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un jeu tres dangereux – Chapitre 11

un jeu tres dangereux - Chapitre 11



Le lendemain, Éric est le premier levé.

Il pense à ce qui s’est passé, le jour d’avant, avec sa mère. Il ne peut s’empêcher de s’en vouloir, mais il ne comprend pas pourquoi sa mère se comporte comme ça avec lui. Jamais, avant, elle n’avait été aussi sexy devant lui, en porte-jarretelles, en culotte et en nuisette transparente.

Elle le laisse même se masturber dans ces propres culottes, quelle mère peut-elle laisser son fils faire des choses pareilles ? Des tas de questions viennent brouiller l’esprit d’Éric. Il prépare le petit-déjeuner, il est samedi et normalement Isabelle est la première levée, cest bizarre ! Après 15 minutes, il décide de se rendre dans la chambre de sa mère.

Une fois la porte ouverte, il peut l’apercevoir en train de dormir, le drap nest pas tout a fait remonté sur elle et Éric peut constater quelle porte sa nuisette rose. La transparence du tissu laisse clairement voir à travers les seins volumineux dont les aréoles couronnent cette superbe vision !

Tout en regardant sa mère et en la trouvant très belle, Éric se met à bander, il s’approche, petit à petit, en respirant de plus en plus fort. Mais tout à coup, un coup de klaxon retentit dans la cour de la maison :

« Merde…, c’est papa !!! », se dit Éric.

Il sort de la chambre de sa mère avant que celle-ci se réveille et revient en cuisine, en faisant comme si de rien n’était. Antonio entre dans la maison :

« Bonjour mon fils…, ça va ?

‒ Oooh, papa, comment vas-tu ? »

Ils se font la bise et Antonio cherche Isabelle du regard :

« Ta mère nest pas là ?

‒ Si…, mais elle dort encore ! »

‒ Ta mère, encore couchée, à cette heure-ci ? »

Antonio monte dans la chambre pour réveiller sa femme. Isabelle est, généralement, la première levée dans la maison, ce qui le surprend.

« Chérie…, coucou !!!

‒ Mmmmm…, Antonio ??? Mais…, mais tu es la ?

‒ Oui ma chérie, j’ai pu enfin me libérer ! »

Antonio se change, laissant tomber son costard du travail, à la place d’un jeans et d’un tee-shirt. Il quitte la chambre, laissant Isabelle se changer doucement. Isabelle le regarde redescendre, l’air inquiet. Comment son mari réagirait-il sil savait ce qui se trame dans cette maison ? Tout dabord, cette ambiance malsaine avec son propre fils, puis les mauvais tours que lui joue Hubert, l’un de ses assistants au travail. Après la dure nuit qu’elle a passée en essayant d’oublier cette fellation forcée, administrée à ce dernier, Isabelle manque de sommeil.

Elle s’habille dun jeans et d’un sweet jaune, part vers la cuisine rejoindre la reste de la famille. En bas, les deux hommes parlent entre eux au moment au isabelle entre dans la pièce.

« De quoi parlez-vous ?

‒ Du banquet de ce soir !

‒ Ah oui…, je m’en souviens, maintenant, tu m’en avais parlé au téléphone ! »

Isabelle passe devant la table pour prendre une tasse dans le placard, elle tourne, discrètement, son regard vers son fils. Leurs regards se croisent rapidement et Éric baisse la tête, très gêné.

« Il faut y être ce soir à 20 heures, c’est bon pour toi, chérie ?

‒ Tu…, tu es sûr de vouloir y aller ?

‒ Oh non, Isa…, ça fait un petit moment que nous ne sommes pas sortis nous amuser, allez, s’il te plaît, en plus c’est important pour moi !

‒ Bon…, je comprends, on y va, alors !

‒ Éric…, tu viens aussi, jeune homme !

‒ Quoi… !!!! Oh non, non…, je n’aime pas trop ces soirées remplies de bourges !

‒ Non jeune homme, tu viens aussi ce soir… ! En plus il y a papy Vittorio et mamie Maria qui se joignent à nous !

‒ Quoi… ? Tes parents viennent à cette soirée ?

‒ Oui, je les ai eus au téléphone, hier, ils m’on dit qu’ils venaient tous les deux…, donc jeune homme, tu viens avec nous, que ça te plaise ou non ! »

Éric n’a que le choix d’accepter. Durant la journée, chacun a son occupation. Antonio tond la pelouse, Isabelle le ménage, Éric, quant à lui, est parti en ville avec Laurent, faire les soldes.

Le soir venu, toute la famille se met sur son 31, pour cette soirée peuplée, essentiellement, de bourgeois. Les deux hommes ont revêtu leurs costard, pantalon noir et veste blanche pour Antonio et tout en noir pour Éric. Isabelle a fait le choix de se mettre sa robe de soirée bleu marine qui laisse ses épaules nues et qui descend juste au-dessous des genoux. La robe la serre et lui donne de superbes courbes. À ses pieds, des sandalettes dont les talons-aiguille, de couleur dorée, avec une bride autour des chevilles, claquent sur le carrelage. Les bijoux de grande valeur et sa coiffure en chignon, avec des paillettes, lui donnent un air de femme embourgeoisée !

Il est 20h00 et ils prennent la route. Durant le trajet, Isabelle veut revérifier son maquillage, en baissant le pare-soleil qui est muni dune glace à son verso. Lorsqu’elle regarde sur le côté, derrière elle, Isabelle tombe sur le visage de son fils. Surpris, il baisse la tête, sans rien dire. Ils ne s’étaient pas reparlé depuis hier matin. Il faut dire qu’Éric est bien mal à l’aise, après ce qu’il a osé faire à sa mère.

Une demi-heure plus tard, la voiture arrive à destination. Cétait, en effet, un très gros banquet. Les plus grands chefs d’industrie sont présents, ainsi que des hommes d’État.

Lorganisateur de la soirée avait loué un château du 13ième siècle. Leur véhicule est pris en main par un voiturier à leur arrivée. En haut des escaliers, Vittorio et Maria les attendent ! Après les salutations et congratulations, ils entrent dans la salle, bondée de monde.

Éric, très peu à l’aise dans cette ambiance snob, se languit déjà de rentrer chez lui. Ils trouvent leur table que se trouve contre un angle de la pièce. Tout de suite, les affaires reprennent, Antonio et son père croisent d’autres patrons et commencent à discuter d’investissement, de rentabilité, etc….

Éric se retrouve seul à sa table, attendant que cette soirée de merde se finisse rapidement.

Il regarde, de temps en temps, sa mère au milieu d’autres dames. Il la trouve belle avec cette robe bleue, lui serrant sa grosse poitrine, laissant place à un décolleté plus que plongeant. Les hommes, autour, lorgnent sans vergogne, ses deux grosses mamelles, exposées comme dans un musée, à la vue de tous.

Le dîner est servi et c’est un véritable récital de plats de la plus grande gastronomie qui déferle sur toutes les tables de la grande salle. Pendant le repas, Éric s’aperçoit que son grand-père Vittorio se colle souvent à sa belle fille pour lui parler. Étant assis, côte à côte, il tourne toujours la tête vers son décolleté pour se rincer l’il.

« Vieux bouffon ! », se dit Éric.

La musique commence à se faire entendre et Vittorio invite Isabelle à dansait avec lui. Éric les accompagne du regard, l’air agacé, comme jaloux ! Vittorio est un excellent danseur et Isabelle n’a qu’à suivre son rythme. La musique suivante, beaucoup plus douce, les fait se rapprocher. Leurs deux corps, collés, ne fit qu’accroître la nervosité d’Éric.

« Non, mais, vas-y, tant que tu y es, touche le cul de ma mère…, espèce de bâtard ! », se disait-il.

N’en pouvant plus, il se lève et part au bar demander un verre d’alcool.

À la fin de la musique, les deux danseurs regagnent leurs places. Une sonnerie se fait entendre dans le sac d’isabelle. Cest son portable qui lui indique quelle a reçu un texto !

« Tiens un texto, à cette heure-ci…, bizarre. »

Elle ouvre sa messagerie reste scotchée sur l’écran de son portable :

« Coucou ma belle…, oui, c’est moi, ton petit toutou !

— Je me suis permis de m’inviter à cette belle soirée… !

— J’adore m’amuser avec des gens d’aussi bonne compagnie !

— Je reconnais bien là, ton milieu de femmes bourgeoises, tu joues la femme fidèle à son mari, alors que seul le fric tintéresse !

— Que de salope vicieuse qui fantasme de se faire violer par des hommes d’un rang financièrement bien inférieur… !

— Mais que vois-je…, que vois-je… ?

— Mais qui est cet homme qui reluque sans arrêt ta délicieuse et grosse poitrine ?

— Cest beau-papa…, ahahahah, oui, c’est beau papa !

— Et ben, beau-papa est un véritable cochon…, regarde, je suis sûr qu’il bande… !

— Oui regarde, beau-papa doit bander en regardant sa bru chérie ! »

Isabelle se remet à trembler, Hubert est là…, pas loin d’elle, son calvaire est loin d’être fini.

« Il y a un problème, Isabelle ?

‒ Euh non…, non, c’est bon…, merci ! »

Derechef, Isabelle remarque le regard de son bon-père qui fixe sa généreuse poitrine.

Elle ne sait plus où se mettre, elle est très gênée, mais en même temps, très excitée, malgré elle, de constater qu’Hubert disait vrai. Alors, comme par un reflexe de curiosité féminine, Isabelle baisse les yeux pour se renseigner si Vittorio bande ou non. La grosse bosse qui déforme son pantalon est maintenant une certitude ! À moins dun 1 mètre d’elle, le père de son mari bande en la regardant.

Son bas-ventre ne se fait pas attendre pour entrer en jeu, lui aussi ! D’un coup, le portable sonne une nouvelle fois. Tout en tremblant, Isabelle appuie sur OK pour le lire.

« Ahahahah…, oui, vu ton regard, il est certain qu’il bande !

— Ooooooh le cochon…, mais attends…, et si nous jouons avec lui ?

— Oui, excellente idée… !

— Je veux que tu l’aguiches…, remonte ta jupe, montre lui ce qu’il veut voir !

— Brave petite belle-fille, beau-papa est au dernier tournant de sa vie, ne le prive pas d’un tel spectacle… !

— Aguiche-le…, c’est un ordre… ! »

« Oh, mais quel salop… !

‒ Pardon…, vous avez dit quoi ?

‒ Euuuh…, je veux dire…, qu’il fait chaud…, oui, il fait chaud ce soir !

‒ Ah oui…, c’est vrai que nous somme en mai…, la chaleur est en avance cette année ! »

Isabelle ne sait pas quoi faire et son beau-père ne semble pas vouloir la lâcher, elle va devoir suivre le souhait que lui demande Hubert ! Alors, elle passe ses deux mains sous la nappe bordeaux de la table et prend le bas de sa robe et avec un geste hésitant, elle le relève bien haut. Vittorio qui regarde ailleurs, ne s’aperçoit de rien, ni même Maria, qui, pourtant, se trouve en face d’eux.

Antonio est encore debout en train de parler de travail avec d’autres intéressés.

« Il y a du monde, quand-même, ce soir ?, fait remarquer Vittorio.

‒ Euh…, oui, oui, c’est vrai… ! »

Lorsque Vittorio baisse les yeux pour, une fois de plus, regarder le corps de sa bru, il reste scotché, à la limite de prendre une crise cardiaque. La robe d’isabelle est remontée jusqu’à la taille, laissant voir, au grand jour, un porte-jarretelles blanc en dentelle ! Une jolie petite culotte, du même tissu est enfilée par-dessus. Vittorio s’aperçoit très vite de l’abondance de poils que possède sa ravissante belle-fille. Isabelle ne s’épile pas et la culotte, de par sa trop petite taille, ne peut cacher, en totalité, son triangle pubien. Son porte-jarretelles tend des bas blancs qui glissent sur sa peau. Quelle vision, quel bonheur pour vittorio qui n’en peut plus, tellement il bande.

Maria reconnaît une vieille amie et se lève pour aller lui dire bonjour à sa table, laissant seuls, son mari et sa belle fille.

Vittorio a la gorge sèche, il est totalement tourné vers elle.

« Vous…, vous avez l’air davoir vraiment très chaud ?

‒ Oh, je…, oui…, c’est presque insupportable ! »

Sans prévenir, Vittorio pose sa main gauche sur sa cuisse droite.

« Oui, je vois ça…, c’est normal avec des bas… !!

‒ Oooh, Vittorio…, mais que faites-vous ? »

Isabelle se plaint, mais n’enlève pas pour autant la main baladeuse de son beau-père.

« Je veux juste me rendre compte, par moi-même, comme ça doit être insupportable, par cette chaleur, de porter ce genre de lingerie ! »

Isabelle ne dit rien, pendant que sa main monte et descend sur sa cuisse.

Éric revient en même temps, à sa place, juste en face de sa mère.

Isabelle et Vittorio font comme si de rien n’était. Pourtant Éric s’aperçoit que quelque chose se trame entre eux d’eux. Ne voulant pas se faire remarquer, il prend son portable, met le mode vidéo et le passa sous la table. Il filme 2 minutes et stoppe son action pour le remettre dans sa poche.

« Hum…, excusez-moi, je vais aux toilettes ! »

Une fois le jeune homme parti, Vittorio reprend de plus belle :

« Vous avez toujours aussi chaud, Isabelle ?

‒ Oui…, oui ! »

Vittorio remonte sa main en haut de sa cuisse et la glisse sous le bas blanc.

« Oh !!! Vittorio !!

‒ Oh oui, vous avez l’air d’avoir vraiment chaud sous ses bas…, portez vous souvent des porte-jarretelles ?

‒ Oui…, j’en porte souvent !

‒ Vous avez raison…, cela vous va tellement bien !

‒ Mais… !!!!! »

Vittorio n’a pas perdu son temps, sa main experte remonte à sa culotte et commence à la caresser délicatement au niveau des lèvres vaginales.

Isabelle n’arrête pas son geste, ses jambes s’ouvrent et se ferment sous l’excitation.

« Non Vittorio…, quelqu’un pourrait vous voir…, ça suffit !!

‒ Oh, ma chère Isabelle, que vous êtes ravissante… !! »

Vittorio plonge sa main dans la culotte, passant ses doigts dans la forêt de poils, étreignant, par la suite, les grandes et petites lèvres. Isabelle le stoppe, net, en lui enlevant sa main.

« Vittorio, reprenez-vous, voyons, je suis la femme de votre fils… !!

‒ Je suis désolé, Isabelle, je me suis emporté, mais vous comprenez, vous aviez tellement l’air d’avoir chaud !

‒ Je sais, mais tout de même… ! »

Vittorio baisse sa braguette et sort un braquemart impressionnant. Sa belle-fille émet un « oh » de surprise, de par son audace, mais aussi par la taille de son pieu. Maintenant, elle sait de qui tient son fils d’un tel engin.

« Regardez Isabelle…, quel chaleur…, ça devient presque irrespirable ! »

Il prend la main d’Isabelle et la porte sur son sexe. Isabelle lui oppose une faible résistance, sa main prenant, par la suite, cette longue et épaisse colonne.

« Mais que faites-vous ? Il y a plein de monde ici…, tout le monde va nous voir…, ainsi que votre femme et mon mari !

‒ Oooh Isabelle, on ne peut plus reculer…, branlez-moi discrètement…, personne ne nous verra sous la table…, j’en ai vraiment besoin… !

‒ Vous…, vous croyez ?

‒ Oui…, allez-y, s’il vous plaît !!! »

Alors Isabelle accepte la requête de son beau-père et commence une longue et tendre masturbation. Vittorio et au ciel, sa main droite caresse en même temps ses cuisses, appréciant, à son touché, le tissu de sa lingerie du jour.

Pendant ce temps-là, Éric arrive aux toilettes. Il s’enferme dedans et visionne sa vidéo.

« M…, merde…, j’y crois pas, putain ! »

La vidéo ne peut pas être plus révélatrice, on y voit la main de Vittorio caresser les cuisses de sa mère, la jupe étant remontée jusqu’à la taille, le porte-jarretelles tenant les bas, ainsi que sa petite culotte rajoutent, au tableau, un effet scabreux.

« Il va voir, ce sale con !!!! »

Éric, furieux, sort en vitesse et va rejoindre sa table. À la salle de bal, personne ne s’aperçoit que dans la même pièce, tout près d’eux, une femme branle frénétiquement la bite de son beau-père.

« Oooooh, Isabelle, que vous êtes pleine d’attention…, vous devez être une excellente épouse… ! »

Isabelle n’ose rien dire, trop occupée à le faire jouir et de regarder que personne, autour d’eux, ne s’aperçoive de ce qu’elle fait. Éric revient à ce moment-là et reste figé sur place, il s’aperçoit, tout de suite, que la main de sa mère est discrètement en mouvement. Il veut en être sûr, alors il réfléchit comment il pourrait s’approcher sans se faire voir.

Les tables sont assez longues et les nappes tombent au sol, personne ne va s’apercevoir sil passe dessous. Les tables sont aussi assez larges, il pourra passer entre les jambes. Il décide de passer à l’action, il veut, à tout prix, le savoir.

Il profite que les gens se retournent vers la piste de danse pour se faufiler dessous, tremblant comme une feuille, redoutant ce qu’il pourrait voir, il file à toute allure, déambulant entre les jambes des convives, rejoindre la table de sa famille. Après quelques efforts, il atteint enfin sa table et ne peut que constater l’horreur : la main d’Isabelle branle, à vive allure, ce membre vigoureux et veineux. De là où il est, Éric peut même entendre ce qu’ils se disent :

« Ooooh, Isabelle, ooooohhh, mmmm !

‒ Vous…, vous allez jouir ? »

Éric regarde la main de sa mère, aux ongles vernis de rouge, accélérer ses caresses. La main de son grand-père s’active, dorénavant, à caresser ses lèvres, à travers la culotte. Isabelle écarte les cuisses pour lui en faciliter la tâche.

« Oooooh, je vais venir, Isabelle !

‒ Attendez…, vous ne pouvez pas venir ici et vous risquez de vous tacher !

‒ Ooooh, c’est trop tard…, je vais jouir !!!

‒ Attendez, tournez-vous et jouissez sur mes cuisses, personne ne s’en apercevra, avec ma robe ! »

Alors, Vittorio se tourne vers sa bru et dans un rock de plaisir étouffé par la musique, il décharge sur ses cuisses. De grosses giclées de sperme viennent frapper le haut des bas blancs, mais aussi la partie de ses cuisses dénudées et même sa petite culotte. La dernière giclée vient sur le haut du triangle pubien que la culotte, trop petite, ne recouvre pas. Lorsque ce fut fini, Isabelle stoppe les va et vient, laissant son beau-père récupérer. Elle en profité pour étaler le liquide épais sur ses bas et sa peau, pour que celui ci ne coule pas par terre.

« Ooh, Isabelle…, vous êtes vraiment exceptionnelle, comme mon fils doit être ravi de… !

‒ Ça suffit, Vittorio, je ne veux plus avoir à faire ça avec vous, je suis la femme de votre fils…, c’est une erreur et plus jamais, nous nous en parlerons !

‒ Mais, Isabelle… !!!

Isabelle sort de table, pendant que Vittorio se rajuste convenablement. Pendant ce temps, là sous la table, Éric a assisté à toute la scène. Il fait demi-tour et sort de dessous la table, fou de rage, sans faire attention aux autres personnes.

« Mais que fait ce jeune homme sous la table ? » entend-il demander, ingénument.

Il suit sa mère jusqu’aux toilettes. Isabelle entre dans le local et au moment ou elle va fermer la porte, un pied se met dans l’entrebâillement.

« C’est occupé ! »

La porte est brusquement poussée.

« Éric !!!!!!! Mais qu’est ce qui te prend, mon chéri ?

‒ Espèce de salope… !

‒ Pardoooon ! Mais ça va pas…, comment tu me parles ?

‒ Allez, arrête tes manières, j’ai tout vu… !

‒ Quoi…, tout vu, quoi…, je te comprends pas et puis arrête d’être aussi agressif ! »

Éric entre dans la pièce et ferme la porte, il pousse sa mère contre le lavabo. Isabelle pousse un cri de surprise.

« aaaaahhhh…, mais t’es pas bien…, arrête, sinon, j’en parle à ton père !

‒ Ben, vas-y…, profites-en pour lui dire que tu aussi branlé son père !

‒ ………..!!!!!!! »

Isabelle reste figée, regardant son fils droit dans les yeux :

« Tu…, tu étais là… ?

‒ Oui, j’étais là…, comment peux-tu me faire ça ?

‒ Écoute…, ne…, ne dis rien à ton père…, nous en parlerons calmement a la maison, veux-tu ?

‒ Nooooon…, moi je veux savoir…, hier, tu me refuses…, et ce vieux con pourri de fric, tu lui acceptes ça ?

‒ Quoi ???? Mais Éric…, tu…, tu es jaloux…, mais… »

Au même moment, dans le couloir, Antonio qui cherche les toilettes entend crier derrière la porte. Il reconnaît la voix de sa femme et de son fils et entre pour savoir ce qu’il se passe.

« Hé là…, qu’est ce qu’il se passe ici ? Éric lâche ta mère, tout de suite !

‒ Ah, le voila encore, ici celui-là !

‒ Éric… !

‒ Quoi…, mais, tu entends comment tu me parles, gamin…, un peu de respect, je te prie !

‒ Tu me gooooonfles avec ton respect…, ton fric…, ton air de snob, ça me gonfle !

‒ Non mais, tu va voir un peu… ! »

Antonio attrape son fils par le bras, mais Isabelle intervient en les séparant. Éric regarde sa mère, puis son père qui semble vouloir se calmer.

« De toute façon, tu n’est jamais là…, tu penses qu’a toi et c’est tout… !

‒ Éric, calme toi, voyons !

‒ Noooonn, j’en ai raz le cul de vous…, foutez-moi la paix ! »

Éric sort brusquement de la pièce, Isabelle veut le rattraper, mais Antonio la retient :

« Non, laisse-le…, c’est de son âge…, il va se calmer tout seul ! »

Dans le couloir, Éric croise ses grands parents :

« Où sont tes parents, on ne les trouve pas ?

‒ Toi, la ferme… ! Sale connard ! »

Vittorio reste sur le cul, n’osant même pas le sermonner, Maria est outrée sur le vocabulaire et la brutalité de sa réponse. Éric file à l’extérieur et arpente la rue dans la nuit. Tout près d’ici, un homme, dans l’ombre, visionne, à nouveau, fièrement sa vidéo.

« Héhéhé, magnifique…, cette femme va finir par craquer, je le sens ! »

Il passe par dessus la murette et rejoint sa voiture. Il n’y a personne dans la rue de ce coté-ci.

Hubert ouvre le coffre et regarde, une à une, toute la collection de photos sur sa patronne.

« Encore juste un peu, ma belle et nous pourrons passer à l’acte final, ahahah… !

‒ J’ai bien peur que ça n’arrive jamais !, entend-il de la part dune voix inconnue.

‒ ……?? »

Hubert a, à peine le temps de se retourner, qu’un poing vient le frapper en plein visage. Le toutou de l’usine s’affale au sol, les photos volent dans tous les sens.

« Mais qu’est ce qu’il vous prend…, mais vous êtes fou ?

‒ Moi fou ??? Ahahahah, non, le débile, c’est toi… !

‒ C’est pas moi qui agresse les gens, en pleine rue !!!

‒ On ma envoyé pour te calmer… !

‒ Me calmer…, mais qu’ai-je fait, voyons ?

Hubert commence à reculer face au physique impressionnant de cet homme. Il commence à avoir peur et l’homme le coince entre la voiture et lui.

« Écoutez, ne me faites pas de mal…, dites-moi ce que je vous ai fait ?

‒ Mon patron a une sale horreur que l’on vienne fouiner dans ses affaires !

‒ Dans ses affaires…, mais…. mais quelles affaires, je ne comprends pas, expliquez-vous, voyons !

‒ Isabelle…, ça te dit quelque chose, sale petite merde ?

‒ Isabelle…, ou…, oui… ! »

Ni une ni deux, le type lui balance une claque en pleine figure, Hubert est un homme fragile et tombe à nouveau par terre. Le type n’attend pas et lui balance plusieurs coup de pied dans les côtes et à la tête. Il le relève par les cheveux :

« Par pitié…, laissez-moi…, je ferai ce que vous voudrez !

‒ OK là, tu commences à comprendre…, alors voilà ce que tu va faire : "tu vas, tout simplement, disparaître" !

‒ Disparaître ?

‒ Oui, disparaître…, tu changes de ville, va où tu veux, mais barre-toi d’ici, on ne veut plus te revoir…, fous la paix à cette femme…, efface toutes les preuves que tu as contre elle et si tu ne le fais pas et ben, nous, on te fera disparaitre, OK ?

‒ Ou…, ou…, oui, je…, je… je vous le jure ! »

Le type balance Hubert sur le capot de sa voiture et entre dans la sienne, où un chauffeur l’attend et s’en va à toute allure, laissant sa victime en plein cirage.

Au même moment, Isabelle et Antonio rentrent chez eux. Isabelle monte rapidement dans la chambre de son fils, mais trouve la pièce vide.

« Il n’est pas entré !

‒ Isabelle, voyons, il est sans doute allé chez des copains, voila tout !

‒ Oui, mais il ne répond pas non plus à son portable !

‒ Laisse-le tranquille ! »

Antonio, non inquiet, se change, avale son somnifère et se couche sans tarder. Isabelle tente de l’appeler encore une fois, mais aucune réponse. Elle file dans sa chambre et trouve son mari déjà endormi. Elle quitte sa robe, se retrouvant seulement en porte-jarretelles avec sa culotte et ses bas blancs. Ses pas se font silencieux, dorénavant, vu qu’elle a enfilé ses pantoufles en arrivant. Elle fait les cent pas dans la chambre. Isabelle est la seule à savoir pourquoi Éric est parti en colère, mais comment lexpliquer à Antonio. Elle descend prendre un verre d’eau, regardant dehors, mais toujours rien.

Elle décide, finalement, de se coucher, retirant sa lingerie, choisissant une nouvelle culotte, celle ci est blanche en coton avec des petit pois noirs, la bordure est en fine dentelle blanche. La culotte est assez vieille, ayant grossi depuis, elle lui est beaucoup trop petite maintenant. Ainsi, le tissu ne lui arrive qu’au bas de fesses, laissant entièrement libre son triangle pubien. Ses hanches sont un peu écrasées par le tissu qui lui serre un peu trop le bas de la taille. Isabelle décide de ne pas mettre de nuisette, il fait tellement chaud qu’elle décide de rester seins nus.

Elle se glisse entre les draps, inquiète du non-retour d’Éric, elle regarde son réveil 1h30. Elle s’endort finalement, mais un bruit la réveille. Isabelle pense que c’est Éric et descend rapidement à sa rencontre. Sur le coup, elle oublie totalement qu’elle ne porte que sa petite culotte et effectivement, c’est bien Éric qui rentre en titubant.

« Éric !!! Mon dieu, tu es soul ?

‒ Mmmmmmmm…, héhéhéhé…, ouééééé… ! »

Isabelle essaye de l’aider à se tenir droit.

« Allez, viens, je vais t’aider à te coucher ! »

Elle le tire vers elle, Éric qui est loin d’être frais, commence quand-même à s’apercevoir de la tenue de sa mère. Il voit ses gros seins qui tombent, se balancer devant lui. Les larges aréoles sont comme des couronnes pour ses gros tétons. Il se colle à elle sans retenue, mais Isabelle ny prête pas attention, faisant attention qu’il ne tombe pas dans les escaliers. Il caresse ses hanches nues, ce qui l’intrigue, alors il baisse son regard et remarque que sa petite culotte ne sert pas a grand chose.

Ils arrivent finalement dans la chambre. Elle commence à le déshabiller, veste, chemise, puis le pantalon. Il ne lui reste que son slip et isabelle ne peut détourner son regard de cette bite qui tire sur le tissu.

« Veux-tu que je t’enlève ton slip, pour te sentir plus à l’aise ? »

Éric ne répond pas, mais pose une main brusque derrière la tête de sa mère et la tire contre le paquet emprisonné.

« Éric, voyons…, mais qu’est ce que te prend ?

‒ Suce-moi…, ouééé, suce ma bite, salope ! »

Isabelle se rebiffe et le gifle au visage.

« Ça fait deux fois que tu me parles sur ce ton…, je te permets pas ! »

Éric ne dit rien, caressant sa joue avec sa main, la gifle le fait sortir de sa demi-inconscience. Isabelle sort de sa chambre, rejoignant la sienne. D’un seul coup, la porte de sa chambre s’ouvre, Isabelle sursaute :

« Éric !!!! File…, file dans ta chambre !

‒ Non…, ce soir, c’est à mon tour !!!

‒ Quoi ?

‒ Ne joue pas à celle qui ne comprend pas… ! Toutes les fois que tu t’es exhibée devant moi, tes culottes où je me branlé dedans, tu aimais ça, hein, avoue-le !

‒ Éric, retourne dans ta chambre, tu es soul !

‒ Je suis sûr que tu tes déjà caressé en pensant à moi, hein…, tu aimes bien maguicher comme une salope devant moi…, et ben maintenant, c’est l’heure de payer ! »

Éric l’attrape par le bras, Isabelle tente de se débattre, mais il est plus costaud. il la jette sur son coté du lit, ses seins ballottent dans tout les sens. Il tire sur son slip qui se déchire sous la violence, laissant à l’air libre, son membre gros long et dur. Il s’agenouille à coté du visage de sa mère.

« Éric, non…, ton père est là !!!

‒ J’men fous… ! »

Il attrape le visage de sa mère et la pousse contre sa queue. Isabelle se débat mollement.

« Attends, Éric…, je suis ta mère…, arrête, je peux pas te faire ça !

‒ Je m’en fous, je te dis…, allez, suce-moi…, oui, suce-moi, maman !!!! »

Son gland, gros et violacé, parcourt le visage de sa mère, lui caressant les joues, le nez, les lèvres. Une nouvelle fois, Isabelle peut respirer l’odeur que dégage l’intimité de son fils, puis, le gland vient, enfin, se coller aux lèvres, demandant une fellation, sans plus tarder.

« Allez, ouvre la bouche, merde…, suce-moi…, je le veux !

‒ Non, Éric, je t’en sup…, mmmmmmmm ! »

La moitié de la verge de son fils lui entre dans la bouche. Isabelle est obligée d’ouvrir le plus grand possible.

« Ooooooooohhhh, maman… !!!!

‒ Mmmmmm… ! »

Isabelle essaye de lui dire quelque chose, mais avec la bouche pleine, c’est peine perdue. Il pose la main derrière sa tête et la force à faire de va et vient. Isabelle ne lui oppose plus aucune résistance, c’est son fils qui décide de la cadence à tenir dans cette fellation d’une immoralité sans égale. Elle regarde le visage de son fils et comprend qu’il est en train de prendre son pied avec sa bouche.

« Oooooh, mmmm, oui, suce-moi bien, espèce de salope… !

‒ Mmm, mmm, mmmm !!!! »

Il lui caresse, maintenant, ses énormes nibards.

« Regarde un peu, ces nichons…, j’ai jamais vu ça, tu as de putains de gros nibards, je n’en pouvais plus de les voir ! »

D’un coup, il sort son sexe de sa bouche, Isabelle ne comprend pas et reste là, sans rien dire. Il la bascule sur le dos, perpendiculaire à son mari. Il lui écarte les jambes comme une brute.

« Éric…, va t’en, je t’en supplie, ton père peut se réveiller à tout moment !

‒ Je m’en fous de ce connard…, il peut se réveiller, je m’en contrefous ! »

Il tire la culotte maternelle qui se retrouve à mi cuisse, lui lève les jambes. Isabelle comprend ses intentions et tente de se dégager.

« Éric. Non, s’il te plaît, pas ça…, je…, je te suce, si tu veux, pour te finir mais pas ça, non ! »

Il n’écoute rien et après quelques efforts, il parvient à plonger son gland au milieu de la forêt de poils.

« Oh mon dieu…, oh mon dieu, Éric ! »

Il pousse fort, d’un seul coup, la moitié de cette longue barre et entre là où elle n’aurait jamais dû.

« Éric, retire-toi, je t’en supplie, je suis ta mère ! »

Mais celui-ci n’écoutant rien, commence de violents va et vient. Sa mère se tord de douleur, cette queue est bien trop grosse pour elle, mais après quelques coups de lime, les parois de la grotte maternelles commencent à se détendre. Éric besogne sa mère en silence, le lit bouge énormément et Antonio ne semble pas se rendre compte que son fils viole sa femme, juste à côté de lui. Par la suite, Éric retourne sa mère et lui administre une levrette peu commune.

Leurs corps claquent à chaque rencontre, ce gamin est un marteau piqueur, se dit-elle. Fatigué, il se repose un peu, Isabelle, surprise, se retourne vers lui :

« Ton père va se réveiller, je t’en supplie, finis vite ! »

Éric accepte l’invitation de sa mère qui a l’air, finalement, de se soumettre à être possédée par son propre fils. Les coups de reins se font entendre dans la pièce. Isabelle, à quatre pattes, se prépare à chaque poussée, à recevoir, de plus belle, ce pieu qui lui transperce le ventre. Ses seins se balancent sous son corps et papa dort bien gentiment à côté.

Isabelle le regarde en même temps, on ne sait jamais, sil se réveille ! Éric sent que ça vient, Isabelle le ressent aussi quand elle réalise qu’il accélère. Elle n’ose pas lui montrer qu’elle prend son pied, faut dire que c’est son fils, c’est d’une telle confusion dans sa tête, comment réagir ? Quant à son fils, il ne se pose pas les mêmes questions, certainement du à l’alcool aussi.

« Mmmm, aaaaaah, je vais jouir, putain que c’est bon…, je vais jouir !

‒ Éric, non…, enlève-toi, je t’en supplie, retire-toi… ! »

Éric n’écoute pourtant pas et jouit de plein fouet dans le ventre de sa mère, donnant encore de gros coups de rein. Isabelle tombe affalée sur le lit conjugal, tenant la main de son mari. Éric, lui sans demander son reste, rejoint sa chambre. Isabelle reprend son souffle, jamais elle n’avait reçu un tel châtiment et c’est là-dessus qu’elle tombe de sommeil et s’endort, alors que le foutre de son fils commence à couler entre ses lèvres vaginales.

Bientôt la suite !

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