Tu m’attires entre tes cuisses, m’encercles avec tes jambes, qui s’enroulent autour de mes hanches. Je sens ton sexe sur le mien, ils se câlinent. Tu m’embrasses, longuement, me caresses, on reste blottit un moment. Je te propose d’aller te rafraîchir un peu, pendant que je finis le repas, et que je dresse la table. Un dernier baiser, et tu files.
Je te regarde marcher, je regarde tes fesses qui se dandinent, ton déhanché est très excitant. J’ai envie de te suivre, envie de croquer ses jolies fesses, mais je n’en fais rien, pas pour le moment. Quand tu reviens, tout est prêt. Tu as remis ton peignoir, moi le mien. Je n’ai pas serré bien fort la ceinture, volontairement. On s’assoit pour déjeuner.
A peine assise, mon peignoir s’entrouvre, un de mes seins apparaît en parti. Je vois ton regard. Je frôle mon téton, du bout de mon doigt, il roule, je gémis doucement. Tu regardes, mais c’est tout. Un pan de mon peignoir, glisse sur ma cuisse. Tu approches ta main, et tu fais de même avec le second. Avec tes pieds, tout en douceur, tu écartes les miens.
Mes cuisses s’ouvrent, ma fleur aussi, tu me demandes de me caresser pour toi. Totalement impudique, j’obéis, en te regardant droit dans les yeux. Tu ouvres ton peignoir, pour m’exciter d’avantage. Devant ce corps, comment ne pas avoir envie de se faire du bien. Je place un pied, sur la chaise voisine, je suis encore plus ouverte.
" Tu vois bien ma puce ? "
Je n’attends pas, et me pénètre de suite. Un doigt, que je te fais goûter, bien évidemment. Deux doigts, trois doigts. Mes doigts vont et viennent à un rythme effréné. Je mouille beaucoup, mes doigts font de jolis petits clapotis, à chacun de leur passage. Tu me fixes, avec des yeux coquins. J’y vais encore plus fort. Je pousse de petits cris.
" Mon cur, j’aimerais ta main, toute ta main "
Tu sembles ravie de ma demande. Tu t’approches de moi, tu m’embrasses, déjà, et puis, tu t’agenouilles entre mes jambes. Tu constates que je suis déjà bien excitée, très excitée. Tes doigts glissent aisément, un, deux, trois, quatre, je suis surexcitée. Tu sais ce que je veux, tu me fais languir. Tu te relèves, et pars dans la chambre. Tu reviens très vite.
Tu as un flacon dans la main. Tu reviens vers moi, tu t’assois. Tu ouvres la petite bouteille, tu verses quelques gouttes, dans le creux de ta main. Tu répands l’huile sur toute ta main. Je te regarde faire. Tu approches tes doigts de mon entre-jambes. Tu recommences à me pénétrer, en enfonçant tes doigts progressivement. Un, deux, trois, quatre…
Tu les fais aller-venir. Tu resserres tes doigts entre eux. Ta main est fine, et longue. Tu l’introduis tout doucement, tu prends ton temps, tu fais des pauses. Tu n’hésites à bouger tes doigts, ils caressent les parois de mon vagin. Ta main est entrée en entier, tes doigts gigotent. Tu me provoques des sensations très fortes. Tu me fais crier.
Tu fais des va-et-vient, plus ou moins rapides, plus ou moins profonds. Ta main coulisse aisément, tu lui fais faire de petites rotations. Je stimule mon clitoris en même temps, je ne peux m’empêcher de gémir, de gémir fort. Le plaisir est si fort, que je ne peux résister longtemps. Mon corps s’embrase, mes muscles se tendent, je sens l’orgasme arriver.
Je ne contrôle plus ma respiration, mon corps est secoué d’une force incroyable, tu continues à me pénétrer, mais avec deux doigts seulement, lentement, tendrement, tu stimules mon clito avec ta bouche, c’est divin. Tu m’as fait vivre un moment très fort mon cur, merci. On s’enlace, nues, on se câline encore un moment, un long moment.