Histoires de sexe mobiles Histoires érotiques au travail

Un enterrement de vie de garçon peu banal – Chapitre 1

Un enterrement de vie de garçon peu banal - Chapitre 1



Je m’appelle Alex, je suis originaire de Bretagne, mais je suis parti vivre dans le Sud pour un poste en informatique. Je suis brun, je porte la barbe, j’ai les yeux bleus et je suis un habitué des salles de sports. N’ayant pas de contacts dans la région à mon arrivée, je me suis inscrit très rapidement dans une salle de musculation pour passer le temps. J’ai gardé contact avec mes amis bretons et il m’arrive de remonter leur rendre visite.

Un soir en rentrant du boulot, je reçois un e-mail de Samira, la belle-sur de mon ami Mikael. Elle m’annonce qu’une fête d’enterrement de vie de garçon est organisée par son copain et elle souhaite m’y convier. La fête se déroulant le vendredi soir, je pose directement un jour de congé en prévision de mon voyage. Je réserve un billet de train pour m’y rendre. Elle m’annonce qu’une personne viendra me chercher à la gare pour me conduire à la soirée, en me remerciant d’avance pour ma participation.

Les semaines passent, ma tenue pour l’occasion, ainsi que ma valise sont prêtes pour mon voyage. J’embarque alors dans le train, direction la Bretagne. J’ai toujours aimé les quelques heures de train me conduisant dans ma région d’origine auquel je suis fièrement attaché. Les heures défilent et me voilà déjà près à sortir du train. Arrivé sur le quai, je balaie la foule du regard quand soudain mes yeux se posent sur une sublime jeune femme brune en robe moulante noire. Perchés sur de hauts talons noirs les cheveux attachés en un chignon original. Une silhouette de rêve, de longues jambes, des hanches à croquer, une taille fine, des seins d’un bon 85b et une peau magnifiquement métissée. Il n’y a plus de doute il s’agit bien là, de Samira. La jeune femme d’origine algérienne, arbore un sourire magnifique, les yeux légèrement plissés lorsqu’elle m’aperçoit. Elle a toujours été à tomber. Nous marchons l’un vers l’autre et comme à son habitude, Samira est toujours aussi câline alors qu’elle m’enserre dans ses bras pour m’embrasser. Je la suis jusqu’à sa voiture et une fois installé nous discutons un peu.

— Comment sest déroulé ton voyage ?

— Très bien merci.

— Tu es vraiment un garçon super sympa, venir de si loin pour une fête.

— Je n’aurai raté ça pour rien au monde, il me tarde de faire la surprise à Mika.

— Je n’ai prévenu personne de ta venue, même pas ma sur.

— Sabrina ne sait pas que je suis ici ?

— Non, ce soir c’est la soirée de Mika et demain c’est la sienne.

— Et pourquoi ne pas l’avoir prévenu ?

— J’avais peur qu’elle n’en parle à Mika et puis j’ai quelque chose à te demander pour sa soirée ?

— Demande toujours mais tu sais que je dois prendre le train demain vers 17h pour rentrer, je ne pourrais pas faire grand-chose pour Sabrina.

— Voilà nous serons juste entre filles, moi, ma sur et Julia. Cette dernière et moi aurions aimé faire un cadeau un peu particulier à ma sur, mais nous n’arriverons pas à lui offrir.

— Tu veux de l’argent ?

— Non, laisse-moi finir s’il te plaît.

— Pardon

— Ce n’est rien, alors voilà je ne vais pas tourner autour du pot. Nous aimerions avoir un strip-teaseur pour sa soirée.

— Tu me demandes si je connais un strip-teaseur ?

— Non… nous aimerions que ce soit toi ?

— Moi ? Tu te moques de moi ?

— Le prend pas mal Alex, on a pensé à toi parce qu’on te connaît bien. Tu es cool, toujours prêt à rendre service et surtout……. bien foutu…

— C’est gentil les filles mais moi je ne sais pas faire de strip-tease !

— On ne te demande pas de faire une grosse prestation, juste quelques pas de danse et te déshabiller.

— Complètement ?

— Non ne t’inquiète pas, on nest pas là pour te forcer, on va juste rigoler un peu. Nous serons probablement saouls de toute façon, tu ne crains rien pour les pas de danse.

— Je ne sais pas trop…

— Allez s’il te plaît, on a déjà acheté la tenue et même un masque pour qu’elle ne te reconnaisse pas.

— Tu es sur qu’elle ne va pas me reconnaître ?

— Il faudra probablement enlever ta barbe. Me dit-elle avec un sourire gêné.

— Quoi ? Tu abuses là…

— Allez s’il te plaît sinon j’aurais fait ces achats pour rien…

— Rhaaaaa bon ok, mais laisse-moi aller changer mon billet alors !

C’est alors qu’elle me tend un billet indiquant ma destination et l’horaire pour dimanche.

— Tu avais prévu que je dise oui ?

— Non je l’espérais en fait. MERCIIIIII !

Dit-elle en se lovant dans mes bras. Elle m’a ensuite déposé chez Julia et Max, où avait lieu la soirée pour Mika. Elle fût bien arrosée et se termina au petit matin. Nous dormions bien lorsque Samira est venue me chercher vers 15h, prétextant qu’il fallait me rendre à la gare. Après les « au revoir » d’usage je suis parti avec elle. Elle me conduisit chez elle. La maison était étrangement vide et bien rangée.

— Ce n’est pas ici que se déroulera la fête de ta sur ?

— Non, nous avons loué une chambre dans un hôtel chic en ville.

— Et bien, on ne se prive pas…

— Rien n’est trop beau pour ma sur.

— Et où est Julia ?

— Avec ma sur elles font les boutiques le temps des préparatifs.

— C’est bien organisé dit moi.

— Et ce n’est pas fini. Tiens voilà ton costume pour ce soir.

C’était une tenue de policier avec des attaches spécifiques pour les strip-teases, de manière à pouvoir retirer très aisément les vêtements. Il y avait une casquette, une matraque, des bottes de fonction et même un string.

— Tu te moques de moi je vais devoir porter ça ?

— Tu peux porter ce que tu veux mais ça fera plus vrai avec. Mais je ne te force à rien.

— Non c’est bon je vais jouer le jeu pour toi.

— Merci tu es un amour… oups pardon

— Ne t’excuse pas, c’était flatteur.

Elle se mit à rougir avant de me dire comment allait se dérouler la soirée. Elle a loué une autre chambre à l’étage du dessous pour me permettre de me préparer, il est prévu que je monte frapper vers 22h après avoir préparé la surprise pour Sabrina.

L’heure approche et elle me conduit à l’hôtel, effectivement il s’agit là d’un bel établissement. Je file à la salle de bain et commence à raser les différents poils qui restent encore sur mon corps. J’en profite même pour raser totalement mes cheveux qui sont déjà tondus sans sabot pour ne pas me faire reconnaître. Le masque prévu recouvrira mes yeux et mon nez. Il reste une heure à attendre, j’en profite donc pour regarder des scènes de strip-tease en même temps que je fais quelques exercices de musculation pour avoir un corps au top pour cette première expérience. La fête bat son plein à l’étage, j’entends la musique et les filles rires et crier. J’enfile ma tenue et me rends à leur porte. La musique c’est interrompu je n’entends plus que les filles dire à Sabrina de ne pas bouger puis je frappe à la porte. Samira vient m’ouvrir. Elle porte une longue robe de soirée bleue fendue sur le côté, remontant presque jusqu’au sommet de sa cuisse, laissant entrevoir des bas très sexy. Elle est superbe dans cette tenue, elle entame la conversation qui comme convenu plus tôt sera très courte.

— Bonsoir Monsieur

— Bonsoir Madame

— Entrez, je vous en prie.

J’entre dans la pièce et découvre Julia assise sur le lit dans sa petite robe de soirée noire. Petite brune d’un mètre cinquante, les yeux verts, métisse également et des cheveux mi-longs. Un physique très avantageux malgré ses deux grossesses, bien en chair mais pas grosse pour autant, un physique parfait pour sa petite taille. De beaux seins bien gonflés par ses grossesses, une taille bien ferme et une paire de fesses bien bombées dans sa robe. Sabrina quant à elle, est assise sur une chaise au milieu de la pièce. Elle porte une robe rouge plutôt courte et croise ses longues jambes métisses, la remontant bien haut. Elle porte un joli carré brun plongeant, des yeux foncés et de sublimes lèvres pulpeuses. Elle est aussi grande que sa sur, fait du 90b une taille moins fine que sa cadette mais tout aussi sexy et un fessier bien large et bombé.

Elles semblent toutes deux surprises de me voir entrer. Ce qui me fait immédiatement penser que Samira était toute seule derrière cette petite surprise. Julia lance alors

— Tu as réussi à en trouver un ?

— Oui à la dernière minute ma belle.

— Vous êtes folles les filles ! Vous n’auriez pas dû !

— On n’a le droit à cette soirée qu’une fois dans sa vie grande sur, alors profite !

Samira sest alors avancée vers la platine et a lancé une musique typique des strip-teases au cinéma. Je me suis approché de Sabrina et j’ai commencé à danser comme dans les vidéos que j’ai pu consulter. Les filles ne mirent pas longtemps à m’encourager par des cris, ce qui m’a permis de me lâcher davantage. J’ai commencé à bouger mon cul au-dessus de ses jambes en retirant ma casquette et ma veste, elles se mirent à crier davantage. Je me suis retourné face à elle et j’ai arraché ma chemise libérant mon torse et mes abdos sous les yeux médusés de Sabrina, les filles applaudissaient et encourageaient désormais Sabrina.

— Touche-le ! Touche-le !

— Je… je ne… je ne peux pas les filles.

La situation prenait une tournure inattendue et n’ayant pas la possibilité de parler pour garder l’anonymat, j’allais devoir subir ce débordement. Samira, visiblement sous l’emprise de l’alcool encouragea davantage sa sur.

— Vas-y grande sur c’est ta soirée et j’ai payé alors fait moi le plaisir de le toucher !

— Mais…

— Vas-y ! Touche-le !

Elle posa délicatement ses mains sur mon torse et alors que je me déhanchais pour jouer mon rôle à fond. Elle fit descendre ses doigts le long de mon torse et sur mes abdos avec la bouche grande ouverte. Visiblement très agréablement surprise par mon corps elle rougissait avant de s’exprimer

— Waaaaaa quel corps !

— Tu m’étonnes ! Celui de nos mecs est tout plein de bière ! Ajouta Samira en rigolant

— Le mien est trapu, mais qu’est-ce qu’il est poilu ! Celui-là est dépourvu de poil que cela doit être agréable de passer ses lèvres sur son corps ! Renchéri Julia.

— Quoi comme ça ?

Termina Sabrina en plongeant son regard dans le mien alors qu’elle posa ses lèvres pulpeuses sur mes abdos. Ne me voyant pas protester elle a alors sorti sa langue pour me lécher les abdos d’une manière très chaude sous les hurlements des deux autres. La situation m’échappait totalement, voir la femme de mon ami me lancer un regard de défi comme celui-là alors qu’elle me lèche vulgairement m’a fait bander presque instantanément. C’est alors qu’elle a saisi mon pantalon par la taille pour tirer violemment dessus afin de le retirer, me laissant ainsi dans mon string gonflé sous mon érection. Les filles devinrent folles

— Regardez ça comme il bande ! Il doit avoir une sacrée queue ! Lança Julia

— Retire-lui son string grande sur, nous voulons voir ça ! Ajouta Samira

J’ai alors tourné la tête vers Samira pour lui faire comprendre que ça allait trop loin, mais elle se contenta de me sourire en haussant les épaules. Sabrina libéra ma grosse queue tendue de ce minuscule bout de tissu sous les cris hystériques de sa sur et de Julia. La honte avait laissé place à l’excitation, je secouais mon membre sous le nez de la future femme de mon ami et ça m’excitait ! Samira me voyant entrer dans le rôle à fond ce permis alors une folie sous mon regard abasourdi je n’en croyais pas mes oreilles.

— Suce-le ! Suce-le ! Suce-le !

Je sentais l’adrénaline monter dans mes reins tellement la situation m’excitait jusqu’à ce que Julia intervienne

— Quoi tu es devenue folle où quoi ? Elle ne va pas le sucer quand même ! Protesta-t-elle

— C’est sa soirée allez dit le que tu en crèves d’envie grande sur ?

— Je dois bien avouer que je suis complètement trempé depuis que j’ai posé mes mains sur son corps mais ça je ne peux pas le faire je n’en ai pas le droit. Je vais me Ma……

Elle fut stoppée net dans sa phrase lorsque dans un accès de folie je l’ai attrapée fermement par les cheveux en la regardant droit dans les yeux. Elle avait les yeux grands ouverts de surprise et les filles se sont tût presque instantanément. Voir cette femme inaccessible allez si loin pour m’exciter et s’arrêter létait insupportable pour moi, il fallait qu’elle assume à présent ce qu’elle m’avait fait. Soudain son regard a changé comme pour m’indiquer qu’elle comprenait ce que j’attendais d’elle. Elle me lança à nouveau ce regard de défi en ouvrant grand la bouche et en sortant la langue délicatement. Cette petite garce m’invitait carrément à lui faire ce que je pensais être sa punition. J’ai approché ma queue de sa bouche et sans qu’on se quitte du regard, je lui ai enfoncé centimètre par centimètre jusque dans la gorge. Cette allumeuse avala la totalité de ma queue sans sourciller, les filles étaient abasourdies par la scène se déroulant sous leurs yeux écarquillés. Un silence pesant c’était installé dans la pièce alors que ma queue était profondément engouffrée dans la gorge de Sabrina durant de longues secondes qui parures interminables. Je pensais qu’après avoir relevé ce défi fou, elle se serait ressaisie et se serait retirée pour terminer sa soirée sur cette note complètement osée. Elle posa alors ses mains sur ma taille et sans me lâcher du regard me fit un clin d’il sensuel. J’ai alors saisi ses cheveux au-dessus de sa tête de la main gauche et l’ai saisi par la nuque de la main droite laissant la scène qui allait suivre, accessible au regard de ses deux copines. Elles furent alors témoins d’une fellation brutale et intense, mes couilles frappèrent ses lèvres et son menton à chaque coup de reins alors que cette garce ne me lâchait pas du regard. La femme de mon ami était une sacrée suceuse de queue ! C’est alors que ce silence pesant prit fin en une phrase percutante

— Putain, la Salope !!! s’écria Julia

Julia pensait sans doute mettre fin à cette scène improbable mais elle se trompait

— Ouais, vas-y frangine tu es la meilleure !!! cria alors Samira

— Mais vous êtes devenu complètement folle les filles !

— Ho mais va-y lâche toi un peu Julia, c’est sa dernière soirée de femme libre.

Fit-elle en se levant pour s’approcher dans mon dos.

— Regarde-moi ce mâle ! Il est parfait !

Alors qu’elle posait maintenant ses mains sur mon dos musclé. Ses mains passèrent sous mes bras pour venir caresser mon torse et mon ventre.

— Punaise ! Il m’excite trop ! Elle se mit alors à me lécher le dos

— Bon ça suffit j’en ai assez vu je m’en vais ! Fit Julia en s’avançant vers la porte

— Non ! Non ! Non !

La devança Samira qui se tenait à présent entre elle et la porte. Elle l’a alors saisi par le poignet et l’a tiré par le bras pour la faire venir près de nous. La panique se voyait clairement dans son regard au vu de cette situation qui lui échappait totalement. Samira l’a plaça derrière sa sur face à moi et se tenant dans son dos pris sa main pour l’avancer vers mon torse. Voyant qu’elle se crispait pour éviter tout contact avec moi et qu’elle paniquait totalement, j’ai alors pris délicatement son poignet sans forcer pour la rassurer en plongeant mon regard dans le sien. Samira lâcha son emprise et Julia ne retira pas son bras, son regard changea immédiatement lorsque que je lui ai souri. Il était devenu doux, comme soulagé, puis elle me rendit mon sourire alors que je guidais lentement sa main vers mon torse. Ses doigts se posèrent délicatement dessus et elle fut comme délivrée.

— Ho mon dieu ! Lança-t-elle en se mordant les lèvres, avant de poser totalement sa main pour me caresser le torse.

— Alors comment tu te sens poupée ? Lui demanda Samira

— Mon string est foutu ! Fit-elle dans un éclat de rire

— Petite salope !

— Et toi t’es qu’une pute !

— Exactement, c’est le moment de s’éclater les filles !

Elles reprirent leurs hurlements d’encouragement alors que la future mariée me pompait toujours la queue violemment. Samira se plaça derrière moi et reprit ses caresses sur mon dos et mon cul alors que Julia prit confiance et se mit à me lécher le torse et les tétons.

— J’ai toujours rêvé de faire ça à mon mec, mais il est trop poilu ! Quel pied ! Merci Samira tu gères d’avoir trouvé un tel mec pour cette soirée

— J’ai galéré pour le convaincre de venir à moindre coût surtout

— Eh oui c’était plutôt cher comme prestation je me souviens quand on avait cherché ensemble.

— Il est temps de remercier ce charmant jeune homme comme il se doit !

Julia lui fit un clin d’il avant de s’agenouiller pour venir me lécher les couilles pendant que Sabrina continuait de me pomper la bite. Samira, elle, sest agenouillée derrière moi et m’a doucement mordu le cul.

— Trop bien rasé ! L’es-tu partout ?

Sur ses mots, j’ai levé ma jambe droite pour poser mon pied sur le bord de la chaise laissant ainsi plus de place à Julia pour s’occuper de mes couilles et de ma queue. Lorsque Sabrina remontait sur ma bite, elle accompagnait son mouvement grâce à ses lèvres. Samira avait alors une vue imprenable sur mon cul et avant que j’ai le temps de m’installer convenablement, cette chienne passait sa langue sur ma rondelle pour la butiner. Me faire bouffer par ses trois nymphos me fit monter en pression presque immédiatement et alors que ma respiration s’accélérait

— Lâche-lui la queue il va éjaculer ! S’écria Julia

Sabrina lâcha son emprise, Julia empoigna ma queue et se mit à me branler violemment.

— Ouvra la bouche salope ! Ordonna-t-elle à la mariée

Elle ouvrit grand la bouche et sortit sa langue qu’elle tendit d’une manière obscène en me regardant droit dans les yeux. Sa frangine me léchait toujours le cul, et dans un grognement le premier jet de foutre atterrit dans ses cheveux et en travers de son visage. Les jets suivants vinrent souiller sa belle robe de soirée.

— Merci jeune homme c’était un magnifique cadeau d’enterrement de vie de jeune fille ! Fit Sabrina toute souillée de sperme, le maquillage dégoulinant, preuve de sa pipe complètement obscène.

— Tu crois t’en tirer comme ça frangine ?

— Comment cela ?

Samira vint prendre sa sur par la main et la fit se relever de la chaise.

— Tu peux prendre cette chaise pour t’asseoir. Me dit-elle.

— Que fais-tu ? Demanda Sabrina

— Tu m’aides Julia ?

— Bien-sûr salope !

Julia s’approcha devant la mariée et commença à dénouer sa ceinture, alors que Samira détachait sa robe dans son dos

— Mais quest-ce que vous faites les filles ?

— On ne va pas te laisser dans cette robe pleine de sperme ! Fit Julia.

— On va montrer à notre invité à quel point tu es chaude frangine !

— Vous êtes folles ! Fit Sabrina en plaçant ses mains sur ses yeux

Je m’étais installé sur la chaise face au lit et je me branlais doucement en regardant ce spectacle. Ces deux nymphos effeuillèrent la future mariée très sensuellement. Sabrina qui se rendit compte que je me branlais en les regardant me jeta un regard torride alors quelle se mordait les lèvres. Les filles retirèrent sa robe laissant apparaître son corps de rêve dépourvu de dessous, elle ne portait que des bas résille. Elle rougissait alors qu’elle était totalement nue offerte à mes yeux. Elles l’installèrent sur le lit et lui firent écarter les cuisses d’une manière obscène, sa vulve bomber et parfaitement lisse me fit rebander directement. Samira et Julia se firent un clin d’il avant de retirer elles aussi leurs robes de soirée. Ces trois nymphos métisses rendraient dingue n’importe qui et malgré leur physique différent, elles étaient toutes les trois ultra bandante à poil en bas résille. Samira se rapprocha du visage de sa sur.

— Je t’aime grande sur ! Fit-elle en lui roulant une pelle irréaliste sous les yeux médusés de Julia et moi

— Je t’aime aussi petite sur ! En lui rendant son baiser.

Julia était époustouflée de la scène se déroulant devant elle lorsque les frangines se tournèrent vers elle. Samira la saisit par la nuque pour l’attirer vers elle et lui rouler une pelle tandis que Sabrina se mit à lui lécher les seins. Pas le temps d’être surprise, les frangines avaient gagné. Julia se laissait déguster par ces deux nymphos. Alors qu’elle tentait de se remettre de ce qui venait de se passer Samira se pencha sur sa sur et lui écarta largement les cuisses en me jetant un regard de défi.

— Viens baiser ma salope de sur !

La queue totalement remise et tendue d’excitation je me suis levé de ma chaise et me suis dirigé sans tergiverser vers cette chatte offerte. Je l’ai saisie par les cuisses et les tirer sur le bord du lit et sans plus de cérémonie lui ai mis un grand coup de reins. Mes couilles se sont écrasées sur ses lèvres humides alors qu’elle se tortillait sous cet assaut si soudain. Plaçant mes mains sur ses nichons je me suis mis à la baiser violemment. La garce criait à chaque coup de reins et ça m’excitait davantage. Sa chatte se remplissait de mouille, ma queue nageait complètement entre ses lèvres baveuses.

— Putain quel mec ! Si seulement cela pouvait durer plus longtemps !

Samira me regarda alors avec un sourire jusqu’aux oreilles.

— Tu aimerais qu’il te baise encore ?

— Je ne sais plus…

Sous ses propos je les martelé de coup de queue intense et elle sest lâchée.

— Oui ! Oui j’aimerais qu’il me baise encore et encore même après mon mariage !

— Vilaine salope ! Lui lança sa sur

Elle s’est alors relevé et est venu dans mon dos me dire à l’oreille

— Maîtrise cette pute ! M’ordonna-t-elle

Je l’ai alors saisie fermement par la gorge. C’était si spontané que Sabrina me regarda avec un regard ébahi.

— Je t’aime frangine et j’espère que tu vas aimer ma surprise ! Se tournant vers moi. Baise-la à fond !

J’y allais alors tellement fort que mon ventre était trempé de mouille, la salope hurlait son plaisir toujours maintenu par la gorge. Samira fit alors déraper totalement la soirée et ôtant mon masque sans prévenir. Sabrina écarquilla les yeux toujours en hurlant

— Putain de merde ! Alex !

Lança-t-elle alors que je la défonçais totalement et qu’elle hurlait ses gémissements et son plaisir.

— Salut Sabrina !

— Ho putain salut, tu me défonces trop bien !

— Joyeuse dernière soirée de jeune fille

Elle répondit difficilement tant le rythme de mes coups de queue était intense

— Mer… ci…

Julia était sans voix de cette surprise, on se connaissait déjà au collège et à cette époque c’était la pétasse du bahut. Jamais elle naurait imaginé se retrouver dans une telle situation des années plus tard.

— Putain salope tu abuses ! Fit-elle à Samira

— Joue pas les offusquées pétasse, on sait très bien que tu kiffes sur lui chaque fois qu’il vient voir Mika.

— Bordel ça devait rester entre nous ça !

— C’est vrai ça ? Lançais-je

Julia était toute rouge et sans voix, son regard plongé dans le mien, elle était comme tétanisée. J’ai sorti ma queue de la future mariée et je suis monté sur le lit m’avançant vers elle. Sur les genoux, elle tomba sur les fesses alors que je m’approchais sans lâcher son regard. La queue luisante de la mouille de Sabrina je me tenais au-dessus d’elle. J’ai passé une main dans ses cheveux pour la saisir fermement, elle s’est alors redressée pour venir passer le plat de sa langue sous mon sexe souillé de liqueur. Me saisissant les fesses, elle entreprit une fellation profonde et gourmande. L’alcool avait décidément débridé ces trois nymphos pour qu’elles se lâchent autant sur mon sexe. Sa salive trempait davantage ma bite que la chatte de Sabrina, mes couilles et mon trou étaient inondés. Samira passa dans son dos pour lui caresser les seins et lui sucer le lobe de l’oreille alors qu’elle pompait vigoureusement mon chibre. Elle lui susurrait des mots à l’oreille alors qu’elles me regardaient toutes deux droit dans les yeux.

— Tu te régales de sa bite, hein salope ?

N’obtenant comme seule réponse que des gémissements elle l’a taquina d’avantage.

— Ton fantasme est en train de se réaliser petite pute, depuis le temps que tu nous racontes les saloperies que tu rêves de faire avec lui

Julia enfonça mon sexe profondément dans sa gorge jusqu’à s’étouffer. Sabrina qui reprenait son souffle toujours allongé sur le bord du lit, souriait de voir cette garce si fière d’elle à l’accoutumée devenir une petite chienne soumise.

— Tu meurs d’envie qu’il te défonce, avoue-le chienne ! Lui lança-t-elle.

Julia lâcha ma queue, le visage couvert de salive et le mascara dégoulinant

— Oui ! Je veux que tu me défonces ! Mais par respect pour Max tu vas devoir me péter le cul ! Fit-elle en me défiant du regard.

— Mais tu es une putain de chaudasse toi ! S’écria Samira

— Tu peux parler pétasse ! Alors beau gosse tu relèves le défi, où tu te défiles ?

— Je vais bien m’occuper de toi et ton joli cul.

— J’attends de voir !

— Mets-toi en levrette salope !

— Putain que ça m’excite quand tu es autoritaire comme ça !

Julia se plaça à quatre pattes, son joli cul bombé bien relevé. Elle me regardait du coin de l’il pour me voir venir, j’ai posé ma main entre ses omoplates et ai fermement appuyé

— Cambre-toi mieux que ça chienne ! Pose tes superbes nichons à plat sur le plumard !

— A tes ordres !

— J’espère que tu es une habituée de la sodomie, car je ne suis pas ton mec moi, je vais y aller à fond !

— Tu ne me fais pas peur !

J’ai posé mes pieds le long de ses genoux et pliant mes jambes pour placer ma queue devant son orifice serré je l’ai saisi par les hanches. Sans autres indications, elle a posé ses mains sur ses fesses et les a écartés largement entrouvrant par la même occasion son petit trou. Posant mon gland sur son rectum, j’ai poussé mon sexe tendu d’un trait jusqu’à la base, mes couilles s’écrasant sur sa peau lisse. Julia ne bronchant pas, je me suis mis à la pilonner sans retenue. Le bruit de mes couilles claquant sa toison retentissait dans la pièce, les frangines, bouches bées, observaient la scène bestiale qui se déroulait. Après de longues secondes de silence, Sabrina qui regardait le visage de Julia, les yeux fermés la bouche grande ouverte, crispée par cet assaut fit un commentaire.

— Tu fais moins la maligne pétasse, tu prends cher hein ?

— Tu m’étonnes j’ai mal au cul pour elle. Ajouta sa sur.

La réponse de Julia tarda encore un moment à venir tellement cette sodomie était virulente pour son orifice. Son silence fit d’abord place à des gémissements puissants qui m’encourageaient à lui défoncer le cul davantage tellement ils m’excitaient. Puis elle me regarda en tournant le visage sur le côté, je posais une main entre ses omoplates pour bien la maintenir sur le lit. Elle m’était vraiment soumise et ça m’excitait trop. Elle s’exprima enfin mais avec difficulté sous mes coups de reins.

— Putain, tu me casses le cul salaud !

— Et tu n’as encore rien vu ! Tu vas prendre cher pour ton comportement du collège !

J’ai alors agrippé ses cheveux après m’être enfoncé profondément dans son boyau et je l’ai faite basculer sur moi. J’ai passé mes bras sous ses cuisses et ai remonté ses jambes bien haut en plaçant mes mains derrière sa nuque la queue toujours fichée profondément dans son cul. Son petit gabarit était un réel plaisir à manipuler, Max en a de la chance, sa femme est une vraie bombe. Ses beaux nichons bien comprimés entre ses genoux, elle offrait une vue superbe à ses copines. Bien installé, j’ai repris mon va-et-vient intense dans son cul, dans cette position ma queue stimulait sa paroi vaginale et alors que je la baisais violemment des jets de cyprines jaillirent de sa petite chatte directement sur les frangines.

— La salope ! Elle éjacule ! Hurla Sabrina visiblement très amusée par la situation

— Laisse-moi goûter ! Ajouta Samira en se positionnant face à ces jets de cyprine.

Les deux surs se placèrent face à ses jambes grandes ouvertes, la bouche béante pour boire le jus d’amour de leur ami d’enfance. Elles ne s’arrêtèrent pas là, Sabrina vint s’installer entre mes cuisses pour lécher mes couilles pendant que je martelais ce trou du cul. Samira quant à elle vint directement butiner la chatte de Julia, recevant et buvant de grosses quantités de sa mouille.

— Sale pute ! Vas-y continue ! Bouffe-moi la chatte ! S’écria Julia parmi ses râles et gémissements de plaisir.

— Tu as trop bon goût ma salope !

— Ton cul aussi à sacrément bon goût poupée ! Finit Sabrina

— Putain je vais éjaculer à nouveau tas de salopes, allongez-vous en ligne la bouche grande ouverte, je vais tout vous cracher à la gueule ! Criais-je

Les filles s’exécutèrent précipitamment et s’allongèrent comme ordonnées. Elles s’étaient même installées spontanément de la manière la plus optimisée pour recevoir chacune leur quota de foutre. Julia sur ma droite, la tête au centre, Samira à gauche la tête contre celle de Julia et pour finir la mariée à droite épaule contre Julia et tête contre sa sur. Leurs bouches grandes ouvertes je me branlais énergiquement le phallus jusqu’à ne plus en pouvoir. Julia prit le relais et me branla violemment alors qu’un premier jet de foutre puissant traversa le lit atterrissant sur le visage de la mariée. Le second vint finir sa course sur le visage des deux autres et Julia vint me finir dans sa bouche sans arrêter de me branler. C’est alors qu’elles se léchèrent le visage mutuellement pour boire jusqu’à la dernière goûte de ma semence dans une chorégraphie des plus bandantes.

— Jamais je naurais imaginé me taper trois filles aussi sexy que vous en même temps.

— Merci tu es chou ! Répondit Samira en me faisant un clin d’il.

La soirée touchait à sa fin et les filles crevées par cette séance de baise et son lot d’émotions, m’invitèrent à me joindre à elles dans ce lit gigantesque où nous avons dormis tous ensemble. Bien installé entre les frangines j’étais songeur alors que les filles très fortement alcoolisées dormaient à point fermé. Je souriais les yeux dans le vide repensant à cette soirée folle lorsque Sabrina vint se lover contre moi. Le visage dans mon cou, le bras sur mon torse et la jambe remontant entre mes cuisses.

— Tu dors ? Me chuchota-t-elle à l’oreille…

La suite bientôt

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire