A partir de ce jour je lai vu se pointer à ma consultation environ tous les dix à quinze jours, pour des motifs sans cesses différents : un jour une petite éruption, la fois suivante un mal de gorge, la fois daprès une cystite.
La patiente modèle qui ne discute pas le diagnostic ni le traitement, paie rubis sur longle la consultation. Puis, une fois levée et presque arrivée à la porte du cabinet :
« – Ah Docteur, au fait Vous pouvez « vérifier ? » dune voix timide.
Cest devenu un rituel. La salope commence à mexciter, je lavoue. Dautant quà chaque fois, je sais immanquablement que ça va arriver.
Lavant-dernière fois, au moment où elle me demande ça, je feins un peu limpatience du médecin qui na pas que ça à faire, je décide de la presser un peu.
Elle est encore devant le fauteuil dont elle vient de se lever, et quelle na pas encore remis en place, alors je lui prends le bras et la pousse en lui intimant :
« – Mettez-vous là, penchez vous au-dessus du dossier, attrapez le siège. »
Elle sexécute, toujours bien docile, ne sétonne pas, ne proteste pas et adopte cette position plus quinconfortable, dautant quelle est sur des talons assez hauts : son dos est cassé en avant, la tête en bas, seul son postérieur saille, bien tendu en arrière.
Elle attend.
Je relève moi-même sa robe légère, très haut, qui retombe presque par-dessus sa tête, vue la posture. Je vois son dos et son soutien-gorge. Je lui descends sa culotte, dun seul coup, assez brutalement, qui tombe à ses chevilles.
Elle a lhabitude : elle secoue ses pieds lun après lautre pour sen débarrasser et pouvoir écarter les cuisses.
Dans cette position, son cul bien déployé, elle me donne envie de la fesser fortement.
Evidemment je mabstiens, même si je suis sûr quelle prendrait sa fessée sans broncher et avec soumission.
Je la laisse comme ça le cul en lair le temps de me garnir du doigtier P.V.C. (avec elle, maintenant, je prévois den avoir un bon stock davance)
Je lui verse du gel directement entre les fesses, puis lui caresse (plus que je nétale le gel) le sillon fessier en insistant bien sur lanus et tout autour.
Je la doigte, dabord avec lindex, puis avec le majeur, je lexplore, je la fouille à fond, sans la ménager, tandis que mon pouce caresse sa vulve plus bas, décollant les petites lèvres perlées de sève, les entrouvrant, descendant jusquau bourgeon pour le masser. Elle commence à onduler du bassin. Son orgasme monte très vite, elle crie brièvement sa jouissance, ses jambes faiblissent.
« – Cest bon, vous pouvez vous rhabiller. »
Elle ne demande pas son reste, se reculotte, rabaisse sa robe, me tend la main :
« – Merci, Docteur » dune voix éteinte et tremblante.
La fois suivante elle vient en consultation vêtue dun pantalon, un jean moulant qui met bien son fessier en valeur. Elle porte des chaussures à talons pleins et un polo.
Elle dit quelle ne se sent pas très bien en ce moment, se sent faible. Voudrait que je contrôle sa tension.
Sa tension est à 13/7, plus que satisfaisante.
Quand je repose lappareil cest moi cette fois qui lui pose la question :
« – Et question transit, ça va en ce moment ?
— Bof » dit-elle, en touchant son ventre « je me sens toujours embarrassée Jespère que je nai rien qui bouche »
Elle est debout devant la table dexamen quand elle prononce ces paroles. Je lui prends gentiment le bras, lui faisant comprendre quil faut quelle se tourne. Pas besoin dexplication ni dinsister, elle nattend que ça.
Déjà elle est en train de déboutonner son pantalon, de défaire la ceinture. Puis attend. Docile.
Elle aime que je la déculotte, je suis sûr quelle en mouille déjà.
Derrière elle, je prends les pans du jean, attrape le haut de la culotte en même temps, et lui descend tout ensemble dun coup vif, jusquau bas des cuisses. Le jean lui garde les jambes serrées, quimporte.
Elle se penche légèrement en avant, elle me présente ses belles fesses bien pleines, ses mappemondes généreuses (je trouve quelle a pris un peu de poids, et en particulier à ce niveau-là et ça nest pas pour me déplaire !)
« Hum » dis-je en effleurant ses fesses, comme si je les examinais. « On dirait que vous avez pris un peu de poids, Mme Dautiez ».
Jai en effet soudain envie de lhumilier, de lui faire honte.
« – Oui, Docteur Je lavoue
— Cest pas bien ça » continué-je en caressant doucement ses fesses, comme si jen prenais la mesure, ainsi que de lembonpoint quelle a pris. « Vos fesses ont pris de lampleur
— Oui je sais, Docteur, jai honte
— Vous grignotez ? Vous mangez des sucreries ?
— Un peu Et je mange trop, surtoutTrop de bonnes choses. Je ne peux pas résister
— Vous savez que ce que vous mériteriez ? » lui dis-je tout en continuant, et cette fois en lui caressant franchement, puis en commençant à lui palper vraiment les fesses.
— Euh non ?
— Une bonne fessée. Je pense que ça vous ferait du bien » continué-je en pelotant sans retenue ses chairs fessières à pleines mains
— Vous croyez ?
— Quest-ce que vous en pensez, vous !?
— Oh je le mérite cest sûr, Docteur. mais me faire du « bien » ?
— Je pense que ça ferait du bien à votre conscience Vous vous sentiriez moins coupable après
— Oh oui, certainement !
— Dautant que vous manquez dexercice ce qui explique que vous preniez du poids ; et dautre part le manque dexercice physique favorise la constipation
— Ah oui cest vrai. Je lai lu
— Et puis, ça fait circuler le sang ! Et une bonne fessée, vigoureuse, vous secouerait toute votre chair, ébranlerait votre ventre, remettrait tout ça en place, en fonction je veux dire : pourrait remettre en route vos intestins
— Ah oui ?!
Je ne réponds pas, occupé à lui peloter le cul comme un modeleur qui travaille sa pâte, avec application et délectation ; ses masses fessières sont vraiment un régal pour les yeux comme pour les mains, cette chair élastique quon déforme et qui reprend sa position initiale quel que soit le traitement quon lui inflige.
« – Fessez-moi Docteur » dit-elle soudain, dune voix sourde et rauque.
« – Reculez dun pas. Et tenez-vous à la table. »
Et là je me mets à lui administrer des claques puissantes et fortement appuyées qui la font vaciller à chaque fois. Elle crie lors des premières claques, puis encaisse sans broncher et avec des soupirs.
Je lui fais valser ses chairs élastiques, couvrant toute la surface de chaque hémisphère. Je suis méticuleux et vachard.
Puis je marrête. Son fessier a pris une belle teinte rosée. Elle regarde toujours droit devant elle. Elle ne bouge pas. Elle attend. Je suis sûr quelle en voudrait bien encore. En tout cas elle est sur sa faim.
« – Déshabillez-vous ! » Lordre tombe, sec et sans appel.
Elle tourne un il timide vers moi :
« – Je me déshabille comment ?
— Entièrement ! Vous vous foutez entièrement à poil ! »
Ca, cest pour si des fois, je navais pas été assez clair.
Je la vois enlever ses chaussures, descendre jean et culotte. Puis elle passe le polo par le haut. Sarrête un peu, va me regarder, me demander Mais comme je suis là à la fixer avec un regard sévère, elle ne la ramène pas, et défait le soutien-gorge. Elle a de beaux seins, qui tombent un peu (normal étant donné leur volume et son âge)
« – Foutez-vous à quatre pattes ! Ici, sur la moquette ! »
Elle sexécute, avec un air de honte et de soumission extrême.
« – Le cul bien cambré, les fesses en lair, les cuisses suffisamment écartées ! »
Elle creuse les reins au maximum, sappliquant avec zèle à prendre la posture que je lui ai ordonnée.
« – Parfait. Voilà la position qui vous va bien. Vous offrez bien votre cul. Je sais que vous aimez ça. »
Elle ne répond pas.
« Nest-ce-pas ?! » lui dis-je en lui assénant une claque sèche sur son cul.
« – Oui, Docteur.
— Oui QUOI ?!
— Jaime vous offrir mon cul.
— Voilà. Je suis content de lentendre. Et cest dans cette position-là que je vous préfère. Cest comme ça que vous êtes le mieux.
— Oui Docteur. Avec vous cest comme ça que jaime être !
— Parfait » dis-je avec un contentement dans la voix, tout en lui caressant le cul. Ma main ségare dans son sillon fessier, je caresse son anus que jaffole, je descends à sa vulve, je lentrouvre, lentrebâille, caresse ses petites lèvres, plonge un doigt, puis deux doigts en elle, elle est toute humide, son bassin réagit, je la branle en appuyant bien à lintérieur de son vagin, elle commence à onduler des reins.
Mon pouce caresse son anus en même temps.
Je fais un pas pour prendre le tube de gel. Je lui mets sous le nez :
« – Vous savez ce que je vais faire avec ça ?
— Oh oui, Docteur. Faites-le ! » implore-t-elle.
Je fais tomber du gel dans son sillon fessier, je remets les deux doigts dans sa chatte, je masse son anus avec mon pouce, appuie dessus ; il glisse, puis il rentre lentement. Sa petite rosette, toujours bien souple, labsorbe lentement.
« – Oh oui » dit-elle.
Elle se lâche, on dirait.
« – Vous aimez lavoir dans le cul, hein ? » Cest plus une affirmation quune question.
« – Vous le faites tellement bien, Docteur » soupire-t-elle.
« – Votre chatte est toute mouillée, espèce de cochonne.
« Ah oh ouiii »
Mon pouce est maintenant complètement rentré dans son cul, aussi profond quil puisse aller. Je la crochète avec mes trois doigts, la travaille lentement. Elle ondule de la croupe. La tête toujours droite, comme au garde à vous.
Je magenouille pour continuer sans me casser le dos. Au passage, de lautre main jattrape un sein qui ondule davant en arrière, je le pelote sans vergogne, passe dun nichon à lautre, tripote et agace les mamelons entre mes doigts, qui se dressent aussitôt et durcissent.
« – Jai toujours trouvé que votre anus était vraiment très souple pour une femme honnête ! »
Elle ne répond pas, pousse des petits râles aspirés et discrets.
« – Vous croyiez que jétais dupe avec votre constipation et votre peur dêtre bouchée ?
—
— Répondez !!!
— Non, Docteur. Je je jaime que vous me fouilliez vous faites ça tellement bien
— On voit que vous êtes habituée de ce côté-là Et vu la facilité qua votre anus à souvrir et à laisser passer un doigt, comme un pouce, vous devez être habituée à y recevoir autre chose quun doigt !
— ah Oh
— Nest-ce pas ?!!! Si vous ne répondez pas, jarrête tout de suite !
— Oui ! non, narrêtez pas ! Continuez ! Mais la vérité, Docteur, cest que mon mari ne bande plus depuis quelques années ou pas assez ; et il y a des années que je nai pas été enfin quil ne ma pas Enfin, vous savez bien
— Oui, je sais. Mais je veux lentendre prononcer de votre bouche.
Cest dailleurs un peu tard pour avoir ce genre de pudeur, Mme Dautiez Vous noubliez pas que vous êtes à quatre pattes sur ma moquette, mon index et mon majeur dans votre chatte et mon pouce dans votre cul, et que je suis en train de vous tripoter les seins comme à une vraie chienne, et quen plus vous aimez ça ?!
— Oui. Jaime ça !
— Et ?
— Ca fait des années quil ne ma pas ENCULEE ! »
La fin de sa phrase est un peu syncopée car elle vient manifestement de décharger !
« – Eh bien, Mme Dautiez, voudriez-vous que je vous rende ce service ?
— Oh ouiii, Docteur. Enculez-moi ! Oh je vous en prie !
— Depuis le temps que vous tournez autour, que vous le cherchez, vous allez lavoir ! »
Et là-dessus, je reprends mes doigts pour ouvrir mon pantalon, me débraguetter et sortir tout près de son visage ma queue fièrement bandée et dressée, que cette salope a fait durcir depuis un bon quart dheure avec son attitude de vicieuse lubrique.
A genoux devant elle, je lui présente lobjet, et lattrape par les cheveux pour lui relever la tête :
« – Vous allez dabord me sucer comme une vraie chienne, parce que jen ai très envie. Et ensuite, si vous mavez bien sucé vous aurez lhonneur et le plaisir de la prendre dans le cul ! Il vous faut la mériter, votre sodomie !
— Oh oui Docteur, je ferai tout ce que vous voulez. »
Sur ce, ne pouvant que répondre à une invitation aussi chaleureuse, jenfourne mon gland dans sa bouche, qui se met au travail avec application : elle tête, elle suce, ses joues se creusent ; je donne des coups de bassin, qui, coordonnés avec sa tête qui monte et descend en cadence, font que je baise sa bouche avec un plaisir inégalé.
Mmmmm, elle fait ça bien cette garce. Je prends sa tête à deux mains et je me mets à travailler sa bouche à un rythme régulier. Elle se prend bien ma queue, qui vient buter au fond de sa gorge.
A ça aussi, elle doit être ou a dû être habituée.
Je sors ma pine, la frotte sur ses joues, sa bouche, partout. Elle a le visage tout rouge, un air de dépravée lubrique, ses cheveux ébouriffés.
Je lui prends ses beaux seins à pleines mains, les malaxe sans douceur, elle geint.
Je me lève :
« – Alors, lequel de vos orifices je vais gratifier de ma queue maintenant ?
— Oh le cul, Docteur !
— Pardon ? Je nai pas bien entendu
— Oh mon trou du cul ! Sil vous plait je vous veux en moi, là. Sil vous plait, enculez-moi, Docteur !
— Je ne peux rien refuser à une patiente aussi agréable. Et puis, comme jaime faire plaisir »
Et là-dessus, après avoir enfilé un préservatif, je me positionne accroupi au-dessus de ses fesses largement ouvertes (la vicieuse a suffisamment écarté les cuisses, et bien avancé les genoux, pour offrir sans effort sa rosette plissée à la vue et à la pine de son futur enculeur cest là quon voit quelle a une grande expérience de la chose) et je présente mon vit devant sa rondelle toute palpitante, je le prends dans ma main, le gland appuie sur lil borgne quil labsorbe immédiatement et sans difficultés Elle crie :
« – Oh ouiiiiii ! » Ses jambes sont secouées dun nouvel orgasme.
Ma queue rentre sans difficultés, coulisse bien en elle ; je sens juste un peu les spasmes de sa jouissance. Je la rentre en entier sans aucun problème, mon pubis arrive en butée contre son fessier.
« – Oh ouii, cest bon ! Merci Docteur ! »
Jattrape la salope par les hanches et me mets à la besogner lentement, lempalant bien ; elle est bonne, son cul est vraiment terriblement jouissif.
Je lencule à longs coups de reins souples, elle est aux anges ; plus je lui en mets, plus elle en redemande.
« – Ah il est bon votre cul ! Cest vraiment un délice, cest un plaisir de vous enculer.
— Oh oui oui ouiii ! Encore ! Baisez-moi bien, baisez-moi à fond !
— Mais à votre service, Mme Dautiez. »
Et là jaccélère la cadence et je lui en mets vraiment plein le cul ! Elle râle tout son plaisir, roucoule, crie, perd tout contrôle. Me remercie, elle na jamais été enculée comme ça. Elle sest déjà pris des queues par là, mais comme ça, jamais ! Je suis son meilleur enculeur.
A un moment donné je sors de son petit trou, et lui ordonne :
« – Levez-vous, et mettez-vous à genoux sur ce fauteuil. Jai envie de prendre votre chatte ! »
Elle sexécute à regret, mais bien docile, se place comme je lui ai demandé, en équilibre précaire, son cul en arrière, bien accessible, au bord du fauteuil visiteur, sa chatte bien visible.
Heureusement, je lattrape par la taille et lui enfile ma pine dans sa chatte bien ouverte, dun coup, et jusquau fond. Elle feule.
Mes mains montent jusquà ses seins que jagrippe et me mets à la besogner en la tenant par ses nichons de salope.
« – Mummm Tes bonne aussi par là, ma salope !
— Oh oui, vous me baisez bien, jaime ! »
Je me mets à la travailler au corps, son cul donne des coups en arrière pour aller à la rencontre du membre qui la pistonne à grands coups de « flic floc », je lui mordille les oreilles, lui lèche vicieusement le cou, lui mords lépaule ; elle nen finit pas de délirer, elle dégouline, elle minonde de cyprine. Cest une vraiment une sacrée baiseuse ! Qui laurait cru en la voyant, avec son air de femme modeste et pas bien maligne.
Finalement, après avoir joui encore deux ou trois fois, elle mimplore :
« – Oh sil vous plait, Docteur, enculez-moi encore, je vous en prie !
— Mais avec plaisir
Là, tu vas vraiment ten prendre plein ton cul ! »
Je laide à descendre du fauteuil et balayant brutalement ce quil y a sur mon bureau, je lallonge sur le dos, puis la tire vers moi, amenant son bassin dans le vide tout en relevant ses cuisses. Je la tiens par les jambes, très haut au-dessus delle. Son cul est bien écarté, son petit illet est bien exposé, bien offert et je vais en profiter.
Je me mets bien en face et lenfile dun seul coup, son orifice accueillant mabsorbant, maspirant, elle en râle de plaisir, jure :
« – Oh OUI putain ! Oh que cest bon ! »
Je lui bourre la rondelle à grands coups de pine, elle mencourage :
« Oh oui, plus fort, plus fort ! Défonce mon cul, encule-moi comme une salope, baise-moi comme une pute ! »
Elle mexcite terriblement, je sens la montée du plaisir.
Ses jambes sur mes épaules, jaccélère encore, je lui pelote lintérieur des cuisses, je lui assène des claques sur ses fesses tendues, je lui empaume la vulve, la presse, branle son bouton.
Je la pistonne comme un malade, ses fesses en vibrent, elle a les yeux écarquillés, tantôt me regardant dans les yeux, tantôt son bas ventre qui lui renvoie ses ondes de plaisir.
Je marrête soudain. Elle est surprise. Je lui demande :
« – Où voulez-vous que je jouisse, chère Madame ?
— Dans mon cul ! Dans mon cul ! Oh je vous en priiie ! »
Je me remets à lui donner des grands coups de bite, longs et vigoureux qui ébranlent son cul, son ventre, sa vulve, ses hanches, à la façon dun bûcheron à son cognée quand il va faire tomber larbre.
Le fruit est mûr, il tombe : elle crie sa jouissance, son cri retentit dans le cabinet tandis que je décharge violemment en même temps ; je sens ma queue qui se dilate, bien serrée dans son petit trou du cul, et des spasmes puissants marrachent un grognement de bête blessée, nous partons de concert, comme un seul animal en furie.
Nous restons tous deux comme anéantis, et mettons un certain temps à reprendre nos esprits.
Par la suite ses visites ont été un peu moins rapprochées, mais plus longues, et pour cause. Je lui ai demandé de prendre rendez-vous quand elle souhaitait une « visite complète » (visite complète voulant dire quelle veut que je lui visite son intimité à la manière dont je lai fait la dernière fois) Nous avons convenu dun code pour quand elle mappelle : elle doit dire « je voudrais prendre un rendez-vous ; cest pour « comme dhabitude » ».
En effet, ainsi je sais que je dois réserver pour elle un double rendez-vous soit une demi-heure.
Heureusement, elle nest pas trop insatiable et elle ne vient me voit quune fois toutes les 3 à 4 semaines (car il faut me garder un peu de force je nai pas quelle quand même !)
Ca ne la pas empêchée lautre jour de venir sans prévenir. Elle faisait ses courses et est passée devant mon cabinet ; elle a été prise dune brusque envie, ma-t-elle dit, et comme elle a vu quil ny avait personne dans la salle dattente, alors, à tout hasard
Je lai un peu réprimandée, gentiment, lui disant que jétais là, ok, que la journée était relativement calme, mais que je mapprêtais à aller faire des visites à domicile.
Enfin, puisquelle était là
Jai commencé par lui dire que son manquement à la règle méritait quelle soit un peu punie.
Elle en a frissonné.
Elle était vêtue dune jupe en jean, de souliers dété en corde. Elle était encore debout, à côté de ma table dexamen.
Je lui ai dit que jallais dabord la fesser. Je lui ai ordonné denlever sa jupe et de se déculotter. Elle a obéi immédiatement, avec un frisson de plaisir, me présentant son beau cul, ses fesses déployées et insolentes.
Jai commencé à faire valser ses hémisphères dune main leste avec des claques sèches ; elle poussait ce qui ressemblait plus à des gémissements brefs quà des cris.
Puis rapidement, je me suis arrêtée, lui ai ordonné dun ton autoritaire décarter un peu les cuisses.
Ma main sest portée à sa chatte et jai caressé délicatement sa vulve : elle était délicieusement humide ! Je lai caressée un petit moment, à deux mains, une main devant branlant son bourgeon, lautre derrière massant ses lèvres délicates.
Puis mes doigts sont montés à son anus, et elle a posé alors ses mains à plat sur la table dexamen, comme pour sinstaller plus confortablement. Juste avec les quelques gouttes de la sève de sa chatte jai introduit lextrémité de mon majeur dans son petit trou tout palpitant.
Je crois quelle a joui immédiatement une première fois, brièvement.
« – Hummm » ai-je dit, « je commence à aimer ce petit trou-là Je crois bien que nous allons le visiter plus complètement »
Ses hanches ondulaient, elle dansait sur ses jambes.
« – Jaime que vous soyez à moi. Jaime que moffriez ainsi totalement votre cul. Jaime ce présent-là »
Evidemment, très rapidement, elle sest mise à quatre pattes, nue en dessous de la ceinture, avec ses chaussures (pour ne pas perdre de temps)
Je lai copieusement lubrifiée et lai enculée. Je lai gratifiée dune sodomie dabord lente puis forte, longue et profonde. Elle a crié son plaisir du début à la fin, et nous avons joui violemment dans une explosion intense.
Elle sest essuyée, sest rhabillée et juste avant de filer a posé un petit baiser sur ma bouche qui ma surpris et ma susurré :
« – Merci, Docteur. »
La médecine de nos jours offre quand même dagréables moments !"
Fin de l’histoire