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Un accueil inattendu – Chapitre 1

Un accueil inattendu - Chapitre 1



Un accueil inattendu

— On ne peut pas Isa, on va être en retard !

— Allez, on dira qu’il y avait des bouchons.

— C’est un grand jour, on ne peut pas se permettre. Pas aujourd’hui. NON !!! Non ! non

Alors que je tentais vainement d’avancer mes arguments, Isabelle avait déjà entrepris ses caresses sur mon jean. Plus la bosse qui se formait à mon entrejambe grandissait plus ma volonté diminuait et la fermeté de mon propos s’évaporait.

Debout dans le couloir, ayant encore la main sur la poignée de la porte d’entrée, je ne maitrisais plus rien. La main d’Isabelle me faisait oublier qui j’étais, où j’étais et en quelle année on vivait. Isabelle entreprit de m’embrasser langoureusement. Elle me lécha le cou et descendit lentement jusqu’à se trouver à genoux, la tête face à la fermeture de mon jean. Je défis celle-ci à la vitesse de la lumière c’est sûrement pour cela qu’on appelle ça une fermeture « éclair » – et Isabelle s’occupa de descendre mon caleçon et attrapa mon sexe à pleine main.

Tout en me branlant elle lécha mes bourses et mes couilles. Je ne pensais pas que c’était possible mais je bandai encore davantage. Elle frotta son visage contre ma verge, la joue droite puis la joue gauche. Elle prenait visiblement un vrai plaisir à sentir le contact de mon sexe contre sa peau. A sentir l’impact de ses caresses, comme une fierté qui l’excitait follement.

Elle sortit sa langue. « Enfin » pensai-je, je n’attendais que ça. Par de petits coups elle lécha ma bite sur toute sa hauteur, en partant de la base et montant jusqu’au gland. Chaque coup de langue faisait sursauter ma bite, comme si elle avait une vie propre. Arrivée au sommet elle descendit sa main jusqu’à la garde et prit mon gland en bouche. La chaleur et la moiteur de cette cavité me rendaient fou. Mes yeux se révulsèrent et je lâchai un premier soupir de plaisir.

Non contente de ce résultat, elle enfonça ma verge un peu plus profondément dans sa bouche. Chaque centimètre supplémentaire me procurait une sensation encore plus intense que la précédente. A mesure que ses lèvres coulissaient le long de mon membre, sa main descendait pour libérer la place. Jusqu’à ce qu’elle finisse par la retirer complètement et elle goba l’entièreté de ma verge. Je pouvais sentir son nez appuyer sur mon ventre. Quel bonheur !

J’étais sur le point de jouir, elle venait de sentir quelques gouttes de présperme et me dit :

— Pas si vite mon chéri ! Moi aussi je veux jouir !

Elle se releva, se mit dos à moi et descendit sa jupe-crayon à ses mollets. Toujours perchée sur ses talons elle était sensationnelle. Ses longs cheveux bruns ondulaient à la gauche de son visage d’ange. La vue était sublime : des jambes galbées, un cul à faire bander à moine, et une courbure qui appelait au sexe. Seul un string me faisait obstacle. Je ne pus me retenir de plonger ma tête entre ses fesses. Ma langue glissait le long de la ficelle et tentait d’humidifier sa vulve. Le frottement du tissu n’était pas agréable mais peu m’importait. Je voulais gouter sa cyprine. Rapidement j’attrapai Isabelle par les hanches et descendit son string. Cette fois plus de barrière. Je fis glisser ma langue entre ses lèvres et l’enfonça de quelques centimètres dans son intimité. Isabelle mit les mains sur les murs pour se stabiliser et mit encore davantage son cul en bombe, m’offrant ainsi un terrain de jeu un peu plus grand. Ma langue atteignit son clitoris, je la fis rouler sur son bouton délicatement, sans pression, comme si je caressais une paupière. J’entendais ses gémissements, synonymes de mon succès, et parfois ses lèvres qui s’écartaient générant un « ploc » caractéristique d’une chatte bien humide.

— J’en peux plus, baise-moi ! Me hurla-t-elle

A ces mots, je me relevai et attrapai mon sexe dans la main. Mon érection était à son apogée. Je crachai un peu dans ma main pour lubrifier mon sexe. Me voyant faire elle me dit d’un air coquin :

— Tu crois vraiment qu’il y avait besoin de ça ?

Je plaçai mon gland à l’entrée de sa chatte, et d’un coup je m’enfonçai tout entier en elle. Elle eut un mouvement de surprise et de quasi-douleur. Elle souffla un « ouf » comme si elle venait d’encaisser un uppercut.

— Qu’est-ce que tu es dur mon chéri ! C’est moi qui te fais cet effet ?

— Evidemment ! Tu me fais bander ! Y a que toi pour me faire bander comme ça ! T’es tellement sexy, tellement belle, tellement bonne !

— Je suis bonne ? Dis-le-moi encore !

— Oh oui t’es bonne !!

— Encore !

— T’es bonne ! T’es bonne ! T’es booonne !!!!

— J’te fais bander hein ? T’aimes ça me baiser !

— Oh oui c’est bon de te baiser ! De te baiser comme une chienne

— Oui ! Je suis ta chienne ! Ta pute ! Baise-moi ! Baise-moi !! Plus fort !!!

— Tiens, tu la sens bien là hein ?

— Oh oui !! Ca c’est un homme !! Un vrai mec ! C’est ça que j’aime !!! Montre-moi que t’es un bonhomme !

Ces mots touchaient à mon ego et ma virilité et décuplèrent mes forces. Les allers-retours se firent de plus en plus rapides, de plus en plus profonds. Isabelle cria de plus en plus fort :

— Oh oui mon chéri ! Je vais jouir, je vais jouir, t’arrête pas !!!

Je continuais de la pilonner. La savoir prête à jouir m’excitait à mort et j’arrivais moi aussi au bord de l’orgasme.

— Vas-y mon chéri ! Finis-moi ! Ca vient

— Oh oui c’est trop bon

— Je viens je viens je vieeeeeeeeeeeeeeeeeeeens

— J’en peux plus, je rggggggggrrr

— Oh oui viens jouir en moi bébé

Alors que mon sperme coulait en elle, je vis son corps se raidir et ses joues rosir. Un orgasme simultané. Il restait encore quelques gouttes de sperme que je lui envoyai au fur et à mesure lui et qui les provoquaient de nouveaux soubresauts.

— C’était trop bon Isa Entre ta pipe et ça je suis à bout de forces !

— Pas mécontent qu’on soit en retard finalement, hein ?

— C’est sûr ! En plus tu t’es découvert un nouveau talent

— Moi ? dit-elle innocemment. Je ne vois pas de quoi tu parles

— Ha ha ! Bah voyons ! Tu m’avais toujours dit que tu ne pouvais pas faire une gorge profonde

— Ca te dérange peut-être ?

— Absolument pas ! J’ai kiffé !

— Allez on se rhabille vite vite, mes parents vont s’impatienter.

— J’ai hâte de voir leur tête tout à l’heure.

Nous arrivâmes chez les parents d’Isabelle. Une belle maison cossue dans une banlieue chic de Paris. Très Desperate Housewives.

— Vous voilà enfin ! On ne vous attendait plus ! On a attaqué l’apéro, j’espère que vous ne nous en tiendrez pas rigueur.

— Désolée papa, la circulation était infernale. C’était dur, dur, dur. Dit-elle en me serrant la main discrètement.

La mère d’Isabelle nous accueillit à son tour. C’était une femme qui avait dû être une bombe atomique dans sa jeunesse, quoique j’avais toujours trouvé qu’elle manquait un peu d’élégance. Ses cheveux blonds n’avaient rien de naturel mais ses formes, elles, étaient d’origine. Sa poitrine gonflée par ses trois grossesses faisait d’elle un fantasme sur pattes. Je n’avais jamais compris comment le père d’Isabelle avait réussi à lever une femme de cet acabit. Lui le petit chauve bedonnant. Certainement que la taille de son compte en banque lui avait donné un certain charme. Comme on dit certaines doivent coucher pour réussir, mais certains doivent réussir pour coucher. Après avoir embrassé sa fille, elle s’approcha de moi pour me faire la bise, et je crus percevoir un petit moment de gêne. Merde ! Je ne m’étais même pas essuyé tout à l’heure. Pouvait-elle avoir senti un reste de mouille de sa fille sur mon visage ?

— Ne restez pas dans le couloir allons, entrez, entrez. Installez-vous. Gérard, va prendre le champagne dans le réfrigérateur s’il te plait.

Le père d’Isabelle revint de la cuisine, une bouteille de Ruinart à la main, et servit une coupe à chacun d’entre nous. Isabelle prit alors la parole :

— Ecoutez, vous avez très bien fait d’ouvrir le champagne car nous avons une grande nouvelle à vous annoncer. Cédric et moi nous allons nous marier !

— Ma chérie c’est formidable, dit sa mère.

Son père engloutit sa coupe cul sec, embrassa sa fille sans mot dire, puis vint vers moi pour une accolade. Dans ses yeux je crus lire « barre-toi tant qu’il est encore temps », mais difficile d’analyser un tel regard. Peut-être était-ce l’émotion ?

Sa mère me prit dans ses bras, collant son opulente poitrine contre moi et dit joyeusement :

— Je suis tellement heureuse pour vous deux !

Puis elle approcha sa bouche de mon oreille et me susurra d’une voix feutrée :

— Il n’est pas question que ma fille épouse un homme qui n’a connu qu’une seule femme dans sa vie. J’en fais mon affaire.

Imperceptiblement elle lécha le lobe de mon oreille, et retourna à la joie ambiante, me laissant bouche bée pendant quelques secondes.

A suivre…

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