CHAPITRE 8 – LE DOCTEUR JEAN
Une semaine passe. Pas de nouvelle de Denis. Me laisse-t-il tomber ? Ce serait bien la première fois, à moins que Michael ait eu un empêchement et ne l’ait pas rencontré comme promis ? Il faut que je le contacte de toute urgence, mon cul ne résistera pas longtemps à l’usage intensif auquel il est soumis.
Depuis la visite de Michael, ils sont tous remontés contre moi. Quand Julien veut baiser Laure, le verdict est trois coups de cravache, moi pendant ce temps j’écope de cinq pour faire plaisir à Suzanne et aux deux zouaves de domestiques. S’il n’y avait que Simon cela passerait, mais Jules est un vrai salaud qui aime faire mal. Si Julien a envie de moi, c’est quatre coups qu’il m’octroi, comme ça ses fils ne sont pas brimés ! Ils ont le droit de s’amuser avec moi.
Par bonheur, Joseph préfère ma bouche à tout autre orifice, mais mon Jacques, jaloux comme un tigre depuis la signature du contrat, se convertit à la sodomie, me privant des rares moments de plaisir dont je disposais.
Et je ne parle pas des séances de nettoyage pendant lesquelles ma belle-mère qui soupçonne que Simon et moi nous nous entendons, m’impose le plus souvent Jules et sa queue en toile d’émeri ! Vivement que Denis me délivre !
Cet après-midi, nous sortons. Au programme, confession à l’église et visite chez le docteur. J’enfile la tenue coupée par Laure qui en porte une identique. On dirait deux pensionnaires sortant du Couvent des Oiseaux. C’est d’un ridicule !
Suzanne est fière de nous exhiber et boit du petit lait en écoutant une bonne amie s’extasier sur les deux belles-filles SI sages et qui savent SI bien l’aider dans la tenue d’une SI grande maison. « Ah ! Vous avez de la chance ma chère, ce n’est pas ma bru qui serait aussi attentionnée… » Etc. etc. Je suis sur le point de lui conseiller de la faire enculer par un domestique, peut-être que cela changerait son attitude, mais je me retiens. Inutile par bravade de rendre les derniers jours de mon séjour impossibles à vivre.
Le prêtre qui nous reçoit élude toutes mes tentatives de parler en privé.
— Venez soulager votre conscience au confessionnal.
Tu parles ! Comme ça il n’est pas obligé de prendre parti, secret de la confession oblige ! Je lui raconte les séances de nettoyage maison. Il réclame des précisions, demande si j’ai ressenti du plaisir, que faisait le domestique etc.
Un moment j’arrête de parler. J’entends un gémissement derrière la grille. Je jette un oil. Il se masturbe ! Ma parole mon récit l’excite ! Ce n’est pas de ce coté que je trouverai du secours ! Je coupe court à ma confession. Il me donne l’absolution et m’engage à revenir dans un mois.
Je réfléchis pendant que Laure à son tour s’enferme dans le confessionnal. Comment avertir Denis ? Rédiger une lettre et la confier à quelqu’un ? Qui aura le courage de braver la colère de la famille Gouraud qui fait vivre la ville entière grâce à l’usine ? Trop risqué. Téléphoner ? Je suis surveillée en permanence. Internet ? Où trouver le terminal que l’on me laissera interroger ? Ce n’est pas gagné d’avance. J’ai quand même l’espoir que Denis travaille à mon évasion et qu’il ne m’avertira qu’au dernier moment.
Nous sortons sur le parvis. La lumière de ce mois de juillet me fait cligner les yeux. Laure me glisse à l’oreille.
— Nous arrivons chez le docteur.
Ses yeux brillent. Qu’est-ce qu’il a de si extraordinaire ce toubib ?
— Qu’est-ce que vous racontez ? intervient Suzanne inquiète de notre aparté.
— Rien Mère, Laure me montrait la maison du docteur.
Ma belle-mère grogne et sonne à la porte. Nous patientons dans la salle d’attente. Laure est de plus en plus excitée. Elle devrait faire attention, Suzanne va s’en rendre compte !
Enfin le docteur se présente. C’est un bel homme, la trentaine.
— Bonjour Madame, pardon je dois dire Mesdames. Qui a-t-il pour votre service ?
— Je viens vous demander d’examiner Sylvie, l’épouse de mon fils cadet qui vient d’arriver chez nous. De plus, c’est la visite mensuelle de Laure, ma première belle-fille et à ce propos je vous prierai de la consulter avec soin. Il n’est pas normal qu’elle n’attende pas d’enfant après deux ans de mariage. Est-ce qu’elle a une malformation ? Il faudrait peut-être envisager un autre traitement ?
— Bien, bien, bien. Nous commencerons par madame Laure, vous n’y voyez pas d’inconvénients ?
Laure se lève avec vivacité. Suzanne veut la suivre.
— Voyons madame Gouraud, combien de fois faut-il vous dire que ce qui se passe entre un docteur et sa patiente relève du secret professionnel aussi inviolable que celui de la confession. Je vous prie d’attendre dans la salle d’attente.
Il commence à me plaire le bonhomme. La visite mensuelle doit être approfondie car au bout de trois quarts d’heure, Laure n’est pas encore de retour. Ah la voilà ! Ma parole ! Elle est transfigurée ma petite belle-sour ! On dirait qu’elle marche sur un nuage rose. Elle prend une revue l’ouvre mais ne la regarde pas plongée dans un rêve bleu.
— Alors docteur ? interroge Suzanne.
— A priori tout est normal. Continuez à prendre les vitamines que je vous prescris, madame Laure. Patientons encore quelques mois. Si rien ne se passe nous envisagerons d’autres solutions… A vous madame, m’invite le docteur.
Je le précède dans son cabinet de consultation. Ai-je rêvé ? Il m’a semblé sentir une main sur ma jupe. Il établit une fiche à mon nom sur son ordinateur et m’interroge sur mes antécédents. Ordinateur ?
— Vous êtes branché sur Internet, docteur ?
— Oui madame.
— Me serait-il possible de consulter ma messagerie ? Je n’ai pu le faire depuis mon arrivée dans cette ville, car mes beaux-parents ne possèdent pas de PC.
— Rien que ça ! Pensez-vous que madame Gouraud mère serait d’accord ?
— Euh… Pourquoi lui révéler ?
— Ce que vous me réclamez est grave, la famille Gouraud fait la pluie et le beau temps dans cette ville. Il n’est pas bon de ne pas être de leur coté.
— Un bon mouvement docteur, vous n’aurez pas affaire à une ingrate.
— Que m’offrez-vous en compensation du risque encouru ?
— Que faites-vous à ma belle-sour Laure pour qu’elle soit si heureuse de venir à votre consultation ?
— Je peux vous le montrer tout de suite, sourit-il.
— Dès que j’aurai consulté ma boite électronique, s’il vous plait.
— Faites vite, le temps nous est compté, dit-il en m’offrant son siège.
Se connecter au Web, ouvrir ma messagerie ne me prends que quelques secondes. Mon Dieu que de courriels ! Je ne prends pas le temps de les lire et rédige un appel au secours à Denis.
— Voilà c’est fini, dis-je en fermant la connexion.
— C’est ça que vous appelez lire votre courrier ?
— Euh… Je suis à votre disposition docteur.
— Bien, veuillez vous déshabiller.
Il n’a pas l’air surpris de l’absence de dessous, c’est vrai que Laure est passée avant moi. Il me détaille avec un sourire gourmand.
— Suis-je à votre goût docteur ?
— Heu… Etendez-vous sur la table d’examen, dit-il en rougissant… Vous semblez en parfaite santé, déclare-t-il, après m’avoir ausculté en vrai professionnel (C’est tout ce qu’il fait à Laure ?) Mais pour en être sûr, je vais être obligé de vous examiner d’une façon plus intime (Ah ! Je me disais !).
— Faites docteur, faites.
— Merci. Tout d’abord, je vais palper votre poitrine.
J’ai déjà subi des contrôles gynécologiques mais c’est la première fois que l’examen consiste à triturer les tétins et caresser les mamelons. Ses mains sont douces. Je comprends mieux Laure.
— Aah !
— Je vous fais mal madame ?
— No… non…
— Vous avez une très jolie poitrine, c’est dommage de ne pas en prendre soin. Vous devriez porter un soutien-gorge.
— Euh… ma belle-mère est contre.
— Vraiment dommage, soupire-t-il. Bien, écartez les jambes s’il vous plait.
Il enfile un gant chirurgical, s’assied entre mes cuisses et examine ma chatte. Il ne fait aucun commentaire sur l’absence de poils pubiens. Je sens son souffle sur les lèvres de mon sexe. Un doigt pénètre dans ma grotte.
— Aah !
— Soulevez le bassin !
Je tiens mes genoux et bascule autant que possible en arrière. Il examine mon trou du cul.
— Hum, ce n’est pas fameux par-là. Je vous prescrirai une crème apaisante, la même que pour votre belle-sour. Vous pouvez vous baisser, merci. Quel type de contraceptif prenez-vous ?
— Euh… Je me suis fais faire un implant aux Etats-Unis, il est valable encore plusieurs semaines.
— Bon, la prochaine fois, je vous prescrirai les mêmes vitamines qu’à Laure.
— Drôles de vitamines ! Pas étonnant que madame mère se plaigne de ne pas avoir de petits enfants !
— Non ! C’est à la demande de Lau… de madame Laure… Bon, si nous passions aux choses sérieuses, ajoute-t-il en ôtant le gant.
Ses caresses n’ont peut-être pas d’utilité médicale mais qu’elles sont agréables ! C’est un champion du doigté de clitoris !
— Aaaah !
Son coup de langue m’a surprise. Qu’il est habile ! Je suis jalouse de Laure ! Mais non, puisque le bon docteur me gratifie du même traitement ! Il se redresse, écarte les pans de sa blouse et défait sa ceinture.
— Je vais sonder votre vagin avec un outil parfaitement adapté, sourit-il en extrayant une queue raide comme un bout de bois.
— Aah ! Faites docteur, faites ! Ouch !!!… Ouiii !
— Taisez-vous malheureuse !
— Par… pardon. Je fais attention… Mmmh !… Ouimmmh !… Aahmmmh !
Il me fait jouir deux fois avant de se retirer. Il se manchonne sur mon ventre pour se terminer.
— S’il vous plait docteur.
Je descends de la table d’examen, m’agenouille devant lui et embouche le gland prêt à éclater.
— Aaaah !
— Moins de bruit voyons !
— Vous m’avez surpris.
— Vous n’aimez pas ?
— Oh si !
— Vous pouvez décharger dans ma bouche vous savez.
Je reprends ma sucette. Au point où il en est la conclusion ne tarde pas.
— Aahhmmmh !… Arrgghhmmmh !
Il cherche sa respiration, appuyé à la table d’examen.
Au bout de quelques secondes, il me tend du papier pour m’essuyer.
— Vous pouvez vous rhabiller, madame.
— Euh… Je m’appelle Sylvie. La compensation a-t-elle été à la hauteur de vos espérances ?
— Au-delà de mes désirs, chère Sylvie… Oh ! Vous avez une réponse à votre message.
— Puis-je voir ?… Merci.
Je me reconnecte. Denis m’a répondu : « Je ne t’oublie pas, mais c’est plus difficile que je le prévoyais. See you soon, dad’s ». En langage clair cela signifie prépare-toi ! Quel soulagement !
— Merci docteur pour ce que vous avez fait pour moi, dis-je en l’embrassant sur les joues.
Il rédige une ordonnance.
— Je vous prescris des vitamines, des vraies celles-là, Madame mère ne comprendrait pas autrement. N’oubliez pas la crème.
Il me pousse par les fesses vers la porte. Je réponds d’une caresse sur son pantalon.
— Au revoir madame, à la prochaine fois… Votre nouvelle belle-fille est en bonne santé, poursuit-il en s’adressant à Suzanne. Juste un peu d’anémie. J’ai prescrit des vitamines.
Après le passage à la pharmacie, il est presque l’heure du repas et nous rentrons à la maison. Suzanne me désigne une demeure aux volets clos.
— Cette maison appartient à ton mari. Je me demande pourquoi il ne la loue pas.
Ainsi Jacques ne blaguait pas en parlant de sa villa ! Pourquoi ne s’y est-il pas installé ?
— Quand je pense que mon fils voulait habiter là à son retour des Etats-Unis ! Je m’y suis formellement opposé.
— Je comprends, dis-je en la gratifiant d’un joli sourire, vous n’auriez pas pu assouvir vos penchants sadiques.
— Oh ! L’impudente ! Comment tu oses me parler ainsi ? Je te promets que tu le regretteras, attends ce soir !
Ce soir… un des derniers sinon le dernier que je passe dans cette famille de malheur. La perspective de ma délivrance prochaine me donne tous les courages !
Je n’ai pas eu à attendre le soir et le retour des hommes. Suzanne en colère contre moi m’a ordonné dans l’après-midi de nettoyer le carrelage de la cuisine sous la surveillance de Jules.
— Je n’ai pas confiance en Simon, il est trop coulant avec toi. La dernière fois où il t’a surveillé, le travail n’était pas bien fait !
Jules, lui, ne participe pas au frottage du sol, non, il se contente de mater mon cul fouillant entre mes fesses avec le bout du manche à balai. Quand j’ai fini de frotter, il m’encule à sec, sans préparation. C’est chaque fois la même douleur qui irradie dans tout le ventre, annihilant toute montée du plaisir. Heureusement à force mes sécrétions internes enveloppent sa queue. Le frottement devient plus doux. Jules le ressent et commence à gémir de contentement.
— Ah ! Je vois que même Jules n’arrive pas à te motiver pour le travail. Il va falloir que je m’en occupe ! crie Suzanne qui fait irruption dans la cuisine furieuse que son préféré prenne du plaisir avec moi.
Jules s’enfuit sans demander son reste. Vlan ! Un coup de cravache sur mes fesses ! Ah non ! Je ne vais pas me laisser faire ! Avant que ne tombe le second coup, je me dresse, menaçante. Je bloque le bras de la mégère. Nous nous défions du regard. Pour la première fois elle prend peur et baisse la cravache.
— Tu… Tu verras ce soir ce que mon mari dira !
En attendant, je me réfugie dans notre chambre.
Laure compatissante me tartine de crème apaisante. Je la remercie de baisers et de caresses. Je lui parle du docteur. Elle rougit et m’avoue qu’il lui fait l’amour à chaque consultation.
— Tu aimes ça ?
— Oh oui ! C’est beaucoup mieux qu’avec Père ou Joseph.
— Je suis d’accord, le docteur est très habile.
— Oh ! Toi aussi t’as fais l’amour avec lui ?
— Serais-tu jalouse ?
— No… Non ! On a bien droit à une compensation pas vrai ?
— Tu l’as dit !
Nouveau baiser. Je l’initie aux caresses simultanées. C’est une découverte pour elle.
— On le refera dis ?
— Autant que tu le désires.
La promesse n’engage à rien puisque je vais partir…
Session du tribunal journalier. Julien est de bonne humeur. Il est tout heureux d’avoir remporté un important contrat et n’écoute que d’une oreille distraite les récriminations de sa femme.
— Oui, je comprends, ce n’est pas bien Sylvie de répondre comme tu l’as fait, non pas bien du tout. Pour la peine je te condamne à recevoir trois coups de cravache avant que je… euh… te fasse un sermon.
— Trois ? s’exclament ensemble Suzanne et Joseph.
— Père, plaide celui-ci. La faute est grave. Elle mérite au moins quatre coups.
— Va pour quatre coups, concède-t-il.
J’aurais préféré qu’il s’en tienne à la première sentence, mais on ne peut tout avoir.
— Et pour Laure ? demande Suzanne qui espère se rattraper sur celle-ci.
— Ne m’as-tu pas dit qu’elle n’avait pas fait de bêtise ? Laisse-là tranquille cette petite. Dépêche-toi d’appliquer la punition de Sylvie. Je te serais reconnaissant si tu ne tapais pas trop fort ce soir. Des traces rouges trop visibles sur les fesses me déconcentrent pour… euh… mon sermon.
Suzanne contrariée m’entraîne dans la salle aux supplices.
— En position !
Malgré sa rancour contre moi, elle n’ose désobéir à son mari. Jamais les coups n’ont été moins appuyés !
Julien me reçoit en peignoir dans sa chambre. Comme d’habitude je soulève ma robe grise sur ma chatte lisse, m’étends sur le lit, le dos contre la couverture, les jambes au sol. Au lieu de se jeter sur moi, il me contemple. Il y aurait comme un air de pitié dans ses yeux. Il soupire, ouvre les pans de sa robe de chambre. Son sexe pointe devant lui. Il le guide entre mes cuisses. Je me suis préparée mentalement et mon vagin est suffisamment lubrifié pour que l’introduction soit facile.
— Han ! soupire-t-il, pourquoi… la mets-tu… toujours en colère… Han !… Tu ne peux pas… te maîtriser ?
— Je fais ce… que je peux Père… mais je ne sais pas… comment y parvenir… Mère est si exigeante.
— Han !… Quelle joie… ce serait… si je n’avais pas besoin… de vous punir !
Je le regarde étonnée. Que trouverait-il comme prétexte pour tirer son coup avec Laure ou moi ? Car il aime ça quoiqu’il en dise ! Ses coups de reins s’amplifient. Ils arrivent à m’émouvoir. Je n’ai plus besoin de simuler le plaisir, sa queue se charge de me satisfaire. Est-ce d’avoir baisé avec le docteur qui me rend si réceptive ? Pour la première fois, je ressens un orgasme avec mon beau-père. Cadeau d’adieu ? Je l’espère.
— T’aurais-je procuré du plaisir ?
— Oui Père.
— Tu ne m’y avais pas habitué. Je te remercie. Va chez Joseph maintenant il t’attend.
— Je préfèrerais rejoindre tout de suite Jacques.
— Ce n’est pas possible, n’oublie pas que tu es punie.
Je sors de la chambre. Celle de Joseph est au bout du couloir. Qu’est-ce qu’il me prépare celui-ci ? Rien de bon je devine. Je frappe à la porte.
— Entre Sylvie !
Il me reçoit debout la pine à la main. Je m’agenouille et la mets en bouche.
— Non ! Pas de ça ! Pas aujourd’hui ! Tu croyais t’en tirer avec une sucette hein ! Pas de chance, j’ai d’autres projets pour toi. Ôte ta robe ! Oui, je te veux à poil !… A quatre pattes… plus haut le cul !
— Aouh !
Une maîtresse claque sur les fesses me fait sursauter. Une autre, encore une autre ! Je serre les dents pour ne pas hurler.
— Je ne suis pas comme Père (vlan !), moi (vlan !), j’aime bien (vlan !) voir un cul (vlan !) rouge avant (vlan !) de l’enculer ! Ne te caresse pas ! (vlan !)
J’avais tenté de lubrifier l’anus avec le sperme de Julien. J’y étais presque arrivée.
Joseph se fatigue. Il souffle sur ses paumes qui lui font mal, bien fait pour lui ! Il écarte les lobes de mon cul et s’enfonce d’un coup sec.
— Aïiiiie !
— Ah ! On se permet de faire des réflexions à Mère ! Tiens prends ça !
— Aïiiiie !
— Encore ça !
— Aïiiiie !
— Ça suffit Joseph !
La voix de mon époux. Viendrait-il à mon secours ?
— Va dans ta chambre, ton tour viendra. Laisse-moi punir Sylvie comme je l’entends, réplique son frère.
— J’ai dis ça suffit !
Jacques le tire en arrière. La queue me fait mal en sortant de biais. Je me relève. Les deux frangins se mesurent du regard. Le premier Joseph baisse les yeux.
— Bon, ça va, prends-la ta femme ! On va pas se fâcher pour si peu.
Jacques me tend ma robe. Nous rejoignons sa chambre. Il m’enserre dans ses bras et me cajole. Sous le coup de la surprise de sa révolte, j’éclate en sanglots.
— Là, ma chérie, là, c’est terminé. Il ne te fera plus rien.
Non, je ne le crois pas, il n’est pas assez fort pour se dresser en permanence contre sa famille, mais ses paroles me font du bien. Une douce étreinte nous unit.
— Je t’aime ma chérie, je t’aime.
Moi, je ne sais plus. Trop longtemps il m’a abandonnée entre les mains des siens. Il me sera dur de lui pardonner.
Nous rejoignons la famille pour le repas. Ensuite Julien m’emmène dans son bureau, il a quelques lettres à me faire relire. Au moment où je le quitte pour monter dans ma chambre, il me serre dans ses bras et penche sa figure vers la mienne. Va-t-il m’embrasser ? Je sens sa verge qui durcit contre ma cuisse. Hé, hé ! Il a encore envie de moi ! Je tends les lèvres. Avec un soupir, il me repousse.
— Passe une bonne nuit, ma fille.
— Vous aussi Père.