Aujourd’hui c’est mon anniversaire. Ma femme, Camille et moi-même le fêtons tranquillement à la maison avec deux de ses amies, Amélie et Laura.
Amélie est une grande fille mince aux longs cheveux lisses et châtains, un visage fin, tout comme son corps qu’elle sait mettre en valeur par des tenues élégantes. Pour l’occasion, elle portait un débardeur blanc qui moulait sa généreuse poitrine, un gilet léger couleur moutarde et une petite jupe à fleurs bleu clair. Une paire de sandales venait agrémenter sa tenue pour orner ses pieds aux ongles vernis.
Quant à Laura, c’était une fille plus réservée. Une jolie petite blonde aux yeux bleus, les lèvres soulignées d’un ton rouge pétant,
un léger trait d’eyeliner pour accentuer son regard sur son teint clair. Une robe noire, à manches mi-longues, venait enrober ses formes, ses jambes étaient affinées par de jolis escarpins noirs.
Quant à ma femme, elle sait ce qu’il me plaît, c’est une somptueuse brune aux yeux foncés, le regard élargi par un mascara volumineux, un rouge à lèvre intense, un petit nud dans les cheveux qui lui donne une allure de pin-up et une superbe robe rétro dans un style années 50, des talons aiguilles assez haut assortis, et je soupçonne même une paire de bas couleur chair.
Le repas se passe bien, nous rions, nous buvons, et arrive le moment tant attendu des cadeaux.
Camille me tend le sien, je l’ouvre et découvre un chemisier blanc étrangement féminin et une minijupe plissée à carreau rouge.
Je rougis et je me dis que ma chérie va jouer les petites écolières pour moi ce soir. Elle connaît bien mes fantasmes!
C’est au tour d’ Amélie de me tendre son cadeau. Cette fois-ci c’est une paire d’escarpins noirs à hauts talons avec une petite bride sur la cheville.
Je rigole et demande aux filles si ce n’est l’anniversaire de ma femme plutôt que le mien. Tout le monde rigole.
C’est désormais Laura qui me tend son cadeau, les yeux pétillants et toute souriante. Je découvre une perruque blonde. Je reste figé un instant, en totale incompréhension..
Camille hausse la voie et m’adresse la parole.
-Mon chéri, ce soir nous sommes entre filles et tu es le seul garçon, alors nous allons arranger ça.
Les filles rigolèrent.
-Suis moi avec tes paquets je vais m’occuper de toi.
Camille m’entraîna alors dans la chambre et commença à me déshabiller. Je me laissais faire en étant à la fois excité et apeuré. Une fois nu, elle me
montra la petite jupe et le chemisier.
-Je ne vais quand même pas porter ça ?
-Si mon cur, tu vas le faire, un cadeau ne se refuse pas.
-Non c’est hors de question
-Aller mon cur, c’est histoire de s’amuser un peu, c’est ton anniversaire, marquons le coup!
-bon… si tu veux…
-Mais par contre je vais te prêter quelques sous-vêtements, sinon tu vas ressembler à rien!
Elle fouilla alors dans le placard, et en sortit un corset qu’elle me fixa aussitôt en ajoutant des paires de chaussettes dans chaque bonnet pour me faire une petite poitrine.
-Avec ça, tu auras des formes plus adéquates avec ta tenue.
Elle poursuivit ensuite avec une paire de bas qu’elle fixa aux jarretelles du corset. La sensation était très plaisante, et mon sexe était dur comme fer.
Elle ignora ce détail, puis me fit mettre le chemisier qu’elle ferma boutons par boutons, et qui me faisait un décolleté sexy et une taille de guêpe.
Puis la jupe, la sentant remonter le long de mes jambes gainées je ne put m’empêcher d’échapper un petit gémissement de bonheur.
-Allons ma chérie, calme-toi. Tu n’es pas au bout de tes peines!
-Quoi ? "Ma chérie"? as-tu dit ?
-Oui, à partir de maintenant tu es ma chérie. Je vais désormais te laisser entre les mains d’Amélie qui saura quoi faire de toi.
Nous sortîmes dans le couloir et les filles me regardèrent avec un sourire en coins. J’avais honte, je voulais me cacher!
Amélie me prit par la main et me conduisit dans la salle de bain.
Elle me regarda de haut en bas avant de me lancer
-Alors comme ça on aime jouer les filles ?
-Non.. pas du tout..
-Arrêtes un peu, je suis au courant, Camille m’a dit que vous aviez déjà fait l’amour en te faisant porter une petite culotte, puis ça a été un string, une jupe, une robe et que ça t’avait même excité.
Elle m’a dit que depuis, tu voulais tout le temps porter des robes et des dessous féminins pour faire vos cochonneries, et elle te soupçonne même d’en mettre en son absence, et de te masturber dedans. Est-ce vrai ?
Je restais sans voix, elle savait tout, elle connaissait mon jardin secret, et tout était planifié. J’étais piégé.
-Maintenant que je sais que tu aimes te sentir femme, je vais faire de toi une femme. Tout d’abord enlève-moi ces bas, je vais t’épiler. Des jambes de femme poilues, ce n’est pas joli!
Je baissais la tête et retirais mes bas, elle remarquait au passage mes dessous.
-Camille a fait de toi une vraie petite bombe dis-moi.
La cire chaude arrivait sur mes jambes et après quelques minutes douloureuses elles étaient lisses comme des jambes de femme.
-Te voilà avec des jambes de divas. Elles sont belles et douces, beaucoup de filles aimeraient avoir de belles jambes comme les tiennes, tu as beaucoup de chance, tu sais ? Maintenant je vais m’occuper de ton visage. Toutes femmes qui se respectent se maquillent.
-Mais je ne suis pas une femme..
-Fermes-la maintenant! Tu joues les lopettes quand tu es seul, tu la supplies pour porter des robes quand vous faites l’amour alors ne discutes pas! Aujourd’hui tu seras une vrai femme, une salope! Compris ?
-Oui…
-Oui Madame!
-Oui.. Madame.. répondis-je d’une petite voix intimidée
Elle commença par me poudrer le visage pour me donner un teint un peu plus foncé, elle appliqua un anticerne sous mes paupières, et dessina mes yeux d’un trait d’eyeliner. Elle allongea mes cils à l’aide d’un mascara, et souligna ma bouche d’un rouge à lèvres encore une fois intense. J’étais transformée. Une véritable bimbo!
-Voilà j’ai fini, je vais t’aider à remettre tes bas, et tes jolis talons. Tu aimes les talons pas vrai ? C’est Camille qui me l’a dit. Ceux-ci font 16 cm de haut. De quoi bien te cambrer et faire ressortir ton petit cul à croquer.
Elle m’aida à enfiler mes bas correctement et les refixa aux jarretelles, puis me demanda mes pieds un par un pour mettre ces jolies chaussures aux talons vertigineux. Elle m’accompagna jusque devant la porte pour rejoindre le couloir, et juste avant de sortir, me mit une petite tape sur les fesses en me chuchotant à l’oreille "Tu es vraiment bonne ma chérie, on va bien s’amuser"
Ces mots me firent frissonner et me redonnèrent vite une érection spectaculaire avant d’arriver dans le couloir.
Laura s’avança désormais vers moi. Le bruit de ses talons raisonnait dans ma tête. Probablement mon côté fétichiste qui faisait des siennes.
Elle me prit par le bras et m’entraina à nouveau dans la salle de bain comme si nous étions deux copines.
Elle me dit d’une voix douce et rassurante.
-Tu es très belle, tu devrais te travestir plus souvent.
Je lui répondis que je le faisais de temps en temps quand j’étais seul
-Je m’en doutais, tu as tout pour être une fille, on dirait qu’au fond de toi tu en as toujours été une. Et tu me plais beaucoup ainsi. Je vais maintenant m’occuper de ta coiffure.
Elle déposa tout en douceur la perruque blonde sur ma tête, et commença à s’occuper de cette chevelure. Ses mains étaient douces, ses gestes délicats, et les regards qu’elle me lançait à travers le miroir, attentionnés. Elle me fit une longue tresse qu’elle laissa descendre sur mon épaule et me laissa quelques mèches de chaque côté du visage pour affiner mes traits. Elle fixa le tout avec un jet de laque à paillettes, puis m’aspergeâ de quelques goutes d’un parfum de fille doux et sucré.
-Tu es maintenant prête ma belle, les filles ont vraiment fait du beau boulot.
Avant de regagner le couloir, elle déposa un baiser sur ma joue et glissa une main sous ma jupe en m’agrippant le sexe déjà tendu. Elle me regarda avec un regard de braise, sourit, et relâcha lentement la pression sans me quitter des yeux, puis laissa glisser sa main sur mes jambes prisonnières du nylon. Une fois de plus j’étais pétrifiée d’excitation.
De nouveau dans le couloir avec les filles, je me sentais enfin celle dont j’avais toujours rêvé d’être secrètement. J’étais belle, sexy, élégante.
Camille lança
-La voilà notre belle petite princesse.
Amélie rigola et lança à son tour.
-Oui, elle est vraiment bonne dans sa petite tenue d’écolière. Regarde cette bouche à pipe que je lui ai faite!
-Mais trop, on dirait qu’elle attend que ça de sucer! Dit Camille.
Camille souleva sa robe et je découvris qu’elle était équipée d’un gode ceinture!
-Aller viens Clara, viens me sucer.
-Clara ? répondis-je étonnée
-Tu préfères peut-être "Sale pute"? "Trainée" ? "Catin"? Très bien aucun souci! Alors viens ici tout de suite ma petite salope et montre-moi la pute que tu es, ça a toujours été en toi de toute manière!
Je m’avançais, regard baissé, me mettais à genoux et m’exécutais. Je posais mes lèvres sur cette bite en plastique et l’engloutis en faisant des va-et-vient et en enroulant ma langue autour comme j’avais pu voir certaines filles le faire dans des films pornos.
-Très bien tu vois quand tu veux!
-Elle fait ça bien tiens notre petite salope. s’écria Amélie.
-Oui, on dirait qu’elle a fait ça toute sa vie la pute! Je vais pouvoir la dresser comme il faut et en faire une vraie petite pouffiasse.
Camille m’attrapa par les cheveux et m’emmena dans la chambre.
Amélie répliqua,
– Notre écolière n’a pas été très sage on dirait ce semestre, elle va donc devoir se rattraper si elle veut finir l’année.
Nous sommes entre filles comme tu peux le voir, nous sommes deux dominatrices Camille et moi, et toi et Laura êtes les soumises. Nous allons donc vous corriger, vous serez à nos ordres? Prêtes les filles ?
Camille fit allonger Laura sur le lit face à moi. elle remonta sa robe me dévoilant sa chatte toute lisse, et déjà mouillée.
-Aller Clara, dévore-moi cette petite garce!
Je m’exécutais pendant qu’Amélie avec ses mains baladeuses aux alentours de mon anus, commençait à me titiller. Elle m’enfonça un doigt, j’eus un peu mal mais elle arriva vite à en mettre un deuxième pendant que Laura prenait son pied sous mes coups de langue.
Camille nous interrompit soudainement!
-Stop! Clara, maintenant que tu as bien lubrifié ta collègue de classe, tu vas la pénétrer avec ta minable petite bite de travesti! Aller ma chérie! Montre-leur comment tu fais bien l’amour en portant des vêtements de pute!
Je m’exécutais pour mon plus grand plaisir, à quatre pates au-dessus de cette charmante blonde que je découvrais tout en profondeur, son souffle dans mon cou, et ses frémissements sous mon corps. Mais les choses changèrent et je sentis quelque chose se présenter au bord de mon cul. Non pas un doigt, non pas deux mais un gode ceinture de bonne taille qu’Amélie sortit de sous sa jupe. Quelle garce, encore une fois elle avait tout prévu!
-ça ma chérie, c’est pout t’être branlée dans la robe bleue que j’avais prêtée à Camille, apparemment ça t’a bien excité qu’elle ait été portée par deux salopes comme nous avant d’arriver sur une pute de travlo comme toi. Regarde-toi sale trainée, t’es qu’une pute qui bande en portant des robes et des jupes. Sale pervers va! Tu veux te sentir femme, bah je vais te baiser comme une femme! Maintenant donne-moi ton misérable petit cul de pucelle que je m’occupe de lui Sale pute vas!
Je regardais alors Camille qui du regard semblait approuvait les mots d’Amélie et sans plus attendre elle m’enfonça son gode ceinture dans la bouche pour m’empêcher de répliquer pendant qu’Amélie me fourra l’anus avec le sien.
-Aller pouffiasse, tu as entendu Amélie, t’as sali sa robe, en plus elle aussi a eu du plaisir dedans. Un gars l’a baisé dedans sans prendre le temps de lui retirer. Un vrai mec, pas une lopette comme toi, déguisée en petite fillette cochonne, et maquillé comme une moins que rien. Alors maintenant prend-toi ça dans le cul, je sais que tu aimes ça! Et suce-moi bien comme il faut. C’est maintenant à ton tour d’être traité comme un objet sexuel. Et n’oublie pas de baiser ma petite Laura, elle aussi c’est une salope comme toi, mais sur elle ça ne se voit pas.
J’étais submergée, baisée par tous les trous, en train de baiser une autre fille, une orgie de filles, l’anus explosé et la bouche écartée comme jamais, j’avais envie de pleurer de honte et j’étais en même temps très excité par la situation avec à mon cou, toujours la petite Laura qui me poussait à accélérer le rythme. C’est surement ça qui me faisait tenir le coup face à toutes ces émotions. Tous ces enchainement tournèrent vite en plaisir pour toutes, les coups de reins d’Amélie qui pilonnaient mon anus devinrent vite une véritable source de plaisir, le déhanché de ma chérie dans ma bouche m’excitait au plus haut point, et le sexe gorgé de cyprine de Laura n’allait pas me faire tenir bien longtemps!
D’ailleurs, Laura commençait à perdre ses moyens me serrant de plus en plus fort contre elle, et s’essoufflant davantage, ce qui n’échappa pas à Amélie qui elle aussi prenait son pied et accéléra la cadence. Laura jouit la première en me mordant l’épaule pour retenir ses cris, Camille se retira de ma bouche et s’installa à la place de Laura. Elle m’ordonna de venir m’empaler sur son gode,
alors qu’Amélie était en face de moi , assise sur la bouche de ma chérie, qui lui donnait du plaisir avec sa langue. Quant à Laura, elle se trouvait à côté de moi, et s’occupait avec ses mains agiles de me branler tout en me roulant des pelles. Elle me caressait la rondelle bien ouverte de son autre main tout aussi agile. Nous finîmes toutes par atteindre l’orgasme, Amélie inonda le visage de Camille, qui elle même-prenait un malin plaisir à m’enculer. Quant à moi j’aspergeais les filles de ma semence. Laura se léchait les doigts je dus nettoyer avec ma langue la jupe d’Amélie, et les seins de Camille qui dépassaient du haut de sa robe, et embrasser es filles langoureusement, pour se passer le sperme de bouche en bouche avant de tout avaler.
Nous nous endormîmes pleines d’émotion, blotties les unes contre les autres comme 4 copines.
Le lendemain matin, je me réveillais seule encore habillée de ma tenue de salope de la veille.
Je descendis en bas, les filles étaient en train de prendre leur petit déjeuner.
Je fis la bise à toutes, et nous prîmes le petit déjeuner ensemble tout en rediscutant de ce qui s’était passé la veille. les filles terminèrent et je fis la vaisselle pendant qu’elles montèrent à l’étage se refaire une beauté.
Une fois fini, je fonçais dans la chambre pour me débarrasser de mes vêtements. A peine la jupe et le chemisier retirés, je me retrouvais dans ma lingerie de femme fatale d’hier, en bas, porte jarretelle, corset, et string. Je pris le temps de me regarder dans le miroir et une érection arriva presque instantanément en voyant l’image qui m’était renvoyée.
Je me saisissais de mon sexe et commençais quelques allers-retours avec ma main. C’est à ce moment-là que les filles arrivèrent. En me surprenant ainsi, elles ne purent s’empêcher de rire.
Elles étaient toutes les trois maquillées, coiffées et habillées de manière plutôt sexy, toutes perchées sur des talons hauts. Camille tenait une robe dans sa main, Amélie une paire d’escarpins et Laura une perruque et une trousse de maquillage. Elles me tendirent les accessoires en me regardant avec un sourire radieux, avant que Camille me propose.
-Ma chérie, on va faire du shopping entre filles, tu nous accompagnes ?
FIN