Paul et Audrey ne se connaissent pas, ils ne se sont jamais vu et n’ont jamais entendu parler l’un de l’autre…
L’un, chauffeur livreur depuis ses 18 ans, est envoyé à Paris pour faire une formation le destinant à devenir magasinier chef dans son entreprise. L’autre, travaillant dans un salon d’esthétique, part à Paris pour rendre visite à son frère qu’elle n’a pas vu depuis plusieurs années.
Cette journée commença normalement pour chacun d’eux, et même quand ils se croisèrent pour l’embarquement à l’aéroport, ils ne se regardèrent même pas.
Paul, assis à son siège proche du hublot, regarde les passagers prendre place sur leur siège.
Soudain, une jeune fille s’installe à côté de lui et se met à l’aise. Il la regarde et lui fait un sourire lorsque cette dernière croise son regard. Elle répond fugacement avant de reporter son attention sur son sac à main d’où elle sort un magazine féminin et son téléphone portable.
Paul la détail plus lentement. 25ans ou à peine plus, elle est habillé classe et sexy dans un tailleur cintré et un beau décolleté. Ses cheveux rassemblés dans un chignon simple lui allaient vraiment bien. Un léger rouge à lèvre faisait ressortir son teint et mettait ses yeux en valeur. C’était une très belle femme!
Celle-ci sembla sentir le regard de Paul car elle tourna les yeux vers lui. Il lui sourit une nouvelle fois et détourna rapidement les yeux, le rouge lui montant aux joues.
Audrey fut attirée par les yeux de Paul. Elle n’y avait pas fait attention de prime abord mais cela venait de la marquer particulièrement. Un sourire aux lèvres voyant le regard fuyant de Paul, elle le jaugea rapidement.
Habillé simplement, le jeune homme devait avoir son âge ou à peine plus. Une coupe courte mais bien choisie, il avait les pommettes fines, et des lèvres pulpeuses et attirantes. Mal rasé mais bien entretenu, sa pilosité lui donnait un style de vieil étudiant qui lui allait bien. Plutôt mignon quand on prend le temps de le regarder, il ne saute pas forcément aux yeux au premier regard… Dommage pour lui.
Pas d’alliance aux doigts ni de gourmette au poignet, il pourrait tout aussi bien être libre que prit.
Le pilote annonça soudain le décollage de l’appareil et prévoit 1:30 de vol.
Après avoir atteint l’altitude de croisière, le pilote annonça la possibilité que retirer les ceintures de sécurité et les hôtesses passèrent au milieu des passagers pour proposer une collation.
Audrey se leva et se dirigea vers les toilettes au fond de l’appareil.
À son retour, un petit plateau était posé sur sa tablette. Elle s’assied et regarda le plateau sans comprendre… Elle se tourna vers Paul qui la regardait en souriant :
— Je me suis permis de vous commander quelque chose, en pensant que vous auriez faim… J’ai mal fait?
— Non, c’est très gentil à vous… Mais il ne fallait pas…
— Ho ne vous inquiétez pas, c’est compris dans le prix du vol…
— Ha d’accord, répond Audrey en reportant son attention sur son plateau.
— Je vous conseille d’éviter ceci, ajouta Paul en désignant un paquet dans le coin supérieur droit du plateau. Ce nest vraiment pas bon.
Amusée, Audrey remercia ce dernier et lui offrit son nom :
— Moi, c’est Audrey, on peut peut être se tutoyer?
— Avec plaisir, moi c’est Paul.
— Et que fais-tu dans la vie Paul?
— Et bien je travaille dans une entreprise de livraison et je pars faire une formation pour être magasinier, et toi?
— Moi je suis esthéticienne, et je travaille avec une amie en institut.
— A Paris?
— Non je vais là-bas pour rendre visite à mon frère que je n’ai pas vu depuis longtemps…
— Ha ok je vois,… Et il y a un homme dans ta vie?
— Et bien non pas pour l’instant, le travail me prend beaucoup de temps et à dire vrai je ne sors pas si souvent que ça donc… Et toi?
— Non, moi non plus je n’ai pas d’homme dans ma vie, répondit Paul avec un sourire. Audrey sourit également confuse.
— Et pas de femme non plus, répondit-il rapidement afin de lui donner une échappatoire.
— Je vois. Et cela fait longtemps que tu vis seul?
— Depuis six mois environs, lorsque que mon ex est partie pour un autre…
— Ok, désolé…
— Ne le sois pas, sa mère était épouvantable…
Elle sourit et se détendit sensiblement.
— Et toi ? demanda Paul.
— Moi cela fait un peu moins d’un an, je me suis rendu compte que mon conjoint passait nos économies dans sa voiture, et après 6 mois de crises et de disputes, c’était finit…
— Oui j’imagine…
On fut interrompus par la sonnerie du téléphone d’Audrey. Son frère venait de l’avertir qu’il ne pourrait pas venir la chercher à l’arrivée de l’avion pour raison professionnelle et lui proposait de venir seule chez lui. Paul lui proposa alors de faire un bout de chemin avec elle puisque sa formation ne devait commencer que le lendemain. Elle accepta à demi-mots et reprit la conversation où elle en était restée.
Pendant la suite de la celle-ci Paul ne put s’empêcher de remarquer à quel point Audrey était jolie. Il était plus accaparé par ses lèvres que par ce qu’elle disait, mais s’efforçait de rester dans la conversation pour ne pas se faire prendre. Audrey continuait de parler, racontant des anecdotes sur son travail et sur des sujets anodins. Paul jetait maintenant des regards sur les seins d’Audrey. Très discrètement bien sûr mais ces deux attributs ne le laissait pas de marbre. Des pensées érotiques l’assaillirent malgré lui et un début d’érection commença à naître dans son boxer.
Audrey ne comprenant pas pourquoi il avait parfois un air absent, se rendit finalement compte de la raison pour laquelle Paul paraissait pensif par moment. En effet, et malgré le fait qu’il le fasse très discrètement, Audrey l’aperçut un peu trop souvent regarder sa poitrine. Amusé par cela et touchée par la délicatesse du geste : tout le monde ne le fait pas si subtilement. Cela lui plus et elle en joua un peu. Se mettant dans une posture dévoilant un peu plus son décolleté, gonflant légèrement sa poitrine,… Elle perçût vite l’excitation de Paul. Celui-ci avait du mal à tenir en place et était obnubilé par la bosse présente dans son jean qu’il avait toutes les peines du monde à camoufler. Audrey, que la situation excitait légèrement aussi, se rendit compte que ses seins trahissaient son désir. Paul avait tiqué sur ces derniers et elle se senti trahis par son corps, incapable de camoufler son désir pour son voisin de siège. Pire tout devin pour elle très tactile : le coin de son magazine qui reposait sur son mont de venus, le coude de Paul contre le sien sur l’accoudoir. Sa main effleurant la sienne par moment, son souffle sur sa peau, dans son coup lorsqu’il lui répondait.
La texture de ses lèvres, son sourire, son envie de l’embrasser. Elle devait se ressaisir! Son dessous était bien mouillé maintenant et ne portant que quelque chose de léger, elle avait peur qu’une odeur, même faible, de son excitation se fasse sentir. Ses mamelons étaient maintenant durs comme du bois, et déformait bien le tissus de son haut. Elle se maudit de n’avoir mis quelque chose de plus "rembourré" mais le mal était fait… Ou le bien pour Paul en tous les cas! En effet, celui-ci était maintenant serré dans son pantalon, et son érection commençait à lui faire mal. Pire, il sétait rendu compte quAudrey avait perçu son émoi. Il avait aperçu son trouble également, aux vues de sa poitrine et de sa manière plus prononcée à toujours avoir les jambes serrées. Mais comment savoir si elle voulait aller plus loin? N’osant pas se prendre un râteau devant tout le monde et finir le trajet de manière tendu, il s’abstint de toute initiative.
Ce fut finalement Audrey qui rompit la glace.
N’en pouvant plus de regarder son érection et ses regards appuyés sur ses seins, ivre de désir, l’adrénaline présente dans son corps lui fit faire ce qu’elle n’aurait jamais faite en temps normal.
Alors que Paul essayait de détendre l’atmosphère en parlant de son travail, elle lui vola un baiser. Un moment éphémère et si soudain que Paul ne réagit même pas.
Croyant avoir fait une bourde, Audrey, le rouge au joue et verte de honte regarda ses mains en baissant la tête.
C’est alors qu’un doigt vint effleurer son menton et par une délicate et sensuel pression, lui fit tourner la tête vers son propriétaire. Leurs lèvres se rapprochèrent et se touchèrent enfin. Ce fut un baiser merveilleux! Long, sensuel, délicat, tendre,… Réveillant en Audrey un besoin sexuel depuis plusieurs mois enfuit en elle. Depuis trop longtemps privée de plaisir sexuel, son intimité était inondée et ses doigts se faufilèrent sans sa volonté sur l’entre jambe de Paul. Toujours bien dur, elle saisit son sceptre entre ses mains et le palpa lentement. Les mains de Paul se faufilèrent sous le manteau dAudrey, posé sur ses genoux, et passèrent entre ses jambes, sous sa jupe. Arrivés à la limite de son intimité, là où la peau et si douce et très sensible, Audrey poussa un gémissement discret, sa langue encore dans la bouche de Paul, faisant monter encore un peu plus l’érection de celui-ci. Il fit passer un doigt sur le tissu transparent qui couvrait le jardin secret dAudrey, pour trouver l’échancrure des grandes lèvres où se trouvait un petit dôme de chair bien gros, déjà sortit de son capuchon à la recherche de caresses. Paul eut juste le temps de caresser ce point sensible pendant quelques secondes quAudrey sera les cuisses, chassant la main de Paul avant de murmurer :
— Pas ici… Viens!
Attrapant sa main, elle entraina Paul à l’arrière de l’appareil et ils sengouffrèrent dans les WC. Une fois le loquet fermé, ils se jetèrent dans les bras l’un de l’autre et se touchèrent de partout, échangeant un autre baiser passionné. Les mains d’Audrey partirent vers les fesses de Paul et glissèrent sous son boxer afin de pouvoir toucher la peau de son amant. Paul avait remonté la haut dAudrey et avait fait sauter le soutiens gorge devenu inutile avant de lécher les seins gonflés d’excitation. Audrey avait passé ses mains entre eux, et après avoir baisser le jeans et le boxer de Paul, elle le branlait doucement, appréciant la texture de sa bite, caressant en même temps ses testicules bien pleins.
Paul avait alors entreprit de relever la jupe d’Audrey et de faire glisser le tanga noir qui était maintenant de trop pour glisser ses doigts entre les grandes lèvres gonflées et trempées de cyprine. Ayant retrouvé le bouton de plaisir d’Audrey, Paul avait entrepris un massage en règle, faisant gémir sa maîtresse de plus en plus fort. Soudain, prise de convulsion, Paul eut toutes les peines du monde à retenir Audrey qui avait du mal à tenir sur ses jambes, assaillit par un orgasme dévastateur. Les doigts de Paul étaient envahi de mouille, et afin de nettoyer tous ces dégâts, il se mit à genoux devant le lieu convoité et fit glisser sa langue dans l’intimité d’Audrey, gonflé de plaisir et inondé de cyprine. Il pût récolter le précieux nectar et le savourer longuement. Appréciant le moment et le plaisir de cette situation. Une fois bien nettoyée, Paul entreprit de titiller le clitoris dAudrey réinsufflant en elle un désir intense de sexe. Après avoir fouillée son intimité dans tous ses recoins et plongée au plus profond de son ventre, sa langue finit sa course sur le petit illet dAudrey. À ce contact elle se dégagea rapidement, peu habituée à cela, et se retourna afin de présenter sa chatte luisante d’envie à son amant. Celui-ci vint se placer derrière elle, et enfonça lentement sa queue, dans les chairs d’Audrey, parcourant doucement la distance avant de disparaître compléments et buter contre les douces fesses toutes mouillées de sa maîtresse.
Audrey poussa un long gémissement, encourageant Paul à repartir en arrière pour entament un lent va et vient. La douceur de cette pénétration et le plaisir offert par celle-ci, emmena Audrey au septième ciel et Paul, qui alternait pistonnage rapide et pénétration lente, eut bientôt beaucoup de mal à ne pas jouir et à faire durer ce moment magique. Voulant abréger ses souffrances, et voulant surtout faire du bien à sa partenaire, Paul vint caresser en même temps les beaux seins d’Audrey, pendant que sa deuxième main avait filé entre les cuisses de cette dernière pour lui caresser son bourgeon de plaisir. Ceci ne permit à Audrey que de tenir quelques poignées de secondes avant, une fois de plus, dinonder les doigts de Paul par un orgasme très intense. Celui-ci, maintenant à l’étroit dans le fourreau de chair d’Audrey qui se contractait autour de son pieu subissant le plaisir de cette dernière, sentit le point de non-retour. Il accéléra alors son mouvement, fessant ainsi durer encore plus l’orgasme d’Audrey et permettant à son engin de libérer enfin son plaisir. Il remplit le vagin de sa partenaire de long jet de sperme épais et chaud, entendant Audrey gémir de plaisir, il l’embrassa dans le coup une fois son plaisir terminé, afin de lui témoigner sa reconnaissance et le plaisir reçu.
Celle-ci passa sa main derrière son épaule et attrapa la tête de Paul tout en penchant la sienne en arrière dans un geste tendre et intime. Elle murmura un "merci" et elle sentit la verge de Paul, maintenant devenu molle, retomber de son ventre. Elle s’installa sur le WC afin
De faire couler le jus de Paul dans la cuvette et elle regarda son amant dans les yeux. Celui si faisait de même et une fois essuyée et rhabillée, elle se jeta dans ses bras afin de partager un nouveau baiser enflammé.
C’est alors que le pilote annonça larrivée prochaine et demanda aux passagers de regagner leur siège et de boucler leurs ceintures pour la descente de l’avion sur la piste.
Paul et Audrey finirent leur étreinte et regagnèrent leur siège, repus.
Ils finirent leur vol main dans la main, à s’embrasser amoureusement et Paul partagea la vie d’Audrey à partir de ce moment…
