Je me présente, moi Michel, 33 ans, 1m78 pour 80 kilos, footing et tennis, Kinésithérapeute, célibataire, je réside au bord de la mer vers Lacanau et je travaille sur Bordeaux entre mon cabinet privé et quelques heures à l’hôpital. A ce jour, je suis en vacances à ma maison, quel bonheur d’y vivre, la mer à environ 500 mètres et le village à 1 km et là, ma tranquillité est troublée par une voiture qui s’arrête devant ma maison, en sort ma nièce Lyse (fille de ma sur Nicole 35 ans, très belle femme) beau brun de fille de 20 ans avec tout ce qu’il faut pour satisfaire le moindre désire à un eunuque, avec sa mère on dirait des jumelles. Puis, derrière elle se trouve une belle jeune fille avec un mec pas mal non plus.
— Mon tonton adoré, je suis avec une copine et son amie, nous étions dans le secteur alors j’ai eu envie de venir te voir et te présenter mes amies.
— C’est gentil et je me doute que vous n’alliez pas à la messe dans cette tenue avec vos shorts ultra courts et je ne parle pas du reste, mais vous voulez boire quelque chose ?
Ma nièce me sauta au cou et m’embrassa avec ferveur sur les joues, je sentais ses seins écrasés sur ma poitrine, mais je sentais aussi autre chose, un invité-surprise qui commençait à prendre du volume dans mon short et comme la nature m’a généreusement avantagé, j’avais peur que Lyse s’en rende compte. Nous avons discuté de chose et d’autre pendant un long moment puis vint l’heure de partir pour les trois invités.
— il se fait tard, on va te quitter mon tonton chéri, il est 19h00 on aura évité les bouchons enfin plus ou moins.
Après les salutations d’usages, en serrant ma nièce contre moi, l’invité-surprise reprit du volume et je me dis que si ma nièce ne l’était pas (ma nièce) je la baiserais bien bref, après plusieurs coups de démarreur, la bagnole ne veut rien entendre, le copain de ma nièce regarde le moteur et ne trouve rien, moi, vous me parlez de massage, de cuisine et de sport je dis OK, mais de mécanique j’ai un copain garagiste au village qui fait tout mieux que moi.
— Tonton qu’est-ce qu’on va faire ?
— A cette heure en plus un dimanche, il n’y a qu’une solution, prévenez vos parents et vous allez manger et dormir ici demain matin mon garagiste viendra vous dépanner. Le problème c’est que j’ai que deux chambres et comme vous l’avez certainement remarqué dans le salon il n’y a que des fauteuils, donc vous les jeunes vous prendrez la chambre d’ami et toi Lyse ou bien tu dors dans un fauteuil ou bien dans mon lit avec moi, si tu n’as pas peur d’avoir un homme en pyjama à tes cotés !
— Mais non ! Je n’ai pas peur de toi, mais seulement nous n’avons rien à nous mettre pour dormir !
Après avoir distribué the short et pyjama, avoir pris un bon repas bien arrosé de vin rosé bien frais, Michel et Lyse se retrouvèrent dans leur chambre. Lyse prit sa douche en premier, enfila un grand the short et se coucha, vu la chaleur, elle avait repoussé drap et couverture au pied du lit. Michel après sa douche enfila juste un pantalon de pyjama et resta torse nu, puis s’allongea non loin de sa nièce mais assez pour ne pas la toucher. Après quelque bavardage et questions indiscrètes sur leur propre vie sentimentale chacun s’endormit enfin soi-disant. Michel s’était couché sur le côté alors que Lyse était restée allongée sur le dos.
— Cela me fait tout drôle d’avoir une belle femme en plus ma nièce dans mon lit, se dit Michel, qu’est-ce qu’elle est belle ? Comme je la baiserais bien mais c’est ma nièce alors pas question de jouer au con.
Après plus d’une heure, Michel ne trouvait pas le sommeil, il se positionna sur le dos mais sa tête était restée tournée à l’opposé de Lyse et surprise, il entendit Lyse l’appeler très très doucement.
— Tonton, tu dors ? Dis-moi tu dors tonton !
Il ne répondit pas et en rajouta une couche en faisant semblant de dormir et de ronfler légèrement. Après quelques secondes, il sentit le lit bouger légèrement, ainsi que le corps surtout les jambes de Lyse, il entendit la respiration ce de celle-ci changer. Maintenant, il était certain qu’elle se masturbait et se dit : Elle est gonflée ma nièce de se branler juste à mes côtés !
Seulement Michel n’était pas fait de bois, il sentit sa tige prendre du volume et lorsqu’elle fut en érection au maximum, la tête de sa queue dépassait l’élastique du pantalon. Au moment de la jouissance de Lyse il l’entendit pousser un gémissement, il se doutait que tout le corps de Lyse était tendu au max suite à la jouissance. Si seulement je pouvais me soulager ! Mais bon ! Trouvons le sommeil ce sera mieux.
Lyse, salope comme une mère lapine n’en resta pas là. Après quelques secondes elle constata que Michel dormait toujours, alors elle se mit à genoux à hauteur des hanches de son oncle et regardait avec une terrible envie de prendre dans sa bouche le gland de cette belle queue. Elle ne réfléchit pas longtemps pour prendre la décision. Avec une extrême délicatesse, elle tira l’élastique afin que la queue de son oncle soit visible entièrement. Au point où elle en était, elle se fichait bien de le réveiller, elle ne voulait plus qu’une chose avoir cette grosse tige enfoncée le plus loin possible dans la bouche.
Et lui le tonton ne bougeait pas, il se mit à ronfler encore un peu plus fort, mais son corps était tendu comme un arc, surtout au moment où Lyse goba le gland et qu’il sentit la langue qui s’entortillait autour de sa pine. La suceuse était bien organisée, d’une main elle tenait écarté l’élastique de l’autre elle branlait la queue de son oncle pendant que la bouche faisait des va et viens.
— Je suis sûr qu’elle dégouline de cyprine la salope, mais elle aime la sucette, elle va être surprise lorsque je vais lui lâcher la purée dans la bouche car je suis aussi sûr qu’elle aime avaler le sperme !
Après quelque temps (car dans des situations identiques on ne mesure pas le temps passé), il sentit la sève monter. Lyse sentit ce gros sexe se gonfler encore un peu plus, et elle sentit le premier jet puis les autres, elle avalait tout sans en perdre une goutte. Elle se dit que jamais elle n’avait avalé autant de sperme, puis délicatement elle releva le pantalon au-dessus du sexe, puis s’allongea en s’essuyant la bouche et elle entendit Michel parler.
Michel bougea dans le lit tout en ronflant puis dit : Hum mon amour ! Et reprit son ronflement.
Lyse fut surprise, mais entendant son oncle ronfler de nouveau, elle se dit qu’il avait rêvé de sexe et qu’il dormait toujours. Le sommeil vint pour tous les deux. À huit heures Michel se trouvait dans la cuisine, le café était préparé ainsi que les croissants, vers 9 heures son copain garagiste allait venir regarder la voiture. Il se trouvait en short penché sur l’évier lorsqu’il entendit Lyse, cette dernière était restée avec le grand the short.
— Bonjour mon tonton chéri, as-tu bien dormi ? Moi j’ai eu du mal à m’endormir, mais après sinon c’était parfait rien ne vaut une bonne nuit de repos !
— Je me suis endormi rapidement et j’ai pas mal rêvé dans mon sommeil, j’espère que je n’ai pas trop ronflé ?
— Tu as ronflé un peu et ton rêve devait être très beau, car tu as parlé, deux ou trois mots tu as dit « Hum mon amour » à qui adressais-tu ces mots ?
— Je ne sais pas, car en plus je ne vois pas le visage de la personne et ce qu’elle me faisait, peut-être une fellation, c’est tellement bon, surtout lorsqu’on ne s’y attend pas !
— Bof ! Tu sais les rêves cela ne veut rien dire ou tout dire, mais cela laisse souvent dans un état d’excitation.
Après cet échange verbal, Lyse vint tout contre Michel, elle lui fit la bise et lui dit :
— Tonton, je t’aime très fort, tu es un mec bien et très gentil, je te remercie d’avoir hébergé mes amis, pour cela, j’aimerais te faire un petit cadeau, que voudrais-tu que je t’offre ? J’aimerais aussi rester avec toi ici quelques jours.
Si tu savais ce que je voudrais ma petite salope de nièce après ce que tu m’as fait, se dit-il pour lui-même.
— Tu n’as rien à me donner, ta présence me suffit amplement. Si tu veux rester il faut que tu téléphones à ta mère pour qu’elle ne s’inquiète pas.
Le jeune couple arriva dans la cuisine, après les salutations matinales, et le petit déjeuner pris, tous les quatre attendirent le garagiste, qui arriva à l’heure dite puis trouva la panne et le jeune couple regagna Bordeaux. L’oncle et la nièce se rendirent au village pour quelques achats, de retour à la maison, Michel se mit à faire la cuisine pendant que Lyse préparait l’apéritif dans le salon. Après avoir discuté de futilité et de quelques questions indiscrètes pendant le repas, une fois tout rangé, ils s’installèrent dans les fauteuils du salon.
— Que veux-tu faire demanda Lyse, moi je vais lire un bouquin de ta bibliothèque si je peux en prendre un ?
— Tu peux ma chérie, moi je vais faire une petite sieste, je vais aller m’allonger dans ma chambre !
— Je peux venir lire à tes côtés pendant que tu te reposeras ?
— Comme tu veux à condition de ne pas faire » de bruit en tournant les pages.
— Ok tonton, tu es un vrai amour. Cela ne te dérange pas si je reste avec le the short de cette nuit ?
— Bien sûr que non, je suis bien resté avec le pantalon de pyjama, mais là, je vais mettre un short, même si tu étais toute nue, cela ne me dérangerait pas tu es ma nièce alors, tu es sacrée à mes yeux !
— J’aime ce que tu dis, allez Tonton allons-nous allonger.
Michel s’allongea sur le côté et Lyse sur le dos pour lire. Une dizaine de minutes après Michel fit semblant de dormir, il commença à ronfler doucement, mais régulièrement afin que Lyse soit convaincue qu’il dormait. Il savait que sa nièce allait faire quelque chose, en effet, cette dernière enleva son the short, elle garda son string, mais le haut était libre comme l’air.
Michel fit comme la veille, il parla enfin dit quelques mots « Lyse, Lyse je » puis ce fut le silence une ou deux secondes et reparla « vais te baiser », c’est cela que Lyse entendit ! Elle ne fut pas trop étonnée que son oncle veuille la baiser, n’importe quel homme aimerait la baiser, avoir cette jeune femme dans les bras sa beauté et son corps merveilleux excitait beaucoup de jeune et moins jeunes mâles.
Sans brusquer les mouvements, elle posa le livre, et ensuite enleva son string, puis attendit quelques minutes, dans le même temps Michel se positionna sur le dos et continua à ronfler, attendant la suite des évènements. Comme hier soir, Lyse leva le haut du short et le baissa au maximum, celui-ci se retrouva sur le haut des cuisses laissant libre la grosse tige et les couilles à l’air libre. Le sexe de Michel ne bandait pas encore, mais sa nièce le prit dans une main et commença une petite masturbation, à dire vrai, le sexe ne mit pas longtemps pour s’allonger et grossir dans la petite main de Lyse. N’y tenant plus, elle lécha le gland tout rose presque rouge, de sa main libre elle se caressa la chatte qui était déjà humide. Son excitation à elle l’empêchait de réfléchir, elle aurait voulu le sucer à mort et en même temps elle en avait tellement envie de l’avoir dans le vagin qu’elle ne savait plus quoi faire. Son instinct de femme aimant la baise, de fille salope, elle décida de chevaucher son oncle et de s’enfoncer la grosse queue au plus profond de son corps.
Tout doucement, elle vint chevaucher Michel juste au-dessus de son membre, d’une main elle le présenta devant son puits d’amour et elle se laissa descendre doucement. Elle se mit à trembler lorsque le gland toucha sur utérus, elle fut raisonnable, car ne voulant pas réveiller son oncle, elle ne bougea plus pendant quelques secondes qui lui parurent une éternité. Constatant qu’il dormait toujours, elle commença ses va et viens.
Michel ouvrit très légèrement les yeux et entre les cils, il vit sa nièce qui avait la tête rejetée en arrière, ses mains caressaient ses seins, alors dans le même mouvement, il plaqua ses, mais sur les hanches de Lyse et donna un violent coup de rein comme pour s’enfoncer au plus profond de ce merveilleux corps. Lys releva la tête et regarda son oncle, mais cela ne l’arrêta pas de masturber la pine de Michel avec son vagin tout humide.
— Alors ma chérie tu avais tellement envie de baiser ton oncle sans qu’il s’en rende compte, moi, il y a longtemps que j’avais envie de te baiser, mais je me suis dit que si cela devait arriver, je voulais que ce soit toi qui fasses la démarche. Maintenant, chérie, je vais te prendre par tous les trous, je vais te faire jouir jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter, car tu es une vraie salope et tu vas devenir ma salope, ma chienne et ma soumise.
Hier soir je ne dormais pas, je savais qu’il allait y avoir quelque chose venant de toi, vu ton empressement à accepter de dormir avec moi. Je savais également que tu allais faire quelque chose lorsque j’ai dit que je voulais faire la sieste sur mon lit. Arrête-toi, nous avons tout l’après-midi, la soirée et la nuit pour jouir et tu vas avoir intérêt à prendre des initiatives pour me satisfaire.
— Michel ! Cela fait longtemps que j’ai envie de toi, de te faire l’amour, de te donner mon corps, cela fait longtemps que je ne t’aime plus comme un membre de la famille, mais comme un homme à qui je veux appartenir. Oui mon chéri, je me donne à toi fais-moi tout ce que tu voudras, tout ce que tu as envie de me faire sauf la sodomie.
— Je ferais ce que je veux de toi et de ton corps, si tu me donnes ton corps ce sera tout ou rien alors tu choisis, en réalité je me trompe, maintenant tu n’as pas à choisir où à me dire « non pas par la » etc. Alors qu’en penses-tu ma chérie de salope ?
— Bon ! D’accord, mais il faudra bien me préparer, tu veux bien mon amour ?
— Tout dépendra de toi sale petite pute, voilà que maintenant tu aurais quelques petites exigences ! Je te baiserai comme je le voudrai, quand je le voudrai, et où je le voudrai. Tout cela pour te dire que moi aussi je t’aime, que j’ai envie de te baiser tout le temps et en réalité, je ne veux pas que tu sois ma soumise, je veux simplement que tu te comportes comme une femme qui aime son mec, qui aime baiser avec lui tout le temps et qui aime varier les choses, maintenant ma douce chérie de nièce continue à me masturber avec ton vagin et donne-moi tes seins que je les suce et caresse en même temps.
— Oh Michel comme j’ai aimé tes dernières paroles, tu ne seras pas déçu et si tu aimes baiser autant que moi alors on va passer de merveilleux moments.
Michel suçait et caressait la très belle poitrine de Lyse tout en suivant le mouvement de cette dernière lorsqu’elle se baissait ou remontait du sexe tout mouillé de cyprine et de pré-sperme. Les gémissements de l’un comme de l’autre annonçaient l’explosion de jouissance, au moment où Michel crachait sa liqueur au fond du vagin, il pinça un peu plus fort les deux tétons, ce que donna comme une décharge électrique, Lyse cria sa jouissance, tout son corps tremblait, sa tête bougeait dans tous les sens, des larmes de bonheur coulaient sur ses joues, puis elle se laissa tomber sur la poitrine de Michel et leurs lèvres se soudèrent pour un très long moment.
— Tu sais Michel, je suis sincère en te disant que je t’aime, que je veux t’appartenir, mais je ne t’en voudrai pas si toi tu m’aime toujours comme ta nièce et juste pour baiser !
— Je t’avoue moi aussi que je t’aime, mon amour n’est peut-être pas aussi fort que le tien, mais tout était caché en moi et il faut que nous fassions l’amour aujourd’hui pour me rendre compte que je tiens à toi. Si à partir de ce jour tu m’es fidèle, moi, je ne le peux pas, car il y a encore une femme avec qui je voudrais faire l’amour et j’y pense depuis très longtemps, ensuite je te serai fidèle, mais pas avant.
— Qui est cette femme ?
— Je ne te le dirai pas pour le moment. Pensons maintenant à nous et à ta mère, comment vas-tu lui annoncer la chose ?
— Elle sera jalouse de toi et de moi !
— Pourquoi de toi ?
— C’est difficile à dire, mais voilà, il y a un an environ, la période où elle a eu son lumbago tu te rappelles ? Alors qu’elle était sous la douche elle m’a demandé de lui laver le dos ? Voici ce qui est arrivé !
— Lyse puisque tu es dans la salle de bain et moi sous la douche peux-tu venir me laver le dos, car avec mon problème je n’y arriverai pas.
— Ok !
Les deux femmes nues sous la douche, Lyse commença à laver le dos avec ses mains tout en massant celui-ci.
— Tu as un corps magnifique maman ! Je suis certaine que beaucoup d’hommes aimeraient te sauter, tu as des fesses splendides et je ne parle pas de tes seins.
— Puisque tu masses mon dos en le lavant, masses aussi mes fesses elles en ont besoin.
Lyse était attirée pas le corps de sa mère depuis quelques mois et elle était également certaine que sa mère l’était aussi du sien. Les mains de Lyse descendirent sur le fessier et commença un savant massage sans oublier de passer les doigts dans la raie fessière, elle sentait son vagin s’humidifier, elle avait des picotements dans le bas ventre.
— Maman penche-toi un peu en avant et écartes les jambes afin de bien te savonner ta raie du cul !
— Tu crois que c’est nécessaire ma chérie ? Et voudras-tu que je te lave le dos ensuite ?
— Oui aux deux questions maman.
La maman en position, Lyse se remit à masser les fesses puis doucement sa main droite descendit le long de la raie, son indexe s’arrêta sur le petit trou, elle fit quelques mouvements en rond autour de l’anus puis d’un coup d’un seul, elle enfonça son doigt dans l’orifice. Ne faisant jamais les choses à moitié, elle avait enfoncé le doigt sur toute sa longueur.
— Pourquoi tu as fait çà ma chérie, je t’ai demandé de me laver le dos pas de m’enculer avec ton doigt, il est trop court pour me donner satisfaction, enfin comme je vois que tu es une petite salope continue à me branler le cul, je vais me chatouiller ma chatte pendant ce temps.
— Non maman, je vais te faire jouir avec mon autre main, j’en avais tellement envie, j’avais tellement envie de te faire jouir, de caresser ton corps, puis si je suis une salope, toi aussi maman tu en es une et il est évident qu’après toi, tu vas me faire jouir, mais cette fois je veux ta langue et tu n’auras rien à dire.
Tout en faisant entrer son doigt au maximum dans l’anus de sa mère, Lyse se déplaça pour se mettre sur le côté afin que de sa main libre elle puisse jouer avec le puits d’amour de mère. Cette dernière plaqua ses mains sur le mur de la douche, écarta le plus possible ses jambes et se laissa emporter par les caresses et l’excitation. Lyse embrassait la fesse qui se trouvait devant elle, elle enfonça un deuxième doigt dans le trou du cul, elle en fit autant pour le vagin.
— Tu aimes ma salope de mère, je le sais, car tu te trémousses du cul comme ce n’est pas possible, tu es toute mouillée dans ton vagin, à croire que tu mouilles aussi du cul, car mes doigts glissent très bien, quelle salope tu fais maman chérie ! Je savais que tu aimais la baise, mais que tu sois une salope de première, pute sur les bords alors ma chérie après on ira dans ta chambre et je vais t’emmancher le cul avec un objet plus gros et plus long que mon doigt. Dorénavant tu feras ce que je te dirai, et lorsque je te dirai de venir me lécher ma petite cramouille, tu obéiras sinon je t’enfoncerai le manche à balai le plus loin possible.
— Mais ma chérie je suis là pour te faire plaisir et tu n’auras qu’à demander, j’accepte de me soumettre à tes désires de belle salope, mais à une condition, si tu acceptes alors on pourra s’aimer autant de fois que tu le voudras !
— Qu’elle est cette condition ?
— Bien ! Je me lance et te dévoile mon désir qui est en moi depuis longtemps. Je voudrais que tu m’aides à monter un plan pour que je puisse baiser ne serait-ce qu’une fois avec mon frère, ton oncle Michel, je l’ai vu une fois tout nu et bandant, il a une queue comme gourdin. Acceptes-tu ?
— Je n’en reviens pas ! Tu te laisses branler par ta fille et en plus tu voudrais baiser avec ton frère, alors le mot est faible lorsque je dis que tu es une belle salope, tu es une vraie putain et je t’aime. Ok ! Je vais t’aider, mais je ne sais pas encore comment !
— Ma fille chérie fais-moi jouir maintenant, j’ai très envie de te lécher ta chatte et ton trou du cul.
L’excitation était à son comble Nicole se mit à trembler, son cul bougeait dans tous les sens, puis elle cria : Allez ma salope fais-moi jouir, oui continue plus profond, je viens ma chérie que c’est bon ! Tout en jouissant elle se mit à pisser sur la main de Lyse qui était encore dans le vagin enfin ses doigts. Ensuite elles se séchèrent mutuellement et prirent la direction de la chambre parentale.
Lyse s’installa confortablement sur le lit, écarta les cuisses au maximum, se caressa la chatte et enfonça deux doigts directement dans le vagin.
— Regarde maman, mes doigts sont déjà humides, aller viens entre mes jambes et tu as intérêt à bien me lécher, je veux sentir ta langue entrer dans mon puits d’amour, d’une main tu vas me caresser un sein et de l’autre tu pourras t’introduire dans mon cul et bien le branler sinon je te file une bonne raclée sur ton joli petit cul, aller ma chérie de salope de mère. Nicole se positionna à genoux entre les jambes de sa fille et commença par des caresses sur le sexe puis remonta vers le ventre pour venir sur la poitrine de sa fille.
Cette dernière sentit des picotements dans le ventre, l’excitation montait doucement dans tout son corps. Elle plaça ses deux mains sur la tête de sa mère et appuya pour que Nicole redescende vers sa chatte. Elle caressa ce sexe qui s’ouvrait tout seul au gré de l’excitation, sa main gauche resta sur un sein et de l’autre elle écarta les grandes lèvres, puis sa langue vint faire son uvre entre les lèvres puis elle vint titiller l’entrée du puits d’amour, enfin sa main droite prit place sur le trou du cul, d’un doigt, elle força l’entrée, une fois les deux phalanges à l’intérieur, un second doigt entra à son tour et suite à cette introduction, le bal commença, Lyse tortillait du cul se soulevant, retombant pour mieux se cabrer des reins. L’action de sa mère faisait son effet.
— Maman ! Comme c’est bon ! Dit-elle, ta langue est merveilleuse dans ma chatte, je sens que je vais jouir, oui continues salope de mère lèches bien ma raie, enfonce ta langue le plus possible et après lèche-moi mon trou de balle à la place de tes doigts, vas-y maman je vais jouir !
Un grand cri sortit de la bouche de Lyse pendant qu’un jet de cyprine maquillait le visage de sa mère, celle-ci ne pouvait plus se retirer, car Lyse appuyait de toute sa force sur la tête de Nicole afin qu’elle sente encore les douces caresses prodiguées par sa mère. Puis le calme revenu, Nicole s’allongea contre le corps chaud de sa fille, elle l’embrassa amoureusement pendant un certain temps qui semble une éternité pour les deux femmes enfin.
— Maman ! J’ai un plan pour appâter Claude. Prochainement enfin l’an prochain je dois aller faire une virée avec un couple d’amis qui ne connaissent pas trop la région, ils vont venir en vacances sur Arcachon, ce sera à ce moment-là que j’organiserai la rencontre.
— Oui ! Pas avant, car j’ai mon job, toi le tien, puis je veux profiter un max avec toi avant qu’un homme vienne entre nous deux. Ce n’est qu’à ce moment précis que je t’expliquerai mon plan. Voilà mon tonton chéri le déroulement de mon histoire avec maman.
À suivre !