Cette histoire est issue d’un fantasme, c’est en discutant avec une fille qui a les mêmes envies que moi et c’est ainsi qu’est née cette histoire.
Elle aime le sexe fort, un peu brut avec des mots crus, dans cette histoire, tout lui plaît tout autant qu’à moi.
Un soir, je décide de faire une sortie avec toi, de t’inviter au restaurant, mais tu me connais, nous irons à une seule condition, je choisis la tenue que tu porteras pour cette sortie.
Je te fais savoir que la tenue choisie t’attend sur le bord de ton lit, tu la découvres et elle te plaît assez bien, une robe à fines bretelles assez moulante, mais fortement décolletée et dos nu, un string avec la partie avant transparente et une paire de hauts talons, tu t’étonnes en revanche de ne pas trouver de soutien-gorge, ma réponse est claire.
« Pas besoin de soutien-gorge, je veux tes seins libres »
Je te laisse le temps de te préparer, je fais pareil de mon côté, chemises, jeans, chaussure classique et le parfum qui te rend folle quand tu le sens dans mon cou, celui qui te donne envie de me dévorer.
Je suis prêt avant toi, je nous prépare un apéritif, mais commence sans toi, tu traînes pour t’habiller et pourtant, tu n’as presque rien à mettre pour t’habiller.
« Il me semble que tu traînes un peu, j’espère que tu ne te caresses pas, je t’attends. »
Soudain, j’entends le bruit de tes talons qui résonne sur le sol, tu apparais devant moi, tu es bandante.
On remarque vite à la pointe de tes seins qu’ils ne sont pas protégés et on remarque vite la trace de ton string sous ta robe moulante.
« Tourne-toi que je t’admire, hmmmm que tu es excitante comme ça, regarde-toi dans le miroir et dis-moi comment tu te trouves, moi je trouve que tu ressembles à une vraie petite pute, MA pute mais j’aime ça. »
L’apéritif ne traîne pas et moi à te voir comme ça, j’ai envie de te baiser mais la soirée ne fait que commencer, je décide donc de prendre un peu de plaisir et de jouer avec toi.
« Tu as pris le temps d’épiler ton sexe comme je l’aime ?? Tu sais que j’aime que tu gardes un peu de poils sur le dessus, ça donne un côté excitant et ça fait ressortir ton côté de petite salope. »
« Relève ta robe que je contrôle ça. »
Tu peines à la remonter, mais je découvre ton string transparent, pas besoin de l’écarté pour voir, je constate que tu as suivi mes demandes comme une sage fille.
« Allonge-toi sur le canapé, j’ai envie de jouer. »
Tu t’allonges, je place tes fesses sur le bord et je relève tes jambes, une sur mon épaule, l’autre repliée sur le bord du divan, j’ouvre mon pantalon, sort ma queue à demi-dure et je la frotte sur ta fente à travers le tissu, il ne m’en faut pas plus pour que je durcisse au maximum et surtout pour toi qui commences à gémir.
Je frotte mon gland sur ton clitoris en faisant des ronds, je te sais sensible de ton bouton d’amour qui durcit autant que moi.
« Regarde ma queue et ne la quitte pas des yeux, regarde comme je bande pour toi petite garce, tu es une bonne salope et tu m’excites sans cesse, ce soir, je sors avec ma petite pute et pas mal de regards vont se poser sur toi, mais garde à l’idée que c’est moi qui te baise, moi qui te remplis, moi qui enfonce cette bite au fond de toi et dans chacun de tes trous de petite pouffiasse. »
Je te mets une gifle qui te sort de tes gémissements.
« Regarde ma queue et ne la quitte pas des yeux, je t’ai dit. »
J’écarte finalement ton string et je me frotte encore plus à cette chatte qui est ouverte et ne demande qu’à se faire remplir, mais je prends garde à ne pas te laisser jouir.
Je te redresse, assise sur le bord du canapé et je frappe tes joues avec ma queue, elle te fait l’effet d’une gifle tant elle est dure.
« Tu aimes que je te biffle hein, tu aimes que je te biffle comme la dernière des salopes ? Je t’avais dit de garder les yeux sur ma queue. »
Ensuite, je te force la bouche, il n’en faut pas forcer beaucoup, ta bouche s’ouvre et m’aspire, tu me gobes, me suces, me pompes comme une chienne qui n’a plus sucé depuis des lustres.
Je glisse dans ta bouche, je sens ta langue qui joue autour de mon gland, bordel, tu vas me faire gicler à me pomper comme ça.
Je te baise la bouche, je t’interdis de mettre les mains sur ma queue, je contrôle les va-et-vient, je tape ta gorge, mais je fais attention à ce que tu ne baves pas sur ta robe, je veux que tu portes celle-là ce soir.
« Ouvre la bouche et passe la langue, je viens, je vais juter. »
Je prends ma queue entre mes doigts et me branle face à ta bouche, j’arrose ta bouche, ta gorge et ton visage avec de longs jets et je veille à ce que tu en avales le plus possible.
« Va te refaire une beauté, mais interdiction de te laver la bouche, je veux que tu gardes le goût de ma jouissance jusqu’au resto. »
Je vais me préparer et à ton retour, je t’embrasse pour voir si tu as respecté ma demande, ta bouche à un goût salé.
« C’est bien, tu appliques mes demandes, je n’aurais plus à te punir pour le moment. »
Je te montre que sur la table, j’ai déposé un petit cadeau pour toi, timidement, tu t’approches, prends la petite boîte en main, la secoues.
« Ouvre, ça ne mord pas, n’aie pas peur. »
Tu ouvres doucement et restes avec un air étonné, tu tires sur le ruban délicatement et tu y découvres un uf vibrant.
« Je veux que tu le portes pour notre sortie, place le bien au chaud et pour ce qui est de la télécommande, c’est moi qui l’ai. »
Tu t’assois sur le bord du canapé, écartes les cuisses, tires sur le tissu de ton string et de ton autre main, tu écartes tes lèvres avec tes longs doigts fins, tu le mets à l’entrée et tu me fixes du regard, tu as un regard lubrique, un vrai regard de salope, tu pousses et l’uf se fait aspirer.
Il glisse au fond de toi, bien au fond à en croire ton gémissement, tu te relèves, ajuste ta robe puis tu t’approches de moi et tu essuies tes doigts sur mes lèvres, les mêmes doigts qui ont écarté les lèvres humides de ta chatte, ils sont mouillés, mouillés de ta semence, mais ils ont bon goût, je te prends par l’arrière de la tête et partage ce nectar avec toi, nos langues se mélanges et tu en voudrais plus, mais c’est moi le maître du jeu.
Nous partons vers le restaurant, je remarque que lorsque tu montes dans la voiture, ta robe remonte fort haut sur tes cuisses et le fait de devoir ouvrir les jambes pour monter dedans te fait écarter les cuisses largement, j’imagine la vue que pourraient avoir ceux qui te regarderaient.