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un jour aux Puces – Chapitre 1

un jour aux Puces - Chapitre 1



UN JOUR AUX PUCES

Sur son passage, dans les allées animées du Marché aux Puces, bien rares étaient les hommes qui ne se retournaient pas sur elle. Elsa le savait, elle faisait tout ce qu’il fallait pour ça! Brune, élancée, elle prenait un malin plaisir à faire balloter ses seins épanouis et nus sous un corsage léger qui laissait deviner de larges aréoles brunes ; elle jouait également de la semi- transparence de sa jupe courte, sachant pertinemment que ceux-et celles!- qui la regardaient devaient se demander si elle portait -ou non!-une culotte. La réponse partielle qu’elle apportait en se penchant, jambes droites, sur les étalages au sol était trompeuse car l’observateur attentif pouvait croire qu’elle avait le cul nu alors qu’elle portait un mini string blanc dont la ficelle disparaissait entre ses fesses charnues et lui sciait agréablement la vulve. Elle avait parfaitement remarqué qu’en la croisant, un groupe de 5 ou 6 jeunes avaient changé de direction et la suivaient pas à pas ! Leur séjour parisien commençait bien…Il leur était en effet plus difficile de pratiquer en province, où ils vivaient, ce genre d’exhib’ .

Elle se sentait en sécurité dans cette foule multicolore, d’autant plus que Paul, son mari n’était pas bien loin; il adorait la suivre de quelques mètres, il pouvait ainsi, lui aussi, profiter de l’exhibition de sa femme et il aimait par-dessus tout surprendre les regards des passants et lire dans leurs yeux les envies et les désirs qu’ils projetaient sur elle.

Après 2 années d’union libre, ils avaient sauté le pas et s’étaient mariés, 3 ans auparavant, en 1985… Elle connaissait donc depuis longtemps ses goûts et ses fantasmes. D’un naturel très extraverti, elle n’avait pas eu à se forcer pour le satisfaire: sa garde-robe débordait de vêtements sexy, de talons-aiguilles et de dessous suggestifs…à l’exception des soutien-gorge car elle n’en portait que rarement, et seulement pour aguicher son voyeur de mari…Leur fantasme commun, lorsqu’ils faisaient l’amour, consistait à inviter à leurs ébats un personnage fictif. Etait-ce pour cette raison qu’il aimait la montrer pour susciter le désir des autres? C’était, pour elle, une évidence, mais, tout cela restait imaginaire et ils n’avaient jamais évoqué l’éventualité du passage à l’acte. Pour l’heure, elle frissonnait à la pensée qu’elle bénéficiait ainsi des retombées de toute cette charge érotique…Paul était toujours déchaîné en la baisant après des séances comme celle-ci! En passant dans une allée où se trouvait un grand étal d’art et artisanat africain, Paul rejoignit et lui dit:

" Je pourrai peut-être trouver ici de quoi enrichir ma collection, tu ne crois pas?

Depuis quelques années, il avait, en effet, commencé une collection d’art érotique, tableaux, dessins et statues qui, au grand étonnement de certains visiteurs, trônaient en bonne place sur les étagères de leur salon.

"Possible,répondit-elle, mais je n’en vois pas à l’extérieur, entrons, y en a peut-être dedans!"

Ils entrèrent, un grand noir les salua et Paul lui fit part de sa recherche.

"Oui! répond-il en riant, nous avons ça, mais pas ici, bien sûr!… Boulou,appela-t-il, tu amènes ces m’sieur-dame à la réserve! Ils veulent voir nos érotiques…"

Boulou, un noir plutôt petit et vétu d’un survêt’ bleu roi, sortit de l’arrière-boutique et les pria de le suivre. Il les guida dans un dédale de ruelles jouxtant le périmètre des Puces, ouvrit une minuscule porte et se recula d’un pas: "Après vous, je vous en prie!C’est au 3e! ".

Paul entra dans l’étroit couloir, suivi d’Elsa, Boulou referma la porte derrière eux. En montant, Elsa savait que l’homme avait le regard fixé sur son cul et ses longues jambes, elle le ressentait physiquement; chaque palier était éclairé par un oeil-de-boeuf qui, par l’effet de contrejour, devait dévoiler ses jambes du pied à la cuisse,comme si elle était nue…D’un seul coup, son excitation tombait, remplacée, peu à peu, par un sentiment de crainte qu’elle ne maîtrisait pas…Sur le palier du 2e, elle se retourna et vit que Boulou, quelques marches plus bas, la détaillait sans vergogne, elle distingua nettement l’énorme bosse qui déformait et tendait son pantalon vers l’avant, elle se dit que, placé comme il l’était, il avait dû avoir, aussi, une vue panoramique sur son cul et le fond de son string…Sa peur monta d’un cran mais il était trop tard pour faire machine arrière! Paul, lui, continuait son ascension, apparemment sans souci!

Au 3e, Boulou passa devant eux en s’excusant et ouvrit le cadenas qui protégeait l’entrée du dépôt. A sa suite, ils traversèrent 3 grandes pièces pleines de cartons contenant masques, colifichets et statues. L’amoncellement ne laissait qu’un étroit couloir pour passer d’une pièce à l’autre. Arrivés dans un local plus petit, il se tourna vers ses clients et dit: "Nous y voilà!"

Elsa put se rendre compte que leur guide bandait de plus en plus; maintenant presqu’à l’horizontale, sa queue, qui semblait énorme, tirait vers le bas la ceinture élastique; Paul, qui venait de découvrir l’état priapique de Boulou, regarda Elsa et décela dans ses yeux une lueur de peur! Boulou s’activait, déballait des statues à l’érotisme ravageur, passait d’un carton à un autre et son membre dilaté frottait au passage les fesses ou le bas ventre d’Elsa qui ne pouvait éviter ces contacts- contacts qui, dans d’autres circonstances, l’auraient fait mouiller à tremper son string…

"Attention, Monsieur Boulou, vous génez ma femme…" observa Paul en baissant les yeux. Lui aussi n’avait qu’une hâte: acheter une statuette et quitter les lieux!

"Ah!Ah! je gène Madame! A la voir attifée comme ça, on dirait pas…On s’habille comme une salope et on voudrait être traitée comme une dame! Cette "uasherati" (pute) se ballade à moitié à poil, tout le monde peut voir son "punda" (cul) et ses "matiti" (nichons) et Boulou n’aurait pas le droit de bander??? Tiens, garce, touche ça, tu m’en diras des nouvelles! ". Joignant le geste à la parole, il tira sur sa ceinture, descendit son pantalon sur les cuisses, sa bite, d’une longueur étonnante, tirée puis libérée par le vêtement vint claquer contre son ventre: elle montait bien au dessus de son nombril. Il tendit les mains vers les seins d’Elsa et en saisit les tétons à travers le tissu léger : " Viens, viens sucer Boulou, tu verras comme elle est bonne ma pine!!!! "

Paul fit un pas en avant pour s’interposer, mais il reçut un tel coup sur la tête qu’il s’écroula sur le plancher! …….Quand il se réveilla, il lui fallut quelques minutes pour s’apercevoir qu’ils avaient changé de pièce: 2 grands matelas, une table de cuisine, 2 chaises en composaient le mobilier. Il dut lever la tête pour voir Elsa encadrée par Boulou et le grand noir qui les avait accueillis à la boutique. Debout entre eux deux, Elsa tentait, sans succés, de se défendre. Le grand était en train de lui arracher son corsage, tandis que Boulou tirait sur les côtés du string blanc, la jupe,déchirée, ètait déjà au sol. Le malheureux slip ne résista pas longtemps, dévoilant la toison noire et bouclée qui ornait le pubis d’Elsa.

" Il se réveille, cèzigue! Occupe-toi de lui! " intima le grand. Boulou aida Paul à se relever, lui ordonna de se déshabiller, puis lui attacha les mains dans le dos avec du ruban adhésif avant de le faire asseoir sur une des chaises. "Elle est canon, ta bourgeoise…quel cul! Tu vas être bien sage pendant qu’on s’occupe d’elle!…Elle va en prendre par tous les trous, la pin-up! "

Elsa était nue maintenant, à l’exception de ses talons qui accentuaient la longueur de ses jambes et l’arrondi de ses fesses…Le grand qui la tenait toujours, lui força les cuisses et y passa brutalement sa main: "Putain! Elle est sèche comme la savanne avant les pluies…Ca va pas être du gâteau, mais tu vas voir, on va bien t’arroser tous les deux! -C’est normal, Jo! Elle a dû avoir peur de mon baobab…mais ça sera que meilleur de la défoncer à sec!!!" surenchérit Boulou tout en forçant la jeune femme à s’agenouiller devant Jo qui se déshabillait tranquillement. Il la saisit par les cheveux et l’approcha de sa queue qui ne bandait pas encore complètement mais qui était, déjà, beaucoup plus épaisse que celle de son compagnon. Elle évoquait le baobab dont l’autre venait de parler.

"Tu vas d’abord me mettre en forme! " dit-il en essayant de forcer les lèvres farouchement fermées. Boulou se pencha sur elle et lui pinça le nez; une minute après, Elsa dût ouvrir la bouche pour retrouver sa respiration.

D’un coup de reins, Jo parvint alors à pousser sa pine tendue jusqu’au fond de la gorge en distendant les machoires de la jeune femme. Paul, réduit à l’impuissance, assista à la défaite de sa femme qui se mit à sucer cette queue qui la forçait, Jo allait et venait de plus en plus profondément dans cette bouche sacrifiée et son membre semblait se dilater encore plus. Le jeune mari , malgré l’horreur de la situation, ne pouvait s’empêcher d’apprécier l’érotisme violent de la scène: pour la première fois,il voyait sa belle épouse sucer la bite d’un autre! Il sentit le sang affluer dans son sexe et prit conscience qu’il commençait à bander…

Jo, en pleine érection, se dégagea et fit un signe à Boulou.Celui-ci, qui bandait toujours et se branlait lentement, fit relever Elsa et la plaça à plat-ventre sur la largeur de la table, jambes et bras ballants d’un côté et de l’autre, puis il l’obligea à écarter ses cuisses au maximum. Jo y prit position et , de la main, dirigea son énorme gland vers la vulve entrouverte. Elsa poussa un cri grinçant quand elle le sentit en elle; son vagin sec, meurtri par l’assaut brutal, la taraudait comme une lancinante brûlure à chaque introduction, sa tête roulait de droite à gauche, de gauche à droite lorsque, malgré la douleur du viol, elle s’aperçut que Paul, son mari,assis sur sa chaise, jambes tendues, bandait comme un cerf. Son membre, dressé vers le plafond, semblait avoir une vie propre et tressautait chaque fois que Jo replongait en elle. Paul, en effet, ne maîtrisait plus rien, les yeux écarquillés, il sentait ses couilles gonfler, son gland dilaté devenait de plus en plus rouge puis virait au violet… avant d’exploser et de libérer des geysers de sperme qui retombèrent en gerbes sur son ventre et ses cuisses. Comme pris de convulsions, il se tordait sur sa chaise quand Elsa se mit à crier: "…mais! mais…! Regardez: il èjacule le salaud! On me viole et lui, ça le fait bander! Ca le fait jouir… mais regardez, il s’est mis du sperme partout…Faut être pervers pour faire ça, tu es un beau salaud, Paul…et, attention! ça change tout de te voir comme ça ! Tu vas me le payer, pas plus tard que tout de suite!…Ah, Monsieur aime me mater pendant qu’un autre me baise…ou plutôt me force à baiser avec lui!…et bien tu vas être comblé! Mr Jo, s’il vous plaît, arrétez un moment, je suis trop crispée, trop sèche, il faut que je me prépare, je vous en prie!… vous ne le regretterez pas, et votre copain non plus!"

Déboussolé, Jo retira sa bite raide du con d’Elsa qui se releva et s’approcha de son mari, toujours assis, les bras liès. "Ah, mon cochon, reprit-elle, tiens, c’est avec ton foutre que je vais me préparer, me lubrifier le con pour mieux me faire baiser par ces deux grosses bites! Et tu vas voir tout ça en "live" puisque ça te fait bander!" . Ecartant les cuisses, elle vint s’installer juste au dessus du sexe toujours tendu de son mari, de la main, elle recueillait le foutre qui maculait son ventre et se caressait la fente, pènètrait sa vulve, enduisant de sperme toutes ses chairs intimes,ses doigts passaient et repassaient le long de sa fente, du clitoris jusqu’à la porte étroite qui s’assouplissait peu à peu. Devant ce spectacle ravageur, Boulou et Jo se masturbaient , ils avaient bien compris que la séance allait être chaude! Bien déterminée à se venger, Elsa s’accroupit davantage sur le dard bandé…Elle se courba encore davantage jusqu’à ce que sa vulve entrât en contact avec le gland avant de se laisser tomber d’un seul coup sur la colonne de chair: " Voilà! Tu sens comme je redeviens souple, douce, accueillante, je commence à bien mouiller, je suis prète à m’offrir à ces deux hommes qui n’attendent que ça! Regarde comme ils bandent fort! Tu vois, ils se branlent pour moi! Je les veux tous les deux partout,dans tous mes trous, et toi, tu vas regarder!!! "

Se relevant, elle libéra le sexe de son mari qui n’avait rien perdu de sa rigidité. Elle alla s’étendre sur la table, exactement comme Boulou l’avait mise un moment avant; de ses mains, elle s’ouvrit les fesses et interpella Jo: "Viens maintenant! viens me fourrer ta grosse pine dans le con, viens! Défonce-moi! Remplis-moi! ". Ses désirs se réalisèrent très vite, Jo la posséda d’un coup de reins vigoureux, il plongea sa pine dans cette caverne ardente et en ressortit aussitôt avant de s’y engouffrer à nouveau! Elsa ressentait ces assauts au plus profond d’elle même…ses gémissements de plaisir prenaient de plus en plus d’ampleur et s’accentuèrent encore lorsque Jo lui enfonça deux doigts dans l’anus. Relevant la tête, elle s’adressa à son mari : " Eh bien, mon chéri, est-ce que ça te plait? Approche-toi, voyons! Viens voir sa bite de plus près, viens voir comme ma vulve s’ouvre pour la recevoir! Si tu savais combien j’adore qu’il me branle le cul en même temps! Tu vois, je deviens la salope dont tu as envie… la pute qui offre sa chatte au premier venu et qui a aussi très envie de se faire enculer!… Attends, Jo, retire-toi, s’il te plait, et vas t’allonger sur le matelas…"

Il s’exécuta aussitôt , elle vint audessus de son membre qui tressautait et s’y empala, cuisses repliées en disant à Boulou: "Et alors? Qu’est-ce que tu attends? Viens me défoncer le cul ! Tu bandes comme un âne…ça va être divin!". Boulou s’approcha d’elle en même temps que Paul, les bras toujours liés. Dans la raie entièrement découverte par sa position, il voyait l’anneau violet, ouvert comme une petite bouche suppliante, distendu qu’il avait été par les doigts actifs de Jo. Il savourait à l’avance le moment où la très longue mentule de Boulou allait s’enfoncer dans la fournaise…Elle émit un feulement de plaisir quand l’impressionnant bourgeon rougeoyant de Boulou forca, sans trop de peine d’ailleurs, le sphincter étoilé; " Regarde bien, Paul chéri, mate bien comme il m’encule, comme sa bite avance en moi, centimètre par centimètre…C’est la première fois qu’un autre que toi me défonce l’oeillet…et tu bandes toujours, mon salaud, plus que jamais!…Ta queue bouge toute seule! Tu vas pas jouir sans qu’on te touche, comme tout à l’heure? Non, retiens-toi! Garde ton foutre pour moi!… Oooooooooh! Ca y est! Il est tout en moi! Va doucement, Boulou!…Elle est si longue, je la sens jusqu’au plus profond de mon ventre!!! Allez-y maintenant…bourrez-moi tous les deux…Ouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiii! Comme ça, défoncez moi ensemble, que vos bites me fouillent en mème temps!..Rrraaaaah! ..Halluciné, Paul se déplaça vers l’arrière du trio, il put ainsi mieux voir les deux membres aller et venir dans leur antre respectif…Boulou sortait du cul jusqu’au gland puis la pénétrait à nouveau à fond et dans le même mouvement, elle bougeait son corps d’avant en arrière pour mieux accueillir dans son con béant l’épaisse mentule de Jo. Concentrés sur leur plaisir, les deux noirs s’activaient sans un mot, tout occupés à défoncer le corps magnifique dont ils disposaient à leur guise.

Une forte odeur de sexe se mélait aux effluves épicés de leur transpiration, et Paul vit très distinctement se gonfler, puis se contracter les couilles de Jo lorsqu’il accentua ses mouvements…Elsa sentit le membre grossir encore dans sa vulve: "Ouuuuuiiiii! Vieeeeens! Remplis-moi de ton foutre! Inonde mon cooooooooon…Comme c’est boooon! Oooooh! Paul, ça y est, il vient, il vieeent… Boulou, viens toi aussi, accélèreeeee! Je veux vous sentir exploser ensembleeee!… "… Paul vécut leur éjaculation commune, trahie par une poussée plus brutale des reins et par la contraction de leurs fesses..Il se demandait quelles sensations pouvait éprouver son épouse déchaînée en dévoilant, en sa présence, ses désirs enfouis. Il tentait d’imaginer le plaisir qui la secouait en s’offrant aussi sauvagement aux deux hommes, en s’ouvrant aux deux queues qui la fouissaient…Un long cri interrompit le cours de ses pensées:

"Aaaaarrrrrrrrrrrh! Ils éjaculeeeeeeent, leur foutre m’inonde partouuuut, c’est chauuuuud…c’est……….! Aaaaaaah! J’éclateeee! Mon amour! Je jouiiiiis!!!!!!"

Tous trois restèrent prostrés quelques minutes, Boulou sur le dos d’Elsa qui gisait sur Jo… Lorsque Boulou se retira, sa queue,luisante et maculée de sperme, était toujours aussi flamboyante, splendide dans sa rigidité sans failles. Quand Elsa se releva à son tour, jambes écartées au dessus de Jo, des filets de sperme ressortirent de ses orifices toujours béants et se mirent à couler dans sa raie culière et sur ses cuisses. Paul, à cette vue, sentit sa tige frissonner de désir. Elsa s’en rendit compte, elle alla vers lui et saisit le membre turgide. Elle se mit à la caresser et, tout en le branlant lentement, elle lui dit, d’une voix chavirée: " T’en fais pas, ça va être ton tour!!! Je déborde de foutre mais j’en ai encore envie… Si tu savais comme j’ai apprécié ces deux belles bites en moi! Regarde les, Boulou bande toujours et j’espère que Jo sera très vite opérationnel parce que pour l’instant, il bande mou…

" Pas de souci, ma belle, tu vas la revoir très vite au garde-à-vous… fais-moi confiance; Boulou, lui, c’est un phénomène, il peut baiser plusieurs fois sans débander…en plus, il est "tous-terrains", reprit Jo en rigolant.Les yeux d’Elsa brillèrent d’une lueur coquine et, plantant son majeur dans le cul de Paul, elle reprit: "Moi, je viens d’en prendre plein l’anus… Je suis sure que tu aimerais ça…n’est-ce pas? Après tout, ça te plait quand je te branle le cul, ça te fait bander encore plus! Boulou, détache-lui les bras,s’il te plaît!…Tu vas l’enculer pendant qu’il me baise et Jo se joindra à nous dès qu’il aura retrouvé la forme…d’accord? Sans attendre de réponse, elle se coucha sur le matelas et ouvrit en grand le compas de ses cuisses; Paul, libéré, vint s’étendre sur elle et l’investit sans hésitation.

" Oui! viens bien à fond! Repousse leur foutre dans mon con! Tu sens comme je suis ouverte! Qu’est-ce que ça te fait de me fourrer dans le sperme des autres? Tu sens comme tu glisses bien dans leur foutre! Maintenant je suis ta salope, ta pute!…C’est ce que tu souhaitais, non? Approche Boulou, son cul t’appartient, déchire-le! A part mes doigts, c’est la première fois qu’il va se faire vraiment enculer, n’est-ce pas, mon chéri ? "

Craintif, Paul essayait de se rassurer en se disant que, si une femme y prenait du plaisir, il n’y avait pas de raison pour qu’il n’en soit pas de même pour un homme…Lorsqu’il sentit le gland de Boulou pousser sur son anus, il était partagé entre la peur et une excitation qui le faisait raidir encore plus dans le con de sa femme. Il ne put retenir un cri lorsque Boulou força le passage musculeux de quelques centimêtres…Sa queue démesurée disparaissait peu à peu dans l’étroit couloir. La douleur diminuait par palier, et, à sa grande surprise, Paul, bien emmanché, ressentit des ondes de plaisir l’envahir depuis l’anus jusqu’au ventre et quand son enculeur entama un vigoureux va-et-vient, il ne put se retenir davantage et éjacula abondamment dans le vagin d’Elsa. Celle-ci n’apprécia guère et le lui fit savoir: "Ah! Non! Pas si vite, salaud! Tu aurais pu te retenir! Tu vas pas me laisser comme ça!… Attends, laisse-moi me dégager! ". Paul se redressa, en appui sur ses mains, elle glissa vers le haut puis se retournant sur elle-même, elle se remit tête-bêche, au-dessous de lui, et reprit: " Comme ça, je peux le voir t’enculer en gros plan! Je veux voir sa pine te défoncer le cul! Et tiens, pour ta punition, tu vas me nettoyer tout ça, jusqu’à la dernière goutte!". Elle écarta les jambes et Paul , tendant son cou vers le bas, se mit en devoir de lapper toutes les traînées blanchâtres, celles qui sourdaient de sa chatte et de son cul comme celles qui couvraient ses cuisses. Parallèlement, il appréciait les amples mouvements du manchon qui le ramonait…Elsa, qui se complaisait à bouger le bassin pour guider là où elle le souhaitait la langue souple de son mari, constata que, malgré ses deux éjaculations précédentes, sa queue, dégoulinante de foutre, gardait une certaine rigidité…Elle prit un malin plaisir à nettoyer de la langue le sperme qui la couvrait tout en regardant les longues allées et venues de Boulou dans le cul de son mari!…La forte odeur sexuelle ajoutait encore à son plaisir et elle ne tarda pas à manifester bruyamment l’orgasme qui la gagnait, elle ne se rendit même pas compte que, dans le relâchement du plaisir, elle pissait dans la bouche de son mari qui ne cessa pas,pour autant, de la lécher partout!!!

Elle mit quelques instants à reprendre conscience, le souffle court…puis elle se dégagea avant de se relever et de venir à côté des deux hommes agenouillés pour mieux apprécier le spectacle… : " Alors, mon amour, ça fait quoi de se faire enculer? C’est bon, non? Maintenant, tu sais ce qu’une femme peut ressentir quand elle se fait embrocher! Désormais, quand tu me la mettras ainsi, tu pourras partager mon plaisir, comprendre ce que j’éprouve quand tu me défonces la rondelle…".

Jo, inactif depuis un bon moment, avait récupéré; la bite tendue comme un arc, il s’approcha de la jeune femme, le ventre en avant. "Ah! voilà que ta queue redevient comme je l’aime! Attends! J’ai très envie de te la sucer, mais pas avant de les avoir vu jouir…je veux voir le cul de Paul rempli de foutre! Viens, je vais te branler en attendant! ". Elle le saisit et se mit à branler sa pine, si épaisse que ses doigts n’en faisaient pas le tour; d’un large mouvement du poignet, elle remontait jusqu’au gland congestionné, puis le redécouvrait en redescendant vers le pubis crépu…La douceur lisse de la peau lui procurait de délicieux frissons. A côté d’eux, les choses semblaient s’accélérer, l’infatigable Boulou allait et venait de plus en plus vite dans le conduit anal, à chaque plongée, Paul réagissait par un mouvement en arrière qui accentuait l’enculage. "Mmmmmmhhh! Elsa!, gémit-il, je sens qu’il va jouir dans mon cul! Il grossit encore…Qu’elle est bonne sa queue! Aaaaaaaaaaahhh! Aaaaahh! Ca y est, il éjacule, il me rempliiiiit!…" et pendant que Boulou explosait, Elsa vit , sous le ventre de son homme, quelques gouttes d’un foutre presque transparent jaillir de sa queue tressautante. Quelques secondes plus tard, tous deux s’abattirent sur le matelas souillé de sperme avant que Boulou ne se retire avec un "flop" sonore. Elsa lâcha la bite qu’elle masturbait et poussant Jo contre la table, elle s’agenouilla devant lui et referma ses lèvres sur le membre raide, la bouche distendue par la grosse sucette, elle dut faire quelques efforts pour l’avaler jusqu’au pubis. Jo gèmit de plaisir alors que Paul, l’anus en feu, se relevait pour voir sa femme pomper le grand noir. Il connaissait fort bien son habileté à enrouler sa langue sur le gland, à parcourir la hampe qu’elle suçait ou à mordiller légèrement la chair vive et il savait le plaisir que pouvait prendre Jo à s’épanouir dans ce réceptacle velouté. Elsa le tira un peu vers elle pour décoller ses fesses de la table et, de la main, elle l’amena à écarter les cuisses. Elle progressa vers sa raie culière avant de le pénétrer d’un doigt agile. Elle sentit la bite tressauter dans sa bouche; comme Paul, Jo avait l’air d’apprécier qu’on lui doigte le cul…elle se demanda fugitivement si c’était le cas de tous les hommes!.. Boulou, la queue à demi bandée s’était assis sur une chaise, Paul se caressait la pine et matait sa femme, admirant ses courbes et ses seins qui bougeaient au rythme de la succion. Par petits coups de reins, Jo lançait son bas-ventre en avant; à chaque plongée d’Elsa, sa pine,luisante de salive, apparaissait puis disparaissait pour reparaître, plus luisante encore. Leur mouvement prit soudain davantage d’ampleur, Elsa libéra alors le membre qu’elle saisit à pleine main pour le branler, elle reprit l’énorme gland dans sa bouche, le parcourant de la langue… Paul sentait sa bite frémir mais la bandaison ne venait plus! Du doigt, Elsa continuait à branler le cul de son amant qui gémissait en continu… Il poussa alors un grand cri et se libéra dans cette bouche si accueillante…Elsa sentit le premier jet lui envahir la bouche, suivi de plusieurs autres, tout aussi puissants, qu’elle avala gorgée après gorgée. Lorsque Jo se retira, elle se releva et vint embrasser son mari, partageant avec lui le sperme qui restait encore dans sa bouche!!! Elle se recula quand elle sentit gonfler contre son ventre le sexe de Paul… " Mais, mon chéri, tu bandes encore après avoir joui trois fois!…Décidément, rien ne t’excite plus que de voir ta femme s’offrir à d’autres hommes comme une pute!!! T’as aimé ça, hein! de me voir défoncée de partout par ces belle bites? Ou bien est-ce le plaisir de t’être fait enculer sous mes yeux?…Quoi qu’il en soit, ce n’était qu’un début! Je t’en donnerai, crois-moi, des occasions de découvrir toutes les pulsions et tous les désirs que ces deux-là viennent de libérer…Certes, ça avait plutôt mal commencé, mais j’ai joui comme jamais et je recommencerai volontiers…J’espère que tu seras d’accord pour revenir choisir une ou deux statuettes?"

"A propos……!, dit Jo en sortant de la pièce sans finir sa phrase. Il revint quelques minutes après et posa sur la table trois statuettes. " Elles sont à vous pour nous faire pardonner notre brutalité, mais reconnaissez que la tenue d’Elsa était un véritable appel au viol! ". Mari et femme se regardèrent et Elsa ajouta en riant: "Vous ètes pardonnés car vous m’avez divinement baisée! Cela dit, j’ai bien peur que mes vêtements soient inutilisables…Je vais quand même pas repartir à poil!.

— On va trouver une solution, répondit Boulou, suis-moi!".

Il l’amena dans une pièce attenante et désigna une penderie qui débordait de vêtements très colorés. "Choisis ce qui te plaît !." ajouta-t-il. Pendant qu’elle faisait son choix , décrochant un boubou ou une robe pour en apprécier la coupe, elle sentit que Boulou se serrait contre elle et que sa bite, maintenant presqu’à l’horizontale, venait effleurer ses fesses. En même temps, il lui titillait les seins. Elle se laissa aller un moment à se frotter contre lui puis s’écarta et lui dit, tout en lui caressant la queue: "Non, Boulou, pas maintenant, j’ai trop joui et je n’en peux plus…mais, je te promets que je reviendrai, avec ou sans Paul! Elle est trop douce ta pine, trop longue…pour que je l’oublie! ". Elle essaya ensuite une robe marron clair ornée de gazelles stylisées qui lui allait parfaitement et mettait toutes ses courbes en valeur, au point que Jo émit un sifflement admiratif quand elle revint, Boulou, déçu, sur ses talons. Les trois hommes se rhabillèrent, Jo roula les sculptures dans du papier-journal et, après s’être embrassés une dernière fois, tous quatre reprirent le dédale de pièces avant de se retrouver dans la rue.

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