A ma sortie de l’école de police, je fus affecté à un petit commissariat, dans une banlieue tranquille. Le chef de poste, Kevin n’avait sous ses ordres que trois policiers, Theo, Nathan et moi. Avec mes 1m70, j’étais le plus petit, mais bien musclé, avec un cul bien rebondi, que mettait en valeur mon uniforme. J’en eus la confirmation aux regards de Theo, qui s’étaient attardés sur lui, à mon arrivée. Sexuellement parlant j’étais gay, et passif, mais timide, et je n’avais eu que de rares expériences rapides, dans des toilettes d’autoroutes. Je m’étais fait quand même dépuceler le cul une fois dans des toilettes, sans y prendre grand plaisir. Ma vie sexuelle se limitait à m’enfiler un god, le soir chez moi, en m’imaginant livré à des mâles. Le port d’un uniforme me libéra quand même en bonne partie de ma timidité.
Une nuit où j’étais de garde, je reçus un appel relatif à un cambriolage. Quand j’arrivai, je trouvai un homme d’une quarantaine d’années, devant sa maison dont le rez de chaussée avait été cambriolé. Je le fis asseoir sur son canapé, pris sa déposition, et recherchai ensuite des indices. Quand j’étais debout, penché en avant, je prenais soin de tourner le dos à la victime, Paul, toujours sur son canapé. J’écartais légèrement les jambes, pour lui laisser deviner, sous mon uniforme, les formes de mon cul. Je le surpris à un moment, réajustant son sexe dans son jean, dont la braguette me semblait gonflée. Il semblait apprécier le spectacle de mon cul. Pour en avoir le cur net, je l’appelai à mes côtés, et, comme par inadvertance, reculai en plaquant mon cul contre son bas ventre. Je sentis nettement son érection. Je m’excusai, avec un sourire ambigu, et un coup d’il égrillard. Il eût un petit sourire. Je tentai le tout pour le tout, et mit ma main à sa braguette. Il me regarda d’un air vicelard. Je saisis sa main, et la plaquai sur mon cul, qu’il commença à caresser. Je me retournai, défit mon ceinturon, ouvrit ma braguette, et me mit à 4 pattes par terre devant lui, mon pantalon, commençant à glisser sur mes fesses. Il s’agenouilla derrière moi, et baissa mon pantalon et mon slip. J’écartais mes fesses avec mes mains. Je sentis bientôt un doigt mouillé de salive pénétrer mon anus, et le travailler. Un second doigt suivit. Il appliqua ensuite le bout de sa queue. Je redoutais un peu la pénétration, car ce n’était que la seconde fois. Heureusement il n’avait pas une grosse bite, et elle rentra facilement. Je le sentis me ramoner le cul. L’excitation de cette baise impromptue nous fit jouir tous les deux, assez vite. Je remontai mon froc, et, comme s’il ne s’était rien passé, je lui fis signer sa déclaration, et, comme le voulait l’usage, lui laissai mon nom et téléphone, et retournai au poste.
Le lendemain, je fus envoyé, sur ma moto, sur la portion d’autoroute voisine, pour des contrôles de vitesse. Je notai un véhicule, dépassant les limites, et le pris en chasse. Je le fis se garer sur le bas-côté, et le rejoignit. Le contrôle des papiers me montra que le conducteur avait tout juste l’âge de conduire. De plus, il empestait l’alcool. Un contrôle d’alcoolémie se révéla positif. Je lui demandai de me suivre en voiture, jusqu’à l’aire de repos suivante pour dresser la contravention. Je m’arrêtai, derrière l’endroit réservé au routier, près d’un petit bois. Arrivé près de la voiture qui m’avait suivi, je précisai les choses
« Conduite en état d’ivresse, avec dépassement des limites autorisées, ça fait beaucoup, et ça pourrait te valoir des ennuis… Je suis prêt à tout oublier, si tu viens m’enculer dans le petit bois »
Et je me dirigeai vers le bois. Ahuri par ma proposition, le jeune ne me suivit pas tout de suite. J’eus donc le temps de me déculotter, de me lubrifier l’anus, avec un lubrifiant que j’avais toujours sur moi, d’appuyer mes mains contre un arbre, et d’arquer mon cul en arrière. Le jeune arriva, en ouvrant sa braguette et je constatai qu’il avait une solide érection. Il n’était peut-être par gay, mais la vue d’un flic lui offrant son cul, l’excitait sérieusement. Il m’encula d’emblée, sans préliminaires, et je grimaçai de douleur. Mais bientôt l’excitation l’emporta et le plaisir remplaça la douleur. Pourtant le jeune m’avait saisi par les hanches, et me donnait de grands coups de boutoir. Mais je réalisai enfin pleinement un de mes fantasmes, me faire défoncer le cul. Quand il eût déchargé, il repartit et je pris le temps de me reculotter.
De retour sur l’aire de parking, je vis un routier, costaud, d’une cinquantaine d’années, me regarder narquoisement, en se frottant la main contre sa braguette. L’invite était évidente, et je m’approchai.
« J’étais allé pisser dans le bois, et je t’ai aperçu te faire mettre par le jeunot. Si tu aimes avoir une bite dans le cul, la mienne est à ton service »
N’ayant pas joui avec le jeune, j’étais encore excité, et mon trou du cul bien assoupli me décida à accepter.
Je grimpai dans le camion, et m’allongeai sur le ventre, sur la couchette derrière les sièges. Le routier m’y rejoignit. Je me tortillai pour baisser mon froc et me dénuder le cul. Un mec dans la cinquantaine ne baise pas avec la frénésie d’un jeune. Le routier me saisit les fesses à pleines mains et les écarta largement pour me lécher la raie. Sa langue s’attarda sur ma rondelle. Comme elle venait d’être distendue, il arriva à insérer le bout de sa langue. La sensation était délicieuse. Le routier sortit sa bite de sa braguette, la positionna et commença à s’insérer en douceur. Elle était plus épaisse que celle du jeune, mais le routier était expérimenté et me l’enfonça gentiment, bien à fond.
« C’est rare de trouver un flic à enculer ! En plus t’es jeune et serré. Je suis bien au chaud là-dedans. Tu as un cul superbe ! »
Et il commença à aller et venir, sa bite me caressant lentement les intérieurs. Je me mis à gémir de plaisir. Après avoir concrétisé le fantasme de la baise virile avec le jeune, je découvrais la sensation d’être enfilé langoureusement. Le routier, qui se maitrisait bien, fit longuement durer notre plaisir commun, et quand ce fût fini, nous avons échangé des remerciements, moi, pour la qualité de sa baise, et lui pour mon abandon total à sa bite.
En rentrant, je fis un arrêt rapide pour me restaurer, car j’étais encore de service de nuit. J’eus un appel vers minuit. C’était Paul. Il prenait un pot avec son cousin Jacques. Il m’invita à les rejoindre. Je n’avais aucun doute sur ses intentions, et j’acceptais bien volontiers, ayant par ailleurs l’excuse de me retrouver chez une victime d’un cambriolage.
Paul me présenta à Jacques, un petit mec dans la quarantaine, puis, me retournant vers lui, m’embrassa à pleine bouche. Je sentis Jacques derrière moi me palper le cul. Je dégrafai mon ceinturon et ma braguette. Jacques me déculotta, pendant que je me penchai vers Paul pour lui sortir sa queue et commencer à le sucer. Penché en avant, je sentis Jacques me lécher la raie, puis introduire un doigt, puis deux. Bientôt, il les retira pour insérer sa bite, d’autant plus facilement qu’elle était nettement plus petite que celle du routier. L’excitation d’enculer un flic en uniforme le fit jouir assez vite. Paul m’installa ensuite assis sur le canapé. Il me débarrassa de mes chaussures et de mon froc, plaça mes jambes sur ses épaules et se pencha vers moi. Je basculai dans le canapé, offrant mon trou à la bite bandée de Paul, qui me pénétra aisément (ma quatrième pénétration en moins de douze heures !). Pendant qu’il me baisait, je vis, dans le miroir en face, son cousin s’activer à lui lécher la raie. Je serais bien resté plus longuement avec eux, mais j’étais en service, et je dus retourner au poste.
Le lendemain, un samedi, j’étais de repos, et je dormis jusqu’à trois heures de l’après-midi. Après une douche et un repas, je m’habillai avec une tenue de jogging, en omettant délibérément de mettre un slip, et me dirigeai vers le cinéma porno de notre banlieue. En consultant des petites annonces sur le net, j’avais appris qu’à l’époque des DVD pornos, personne n’allait plus dans ces cinémas pour voir les films, mais pour draguer. La clientèle était surtout composée d’hommes mûrs, qui pouvaient, dans l’obscurité, trouver des partenaires qu’ils n’auraient pas pu trouver en plein jour. Il y avait une dizaine de personnes quand j’entrai. Je m’installai un peu à l’écart, posai mes pieds sur le dossier du siège devant moi, et fis glisser mon pantalon de jogging aux chevilles. Il était évident, pour quiconque m’apercevait dans cette position que j’offrais, nu, mon sexe et mon anus. Bientôt, un petit mec âgé, vint s’installer à côté de moi, pour me sucer. Un autre vint s’agenouiller sur le siège de la rangée en face de moi, et tendit la main pour me doigter le cul. Un troisième vint s’installer dans l’autre siège libre à côté de moi, pour mater. Celui de la rangée de devant dégagea une de mes chevilles de mon pantalon, m’écarta les jambes, et enjambant le siège vint se placer en face de moi. Il se pencha vers moi, en me soulevant par les hanches, et enfonça sa bite en moi. Je fermais les yeux, et me laissai manipuler, béat, tel un objet sexuel. J’entendis quelqu’un d’autres s’installer à quelques sièges de moi. Dans la pénombre, je distinguai son visage : c’était mon collègue Théo ! Je frémis intérieurement de me retrouver dans ma situation sous le regard d’un collègue, d’autant plus que, si je l’avais reconnu, il avait dû en faire de même. Je me rassurai, en pensant que s’il était là, c’était pour les mêmes raisons que moi. Dès que l’autre mec eût fini de m’enculer, je me reculottai et m’éclipsai.
Le dimanche j’étais de service avec Théo. En arrivant, il ne fit aucune allusion à ce qu’il avait vu la veille. Mais, tandis que j’étais à la photocopieuse, il s’approcha de moi, et, en me posant la main sur les fesses me chuchota
« Tu t’es bien amusé, hier, au ciné ? »
Je lui répondis par un sourire complice.
« Viens avec moi dans la salle des archives, on y sera bien tranquille »
Je l’y suivi, en sentant sa main, posée sur mon cul, appréciant le mouvement de mes fesses tandis que je marchais. Une fois-là, il m’adossa à une table et m’enleva chaussures, pantalon et slip. Il me bascula sur le dos sur la table, et me levant les jambes, se mit à me lécher la raie. Il me prépara en jouant avec deux doigts dans mon anus, tout en me regardant avec un grand sourire. Quand il se redressa, je vis qu’il avait sorti sa bite, bien dure. Il posa mes jambes sur ses épaules, s’inséra doucement en moi, et se penchant vers moi, vint m’embrasser à pleine bouche. Ce baiser dura longtemps, le temps qu’il me baisait très en douceur. Je m’étais saisi la bite et me branlait doucement. Je finis par sentir que j’allais jouir, et le prévint. Il accéléra la cadence pour éjaculer en même temps que moi.
Une fois revenu dans les bureaux, nous nous mîmes à bavarder. Je lui racontai mes aventures. Il me parla des siennes. Comme il était surtout actif, il acceptait de faire sauter les contraventions, en échange de l’enculage de l’automobiliste fautif. Comme nous étions de repos tous les deux le mercredi suivant, il me proposa de me faire découvrir une autre aire de drague sur l’autoroute.
Ce mercredi-là, il arriva chez moi sur sa moto personnelle, en jogging. Il me conseilla la même tenue, comme lui, sans slip. Il enfourcha sa bécane et je grimpai derrière lui. Je me collai à son dos, en glissant sournoisement ma main dans son pantalon, à la recherche de son trou du cul, qu’il me laissa tripoter tout le long du trajet. Arrivés sur l’aire de repos, il s’arrêta au milieu de cinq voitures, dans lesquelles des dragueurs attendaient. Il descendit de sa moto, me fit avancer sur le siège, mon torse appuyé sur le guidon. Il s’assit derrière moi, et me demanda de soulever mon cul, en posant mes pieds sur le marchepied. Il fit glisser mon pantalon de jogging pour dénuder mon cul, en l’air et bien visible, et commença à le doigter. Tous les mecs nous mataient. Il termina la séance d’exhibition en insérant sa bite dans mon cul, et en m’enculant en public. Nous repartîmes, ravis de ce petit jeu.
Comme le vendredi nous terminions notre service en fin d’après-midi, il proposa de m’amener dans un bar qu’il connaissait. Ce n’était pas un bar gay, mais un bar de routiers, fréquenté uniquement par des hommes. Les routiers ne sont pas tous gays, mais sont souvent seuls sur la route, et ne dédaignent pas de s’amuser entre eux, ou avec des rencontres de passage. Ce n’était pas un bar gay, mais le propriétaire l’était, et c’était un bar où on pouvait s’amuser entre hommes. Je suggérais à Theo d’y aller avec Paul. Il fût d’accord, et Paul accepta avec enthousiasme. Nous nous retrouvâmes devant le bar vers 22h. Une douzaine de clients, routiers et amateurs de routiers. En se dirigeant vers le bar, Theo me passa longuement la main au cul, sous le regard intéressé de bon nombre de clients. Après avoir bavardé avec le patron, que Theo connaissait bien, et avoir bu nos bières, Theo nous invita à visiter les toilettes. Le patron avait tout prévu, elles étaient spacieuses.
Theo se plaça dos au mur opposé à l’entrée, la queue à l’air. Je me penchai pour lui sucer la bite, pendant que Paul me déculottait pour me lécher la raie. Un mec entra, puis deux autres. Ils nous entourèrent, la bite à l’air, en se branlant. Quand Paul en eût assez de me lécher, il se releva. Un des branleurs le remplaça, me doigta après m’avoir léché et m’encula. Quand il eût terminé, un autre était prêt à prendre la suite. Mais je n’étais pas venu me faire enfiler à la file par tous les clients, et me reculottai. Nous retournâmes boire une bière, discuter un peu, et puis regagnâmes les toilettes pour une autre séance.
Ensuite, Theo se dit fatigué et rentra chez lui. Je repartis avec Paul. Nous nous mîmes à poil dans son lit. Il me plaça sur le côté, une jambe repliée et me baisa lentement en levrette, tout en caressant ma bite bandée. Le lendemain matin, j’avais hâte de retourner au travail, car, ce jour-là, j’étais seul de permanence avec Theo
Fin