Je m’appelle Gabriel.J’ai le prénom d’un ange.Et pourtant, je suis un démon.Un démon de perversions.Laissez moi vous conter comment je suis devenu un pervers.J’ai 21 ans et je suis étudiant en médecine. Je suis assez timide, renfermé. Je n’ai pas beaucoup d’amis et je sors peu. Je n’ai pas de copine, je ne suis pas puceau mais je n’ai pas souvent de relations sexuelles. Je considère que j’ai un physique quelconque, je dirais même ingrat. Je suis petit, 1m60, je porte des lunettes qui me donnent un air intello.Bref, les filles ne me courent pas après.mon père, Bernard, 50 ans, est souvent absent du domicile familial. Il est ingénieur dans une société qui travaille dans le pétrole. Il est souvent parti à New York, l’Arabie Saoudite ou le Koweït. Autrefois, il allait souvent en Irak mais depuis quelque temps, pour des raisons évidentes, il préfère s’abstenir.Ma mère, Isabelle, est une belle femme de 44 ans. Grande, élancée, fine, de belles jambes qu’elle met toujours en valeur en portant des jupes droites. Je crois bien que je ne l’ai jamais vu en pantalon. Elle est souvent en tailleur. Elle ne travaille pas, les revenus très confortables de mon père nous permettant de vivre de façon aisée.Elle passe son temps à s’occuper d’ouvre de bienfaisance et de jeunes en difficultés en donnant des cours de français à travers une association. Elle a fait des études pour être prof et elle a laissé tomber quand elle a rencontré mon père. Bref, c’est une bourgeoise oisive, très appréciée dans le quartier résidentiel ou nous habitons. Pour ma part, entre deux cours à la fac, je m’ennuie un peu.Je vais donc souvent sur internet.Et notamment sur les sites de cul.Je vais beaucoup sur les sites ou l’on peut voir des photos de femmes habillées sexy dans des poses suggestives et j’ai toute une collection de DVD pornos avec des femmes symbolisant la bourgeoise salope. J’ai toujours fantasmé sur les femmes d’âge mur. Je pense parce qu’elles sont souvent habillées « classe » tailleur, bas, talons aiguilles.Je ne me sens pas attirées par les filles de mon âge. Moi, mon truc, c’est la bourgeoise, la femme BCBG. Il y en a quelques unes dans mon quartier et je bande souvent en les regardant. Je mate ma mère parfois aussi.Des fois, je la surprend dans sa chambre quand elle oublie de fermer la porte et je l’observe , le cour battant la chamade d’être pris sur le fait, en train d’enfiler avec grâce un bas sur ses longues jambes dont elle accentue encore la finesse en portant des talons aiguilles. Je vais tous les soirs sur un excellent site d’histoires érotiques, disons pornographiques du reste, qui sont envoyées par les internautes eux mêmes.j’ai toujours voulu en envoyer une mais je n’ai jamais osé.J’ai oublié le nom de ce site.Story quelque chose il me semble.Je recherche à chaque fois les histoires de domination et de soumission. J’ai honte de l’avouer mais je bande souvent en lisant des histoires de bourgeoises contraintent d’obéir à de pervers maitres-chanteurs.Certes ces histoires sont d’une totale immoralité et souvent critiquées du reste mais que voulez vous.Moi, elle m’excite et je donne toujours une excellente note à ces internautes.
J’étais tranquillement affalé sur le canapé en train de lire un roman d’espionnage, quand mon portable sonna. J’abandonnais une scène érotique torride à regret pour décrocher. Nous sommes samedi soir, ma mère est absente, partie diner avec des amies et mon père est à Los Angeles.
— Salut p’tite bitte !
Je souris.Je reconnais mon seul et unique ami, Christophe, Chris.Tout le contraire de moi.Grand, imposant. Dragueur invétéré, séducteur.Je ne compte plus le nombre de filles qu’il a sauté.Je lui en veux parfois de réussir ce que je ne parviens pas à accomplir. Je lui en veux aussi quand il m’appelle « p’tite bitte » même si je sais qu’il n’y a pas de méchanceté.
— T’es ou ? me lance-t-il.
— Chez moi.
— Tu ne peux pas sortir un peu non !
C’est un sujet de dispute entre nous, je sors en effet très peu.Il me propose de venir le rejoindre chez lui (il habite à deux pâtés de maison) car il a une sortie un peu spéciale à me proposer.Méfiant, je demande de quoi il s’agit.Il me répond qu’il m’expliquera.J’hésite et je décide de le rejoindre après tout, ca n’engage à rien et je pourrais toujours revenir si ca proposition ne me plait pas.
? d’heure après je sonne chez lui. C’est sa mère qui m’ouvre. Nadine est plus petite que ma mère mais également très excitante. Toujours en jupe, elle a aussi de belles jambes. Je me suis déjà masturbé en l’imaginant en train de me faire une pipe pendant que son fils serait dans sa chambre.Un fantasme quoi.Elle me fait la bise et je me sens rougir.Elle porte un T-shirts largement décolleté laissant apparaitre la naissance de ses seins. Elle a une poitrine avantageuse la mère de Chris.Et je plonge mes yeux dedans à chaque fois.
— Chris t’attends.me dit elle avec un sourire.
Elle se retourne et se dirige vers le salon, ce qui fait que je peux lorgnée sur ces jambes nues.
J’arrive dans la chambre de Chris.Il est sur un site de cul ou il regarde une vidéo montrant une vieille en train de se faire défoncer par des jeunes.On a le même fantasme Chris et moi.C’est ce qui nous rapproche.Il entre tout de suite dans le vif du sujet.
— Tu connais le « Coquin Libertin » ?
Je sursaute.J’en ai déjà entendu parler mais je n’y ai jamais été bien entendu.
— C’est une boite à partouze, non ?
— Un club échangiste, corrige Chris.Comme si il y avait une réelle différence.
— Et alors ?
Chris me regarde en souriant.
— Je connais le videur, on peut y entrer si tu veux.
— Mais.objectais je, plein de bons sens, comme toujours, il ne faut pas être deux ?
— Nous sommes deux, Gabriel.soupira Chris.
— Je voulais dire : un homme et une femme.
— Tu veux te déguiser en femme, me lance t’il avec humour.Tranquillise toi, je te dis que je connais le videur ; on pourra rentrer sans aucun problème.
Je dévisage mon ami avec incrédulité.
— Mais pourquoi veux-tu aller dans un club échangiste ?
Il éclata de rire !
— A ton avis, idiot !
Nous nous retrouvons donc dans sa voiture direction le « Coquin Libertin » qui se situe à quelques kilomètres de la ville ou nous habitons.
Nous avons pu effectivement rentrer sans aucun problème. Nous n’avons même pas payé l’entrée. Alors qu’une queue, sans mauvais jeux de mots, s’allongeait. Je suis étonné de voir, à l’entrée, les videurs demandé aux femmes de tout âge de soulever légèrement leurs jupes afin de constater si elles sont vêtues d’un porte-jarretelles ce qu’elles font sans aucunes gênes.
Chris m’explique qu’il s’agit d’une soirée à thèmes. Ce soir : « soirée porte-jarretelles » les femmes qui sont affublées de cet outil, oh combien érotique, ne paie pas l’entrée.Fallait y penser.
Nous rentrons dans ce lieux de débauche et mon cour bat la chamade.Je suis à la fois effrayé et excité d’être dans un endroit pareil.Il fait sombre.Des couples sont assis dans des box ou ils se caressent avec une total impudeur. Une femme, la jupe révélée jusqu’à la taille, gémit pendant qu’un homme lui enfonce deux doigts dans sa chatte.Juste à coté, une autre femme, d’âge mur, fait une pipe à un homme qui pourrait être son fils.Je sens ma bite durcir dans mon pantalon. On entend des gémissements, des petits cris.Une fille, vêtue d’un short sur des collants noirs opaques, et d’un boléro largement décolleté jusqu’au nombril, s’approche de nous et nous dirige vers une table d’une démarche chaloupée.Ces talons aiguilles accentue la cambrure de ses reins.Nous nous installons et Chris commanda deux whisky.Je protestais car je n’ai pas l’habitude de boire de l’alcool.
— Mais lâche toi un peu..Mate la bourgeoise la bas.
En effet, une superbe blonde qui devait avoir la quarantaine, vêtue d’une robe du soir, était en train de faire un strip-tease devant plusieurs hommes qui se branlaient comme des fous.Je suis complètement excité, je vais éjaculer dans mon slip si ca continue.
Nous restons à mater un bon moment. Puis, une femme s’approcha de Chris et lui chuchota quelque chose à l’oreille. Il se leva et m’adressant un sourire d’excuse la suivit vers le boxe ou l’attendait un autre homme. Je l’observais et je vis la femme libérer son sexe déjà gonflé et commencer à le sucer devant l’autre homme qui était certainement son mari.Je soupirai.une fois de plus, ce n’étais pas à moi que cela arrivait.Je devais être maudit des glandes.Découragé, déprimé, je me levais et commençait à déambuler dans la boite. Je mis en quête des toilettes et j’arrivais devant une porte ou il était inscrit « PRIVE ».Surpris, je me demandais ce qui pouvait être « privé » dans un endroit pareil !
Curieux, je poussais la porte.Il s’agissait d’une pièce, petite.Eclairée par des projecteurs. J’entends des halètements.Des cris.Des gémissements. J’avançais un peu et aperçut la silhouette d’une femme. Mais je ne distingue pas ses traits. Elle est à genoux en train de sucer un type, ventripotent qui lui enfonce sa queue dans sa bouche. Je vois la tête de la femme qui monte et descend sur la bite de l’homme. Il la repoussa et elle se leva. Il la retourna et la cambra sur une table. Il enfonça ses doigts dans sa chatte et commença à la branler. J’ai une érection d’enfer et je commence à me caresser a travers l’étoffe de mon pantalon. Les gémissements de la femme emplissent la salle. L’homme retira ses doigts et empoignant son sexe a pleine mains s’enfonça dans le con de la femme qui poussa un cri bref. Il commença un mouvement de va et vient de plus en plus rapide. J’entends les claquements de son gros ventre contre les fesses de la femme qui gémit sourdement. Elle couine.Les mains de l’homme sont enfoncées dans ses hanches.D’où je suis, ils ne peuvent me voir.Je bande comme un taureau.L’homme donne de violents coups de pines à cette malheureuse, enfin malheureuse tout est relatif, femme qui secoue la tête dans tous les sens.Elle a l’air d’être une bourgeoise. Je dis ca parce qu’elle est vêtue d’un tailleur dont la veste traine par terre et sa jupe est relevée autour de sa taille. Ses longues jambes gainées de bas noirs tremblent sous les coups de boutoirs de l’homme qui la traite de salope.La femme gémit sous les coups de reins de l’homme. Je ne distingue pas son visage d’ou je suis.Soudain, l’homme se retira et dirigea son sexe vers l’ouverture des reins de la femme qui poussa un hurlement.Je frémis quand l’homme lui enfonça sa bite dans son cul.Puis il commença à la pilonner comme un fou.J’entendis les cris de la femme qui résonnes dans la petite pièce.Elle bafouille des mots sans suite.
— Oui.oui.violez moi ! Je suis une bourgeoise salope.Allez y.Plus fort.
Quelle salope ! Quand je pense qu’il s’agit certainement d’une bonne épouse, une mère de famille honorable ! Fébrilement, je sors mon téléphone portable et commence à filmer la scène, il faut que je montre ca à Chris. L’autre continue de baiser cette femme comme une chienne.Une autre porte s’ouvrit et deux autres homme entrèrent.Ils sont nus, la bite dressée. L’homme se retira et un autre le remplaça immédiatement. Nouveau cri de la femme et nouveau gémissement. On la mise à terre, à quatre pattes, le cul tourné vers ses hommes qui la baisent comme des brutes. L’homme se mit à genoux et s’enfonça dans sa chatte en lui donnant une claque sur ses fesses. Pendant qu’elle était en train de se faire défoncer par l’inconnu, un autre arriva devant son visage, une queue bien raide dans sa main et il l’enfourna dans la bouche de la femme. C’est alors que, me déplaçant légèrement sans faire de bruit, je découvris son visage.Et le sol se déroba sous mes pieds.
J’eu l’impression que mon cour s’arrêtais de battre.L’oxygène vint à me manquer.Ce n’étais pas possible ! Non ! C’était ma mère ! Ma maman.ma douce maman.qui était devant moi en train de se faire baiser comme la dernière des putes. Je voulus intervenir me disant qu’elle ne devait pas être consentante.Ce n’étais pas possible.elle devait être contrainte par un ignoble chantage ! Elle c’était faite kidnapper et elle était forcée d’obéir.mais j’entendis ma mère les supplier de continuer et je compris qu’en fait ma mère était la dernière des salopes !
L’orgie continue.Elle est prise en levrette par un des hommes qui s’active sur elle. Ses fesses tressautent sous les coups de reins violents de l’homme. Elle halète comme une folle, je vois ses yeux.le regard fou, elle crie, de la bave coule sur son menton. elle s’active sur le membre qu’on vient de lui enfoncer dans la bouche. Léchant le gland, suçant la bite puis ressortant pour lécher la hampe et replongeant dessus.Les bruits de succions de sa fellation se perdent avec les halètements de l’homme qui la bourre comme une chienne et qui pousse des cris de goret.Il éjacula sur son dos et un autre le remplaça aussitôt.Machinalement, je continue de filmer.Ma mère entoura de ses doigts le sexe tendue de l’homme qu’elle suçait et le masturba.Il lâcha des trainées blanchâtres en criant.le sperme gicla sur le visage de ma mère. Elle en reçut sur le front, les joues.Celui qui était derrière elle éjacula également et aspergea ses fesses de filaments blancs.
On releva ma mère et elle rabattit sa jupe et remis sa veste de son tailleur élégant. Je fus surpris de voir que les deux hommes donnaient de l’argent au troisième, le gros. Je failli m’évanouir de dégout ! Ma mère était prostituée ! Mais pourquoi ? Et par qui ? Qui était cet homme ?
Ma mère accompagnée de l’inconnu se dirigea vers la sortie et je sortais à mon tour précipitamment.Qu’elle ne me voit pas surtout !
Je me cachais dans les toilettes et vis ma mère passée devant moi, l’air extenué, mais avec un sourire aux lèvres. L’homme lui a faufilé une main sous sa jupe.
Je me rends compte que je bande toujours et que je suis complètement excité. Je rentre dans les toilettes et me masturbe en pensant que je viens de voir ma propre mère en train de se faire enfiler par tous les trous et que j’ai un film le prouvant ! J’éjacule en poussant un grognement de fauve.
Je retrouve Chris qui me cherche partout.
— Putain ! Mais ou t’étais passé ?
S’il savait ! Je lui demande à ce qu’on rentre et il s’exécute de mauvaise grâce.Pendant qu’il me ramène chez moi, j’entends les cris de jouissance de ma mère qui résonne encore dans ma tête.
Je pense au film.Que vais je bien pouvoir en faire ?