C’est plus un massage, c’est des câlins » ronronne Joëlle..
En effet, après un massage complet, Laurent se concentre désormais sur ses seins, titillant les tétons durcis. À cet appel sa langue investit aussitôt la bouche de Joëlle la main droite se posant en même temps sur sa toison blonde, ouvrant ses lèvres et ne fut pas surpris de la trouver trempée.
Laurent se remémore comment il est arrivé à ce délicieux instant où Joëlle ravissante bourgeoise de trente-huit ans s’offre ainsi à lui, beau sportif de vingt-neuf.
Le mari de Joëlle, Franck, l’avait contacté par minitel et ils s’étaient rencontrés dans un bistrot parisien. Il lui avait présenté des photos très intimes de sa femme qui lui avaient permis d’apprécier sa plastique ; petite blonde aux yeux verts, jolie poitrine menue, belles jambes fuselées qui se rejoignent autour d’une toison frisée et méticuleusement entretenue.
Il avait accepté volontiers sa mission, rémunérée, de coach privé et masseur que Franck souhaitait offrir à Joëlle et avec encore plus d’enthousiasme l’objectif de la faire craquer et devenir son partenaire sexuel. Franck trouvait Joëlle trop sage, il souhaitait lui faire vivre des situations sexuelles insolites et le triolisme masculin, voire plus.
Laurent était déjà venu il y a trois jours, dans cette jolie maison ancienne en pleine nature à 20 km de Paris et une première séance s’était déroulée dans le salon, sur un tapis ancien en soie. Après le fitness Joëlle s’était déshabillée et allongée sur le ventre en slip et soutien-gorge. Il l’avait alors massée du cou aux pieds, pétrissant ses fesses en profitant de la culotte échancrée sans être un véritable string. Il avait également dégrafé le soutien-gorge pour ne pas le tacher avec l’huile.
Quand Joëlle se retourna elle se retrouva seins nus face à Laurent qui les regardait avec insistance et Joëlle lui sourit en rougissant légèrement. Il reprit le massage par les jambes puis remontant lentement, il souleva légèrement le slip de part et d’autre de son sexe mais en veillant bien à ne pas effleurer sa toison. Puis progressivement il parvint à ses seins qu’il pétrit doucement mais longuement, alors il posa un baiser dans le sillon entre les deux mamelons et se releva en lui tendant la main pour l’aider à faire de même.
Elle partit prendre sa douche d’abord ; à son retour en peignoir, Laurent, nu comme un ver arborait en sexe plutôt gonflé. Elle lui montra la salle de bains. Ensuite rhabillé, il lui fit une bise sur les deux joues non sans avoir touché le montant de sa prestation.
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Aujourd’hui, après le stretching, Joëlle avait d’emblée retiré son soutien-gorge pour être massée. Elle porte un slip en fine dentelle jaune. Parvenu à ses fesses il prend l’élastique entre ses doigts et propose :
On a bien travaillé le haut des jambes, je vais te masser les fessiers enlève ta culotte !
Joëlle se retourne et face à lui, la fait glisser le long de ses jambes, cette fois totalement nue devant le coach puis se remet à plat ventre.
Il s’applique alors à pétrir ses fesses, l’une après l’autre écartant de plus en plus ses jambes pour masser l’intérieur des cuisses jusqu’à frôler l’extérieur des lèvres de son sexe qui progressivement s’écartent laissant apparaître un sillon rose luisant de son humeur d’excitation. Parvenu à la nuque, il la fait se retourner et, de face, reprend depuis les pieds, s’attarde aux cuisses écartées, ses doigts touchant délibérément sa toison et le bourrelet de ses lèvres, sans s’aventurer vers la fente inondée.
Il s’occupe ensuite du ventre et remonte jusqu’au cou pour s’appliquer ensuite sur les seins qu’il malaxe de plus en plus doucement, avec des mouvements concentriques resserrés sur les aréoles, et enfin les tétons que bientôt, enhardi, il pince entre ses doigts.
C’est alors que Joëlle l’incite à franchir le pas avec sa supplique :
C’est plus un massage, c’est des câlins
Laurent l’embrasse à pleine bouche et ses doigts commencent à fouiller la chatte de Joëlle qui ondule du bassin. Il embrasse ensuite ses seins, les suçotant ou mordant les tétons avec ses dents. Joëlle dégrafe les boutons du jean pour délivrer la queue pendant que Laurent déboucle sa ceinture. D’une bonne longueur, il est surtout massif, large et de couleur plus foncée, presque une bite de noir. Il s’avance à genoux vers sa bouche, elle s’accoude pour se mettre à hauteur et lécher le gland gonflé, lisse et tendu puis la hampe et les bourses de belle taille. Et elle le prend dans sa bouche ; ses vas et viens sont de plus en plus profonds, puis elle arrête ses mouvements, le pieu totalement englouti au fond de sa gorge, le nez contre les poils pubiens de Laurent et retire ses mains.
Le coach comprend l’appel de la coquine et commence délicatement à faire l’amour à sa bouche dans un mouvement du bassin, ample et de plus en plus profond, enserrant sa tête dans ses mains, les doigts dans les cheveux. Sans cesser son pilonnage, il s’allonge au-dessus d’elle en 69, son nud baise la gorge, sa langue excite le clitoris et deux doigts explorent le sexe trempé. Il délaisse le palais, cette fournaise chaude et humide, et s’agenouille entre ses cuisses, poursuit l’auscultation de son vagin, avec trois doigts jusqu’au point G qu’il trouve aisément et titille tout en suçotant son clitoris jusqu’à l’explosion de Joëlle dans un tremblement irrépressible de son bassin et ses hurlements de plaisir Quand Joëlle jouit, elle le fait savoir !
Laurent retire sa main, se déshabille, et tend un préservatif à Joëlle ; elle lui enfile avec la bouche comme si elle avait fait cela toute sa vie Franck, qui mate aux fenêtres de la maison, n’en revient pas d’un tel naturel, mais il est trop excité pour se poser des questions.
Joëlle se met alors en levrette devant Laurent, les coudes au sol, genoux écartés, cambrée, offerte, passive. Elle ferme les yeux pour se concentrer sur cette pénétration imminente, impensable, et si désirée ; tendue sur les sensations que son vagin va lui procurer à l’intrusion de ce sexe inconnu, lui qui depuis 15 ans ne reçoit que ce sacré Franck pour des orgasmes, plaisants et secouants, certes, mais accoutumés, routiniers.
Laurent se joue de l’offrande. Il caresse les fesses, les reins, et entreprend de faire le tour de sa proie, paisiblement, posément. À l’inverse de cette chamade qui l’envahit tout entier, de cette urgence qui le rend frissonnant, enfiévré. Ses doigts glissent le long du sillon dorsal, ses mains se rejoignent à la nuque et chacune part retrouver les seins à pleine paume et titillent les pointes durcies, au centre de ces petites aréoles espièglement bosselées ; ses doigts remontent vers la bouche et Joëlle les lèche tous l’un après l’autre.
Nulle parole ne doit troubler ce moment suspendu Laurent poursuit son examen des contours de la statue figée, immobile ; il frôle le creux de la taille, la courbe d’une hanche, le charnu de la croupe, le soyeux du ventre, le frémissement des cuisses impatientes Il est de retour où Joëlle le veut. Il pénètre de deux doigts la vulve et écarte les lèvres, approche son gland pour maintenir l’ouverture, tient fermement les hanches et, insensiblement fait progresser son pieu dans cette grotte inconnue qu’il conquiert, un peu par effraction.
Joëlle ressent furieusement cette agaçante progression, plus elle est lente, plus des frissons électrisent son corps, plus sa peau et ses duvets l’horripilent, plus l’envahit le désir d’être possédée, étourdie d’être colonisée. C’est alors que, d’un coup de rein sec, Laurent pénètre brutalement son con et arrache à Joëlle un râle de délivrance. Tout au fond d’elle, il lui semble ressentir le col et il fait tourner son braquemard dans sa fournaise, avant de commencer d’abord doucement puis plus énergiquement de la pistonner amplement. Son sexe ressort presque de ses lèvres puis s’engouffre vigoureusement au plus profond, alternant les rythmes qui arrachent plusieurs orgasmes successifs à l’épouse adultère.
Laurent a joui dans la capote. Il la retire et la place dans la main de Joëlle, alanguie sur le côté, abasourdie et heureuse de cette chevauchée impromptue ; il se love contre elle le long de son dos elle regarde la capote, la triture un peu, puis se retourne face à lui et sa bouche va reprendre possession de la verge fripée. Elle parvient à lui rendre de la vigueur et va s’installer dans le canapé :
Maintenant prends moi de face, je veux te voir me baiser, dit-elle en écartant les cuisses.
Pas avant d’avoir visité la chambre conjugale Tu m’as dit qu’elle était au rez-de-chaussée, montre-la moi.
Non c’est intime, Laurent et j’ai promis à Franck
Zut ! Il n’est pas là, ton mari, allez montre-moi où tu couches, où tu baises avec lui,
Mais on fait aussi l’amour ici
Ça, ici, c’est fait, répond Laurent en prenant ses poignets pour la lever.
Joëlle a cédé, et prend Laurent par la main, ils traversent la cuisine, un couloir, pour entrer dans la chambre du couple.
Tu dors où ?
De ce côté, indique Joëlle.
Laurent se dirige vers la table de nuit ancienne, ouvre le tiroir et le referme. Il ouvre la porte : un autre tiroir Joëlle est tétanisée Laurent en ressort un godemiché en buis vernis, presque noir, très réaliste.
C’est bien de ce côté que tu couches, coquine ! Belle pièce (il l’approche de son sexe). Ah zut j’ai débandé on ne peut pas comparer, viens me sucer qu’on voie.
Il se rapproche de Joëlle, qui ne bouge pas, appuie sur ses épaules, elle cède sous la puissance du basketteur ; maintenant agenouillée devant son appareil et avale à nouveau la bite, pendant que Laurent promène le sexe de bois sur ses seins et le sillon de ses fesses. Il bande de nouveau.
Reste ainsi : prends ton joujou et compare-le à moi.
Le god est plus gros que le membre de Laurent.
C’est Franck qui l’a tourné, façonné, poli et verni avoue Joëlle
Montre-moi comment tu t’en sers petite coquine
Joëlle hésite et Laurent la jette sur le lit :
Baise-toi la chatte avec ce bout de bois, montre-moi comment tu te fais plaisir quand ton mari est en voyage !
Joëlle s’exécute, allongée sur le lit familial, écarte de la main gauche les lèvres de sa chatte et présente le braquemard brillant devant son fourreau luisant et progressivement la colonne disparaît qu’elle anime de haut en bas et de côté, en tournant. Elle sait y faire pour se faire reluire la petite garce ! Laurent lui pince les tétons, les suçote puis la prend par les épaules pour la positionner au bord de la couche, sa tête tombe en arrière, les lèvres en parfaite position pour une pénétration profonde. Alors qu’il prend le contrôle de l’épouse en sa bouche, il s’empare du phallus du mari planté dans sa femme et accorde les vibrations, les tempos, varie les cadences, pour obtenir un final vocal d’opéra : Joëlle hurle sa jouissance, remplie pourtant du chibre de Laurent qui, trop ému, laisse jaillir sa semence au fond du palais de la femme adultère.
Il s’affale sur le lit interdit, puis ils reprennent lentement conscience. Laurent n’a pas violé Joëlle, mais l’intimité de sa chambre, et c’est une victoire. Joëlle, quant à elle s’est abandonnée dans le cénacle privé de son couple un tabou s’est envolé.
Il faut que je parte ! t’as vu l’heure ? dis Laurent, je file prendre ma douche
Je te fais un café ! propose Joëlle
Il la rejoint dans la cuisine, ils sont toujours nus l’un et l’autre, leurs habits sont à côté dans le séjour.
J’ai adoré tout ce que tu m’as fait, Laurent, tout ! Joëlle se pelotonne contre lui, l’embrasse et sa vigueur repart de plus belle !
Il se brûle en buvant sa tasse et pose Joëlle sur la table, elle est trop basse, c’est grand un basketteur Alors il la pose sur le lave-vaisselle, les jambes sur ses épaules et la pénètre sauvagement, brutalement, il la baise violement, se masturbe en elle jusqu’à son éjaculation, sans se préoccuper de la femelle.
T’es bonne, t’es belle et t’es salope !
Il se rhabille et Joëlle le raccompagne, non sans lui remettre les sous de sa prestation de coach !
Elle l’embrasse sur les lèvres,
À vendredi, Laurent.
Et se fait couler un bain bien chaud.