Histoires de sexe Histoires de sexe à l'école Histoires gays

Un colocataire inattendu – Chapitre 1

Un colocataire inattendu - Chapitre 1



Il y a maintenant deux ans environ, j’ai fait la rencontre de Rémi, un jeune homme de 25 ans, sur un tchat où j’avais l’habitude de traîner dès que l’ennui pointait le bout de son nez. Parfois, je m’y rendais pour calmer mes fantasmes, parfois juste pour discuter. Ce jour-là, j’étais plutôt d’humeur à dialoguer quand j’ai été abordé par Rémi. Au fil de la discussion, il est rapidement apparu que l’on s’entendait bien. Si bien que quelques jours plus tard, on a échangé nos skypes, montré nos visages, puis, sous son insistance, nos numéros de téléphone quelques mois plus tard.

Jusqu’à maintenant, nous n’avions jamais abordé le sujet du sexe, mais à partir de nos échanges via SMS, les choses ont commencé à doucement à « déraper ». Il m’avoua un jour qu’il avait des attirances bisexuelles qu’il n’osait cependant pas assouvir. Il ne m’était pas bien difficile de comprendre pourquoi, car à l’époque, je savais déjà qu’il avait une petite amie avec qui il vivait depuis maintenant un an. D’abord hésitant à m’en mêler, je finis cependant par lui conseiller d’en parler à sa compagne. Après tout s’ils s’aiment vraiment, je ne voyais pas vraiment pourquoi elle ne l’accepterait pas, d’autant qu’ils étaient sexuellement très actifs à en croire les récits, excitants, qu’il me faisait parfois de leurs ébats.

Après plusieurs jours d’hésitation, il finit par prendre son courage à deux mains et à avouer ses fantasmes à sa petite amie qui le prit particulièrement mal… Visiblement, la demoiselle était très possessive et ne voulait pas partager son homme avec un autre. Par la suite, la situation en resta là durant plusieurs mois, lui préférant ne pas réaborder le sujet, moi préférant ne pas me mêler de leurs affaires de couple.

Malheureusement, ses envies étaient trop fortes et il me le faisait clairement savoir. De mon côté, j’avais fini par lui avouer que les hommes ne me laissaient pas non plus indifférent. Toutefois, dans mon cas, je pensais surtout que c’était parce que je n’avais jamais eu de petite amie dans ma vie. Néanmoins, cela n’empêcha pas nos échanges d’être de plus en plus chauds, d’abord en mot, puis en photo. On commença tout naturellement par montrer nos sexes, moi ma petite queue de quelques 14 centimètres, mais épaisse, lui sa bite à la forme particulière, épaisse à la base et plus fine au bout. Je dois bien avouer qu’elle ne me laissait pas indifférente et me faisait penser à un plug anal. Puis, lentement mais sûrement, nous nous dévoilions d’autres parties de notre corps, moi mes rondeurs, lui sa finesse presque efféminée sans le moindre poil visible.

Et bien entendu, on en est venu à montrer nos fesses, moi mon gros cul bien rond cachant un petit trou rose serré, lui son petit cul excitant cachant un petit trou que j’avais envie d’ouvrir avec mon petit outil.

Au début, c’était surtout du gros plan, de temps en temps. Puis les photos devinrent plus nombreuses, on se photographiait et envoyait nos photos, ou vidéos, dès que l’on en avait envie, parfois le matin au levé, parfois en pleine nuit, parfois sachant que l’autre était occupé ailleurs et donc dans l’idée de nous faire bander et de nous placer dans une situation gênante. Rémi aimait beaucoup m’envoyer des photos quand je sortais en ville, sachant que je prenais le bus, l’idée de me faire bander en public l’excitait beaucoup, et bien entendu cela était bel et bien le cas. Surtout lorsque l’on a commencé, la confiance aidant, à se montrer plus largement et à visage découvert. A 4 pattes en divers endroits de nos appartements, écartant nos fesses pour montrer nos envies de bite. Sur un siège, les jambes relevées et le trou ouvert. Parfois même dehors quand l’un ou l’autre trouvait un petit coin calme pour s’exhiber et se photographier.

Tout comme son corps imberbe ne me laissait pas indifférent, je savais que je lui plaisais également beaucoup, malgré mes rondeurs que je n’assumais pas., mais pour lui, les nounours comme moi étaient synonyme de tendresse.

Nombreux ont été nos échanges où chacun s’imaginait faire l’amour à l’autre. Malheureusement, la situation devenait de plus en plus « difficile » pour moi, et sans doute aussi pour lui. Nos envies, surtout les siennes, devenaient de plus en plus importantes et Rémi n’hésitait plus à me proposer de venir le rencontrer chez lui, d’abord juste pour discuter autour d’un verre. Mais lui comme moi savions ce que l’on désirait vraiment… Lui m’ouvrir le cul avec sa bite en forme de bouteille de Perrier, moi lui pénétrer l’anus avec ma bite épaisse, tout en s’embrassant et se caressant. Malheureusement, il restait une dernière barrière : moi, qui n’osais pas. Rémi était clairement prêt à franchir le pas, multipliant les demandes de rencontre et les photos toutes plus excitantes les unes que les autres, s’habillant parfois même avec les vêtements de sa copine.

Mais je n’y arrivais pas, je n’arrivais pas à oser franchir le pas, à prendre mon courage à deux mains, surpasser ma timidité et mes craintes, afin d’aller le voir et assouvir mes envies. A chaque fois qu’il abordait le sujet, j’utilisais la même excuse : sa petite amie. Je ne voulais pas me retrouver entre deux feux, j’avais peur que l’on soit surpris et des conséquences que cela pourrait avoir. Ce qui était en partie vrai, mais au fond j’étais encore trop « coincé » pour franchir le pas, malgré mon besoin de sexe de plus en plus brûlant.

C’est donc sans doute par ma faute et mes multiples refus qu’un jour il accepta de rencontrer un autre homme qu’il avait entre-temps rencontré sur le Tchat. Rapidement, je compris qu’il devint son amant et qu’il prenait grand plaisir à « s’accoupler » avec lui, comme il me le disait durant nos rares échanges qui suivirent. Il était cependant clair qu’il n’avait pas tout ce qu’il souhaitait, son amant était a priori un peu trop brutal à son goût. Certes, il aimait se faire baiser brutalement par cet homme poilu, mais la tendresse n’y était pas.

Malheureusement, ce qui devait arriver arriva. Un jour, sa petite amie rentra plus tôt que prévu et surprit Rémi et son amant en pleine baise. Comme on peut s’en douter, elle entra dans une rage folle et vira l’intrus de chez elle. J’ignore si elle lui a laissé le temps de se rhabiller, mais j’en doute. Quant à Rémi, il eut bien entendu le droit à une bonne grosse engueulade, avant d’être foutu à la porte avec ses affaires…

Désormais à la rue, abandonné par sa petite amie, mais aussi par son amant, qui ne voulait plus avoir à faire à lui et encore moins l’héberger, je ne pouvais pas me résoudre à le laisser dans cette situation. Aussi, malgré ma grande anxiété à le faire, je lui proposais de venir chez moi, le temps qu’il trouve une solution.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire