À peine a-t-elle passé la porte de la bâtisse que Paul l’agenouille lui ligotant ses mains dans son dos. Ses genoux sur l’arête de la buche de bois, Paul lui dénude ses seins, déchirant sa petite robe. Elle grimace, son supplice ne fait que commencer. Derrière le mur, l’oreille collée au mur, trois gourgandines écoutent en silence. Paul joue mon servant et il le joue bien, ça sent le vécu.
« Alors, qu’as-tu à me dire pécheresse ? »
« Que ma vie ne vaut d’être vécue que dans la servitude. Je suis perdue sans Vos ordres, Vos cinglantes punitions, les orgasmes que Votre bienveillance m’accorde. Je me prive de mes plaisirs solitaires. Je me prive de tout ce qui pourrait me faire jouir pour n’être que Votre jouet. Punissez-moi parce que j’ai péché ! »
« Bien ma sale gamine, Paul, une servante avenante, soumise, dévouée, docile, prête à tout pour vous satisfaire toi et Isabelle. T’en pense quoi si je t’en fais cadeau ? »
« Je ne sais pas, faut voir avec Isabelle ! »
« Je ne crois pas qu’elle ne puisse décider pour son Maître, c’est-à-dire toi ! »
« Ok, elle peut crécher avec nous ? »
D’un mouvement de menton, je désigne ma sale gamine à Paul qui lui pose la question. Elle accepte et son sourire ne fait que confirmer. Je sais pourquoi elle accepte, c’est de ne plus être éloignée de mes supplices vicieux. Pourtant, regardant sévèrement ma sale gamine, je refuse qu’elle vive chez nous pour le moment. Je veux qu’elle nous prouve qu’elle capable de se soumettre à distance. J’ai déjà ma petite idée. En fait, je ne veux pas parce qu’elle m’est plus utile à la rubrique courrier de son journal qu’ici. Ben oui, je veux qu’elle écrive son histoire, sa soumission pure et crue. Paul le sait, ce n’était qu’un jeu peut-être cruel pour elle, mais un jeu quand même.
« Tu vas rester faire pénitence, en plus, tu vas sucer Paul, mon servant en ces lieux de punitions. Ensuite, tu t’en retourneras chez toi, tu écriras la suite de ton histoire. J’exige la suite dans chaque parution. Ici, tous l’ont lue avec attention. Il faut reconnaitre que tu sais rendre tes supplices et convaincre que tu les subis avec un certain plaisir. » Je la regarde, guettant sa réaction, elle est déçue, c’était prévisible. « Je sais que cela te déçois. Mais tu vois, il te faut faire tes preuves. Oh, si un de tes collègues à des vues sur toi, laisse le te baiser en lui disant que tu n’es qu’une vide-couille. Ce sera ta punition pour tes mensonges. Maintenant, suce mon servant et fais le jouir comme si c’était moi. Les filles, venez voir cette sale gamine sucer Paul. »
Elles sont arrivées, ajoutant une humiliation supplémentaire à son supplice. Narquoise, nos femmes le sont, moqueuses jusqu’à vertement humilié ma sale gamine. Après que Paul ait joui dans cette bouche, je la relève doucement, la pose sur ma chaise, masse ses jambes. Oui, elle me plait, mais elle doit comprendre que je ne supporte pas le mensonge chez une soumise. Je crois qu’elle l’a bien compris. Je la raccompagne jusqu’à l’arrêt du bus. Le temps qu’elle me lèche ma bite et mon anus, ce à quoi, je n’avais pas prévu. Sa langue est divine dans mon anus. Je l’encourage en plaquant son visage entre mes fesses. Elle doit faire vite, son bus ne va plus tarder.
« Encore une chose ma belle. Si un collègue a des vues sur toi, il lui faudra ma permission et que je sois présent. Un autre que moi ou Paul pour te faire mal me ferait très mal. Vas, repose-toi, appelle-moi demain dans la matinée. Maintenant, j’ose espérer que tu ne me mentiras plus jamais ! »
« Mon Père, je m’excuse de l’avoir fait. Au début, ce fut par curiosité. Maintenant, je serais franche, par amour pour Vous, mon Père ! »
« Vas en paix ma fille que ma bite t’habite »
Je sais, vilain jeu de mot laid pour cerveau lent. Elle monte dans le bus, m’embrasse à distance. Putain, je me retrouve dans la même situation qu’avec Sidonie. Je me fais vieux je crois. De retour à la maison, Paul a réuni tout le monde. Il le fallait, mettre tout à plat. Je me pose sur une chaise. Autour de la table, Paul fait un résumé très précis de la situation. Quand il me passe la parole, je tiens la main de Sidonie. Sans elle, je me sais perdu. Au moment de parler, c’est elle qui me chipe ma place.
« Bon, mon Maître, mon Oncle, je ne vais pas y aller par quatre chemin. Je sais que c’est ta passion de dominer, nous baiser, ce que Vous faites merveilleusement du reste et personne, autour de cette table ne dira le contraire, n’est pas Gisèle. Pour nous toutes, oui, nous en avons parlé, cette sale gamine est mieux dans son journal qu’avec nous. Il ne vous faut pas changer Vos règles, mon Maître. Pardonnez, Maître, mon oncle, mais il fallait que nous vous le disions. Je me suis annoncée volontaire pour Vous le dire. Je sais que cela mérite punition, je suis prête ! »
« Non, tu as raison, vous avez raison. Seulement, pour sa venue, ce n’était pas prévu. Je dois la punir en conséquence, cela ne fait aucun doute et elle le sait. Maintenant, Sidonie, j’exige que tu continues ce que tu faisais avant, dans notre loft. Gisèle, tu restes autant que tu le désire. Toi, ma petite sur, je ne peux rien exiger de toi, il y ton fils, votre enfant. Paul, je ne sais que dire, pendant un moment, j’ai perdu le contrôle avec cette sale gamine. Bon, voilà ce que j’ai décidé. Sidonie me servira de secrétaire. Je ne recevrais ces femmes que dans la bâtisse que je vais agrandir, aménager avec tout ce qu’il faut. Une autre annonce va paraitre, ensuite, je verrai ce qu’il est judicieux de faire. Voilà, je crois n’avoir rien oublié. »
« Si, nous on trouve que tu dois continuer. Et puis, nos amis vont arriver, il y a le toutou à éduquer, Martine à baiser. Tu crois que nous deux ont va pouvoir honorer ces quatre délicieuses petites salopes ? » Paul me fixe, je sais qu’il a raison. Si seulement la surprise de Martine était un soumis. « Tu vois, si au début je ne t’aimais pas beaucoup, tu as plus apporté à notre couple que le meilleur des psy. Alors, faut que tu continues comme avant, selon tes règles et ne plus laisser des femmes du genre de ta sale gamine foutre le bordel. »
« C’est clair et c’est exactement ce que je vais faire. Vous le verrez dans ma prochaine annonce. »
Il se faisait tard, un petit dormait déjà du sommeil de l’innocent. Sidonie et Gisèle me prennent par la main. Nous montons nous coucher, le temps de prendre un peu de plaisir.
Cette fois, je suis le premier debout. Alors que je me douche, une main glisse sur ma queue, un visage rayonnant passe derrière le rideau. Ma Sidonie pose ses lèvres sur mon gland. Je la soulève, ses membres m’enlacent, je guide ma queue en elle. Nous voilà amoureux comme si c’était la toute première fois. Gisèle nous sait sous la douche, elle me fait coucou de sa main et disparait. J’emporte ce corps mouillé dans la chambre, le couche. Je lui fais la totale, reprenant au début, les préliminaire. Autour de la maison, on peut entendre nos ébats incestueux. Je l’avoue l’idée, le faire, la faire jouir, jouir après elle en pensant que c’est ma nièce m’excite. Avec elle, je suis capable de prodige, comme avec Isabelle. Nous y passons toute la matinée avant je ne lui demande, dans le creux de son oreille si elle ne voulait pas passer de mademoiselle à madame. Il fallait que je lui fasse cette demande, ma santé mentale en dépendait. Quand elle accepte après un le moment de surprise, je me sens dans une force herculéenne. Et je repars de zéro, préliminaire interminable, plaisir à répétition pour ma future, pénétration, sodomie, je lui sors le grand jeu pour la seconde fois. Nous venions de jouir encore ensemble quand son estomac cria famine. Nous avons ri comme jamais, tous les deux. Un rire si pur, si merveilleux. Il effaça toutes mes craintes, mes angoisses en même temps. Une libération, vous dis-je.
En bas, on se goinfra de tout ce qu’on trouvait. Gisèle avait même parfois de la peine à nous suivre. Sidonie l’invitait sur ses cuisses pour la nourrir comme un bébé. À la porte, un bonjour attira nos regards, un bonjour féminin, jovial, Martine est de retour, juste au bon moment pour que Sidonie hurle que je l’ai demandé en mariage. Derrière Martine arrive le toutou et, zut, une femme, jeune, belle, portant un collier de cuir, un anneau à son nez, bien au centre. Sa peau est noir, mat, je devine une poitrine exquise, un cul diabolique, un corps à damné le plus virulent de misogyne. Elle porte une robe si ample que je n’arrive qu’à me faire une idée, en fait, mais je devine. Après le moment des retrouvailles euphoriques, Martine s’avance vers moi, tenant cette belle femme en laisse.
« Nous avions un dette pour avoir rallumer la flamme entre mon toutou et moi. Grâce à toi, on a effacé le mot divorce de notre tête. Je te présente Yvana, malgré sa couleur de peau, elle est de ton pays. Nous lui avons parlé de toi, tout raconté de toi, Sidonie, Isabelle et Paul. Nous lui avons raconté tes sévices, les orgasmes prodigieux que nous avons pris grâce à toi. Je te la confie, nous aimerions que tu l’éduque, en fasse la femme qu’elle désire être. Et si elle te plait, elle est à toi. Elle est d’accord ! »
« Yvana, bienvenue. Il me faudra tout savoir de toi, de tes désirs, de tes fantasmes. Si je comprends bien votre retour au pays »
« Non, tu connais notre nom de famille, il est lié à une autre famille, une grande famille. Nous devions rentrer, mon toutou avait perdu son grand-père. » Martine m’embrasse goulument et « Je dois t’avouer que je suis un peu jalouse que tu épouse cette belle jeune femme, mais juste un peu. »
De toute manière, si elle avait voulu coucher, j’en étais bien incapable. Le toutou me fit enfin hommage en baisant mes pieds, léchant mes orteils. Je pris place sur une chaise, sous le regard de cette beauté noir. D’un geste, elle laissa glisser sa robe, dévoilant un corps somptueux garnit d’un superbe corset rouge vif. Je lui fis signe de s’approcher. Je saisis cette laisse accrochée à son nez, l’écartais, posais ma bouche sur la sienne. Elle ne refusa pas, sa langue fouillait déjà ma bouche. Déjà bien éduquée cette petite. Elle m’abandonne son corps très beau.
« Tu as quel âge ? »
« 20 ans depuis six jours, monsieur ! »
« Bien, déjà en main, éduquée ? »
« Non monsieur, juste la rencontre avec Madame Martine et son mari et votre histoire. Ils ont tout fait pour que je sois prise d’une folie amoureuse pour vous. »
« Bien, très bien. Martine, elle est réellement magnifique. Tien, où est Gisèle ? »
On la chercha partout, on ne trouva qu’un mot. Un mot dans lequel elle nous dit vouloir retourner reprendre une vie « normal ». Partir sans un adieu, ça me vexe terriblement. Je devine sa frustration, la quarantaine face à Yvana, Sidonie, jeunes femmes belles comme des curs, Isabelle et Martine, tout aussi sublime que ma Sidonie, mais de manière différente. Son départ gâche notre joie, je m’en veux à quelque part. J’avais pourtant une lueur d’espoir pour la retrouver. Je pris Yvana et Sidonie avec moi. Dans la voiture, je me dirigeais vers la banlieue pauvre. J’y étais déjà venu avec Gisèle. Je trouvais vite cette cabane délabrée. J’ai frappé, c’est elle qui a ouvert. Un coup de sang, je la gifle. Elle pleure, je la serre dans mes bras.
« Pauvre conne, comme si tu ne savais pas que je pouvais te retrouver. Mais pourquoi ? »
« Parce que je suis folle de toi, tout simplement. »
« Et alors, j’ai Sidonie comme j’aime ma sur, comme je t’aime. Le mariage, c’est juste parce que Sidonie et moi avons besoin de nous cimenter l’un à l’autre. Sinon, rien ne change, tu pige, rien ne change. Je l’ai dit pourtant, hier soir. Reviens sinon je t’enlève de force et tu passes un mois dans la bâtisse et attachée ! »
Sidonie et Yvana sont justes derrière moi. Sidonie m’écarte de sa douce main, enlace Gisèle en lui disant que j’ai raison. Yvana se colle à mon dos.
« Alors, Madame Martine avait raison, vous êtes réellement amoureux de celle qui se donne à vous ? »
Je me retourne en lui souriant. Je l’embrasse sur ses joues, son petit nez. S’il lui fallait une preuve, elle en a deux devant elle. Sidonie et Gisèle sont dans ce taudis, copulent ensemble. J’avise un vendeur de boisson, lui commande deux soda, lui laisse 10 balles dans la main. le bonhomme est heureux comme tout quand je refuse sa monnaie. De la cabane, nous parviennent des gloussements de bonheur et nos deux petites cochonnes sortent peu après, visiblement fatiguée, surtout Sidonie, allez savoir pourquoi.
Pendant le retour, Yvana est près de moi. Je lui suggère se poser sa chatte sur le levier de vitesse, c’est un vibromasseur à lui tout seul. Le tout sous le regard de mes deux petites pestes. La belle mouille, ça brille au soleil. Je masse sa peau noir, elle est canon, y pas à dire. Pire que tout, elle semble plaire à ma future. Sur le levier de vitesse, elle n’ose se l’enfoncer dans sa chatte délicieusement baveuse. J’arrête le véhicule ne roue libre. Je l’attire sur moi, sors mon chibre, j’ai une soudaine putain d’érection. Je lis la peur sur le visage de ma beauté black. J’insinue mon majeur, la fixe, sa tête me fait oui en se mordant sa lèvre inférieur. Je la couche sur mes cuisses, massant sa poitrine exquise. Je l’embrasse, Sidonie passe par-dessus le siège, se glisse entre ses cuisses qu’elle lèche en remontant jusqu’à sa vulve ouvert, toute rose, superbe. Gisèle se joint à nous, cela devient acrobatique mais si sensuel, si délectable.
« Tu vois, je suis un putain de salaud de bourreau sadique. Tu vas souffrir quand je te prendrais ton corps. Tu vas souffrir quand je le prendrais de partout. Tu vas souffrir quand je ferais de toi elles deux. Tu vas hurler de douleur, de plaisir, parfois tout à la fois. Comme pour elle, je vais te le dire. C’est arrivé quand tu as passé la porte, je t’ai aimée au premier regard, comme ces deux petites chiennes. Je te veux dans mon chenil, je te veux comme je les veux. Me quitter, c’est mourir en étant une morte vivante. Gisèle vient d’en avoir la preuve. Ta venue ne pouvait pas mieux tomber. Vivre sans vous, autant me pendre. Voilà, c’est dit ! »
Je ne sais si ce sont mes mots, tu parles, ou la langue et les caresses de mes deux complices, mais la belle négresse jouit en plongeant son regard dans le mien.
Retour au bercail, la maison me semble vide. Il y a un mot sur la table, d’Isabelle, il nous apprend qu’ils sont tous aller manger dehors, qu’ils nous laissent la maison jusqu’à dimanche. J’éprouve un sentiment de bonheur irréel, j’emmène Yvana dans la bâtisse.
« Tu vois, c’est ici que tu viendras me subir. Douleur, viol, plaisir, je te donnerais tout ce que tu mérites. Sache que tout est un ensemble, un savant mélange entre douleur et plaisir. »
Après un verre ou deux, un bon morceau de barbaque, nous montons nous coucher. Sidonie, tout comme moi sommes crevés. Gisèle s’empare du corps de notre nouvelle complice et compagne. Blottie contre moi, Sidonie dort déjà, je baise son front tendrement. Je fais une douce caresse à mes deux gourgandines qui se donnent l’une à l’autre.
Quand on se réveille, Yvana dort encore, sa poitrine contre mon dos, ses bras sur mon corps. Sidonie s’étire contre ma poitrine. Très vite, nous encerclons Yvana, ma bouche glisse entre ses fesses, je me délecte de son cul, Sidonie de son sexe. Surprise d’être réveillée ainsi, Yvana a un bref mouvement de recul qui disparait bien vite. Sa bouche sur mon pénis est un délice. Sans qu’elle ne se rende compte, nous la préparons à le rendre femme à commencer par son entrée de service, la plus étroite de ses ouvertures.
Couchée sur le ventre, un coussin sous son ventre plat, je me glisse entre ses fesses. Mon gland appuie déjà sur son anus. Je le sens détendu et bien glissant. Je n’ai pas de peine à forcer cette entrée serrée. Lentement, je plonge mon sexe dans ce fondement. Yvana pousse un long soupir, les poings fermer. Après chaque centimètre dans son cul, je lui demande si ça va. Sa tête me fait toujours oui. Je suis au fond, bien au fond. Je reste un moment, sans bouger. C’est elle qui commence à bouger de son bassin. Nous remuons en rythme, Sidonie ne cesse de baiser le dos, la nuque et le visage de notre nouvelle amie. Je sens sa main caresser mon ventre. Je l’embrasse, suce ses doigts. De sa main libre, elle attire Sidonie, l’invite à poser son petit cul devant sa bouche. Je vois la tête dYvana s’activé entre les cuisses de ma Sidonie. Je relève la croupe noire, la pilonne désormais, à grand coup de boutoir. Plus je force, plus je secoue son corps, plus elle supplie de la déchirer, tien, c’est du déjà-vu. Surprise, Sidonie se recule, le corps d’Yvana se désarticule, se démembre, se désordonne, elle jouit, hurle, crie, chante son orgasme, un orgasme long, puissant, ravageur. Elle retombe de tout son poids sur le matelas, ne cessant de répéter que c’est bon, merveilleux et j’en passe et des meilleurs.
Je me mets à la fesser, elle relève sa croupe, Sidonie se remet en place. Sèchement j’ordonne à Yvana de faire jouir ma Sidonie avec sa bouche uniquement. Je fesse à tour de bras, plus je fesse, plus sa croupe prend de drôles de couleurs. Quand j’arrête, mes mains me brulent. Moment de folie, je m’enfonce en elle, bute contre son hymen. Je le pousse un peu, recommence plusieurs fois et le déchire d’un coup sec. Elle n’a pas le temps de réagir, je suis en elle entièrement. En face de moi, Sidonie jouit merveilleusement. Je tournais le corps somptueux d’Yvana. Je fixais Sidonie, comme si j’étais pris d’un, d’une