Dès l’adolescence, je me suis surtout lié d’amitié avec des filles. Cela n’a pas changé arrivé à l’âge adulte, côtoyant majoritairement les mêmes amies depuis plusieurs années. De base, il n’y avait pas de volonté de profiter de cette situation, c’était plutôt le hasard et les affinités avec les personnes qui m’avaient amené à cela. Adolescent, j’ai d’ailleurs été extrêmement sage, trop sans doute même. Arrivé aux alentours de la vingtaine, on peut dire que ce n’était plus vraiment la même histoire.
Notre groupe d’amis étant intact depuis des années, nous avions une grande confiance les uns envers les autres. Et au fil du temps, certaines inhibitions, certains murs étaient tombés.
Ce soir-là, nous avions décidé de sortir dans un petit restaurant. A l’époque, j’étais célibataire depuis un certain temps. Il y avait 5 couples autour de la table plus une autre amie, Mathilde, et moi. Je me suis retrouvé assis à côté du copain d’une des filles, Tony. Le contact passait bien entre nous de manière générale. Au plus, le repas avançait, au plus on buvait, au plus l’ambiance était conviviale, complice, à la fête. Chacun parlait et riait avec son voisin. Tout le monde était un peu alcoolisé. Assise en face moi, Mathilde portait une magnifique robe très moulante qui mettait magnifiquement son corps (et surtout son joli petit cul) en valeur. Avec ses cheveux châtains et ses magnifiques yeux bleus, elle avait déjà tendance à me faire chavirer. En fait, j’étais complètement dingue d’elle. Elle se levait et se déplaçait tout le temps pour parler avec les gens de toute la table. Elle était appuyée sur la chaise dune copine, son cul en buse, me laissant une vue magnifique.
Je ne pouvais pas détacher mon regard, mais personne ne me prêtait attention à ce moment précis, chacun étant absorbé dans sa conversation. Mon esprit s’égarait, imaginant son corps contre le mien, nous enlaçant tantôt tendrement, tantôt dans des ébats plus endiablés. J’en ai eu une solide érection. Mon voisin de table a surpris mon regard et a très vite compris. Il sen est amusé, me souriant. Il avait son bras droit autour de la chaise de sa copine. Tout en la regardant et en lui parlant, il a eu un geste qui paraissait désinvolte, involontaire au départ, mais qui a frôlé mon entrejambe. Il sest tourné vers moi avec un autre grand sourire amusé. A ce moment-là, j’étais seul en bout-de-table, trop obnubilé par la vision qui métait offerte et la complicité avec mon camarade de table que pour prendre part aux conversations. Mon camarade de table alors jetait un regard alentour et a passé sa main sous la nappe pour venir caresser mon entrejambe.
J’étais totalement surpris, lui en couple avec une fille, qui n’avait jamais laissé entrevoir qu il puisse avoir une attirance pour les hommes. Jétais limite terrifié à l’idée que sa copine assise à côté de lui se rende compte de quelque chose. Mais réagir aurait seulement attiré l’attention. Et il ne me regardait pas, continuant sa conversation. Je n’avais pas dautre choix que de laisser faire. Il a alors ouvert mon pantalon, d’une seule main experte. Il est allé chercher ma queue et a commencé à me branler, sous la table, n’ayant que la nappe pour cacher ce qu’il se passait. J’avais toujours la vue imprenable sur le cul de Mathilde et je me faisais branler par Tony. L’excitation était énorme. J’en lâchais un léger gémissement qui fit tourner la tête à Charlotte, la copine de Tony. Pour la distraire, celui-ci l’embrassa très langoureusement, tout en gardant sa main sur ma queue.
Au bout de quelques minutes, Mathilde revint s’asseoir en face de moi, et sous mon drôle d’air, me demanda si ça allait. Je n’en pouvais plus, j’avais juste envie de jouir. J’ai alors profité de l’occasion, je me suis reboutonné et ai prétexté aller me passer de leau sur le visage, à cause du vin. Je me suis précipité vers les toilettes. Quelques secondes plus tard, Tony me rejoignait. Il avait prétexté venir voir si j’allais bien. Il m’a alors poussé directement dans une des cabines, a fermé la porte, s’est agenouillé, a ressorti ma queue de mon pantalon et a commencé à me sucer. J’avais trop envie pour protester ou poser des questions. Je prenais un pied d’enfer, moi qui n’avais jamais eu de contact sexuel avec un homme. Mais il faisait ça tellement bien, c’était tellement bon. Et tout s’était enchaîné si vite que je n’avais pas eu le temps de réfléchir, je m’étais juste laissé aller au moment présent.
Son but était manifestement de me soulager du manque qui me tenait depuis plusieurs mois. Il accélérait volontiers le rythme, accompagnant ses coups de langue d’une main experte, se promenant le long de mon sexe. Il n’a dailleurs fallu que quelques minutes pour que je sente que j’allais venir. Jai eu beau le prévenir, Tony ne s’est pas retiré pour autant. Je me suis épandu dans sa bouche, la remplissant de sperme, lâchant des semaines et des semaines sans rien d’autre que la masturbation et Bon Dieu que ç’a été bon. Tony a avalé ce qu’il a pu. Le reste dégoulinant de sa bouche. Je suis resté quelques minutes avachi sans rien dire, essayant de reprendre mes esprits. Il se faisait un brin de toilette pour reprendre contenance. Et il est sorti. J’en ai fait de même peu de temps après.
Sexuellement un peu calmé, j’ai poursuivi la soirée semblant de rien, Tony également. Mon attention étant très souvent captée par la belle Mathilde. Il semblait que notre groupe d’amis venait de passer un cap, pour moi de manière claire en tout cas.