, quand il commence à me tenir par la tête comme Maxime tout à l’heure pour donner son rythme. Excitée comme pas possible, je leur donne tout pour les satisfaire, quand soudain je sens une présence derrière moi, qui me fait me pencher en avant. Je comprends que Rémi est dans mon dos et s’apprête à me sodomiser à son tour quand il relève la jupe. Sans capote, sans ménagement, il pose son gland à l’entrée de mon anus pour s’avancer dans mon cul ouvert comme dans du beurre, puis me pilonne avec frénésie tandis que je continue de m’occuper de Dimitri, me prenant la tête dans son pubis sous les coups infligés dans mon cul. Maxime, pas en reste et déçu de ne pas m’avoir fait jouir en lui, se glisse en dessous de moi pour me sucer, et à un moment donné tout part en vrille, Dimitri s’enfonce dans ma bouche, m’envoyant toute sa semence, Rémi s’enfonce au fond de mon cul pour jouir à son tour, et moi je me décharge dans la bouche de Maxime.
J’avale tant bien que mal le foutre âcre de Dimitri, puis il me lâche et fait le tour, remplace Rémi et vient s’enfoncer dans mon cul distendu, sa bite provocant des bruits de succion dus au mélange des foutres et du lubrifiant anal. J’encaisse tant bien que mal ses assauts, sans plus vraiment prendre de plaisir, il vient de jouir donc a récupéré de l’endurance, je le laisse me foutre de grands coups de boutoirs en espérant une fin rapide. Au bout d’un interminable moment, je le sens se décharger au fond de moi, espérant prendre congé après et rentrer. Mais eux décident qu’ils n’en n’ont pas fini avec leur dévidoir à foutre, et je sens une autre bite s’approcher, Maxime veut en profiter une dernière fois.
— Allez, une dernière et tu iras te coucher, on aime bien laisser les gens partir avec le ventre plein
Une fois leur méfait accomplit, les 3 animateurs bien vidés et moi bien remplie, ils s’endorment à moitié dans leur salon. Maxime m’aide à me relever, je remets mon tanga et réajuste rapidement mes fringues. J’attrape mon sac à main, puis marche en direction du mobil-home, en boitant un peu, les escarpins ne m’aident pas et je n’ai pas de solution de rechange, le sol étant trop hostile à une marche pied-nus. C’est d’autant plus inconfortable et appréciable qu’il soit tard et qu’il n’y ait personne dehors car je sens mon cul ouvert et le sperme couler sur mes cuisses. Arrivé au mobil-home, Marie m’y attend, me prend de ses bras puis m’accompagne dans la douche pour s’occuper de moi, m’aide à me déshabiller et me laver pendant que je lui raconte la soirée. On se couche, un gros câlin, je suis bien calmée pour les vacances après ça.
Après avoir dit « au revoir » et « à bientôt » à Noémie le lendemain, nous avons passé une dernière semaine en couple normal, puis sommes rentrés et nous avons repris le cours de la vie de tous les jours.