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Un mec porté sur la boisson – Chapitre 1

Un mec porté sur la boisson - Chapitre 1



Je devais avoir dix-huit ans, quand mes parents accueillirent pour les vacances, mon cousin germain, Yves, du même âge que moi. Un soir que mes parents n’étaient pas là, nous étions devant la TV, et, profitant de l’absence de mes parents, en buvant de la bière. Je sentis très vite quYves ne tenait pas très bien l’alcool, mais c’était son problème, pas le mien !

J’arrêtai le jeu, quand la bouteille lui échappa des mains, et qu’il s’affala, endormi sur le canapé. Je ramassai la bouteille, et le réveillai, en lui disant qu’il était temps d’aller au lit. La montée des escaliers fut pénible, et, arrivé dans la chambre que nous partagions avec deux lits jumeaux, il plongea à plat ventre sur son lit, et se mit à ronfler. Je lui dis de se déshabiller, sans obtenir aucune réaction. Je me mis donc à lui ôter ses baskets, ses chaussettes, son tee-shirt, son short. Il se laissait faire, inconscient de ce qui se passait.

J’allais le mettre sous ses draps en slip, quand il me vint une idée. Depuis quelques années, j’avais des copains avec qui je me tripotais, et même plus, puisque deux mecs m’avaient déjà enculé et que j’en avais baisé un. Et j’avais fini par trouver dans mes relations, un copain Claude, avec qui on s’enculait régulièrement. Et j’avais devant moi, un mec, inconscient en slip. Je passai sur le fait que c’était mon cousin, et décidai d’explorer son anatomie.

En douceur, il ne fallait pas le réveiller. Je caressai d’abord son cul, puis, le basculant doucement sur le dos, lui massai doucement la bite. Je la sentis gonfler. Je m’enhardis à tirer sur l’élastique du slip pour la mater un peu. Comme il ne réagissait toujours pas, j’osai tirer doucement sur la ceinture du slip, vers le bas. Tout doucement, je le fis glisser aux genoux, sans qu’il réagisse. Une fois-là, ce fût un jeu d’enfant que de le lui ôter complètement. Il avait de jolies couilles, mais j’avais très envie de voir son cul.

Je le retournai doucement. Son cul tenait les promesses qu’il m’avait laissées deviner sous son slip. En plus, comme il aimait beaucoup la natation, il était bronzé de partout, sauf sous le maillot, et ses fesses rebondies étaient d’un blanc de lait. Je ne résistai pas au plaisir de les lui caresser à nouveau. Je passai ensuite lentement le plat de ma main le long de sa raie des fesses. Il se mit à ronfler ! Enhardi, je lui saisis les fesses à pleines mains, et les écartai doucement. Il commençait à avoir du poil au cul ! Mais surtout j’avais un aperçu superbe de son trou de balle ! Je ne résistai pas au plaisir d’aller le toucher doucement avec un doigt.

Puis, je me dis, que, tant qu’à faire Je mouillai mon doigt de salive et allai la lui masser doucement. Un tressaillement de ses fesses m’alerta. Mais il continuait à ronfler ! J’appuyai doucement un peu plus fort sur sa rondelle. J’eus la surprise de sentir mon doigt s’enfoncer un peu. Il ne réagissait toujours pas. Je me mis en uvre de lui doigter tout doucement son trou de balle. J’étais trop excité et éjaculai sans même me toucher. Je le mis tout doucement, complètement à poil sous ses draps, en lui laissant le slip à portée de main et regagnai mon lit. Avant de m’endormir, je me branlai longuement en m’imaginant l’enculer, pendant qu’il dormait.

Le lendemain, je me réveille avant lui, et l’appelle pour qu’il se lève. Il enfile tout naturellement son slip, pudiquement, sous les draps, et se dirige vers les douches. Je suis très interrogateur. Il dort toujours en pyjama, et là, il n’a pas l’air surpris de se réveiller à poil, le slip à côté de lui. Ou bien, il met ça sur le compte de sa cuite d’hier soir, et pense s’être mis au lit comme ça ou bien, Je me dois d’envisager l’hypothèse suivant laquelle, il m’a laissé faire, en feignant l’ivresse.

Ce matin-là, je m’éclipse un moment pour raconter l’histoire à Claude. Ce dernier n’en revenait pas, et regrettait de n’avoir pas été là pour participer et profiter aussi de mon cousin. Tout à coup, il lui vient une idée. Ses parents sont absents le lendemain soir, un samedi, et il me suggère de venir chez lui avec Yves. Je rentre chez moi, en annonçant à nos parents que le lendemain soir j’irai présenter Yves à Claude, en omettant de préciser que ses parents ne seraient pas là.

Quand on arrive chez Claude, ce dernier a déjà préparé les boissons : du Coca ! Je le soupçonne de l’avoir additionné d’une bonne dose de whisky Yves trouve le Coca très bon, et s’en envoie trois verres. Il commence à bailler, l’alcool devant faire son effet. Il se lève pour faire quelque pas pour se réveiller, puis se rassied, par terre, le dos contre le pied du canapé. Claude lui sert un autre verre. C’est le verre de trop. Yves baisse la tête et commence à roupiller. Comme il est en short, en guise de test, on lui caresse doucement l’intérieur des cuisses. Il ne réagit pas. Comme c’est le cul d’Yves qui intéresse prioritairement Claude, on le tire doucement pour le mettre à plat ventre. Claude le débarrasse de son short et de son slip sans prendre de précautions particulières.

Il le met à plat ventre, et lui écarte les fesses. Nous matons un moment le trou du cul de mon cousin. C’est vrai qu’il est tentant. Claude se lubrifie la bite, et s’insère en douceur. Les ronflements d’Yves, qui augmentent, le persuadent qu’il est ivre mort, et il se met à lui bourrer le cul avec ardeur. Quand il a fini, je ne peux résister à la vue de ce trou, bien lubrifié, bien assoupli, je m’insère à mon tour, et mon cousin se prend sa seconde enculade de la soirée.

Après ça, on lui remonte ses culottes et le rassied. Quelques petites gifles sur les joues semblent le ranimer un peu. Claude va chercher un gant d’eau froide, et enfin Yves semble reprendre ses esprits. Il se lève un peu flageolant. Je le soutiens le long du trajet à pied jusque chez moi. Ce n’est pas très loin, mais l’air de la nuit lui fait du bien. On arrive, il me semble avoir dessoulé. Par chance, en plus, mes parents dorment déjà. On rentre dans notre chambre, et on met nos pyjamas, en se tournant pudiquement le dos. J’éteins la lumière. Tout d’un coup, je l’entends chuchoter :

— Tu croyais que j’étais ivre mort, hier, quand tu m’as enculé, petit salaud ?

Il était donc bien conscient. Je ne réponds pas.

— J’adore ça ! En fait j’ai un peu honte d’aborder les mecs pour leur demander ça

— Et tu as aimé ?

— Oh que oui ! Et encore plus chez Claude. Le fait que tu livres mon cul à ton copain, j’ai trouvé ça super !

— Tu veux qu’on recommence ?

— Avec Claude ?

— Non, avec de parfaits inconnus !

— J’adorerais ! Comment tu vas faire ?

— Tu verras bien. On fera ça demain après-midi, OK ?

— OK Bonne nuit.

Le lendemain après-midi, on quitte la maison à pied. On ne va pas très loin. A ma demande, Yves porte un short assez large, sans slip dessous. Nous habitions en périphérie de ville, et, pas très loin, il y avait un terrain vague avec des buissons. J’y avais aperçu des mecs qui trainaient, et un jour, j’en avais surpris deux en train de se sucer. Comme il s’agissait de mecs plus âgés que moi, dans la quarantaine ou la cinquantaine, ils ne m’attiraient pas, et je n’y étais pas revenu. Mais là, vicieusement, ça m’excitait d’offrir le cul de mon cousin à des mecs murs.

On s’installe entre deux amas de buissons. Suffisamment écartés de la route, pour être dissimulés, mais bien visibles pour les mecs qui trainaient. Pour que l’illusion soit parfaite, je place à côté d’Yves, une bouteille de whisky, aux trois quarts vide. Yves s’allonge sur le ventre, et se met à faire semblant de ronfler. Un premier mec passe. La cinquantaine, moustachu, bedonnant. Le candidat idéal, probablement vicieux et d’un certain âge. Il nous aperçoit. Je glisse immédiatement ma main à l’entrejambe d’Yves, et la glisse sous le short pour lui peloter le cul. L’homme s’arrête et me regarde faire, visiblement intéressé. Je lui fais signe d’approcher :

— Il est ivre mort ! J’ai déjà profité de son cul, et il s’est laissé faire sans se rendre compte de rien. Si ça te tente !

Le mec, me regarde incrédule. Je baisse le short d’Yves à ses genoux, et lui écarte les fesses, dévoilant son trou du cul. Le mec se lèche les lèvres d’excitation.

— Vas-y, je te dis, profite de l’occasion !

Le mec se décide, sort sa bite, se couche sur mon cousin, et commence à le limer. Des mecs viennent mater. Quand le premier mec se retire du cul de mon cousin, un second le remplace. Quand le troisième se présente, je l’arrête et renvoie tout le monde. Yves remet son short et me remercie. Il a beaucoup apprécié, mais deux enculages successifs lui ont suffi.

Yves est sur le point de nous quitter, pour rejoindre ses parents, mon oncle et ma tante, en vacances dans leur maison, en bord de mer. Tout d’un coup, il me fait une proposition :

— Et si tu m’accompagnais ? Je connais là-bas un coin de drague entre mecs, dans les dunes. Mais, tout seul, je n’ai pas osé me livrer à mon petit numéro de mec ivre mort. Avec toi, ça serait beaucoup plus facile.

Un coup de fil entre nos parents respectifs, et nous voilà partis. Une idée me trottait par la tête, et j’en fis part à Yves, qui me donna immédiatement son accord.

— Ton plan m’excite, et j’aimerais l’essayer. La première fois dans les dunes, c’est moi qui joue le mec qui a trop bu. L’idée m’excite de me livrer comme ça, sans aucun moyen de contrôle, mais, bien entendu sous ta surveillance.

Une fois dans les dunes, on repère assez vite un Arabe d’âge mûr, petit et mince. Sa vite me paraissait assez petite, il n’allait pas me défoncer le cul ! Je commence à tituber, en me raccrochant à Yves. Il s’arrête, étend ma serviette, et je m’étends à plat ventre, inerte. Sous l’il intéressé de l’arabe, Yves me retire mon maillot. Je commence à ronfler. Yves me lubrifie le trou du cul devant le mec qui s’était rapproché. Il lui précise que j’ai vraiment trop bu. Que ça s’est déjà produit, et qu’il m’a fait enculer par des mecs dans mon ivresse, et lui propose d’en faire autant.

Emoustillé, l’Arabe se couche sur moi. Je sens sa bite déjà dure, mais petite me pénétrer. Bientôt, il me l’a mise à fond, car je sens ses couilles battre contre le bas de mes fesses. Il me baise presque imperceptiblement. Sans jamais retirer sa bite, il la bouge simplement, tout doucement. C’est la première fois qu’on me la met comme ça, et j’apprécie beaucoup la sensation de cette bite en moi, bougeant à peine, mais suffisamment pour bien me faire sentir ses caresses.

Intéressés, des mateurs arrivent. Yves se lubrifie le trou du cul, et se positionne à quatre pattes. Un des mateurs ne tarde pas à l’enfiler. Mon arabe me baisait depuis un bon moment déjà. Il me saisit par la taille et me bascule sur le côté. Puis, il m’attrape une cuisse, et la soulève. Les deux mateurs qui restaient se placent bien dans l’axe. Ils ont la vision de ma bite bien dressée et de mes couilles rétractées par l’excitation, et derrière les couilles de l’arabe, remuant doucement, sa bite bien enfoncée à fond dans mon cul. Bien évidemment, je ronflais toujours

Après quYves se soit laissé bien mettre, un second mateur veut accéder à son cul. Il le repousse gentiment, et les voyeurs partent. Je sens enfin l’arabe se retirer. Je jette un coup d’il discret à ma montre. Il m’avait enculé trois quarts d’heure ! Mais si doucement que je ne me sentais absolument pas irrité. Après avoir plaisanté un moment avec Yves sur mon ivresse et mon abandon, il nous quitte.

Après ça, Yves et moi sommes partis nous baigner. Nous étions bien décidés à revenir le lendemain, mais j’avais mis une condition : si on retrouvait l’arabe, je me le réservais. Yves acquiesça en rigolant.

Fin

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