Histoires de baise Histoires de sexe arabes Histoires gays

Un petit chantage de vacances devenu un plaisir occasionnel ! – Chapitre 1

Un petit chantage de vacances devenu un plaisir occasionnel ! - Chapitre 1



Je suis un bisexuel de 32 ans, actuellement en couple avec une femme mais une partie de moi reste attirée par les hommes. Mais avec les quelques amants que j’ai eu je pratiquais exclusivement la fellation accompagnée de caresses.

Je vais vous raconter ma première expérience avec un homme qui fut pour lui aussi une première !

L’année de mes dix huit ans n’a pas vraiment bien commencé ! Je venais de me faire plaquer par ma petite amie et pour corser le tout j’ai redoublé ma terminale. En conséquence j’ai été privé de vacances au soleil dans le sud de la France avec mes potes. Je me suis ennuyé tout le mois de juillet, mes amis étant tous partis, et de nouveau célibataire je prenais parfois du bon temps devant des films X.

J’adorais particulièrement les scènes de fellation et j’admirais la taille des membres des acteurs porno et il m’arrivait de me dire : " Hmmm, je le sucerais bien celui-la! ".

Puis en août j’ai eu l’opportunité de partir pour 3 semaines en Bretagne. Je n’étais pas vraiment emballé parce qu’il s’agissait de partir avec les voisins : Gwenaëlle, 46 ans et son mari Willy âgé de 48 ans. Je les connaissais bien et justement, elle, très casanière et lui passionné de pêche et de courses cyclistes. Je me demandais ce que j’irais bien faire la-bas ? La seule raison qui m’a convaincu de partir c’était de me trouver une nana et passer du bon temps.

Arrivés tard le soir au camping, mes voisins dans une grande caravane et moi une tente juste à côté, ce n’est que le deuxième jour que je fais la connaissance d’autres jeunes. Pendant ce temps madame joue aux cartes et à la pétanque tandis que monsieur part en groupe à vélo. J’ai d’ailleurs bien observé Willy, qui est un peu plus grand que moi et costaud, qui portait un maillot de coureur et un short cycliste qui moulait bien son gros paquet ! Je regardais discrètement mais ça m’excitait.

L’après midi du troisième jour je partais faire le tour du camp avec les autres jeunes pour essayer de me faire une petite copine. Gwenaëlle était elle partie avec des amis à la plage tandis que Willy préférait rester dans la caravane pour faire une sieste!

Un peu plus tard, assoiffé, je rentre au camp pour aller boire. Quand j’ai ouvert la porte de la caravane, j’ai trouvé Willy juste vêtu d’une chemisette à manches courtes et le pantalon sur les chevilles en train de prendre en levrette une des voisines de notre terrain ! Willy se retire et essaye maladroitement de remonter son jean, au passage j’aperçois son énorme bite, et la voisine se cache honteuse de la situation. Surpris, je sors et part. Willy ne tarde pas à me rattraper et confus il essaye de se justifier en m’avouant que sa femme n’est pas très branchée sexe et que la voisine est sa maitresse de vacances depuis quelques années. Il me supplie de ne rien dire à Gwenaëlle et me promet tout ce que je veux en échange ! J’ai donc saisi l’occasion et je me suis jeté à l’eau en lui proposant un deal : je lui promets de faire comme si de rien n’était à condition qu’il accepte que je le suce !

Complètement surpris à son tour il me dit qu’il ne comprend plus rien. Il se demandait pourquoi je voulais le sucer alors qu’il ne m’avait vu qu’en compagnie de filles jusqu’à présent. Il tente de me convaincre de mon hétérosexualité mais je réponds que c’est mon fantasme le plus profond que je veux réaliser. Il me demande alors si je n’ai pas d’autres propositions à lui faire concernant son offre et me dit:

— " Quand bien même ? Tu te rends compte de la différence d’âge ? 30 ans d’écart, j’en ai 48 et toi 18 ! "

Je lui dit que c’est à prendre ou à laisser ! On part chacun de notre côté.

Au retour de Gwenaëlle en fin d’après-midi, pour ne pas faire paniquer Willy, je reste dans ma tente à feuilleter des magazines. Elle vient me voir et me demande si je souhaite aller faire des courses avec elle. Je lui dit que je préfère rester dans ma tente pour me reposer. Elle part.

Environ un quart d’heure après son départ, plongé dans mes pensées chaudes, Willy vient me chercher dans ma tente pour me dire qu’il acceptait le plan suce que je lui avais proposé quelques heures auparavant! Je le suis dans la grande caravane, il ferme la porte derrière lui et m’invite à passer au salon.

J’avais le trac et j’étais extrêmement excité à l’idée de sucer Willy! Assis côte à côte d’abord, assez tendus, j’entreprends de lui mettre la main au paquet et sentis qu’il bandait déjà ! Je me place alors face à lui entre ses jambes et commence à déboucler sa ceinture. Puis, je déboutonne son jean et ouvre sa braguette. J’introduis ma main dans son slip et le caresse puis je sors l’engin de 22 cm, un gland rose énorme qui n’attendait que moi et une très grosse paire de couilles.

Je commence à le branler tout doucement pendant qu’il me regarde un peu gêné puis je dépose délicatement mes lèvres sur son gros gland que j’embrasse à plusieurs reprises.

Moi aussi je bandais de plaisir devant cette queue énorme, j’étais super chaud! Puis je fais glisser mes lèvres de haut en bas sur sa pine plusieurs fois avant de remonter sur son gland que je titille en agitant ma langue dessus à toute vitesse et, histoire de chauffer Willy un peu plus, je plonge le bout de la langue que j’actionne sur le trou de son beau gland. Dans son regard gêné s’ajoutait du plaisir et de l’excitation, ses yeux me disaient :

" Vas y prends ma bite, suce la. "

Enfin je me décide à assouvir mon fantasme en prenant sa queue dans ma bouche puis je vais et viens lentement sur sa bite en procédant de temps en temps à de petites accélérations en prenant soin de m’attarder sur son énorme gland! Il gémissait de plaisir en me soupirant les traditionnels " Oh oui ! " et petit à petit il était de moins en moins gêné de me regarder lui pomper le dard. Au contraire il prenait de plus en plus de plaisir et je fus même surpris lorsqu’il se mit à caresser ma tête pendant que je suçais goulument sa bite! J’en revenais pas, moi, en train de tailler une super pipe à mon voisin Willy!

Parfois je m’arrête et lui demande s’il aime ce à quoi il répond :

" Oui, c’est bon, hmmm, oui… ".

Après plus de vingt minutes il me dit qu’il est prêt à jouir et que l’éjaculation est imminente. J’accélère alors le va et vient sur son gland en le branlant synchro et me retire juste à temps pour laisser jaillir plusieurs jets de sperme bien chaud qu’il envoie directement sur mon t shirt puis quelques dernières gouttes de foutre sur sa chemise et ses bras tant je lui branlais intensément la bite ! Je le laisse savourer le plaisir qu’il a éprouvé et lui demande si ça lui a plu ?

Il me sourit timidement et m’avoue que c’était l’un des meilleurs orgasmes qu’il n ait jamais eu ! En même temps il s’excuse d’avoir giclé plein mon t-shirt et je lui assure que tout le plaisir était pour moi.

En changeant nos vêtements qui trahissaient notre relation très intime je lui faisais clairement comprendre que je comptais bien profiter de sa queue pendant les trois semaines de vacances! Il n’a pas refusé mais à juste dit qu’il fallait réfléchir à nos actes car de retour chez nous on allait plus pouvoir continuer cette relation.

Après qu’il m’ait fait gouter au plaisir de son sexe je réalisais à quel point j’aimais faire la turlutte et j’avais bien l’intention de rendre la bite de Willy dépendante de ma bouche!

Dès le lendemain je lui propose à nouveau de lui sucer la bite et suggère une ballade en voiture en vue de trouver un coin tranquille pour passer un agréable moment très chaud. Il recommence alors à essayer de discuter de notre situation mais une excellente idée me vint à l’esprit: je lui propose d’aller au bout de l’orgasme en le laissant jouir dans ma bouche. Il lui a fallut deux minutes pour aller chercher les clés de la voiture après avoir accepté, un peu embarrassé quand même, de me faire gouter son sperme. En route!

On trouve un coin sympa ,isolé, on sort de la voiture et il s’assoit sur le capot. Je m’agenouille et je commence à m’occuper de sa pine déjà au garde à vous.Il n’était plus aussi gêné que la veille c’était bon signe pour pouvoir le sucer durant tout notre séjour Breton.

Moi je prenais encore plus de plaisir à l’idée d’avaler tout son foutre! Peu avant l’orgasme au moment de jouir Willy me demande quand même par délicatesse si j’accepte d’avaler sa semence, ce à quoi je réponds très favorablement.

J’accelere la cadence et il me dit:

" Oh oui, oui, ça monte. Hmmm,oui ! ".

Alors j’ouvris grand la bouche et sortis la langue pour accueillir ses puissantes giclées de sperme que j’avalais puis le suça de nouveau. Il fut alors secoué par quelques spasmes de jouissance et moi j’étais à l’affut de la moindre goutte de sperme que j’avalais systématiquement et ce jusqu’à ce qu’il ait complètement vidé ses grosses couilles.

En remontant dans la voiture, j’eus l’excellente surprise d’entendre Willy me dire:

" Si tu veux, demain, viens à la pêche avec moi, on passera un bon moment ! ".

J’ai donc suc’ Willy pendant toutes les vacances parfois jusqu’à deux ou trois fois dans la journée et je peux même vous dire que ça a continué après pendant quelques années puisque la dernière fois que je lui taillais la pipe c’était au réveillon du nouvel an il avait alors 55 ans et moi 25.

Nos rapports intimes étaient bien sur beaucoup plus espacés de retour chez nous mais mes moments favoris c’était les soirs d’été au fond du jardin quand je pompais Willy à travers le grillage!!! Que de bons et chauds souvenirs.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire