Je mappelle Anne-Laure, la quarantaine juste passée. Afin dêtre tout à fait honnête, je dois avouer que mon physique nest pas exactement celui dune top-modèle. Loin sen faut ! Pour tout dire, je suis plutôt bien en chair même ! Mais mes rondeurs semblent pour autant ne pas déplaire à tout le monde Ainsi, pour preuve, lorsque mes envies deviennent pressantes et ma libido trop impérieuse, il suffit que jexhibe un décolleté suffisamment plongeant avec un soutien-gorge qui remonte bien ma poitrine pour que je déniche sans difficulté dans la soirée même une âme charitable pour partager mon lit. Aux regards appuyés ou furtifs que je surprends sur mes seins, je peux affirmer dailleurs que la grande majorité des hommes apprécie les poitrines plantureuses comme la mienne ! Mais de cela, je ne peux pas me plaindre, car je crois que cest bien là mon seul atout physique ! Bref.
Jai longuement hésité avant de raconter mon expérience car je sais qu’il y a toujours des gens qui se croient plus malins ou au-dessus du lot de leur semblable pour juger les autres, et je me doute bien qu’ils ne seront certainement pas tendres avec moi. Mais qu’y puis-je ? Pendant longtemps, jai préféré caché ma petite aventure comme on le ferait dune une faute impardonnable et nen ai jamais parlé à personne. Jai même tenté de loublier, de la nier, de la refouler. Mais en vain Et aujourdhui, lheure semble être celle de lacceptation
Cela sest passé lété dernier. Mon frère qui a une propriété dans le sud de la France mavait demandé si je pouvais rester chez lui pendant quelques jours. Il partait en vacances avec femme et enfants et préférait ne pas savoir sa maison inoccupée durant son absence. Bon, même si cela mennuyait profondément de jouer ainsi le rôle de gardien solitaire, je nen dis rien et acceptais finalement en priant le ciel pour quil fasse au moins un grand beau temps. Comme ça, me disais-je, je pourrais profiter de la piscine ! Car à part cela, il ny a pas grand-chose à faire là-bas. Sa maison est en pleine cambrousse et le premier voisin doit être au minimum à trois kilomètres de distance. Et pour les sorties, cest même pas la peine dy penser ! Sauf à se taper trois heures de bagnole aller-retour.
Au bout de cinq jours disolement, je nen peux plus et regrette amèrement davoir accepté. Heureusement que le soleil et la chaleur sont de la partie, mais mis à part un répétitif va et vient entre la piscine et le transat, je commence littéralement à crever dennui. Et dire quil faut que je tienne encore deux jours comme ça !
En cette fin daprès-midi, le temps tourne peu à peu à lorage et latmosphère devient littéralement étouffante. Complètement nue aucun risque ici dêtre aperçue par qui que ce soit dans ce désert humain et affalée sur un matelas pneumatique, jobserve de gros nuages noirs samonceler et moutonner au loin dans le ciel. Putain, quelle merde ! Cest bien ma veine ! Alors quil semble bien que le mauvais temps ait décidé de foncer droit sur moi, je sors de la piscine et sans même me sécher, enfile ma robe. Le coton se colle instantanément à ma peau, et amusée en avisant les tâches sombres que forment mes larges aréoles, je me rends compte à quel point le tissu est transparent sur ma peau détrempée.
Mon neveu et ma nièce mont laissé leurs instructions avant de partir et tous les soirs, je dois moccuper de leurs poneys et les brosser. Quelle galère ! En fait, je mefforce de le faire tous les deux jours, et cest déjà pas mal pour quelqu’un comme moi qui napprécie pas particulièrement la compagnie des animaux. Mais lorage se rapproche et jentends gronder quelques coups de tonnerre. Il faut vraiment que je me grouille daller au moins les mettre à labri. Jaccélère donc le pas en direction du pré attenant à la maison où se baladent les deux bestioles.
Les tenant bientôt par leur longe, je les dirige vers labri de fortune qui leur est destiné. Constitué sommairement de matériaux de récupération, il y a un toit, mais il est complètement ouvert sur le devant. Jimagine quils auraient peut-être eu lintelligence de sy rendre tout seul, mais dans le doute, je préfère les y conduire. On ne sait jamais Et puis, je nai vraiment pas envie davoir de problèmes, et cela me rassurera de les savoir ici plutôt que dehors sous lorage.
De grosses gouttes de pluie commencent déjà à tomber et cest en les tirant vigoureusement que jatteins enfin leur refuge. A peine à lintérieur, la pluie se met à tambouriner dun coup et le bruit que cela provoque sur les tôles du toit en devient assourdissant. Je jette un il dehors et merde, il pleut vraiment des cordes ! Va falloir que jentende ici que ça se calme un peu. Bon, tant quà y être, je me dis autant en profiter pour procéder à la corvée du brossage !
Je commence par le plus petit des deux et lui démêle la crinière avant de changer de brosse et de lui frotter les flancs. Une main posée sur son dos et lautre sactivant sans véritable ardeur sur son poil, je tourne la tête un instant vers le deuxième poney qui ne bouge pas et semble indifférent aussi bien à lorage quau raffut de la pluie sur le toit. Mais soudain quelque chose dinhabituel attire mon attention. Et un peu gênée, je remarque finalement que son sexe déplié pend mollement sous son ventre. Je souris et murmure : « Eh ben ! Tu ten fais pas toi ! »
Après en avoir terminé avec le premier poney, je mapproche du deuxième et entreprends de lui brosser également la crinière. Par curiosité, ou plutôt par vice, je suppose, je ne peux mempêcher de me reculer un peu afin de vérifier si son état est redevenu à la normale. Incrédule, au lieu de cela je maperçois que son sexe a au contraire doublé dépaisseur depuis tout à lheure. Et que dire de la longueur…
Cest à partir de là que linconcevable a commencé.
Etait-ce le résultat de ma solitude ? Du désuvrement ? De lambiance orageuse et électrique ? Ou tout simplement du fait quil y avait bien trop longtemps que je navais pas fait lamour ? En tout cas, en brossant cette crinière, je narrêtais pas de penser à ce sexe énorme, tendu, juste là
Me voulant imperturbable, je continue à le brosser en me disant que je suis cinglée. Moi ? Excitée par la queue dun poney vraiment nimporte quoi ! Et pourtant, malgré moi, je sens un trouble grandissant, une chaleur de plus en plus insidieuse irradier dans tout mon ventre et faire battre mon cur un peu plus rapidement. Pire, plus jy pense, plus je trouve ça dégueulasse, et plus je réalise que cest justement cela qui mexcite le plus. Je me sens glisser dans une perversion obscène et sans véritablement en avoir conscience, je me rends compte que je suis en train décraser mes gros seins contre le flanc de lanimal. A ce contact, la fermeté de ses muscles mélectrise et cest sans pudeur que je mets à me frotter contre lui. Tenant toujours la brosse dune main, je glisse la deuxième entre mes jambes en soulevant ma robe. Et le constat est sans appel ! Mon sexe ne ment pas. Il est trempé et dégoulinant sous mes doigts. Je me masturbe doucement en continuant à frotter mes grosses mamelles contre lui. Je ne sais pas sil réalise ce quil se passe, mais, il reste là, docile, sans bouger.
Je crois que jaurais pu jouir ainsi très vite tellement jétais excitée. Mais déjà se bousculaient dans mon esprit des envies dont je naurais jamais cru pouvoir être capable.