Quand nous étions jeunes (une vingtaine d’années), avec ma compagne qui deviendra plus tard, ma femme, nous allions nous baigner dans un petit coin de rivière particulièrement sympathique.
Les baigneurs étaient très nombreux en ce lieu réputé des Cévennes, mais en remontant le cours d’eau sur plusieurs centaines de mètres, et après avoir grimpé quelques rochers, on trouvait plusieurs plans d’eau profonds, où l’eau était cristalline, mais surtout, isolés.
Nous étions rarement seuls en cet endroit, mais vers 18-19h, dès que le soleil se cachait derrière les collines qui dominent l’endroit, le lieu se vidait totalement. c’était le moment que nous préférions, vous devinez certainement pourquoi.
Dès que nous étions seuls, hop, adieux les maillots (ce n’est pas un endroit naturiste) et à nous le plaisir de la baignade nue.
Il va de soit que la situation nous excitait fortement, aussi, nous échangions de nombreuse caresses sous l’eau.
notre endroit préféré avait un autre avantage, il était dominé par un gros rocher d’où on pouvait plonger. Mais il n’avait pas que cette fonction.
En effet, ce rocher en granit, brulant au plus fort de la journée, conservait une douce chaleur le soir venu, et il avait été poli par les éléments. On pouvait s’adosser à lui de façon relativement confortable (c’est du granit, faut pas l’oublier) a l’abri des regards des personnes se trouvant en aval de l’endroit.
Je me souviens d’un jour, où nous nous étions particulièrement chauffés, nous sommes sortis de l’eau et nous nous sommes enlacés debout contre le rocher.
Ma femme prend ma bite avec ses mains, me regarde dans les yeux, puis se baisse pour me sucer. Elle se met ensuite accroupie devant moi, les cuisses largement écartées, et me prodigue une fellation d’enfer. Elle me lâche la bite de sa main droite, qui va se poser sur ses lèvres intimes. Quand ma femme fait ça, c’est que son niveau dexcitation et à son comble.
Elle me suce et se caresse durant quelques minutes, puis se redresse un peu pour prendre ma bite de….17 cm (oui, bon, j’ai jamais dit non plus que j’étais un Apollon) entre ses jolis seins aux bouts dressés d’excitation quelle presse des deux mains. Elle entame une branlette espagnole, puis baisse la tête et me titille le gland du bout de la langue.
Rapidement, elle reprend sa fellation, enfonce ma bite au plus profond de sa bouche, la ressort, la lèche, prend une de mes boules dans sa bouche, me branle, puis me reprend en bouche. Malgré son jeune âge, ma femme est une vraie experte de la pipe.
A force de me pomper, ma sève monte, et j’éjacule dans sa bouche. Elle se relève, et ne voulant pas la laisser sans prendre son plaisir, c’est moi qui maintenant m’agenouille et pose ma bouche sur son sexe.
Celle-ci appuie son dos sur le rocher et écarte ses cuisses pour que je puisse m’occuper d’elle au mieux. Étant debout, la position n’est pas très confortable pour elle, mais le plaisir que je lui donne (d’après elle, je suis un expert en léchouille) est plus fort que l’inconfort.
J’aspire son clito, je rentre ma langue le plus profond possible dans son sexe humide, je la pénètre d’un doigt, puis deux, trois et la masturbe fortement. Ma femme pousse des petits gémissements, ce qui m’excite au plus haut point. Je continue ce traitement plusieurs minutes et je me remet à bander (vive la jeunesse).
Aussi, je me relève, la retourne, la fait se pencher vers l’avant, et glisse par derrière ma bite dans son sexe brulant.
Je commence alors un va et vient profond, mes mains sur ses anches. Ma femme qui s’appuie sur le rocher tourne la tête vers moi et me regarde d’un regard rempli d’excitation et me dit, "vas y, je vais venir".
Sur cette déclaration, j’accélère le rythme et pour précipiter sa jouissance car je sens que je ne vais plus tenir longtemps, je caresse de mes doigts son clitoris tout dur. Ma femme pousse un gémissement plus fort et jette un long "oui". Elle jouit, et je jouis aussi. Je me vide en elle en de longues giclées.
Elle se retourne et pose ses lèvres sur les miennes pour un long baiser.
Afin de nous laver, nous descendons du rocher, et soudain, nous voyons une personne surgir de derrière un autre rocher, en amont du notre. Elle tient à la main une canne à pêche.
Nous avions oublié que l’endroit était poissonneux et que les pécheurs nocturne étaient nombreux. Mais nous ne nous attendions pas à en voir un descendre le cours d’eau.
Depuis quand était-il là ? On ne sait pas, toujours est-il qu’il n’a pas l’air surpris de nous voir là, nus. Le pêcheur passe à côté de nous alors que nous étions dans l’eau en nous lançant un "bonsoir. Elle est bonne ?" Puis il va se poster un vingtaine de mètres plus loin et lance sa ligne dans l’eau.
Nous sortons de l’eau un peu gênés de sa présence , nous séchons et nous rhabillons rapidement pour rejoindre notre famille au camping. En passant à côté du pécheur, je lui souhaite une bonne pêche. Il lève le pouce en me faisant un clin dil. C’est clair, il a profité du spectacle. Nous lui sommes grès de nous avoir laissé finir.
Après cette mésaventure, ma femme n’a plus jamais voulu que nous restions seuls à cet endroit. Dommage !