Nous descendons au salon et il me demande ce que je veux boire. Je lui demande un jus de fruit lui précisant que je ne bois jamais d’alcool. Il me sert un jus d’orange et se sert un whisky. Je m’assois dans un fauteuil en croisant mes jambes et j’attends les explications.
Voilà me dit il la chambre que tu occupes est celle de ma fille, elle est morte dans le même accident de voiture que sa maman. Les affaires qui s’y trouvent sont à elle et non pas à mon épouse comme j’ai pu te le dire hier mais je ne voulais pas rentrer dans les explications hier soir. Je n’ai pas pu me séparer des affaires de ma femme et de ma fille. Celles de mon épouse sont encore dans les armoires de ma chambre.
Ça va Georges, si tu veux on arrête d’en parler si cela te fait du mal.
Non, non il vaut mieux en parler de suite comme cela on sera tranquille.
Parle-moi de ta fille.
Elle est décédée à l’âge de 18 ans et s’appelait Coralie.
Coralie ! Là je me fige et dans mon regard il voit mon interrogation.
Tu lui ressemble beaucoup en taille et physiquement. Il est vrai que lorsque je t’ai vu tu as fait remonter en moi beaucoup de souvenirs. Une fois que j’ai découvert ton petit secret et la tenue que tu portais, j’avais l’impression d’avoir ma fille en face de moi. Alors que je savais très bien que tu étais un garçon.
Je vois qu’il refoule une petite larme. Alors au culot je me lève et m’approche de lui le sert dans mes bras. Il m’installe sur ces genoux et place sa tête sur mon épaule.
Tu as mis son parfum ?
Excuse-moi, s’il ne fallait pas.
Non non tu as bien fait il te va très bien.
Merci et je lui fais un bisou sur la joue.
Aller on va manger, car après il faut que l’on discute sérieusement, mais ne t’inquiètes pas rien de grave.
Je quitte ses genoux et nous nous dirigeons vers la cuisine pour déjeuner. Georges commence à me poser des questions sur ma vie, et la première comment j’ai commencé à me travestir.
Dans ma famille nous étions trois enfants deux filles et moi. Un père violent et alcoolique qui n’en avait que pour mes surs, moi j’étais le souffre douleur de la famille. Une mère démissionnaire. Je me suis dit que mon père n’aimait pas son fils et aimerait la petite fille que je pourrais devenir. Mais ce n’était pas comme ça que cela s’est passé. Et a 16 ans, j’ai pris mes clics et mes clacs et je me suis enfui de la maison, pendant un an j’ai trainé chez des amis ou que j’ai couché dans la rue.
Eh bien, je me doute qu’à ce moment là tu devais être perdu.
L’année passée à 17 ans j’ai trouvé du travail dans l’usine du village voisin où je suis magasinier, ce qui m’a permis avec mon maigre salaire de louer la petite maison que tu as vus hier, en me ramenant. L’avantage c’est que je suis à l’abri des regards et que si quelqu’un approche, Rex donne l’alerte. J’ai commencé a acheté par correspondance des vêtements féminins et d’améliorer mon image de fille. Je me sens bien lorsque je porte cette armure féminine. Beaucoup plus sur de moi et j’aimerai vivre tout le temps en fille. Mais tout le monde n’est pas comme toi, Georges, tolérant et si doux.
Et comment vis-tu alors ? tu t’habilles tout le temps en femme ?
A certains moments je garde des sous-vêtements sous mes affaires d’homme. Cependant à la maison je suis en permanence en fille. Hier, lorsque tu m’as renversé, c’était la première fois que je sortais en femme en dehors de la maison.
J’ai eu de la chance de te renverser, sinon je n’aurai jamais pu te rencontrer.
Enfin les rencontres aussi violentes, je m’en passe Georges. En souriant.
Et à tu as rencontré des hommes.
Je te rassure de ce côté-là je me suffis à moi-même, si je peux dire comme cela. J’ai un sex-toys et lui seul a pénétré mon intimité. En gros je suis puceau avec les femmes mais aussi avec les hommes.
Après avoir fini le repas, nous avons bu un petit café et il me demande si je suis prête pour ma surprise. Je file cherché un blouson et redescends près du 4×4 de Georges.
Appelle ton chien on l’emmène avec nous.
Ou va ton ?
Tu verras bien, crois-moi cela devrait te plaire.
J’appelle Rex et le fait monter et moi je monte à coté de Georges. Nous prenons la route pour sortir du petit village. Sa main s’est posé ce coup-ci directement sur ma cuisse, et elle commence à me caresser en remontant doucement sur le haut jusqu’à la lisière de mes bas, puis il prend le chemin inverse du haut de la cuisse au genou. C’est la première fois qu’un homme me touche et celui-là le fais tout en douceur.
Le docteur quitte la route principale pour arriver sur un chemin en terre et là je commence à m’imaginer beaucoup de chose. Mais je me pose la question pourquoi ne pas être resté chez lui nous aurions eu tout le confort.
Nous arrivons devant un portail, Georges ouvre avec une télécommande, une fois le portail fermé nous arrivons dans la cour d’une belle maison, une ancienne ferme toute rénovée, Elle est en forme de U. Une maison principale face à nous, des dépendances de chaque côté et le tout fermé par un mur avec le portail que l’on venait d’emprunter.
Où on est Georges ?
Descend et je te dis tout.
Je peux faire descendre mon chien ?
Oui pas de soucis, il n’y a personne.
Georges prend un trousseau de clés dans la voiture. Un peu peureuse je ne sais pas du tout ou nous sommes et ce que l’on va faire. Il ouvre la porte d’entrée de la maison et nous arrivons dans un hall d’entrée magnifique. Le docteur me fait visiter le rez-de-chaussée ou se trouve les pièces à vivre (salle à manger, cuisine, salon).
On ressent que cette maison est vide depuis longtemps, il ouvre une porte-fenêtre dans le salon qui donne sur une piscine couverte et chauffée de 5m x 4m. Elle est entourée d’arbres qui forment une haie rendant complètement invisible cet endroit de l’extérieur.
Je suis estomaquée par ce luxe mais je ne sais toujours pas où nous sommes. Il prend ma main et m’entraine à l’étage ou se trouve trois belles chambres, la première une chambre normale avec un grand lit et une salle de bain attenante, la deuxième dans les tons de rose, une véritable chambre de princesse avec un lit à baldaquin deux places et avec aussi la salle de bain. La troisième ressemble à la première. Ce coup-ci, je veux comprendre nous revenons dans la première chambre. Nous nous asseyons sur le lit.
Sa main sur ma cuisse gauche fait des va et vient entre mon genou et le haut de mes bas.
Où sommes-nous ?
Chez moi.
Chez toi ?
Oui cette maison nous l’avons fait rénover lorsque ma femme et ma fille était encore parmi nous. C’était notre maison de campagne, notre Avre de paix ou nous aimions nous retrouvez les weekends et les vacances.
Sa main toujours sur ma cuisse est remonté sur la peau nus au-dessus de mon bas et cela me donne des frissons, je n’ose bouger pour qu’il ne croit pas que je veuille que cela s’arrêtes. Mais de toute façon mes petits gémissements lui confirment que cela me plait. Il arrive à frôler ma culotte, là je ne peux retenir mes jambes qui s’écartent toutes seules pour lui laisser le passage. Il touche mon petit sexe à travers le nylon de la culotte. A ce moment-là sa bouche s’approche de la mienne et pour une fois une langue étrangère passe le barrage de mes lèvres et je réponds à se baiser que j’attendais, je pense, depuis très longtemps et que Georges a su me faire tant apprécier.
Il retire sa main et s’écarte de mes lèvres.
La surprise, tu sais, ce n’est pas de coucher avec toi. Même si j’en ai très, très envie.
Alors c’est quoi cette surprise ?
Cette maison n’est plus habitée depuis la mort de ma femme et de ma fille, je viens de temps en temps faire un tour.
Et alors ?
J’aimerai que tu l’habites avec ton chien
Quoi ? j’ai mal entendu.
Non tu as bien entendu, viens habiter ici, ce sera chez toi.
Je n’aurai pas les moyens de te payer un loyer. Et tu ne me connais que depuis très peu de temps. Qui te dit que je ne suis pas un voleur ou une personne malhonnête.
Qui te parle de loyer ? et crois-moi tu ne ressembles pas du tout à un voleur ou une personne malhonnête.
Tu ne peux pas le savoir ?
J’en ai eu la confirmation hier soir, dans la chambre de Coralie il y avait un coffret plein de bijoux et je suis sûr que tu n’as même pas regarder à l’intérieur.
Non c’est vrai, je n’ai pas fouillé, je n’étais pas là pour cela.
Je veux que tu deviennes la gardienne de cette maison, donc je te loge gratuitement
Franchement je ne sais pas quoi te dire.
Accepte, cela me fera plaisir.
Oui je veux bien, mais il va falloir que je déménage mes affaires, pas les meubles la maison était meublée avant que je l’habite.
Tu pourrais déménager quand ?
Quand tu voudras et je m’approche de lui pour l’embrasser tendrement et que nos langues rentrent en contact.
J’ai autre chose à te demander mais là je te laisse la décision et si tu ne décides pas tout de suite cela ne me dérange pas
Vas-y toujours.
Veux-tu devenir ma maitresse, mon amante, ma femme J’attends depuis très longtemps quelqu’un comme toi.
Tu dis que je ressemble à ta fille et tu veux faire l’amour avec moi
Et alors qui te dis que je n’avais pas envie de ma fille.
Je te comprends mieux alors.
Ah au fait et si tu arrêtais de travailler et que tu vives ici je pourrais t’entretenir et cela te permettrai d’être toujours en fille.
Oui mais là j’abuserai de toi et je n’aime pas cela
Ne t’inquiète pas, donne ta démission a ton patron et viens habiter ici et je serai le plus heureux
Ma réponse fut direct et sans hésiter je l’embrassai de nouveau. Il m’allonge sur le lit et ses mains ne restent pas immobile longtemps. Il me quitte mes chaussures, embrasse mes pieds. Sa bouche remonte doucement le long de mes jambes. Je me laisse aller tellement cela m’excite et je gémis de bien-être. A la lisière de mes bas il m’enlève ma minijupe et défais les boutons de mon chemiser je me présente en sous vêtement face à lui. Ses mains douces me donnent des frissons que je n’ai jamais connus avant. Je ne veux pas que lui seul me donne du plaisir alors mes mains caressent sont sexe à travers son pantalon que je défais rapidement. Je me trouvais face à un sexe déjà bien bandé et assez énorme je le branle un peu et lui caresse ses bourses. Je quitte sa bouche pour descendre au niveau de son sexe que je léchouille au début, je tête un peu, et comme par reflexe mes lèvres s’entrouvrent pour laisser passer son gland. Ma langue tourne autour de ce gros bonbon à qui j’ai envie de donner du plaisir.
Après ce début, Georges commence à faire venir son sexe dans ma bouche par de doux allez retour en s’enfonçant délicatement de plus en plus loin. Je passe un moment formidable j’aimerai que cela dure. Mais le sexe de Georges commence à avoir des soubresauts et je me doute que son plaisir va arriver. Georges veut se retirer, mais moi je veux gouter à ce nouveau plaisir. Le premier jet arrive, je m’étouffe un peu mais j’arrive à l’avaler avant que le deuxième et le troisième suivent.
Je me délecte de ce nouveau breuvage et Georges quant à lui m’attire a lui pour m’embrasser et me remercie pour se plaisir que je viens de lui donner.
Cela veut dire que tu acceptes ma proposition ?
Oui je l’accepte.
Et tu veux emménager quand ?
Demain Si tu veux ?
Maintenant se serai mieux non ? et pas la peine de me dire que tu as ton chien car il est là avec nous donc tu n’as pas d’excuses.
Je vois que tu es pressé.
Oh oui, si on allait chercher tes affaires maintenant, cela te permettrait de coucher ce soir ici.
Toute seule ?
Si tu es vraiment sage, je reste avec toi.
Je peux être une petite fille pas sage si tu veux vraiment, tu seras obligé de me donner la fessée
Chiche ?
Non pas maintenant, Mais qui sait un jour peut-être.
Georges descend pendant que Je me rhabille, je fais une retouche maquillage. Je descends au rez-de-chaussée, retrouvé mon amant qui me sert dans ses bras et il m’embrasse. Nous sommes partis tous les deux en direction de chez moi chercher mes affaires. J’ai laissé Rex surveillé la maison.
Arrivé dans mon ancien logement, il n’y avait pas grand-chose à prendre sachant que je n’avais pas beaucoup d’affaire à moi. Le 4×4 a vite été chargé, j’ai fermé une dernière fois les volets de cette bâtisse. Nous sommes passés par la maison de Georges prendre de quoi manger pour le soir.
Je monte dans la chambre rassemblé les affaires que j’avais laissées et réfléchis à ce qui m’arrive je crois toujours rêver mais Georges me tire de mes songes.
Alors jolie princesse on rêve ?
Oui je pense que oui.
Crois-moi tu ne rêves pas.
Demain si tu veux on reviendra chercher ta voiture et en même temps tu m’aideras à trier les affaires de ma femme et de ma fille et tu garderas tous ce que tu veux.
Si tu veux, la semaine prochaine j’irai donner ma démission à mon patron et faire mon changement d’adresse.
J’ai quelques papiers à faire si tu veux commencer à faire le tri et ce que tu ne veux pas tu auras qu’à le laisser sur le lit. Tu devrais trouver des sacs de sports dans le bas de l’armoire tu n’as qu’as tant servir. Laisse peut-être quelques affaires de rechange ici on ne sait jamais tu pourrais en avoir besoin.
J’ai le temps de prendre une douche ?
Oui, bien sûr on partira quand tu voudras.
Il s’approche de moi, m’embrasse et quitte la pièce. J’ouvre l’armoire et trouve les sacs et des valises, comme l’avais dit Georges. Je commence par la penderie, sa fille a les mêmes mensurations que moi, ce qui me permet de récupérer, des robes, des jupes, des vestes. Enfin beaucoup de choses que j’aime et que je place dans la valise. J’ai laissé quelques tenues dans l’armoire. Ensuite je suis passé à la porte à côté, le premier rayon contient beaucoup de sous-vêtements de tous les jours en coton mais toujours très jolies. J’en ai laissé une partie en réserve. Sur le deuxième rayon je découvre des bas et des collants, de couleurs différentes. J’ai emmené tout ce qui était le plus sexy et laissé le plus simple. Au troisième rayon j’ai une drôle de surprise, des dessous un peu plus sexy et affriolants.
La fille de Georges devait cacher son jeu car certains éléments sont très coquins et en plus sont d’une superbe qualité donc des choses que je n’aurai jamais pu acheter. Je découvre une guêpière blanche avec la culotte assortis et une paire de bas que je mets de côté. Tout le reste est mis dans un des sacs. Et tout en bas il y a des livres, un petit coffre caché bien au fond que j’ouvre et ou je trouve quelques sexe toys et deux ou trois cahiers écrit à la main. Curieuse j’emmène le contenu dans un des sacs, je regarderai plus tard. Je n’ai rien laissé sur le lit, car tout me plaisait. Dans une autre porte je découvre les chaussures, une chance elles sont de pointure 40, je fais du 39 en taille. Comme dans l’autre armoire plus je descends et plus ce que je trouve me laisse perplexe. Sur le premier rayon ce sont des baskets ou de petites chaussures à petits talons. Sur le deuxième des escarpins avec un talon un peu plus grand. Sur le dernier rayon je ne m’imaginais pas tomber sur des cuissardes ou de bottes avec des talons vertigineux. Je laisse les baskets et deux paires de chaussures. J’emmènes le reste, je mets de cotés une paire de chaussure blanche a talon moyen environ 5 à 6 cm à bout ouvert. J’avais découvert juste avant une robe blanche boutonnée sur le devant. Je décide de garder cette tenue pour mettre après ma douche.
J’ouvre la commode près du lit ou je trouve socquettes, chaussettes, mi-bas. Dans le deuxième tiroir il y des serviettes périodiques, des tampons. Mais aussi des couches culottes taille adultes. Je referme le tiroir et ouvre le dernier tiroir ou là je découvre des objets qui me surprennent pour une jeune fille de 18 ans. Je mets tout cela dans un sac. (Nous verrons cela un peu plus tard dans l’histoire).
Je me mets dans la salle de bain me déshabille et passe sous la douche. Je sors me sèche les cheveux de retour dans la chambre. Je mets du parfum de la fille à Georges, un peu sur mon corps et sous mon cou. Je m’habille avec les affaires que j’avais mises de côté. Sur la robe très dénudée, je place une petite laine trouvée dans l’armoire. Je ferme les sacs et les valises et descends en bas. Je charge mon paquetage dans ma voiture. Remonte dans la chambre ranger un peu la pièce.
Je descends voir Georges qui est bien sûr dans le cabinet. Avec quelqu’un de féminin une dame du même âge que le docteur. J’entre et il me voit surprise.
Viens que je te présente Micheline. Micheline je vous présente la fille d’une amie. Je vais l’installée à la ferme pour quelques temps.
Bien Monsieur. Bonjour Mademoiselle vous êtes très mignonne.
Bonjour Madame je vous remercie de votre compliment.
Docteur je m’en vais-je vous dit à lundi matin.
Merci Micheline, ce weekend en cas d’urgence je serai à la ferme si vous voulez me joindre.
Bien Passez un bon weekend alors. Mademoiselle ravis d’avoir fait votre connaissance.
Elle quitte le cabinet Georges va fermer derrière elle. Il m’attire a lui et m’embrasse et me dit que je suis magnifique comme cela.
Tu as trouvé des choses dans les affaires de ma fille
Oui j’ai tout emmené, cela te dérange pas, j’ai laissé quelques tenues de rechange
Tu n’as pas trouvé un journal intime dans ses affaires ?
Non rien du tout pourquoi ?
Je sais quelle en tenait un mais je n’aie jamais cherché.
Dis-moi j’ai tout mis dans ma voiture Je vais te suivre.
Aller on y va. Attends j’ai oublié de te donner cela, c’est la télécommande du portail de la ferme et un jeu de clés.
Je l’embrasse de nouveau et lui dis merci une main se place sur mes fesses. Je la retire doucement et lui dit que c’est une surprise pour tout à l’heure si tu découvres maintenant se ne serai plus une surprise.
Nous montons dans nos voitures respectives et partons en direction de la ferme. Nous passons le portail sur la droite une sorte d’abris où nous garons nos voitures.
Il y a quoi dans les bâtiments sur les côtés ?
Celui de gauche, il y a des archives et des matériels médicaux que je ne me sers plus. De toute façon tu n’as pas la clé et puis sincèrement pour le moment cela ne te servirai a rien.
Et dans l’autre ?
Tu y trouveras des vélos, le salon de jardin enfin tu regarderas quand tu auras le temps.
Nous déchargeons les voitures, et on place le tout dans la troisième chambre cela me permettra de ranger quand Georges ne sera pas là.
A suivre.
