Ceci est une histoire vraie, mais les prénoms ont été changés pour garder l’anonymat de ces personnes.
Je me présente. John, 18 ans, 1m87, 80 kilos, et une belle queue de 22 centimètres par 6. J’habite dans un village à l’ouest de la Suissesse.
Un jour, je me baladais tranquillement sur les réseaux sociaux. Je cherchais de beaux jeunes hommes à aborder. Cela faisait quelque temps que je m’étais rendu compte que j’aimais les hommes. Au début je n’y croyais pas, et je me disais que cela ne serait que passager. Puis au fil du temps, je me rendis compte que je ne regardais plus les femmes dans la rue. Je ne regardais plus que les hommes. Alors pour en avoir le cur net, je me dis que je devais essayer.
Me voici donc sur les réseaux sociaux, à la recherche d’un jeune homme avec qui je voudrais coucher. Après quelques dizaines de minutes, je tombais sur un compte. Edward, un beau black, 21 ans, 1m85, 80 kilos de muscle et pour ce que je pouvais voir sur ces photos, une bosse conséquente vers son entrejambe. Prenant mon courage à deux mains je lui envoyai un message.
Il me répondit gentiment et nous commençâmes à discuter de tout et de rien. Il avait l’air très sympa. Après une petite heure, le sujet vint sur le cul. Et il m’avoua être gay. Quelle chance j’avais ! Je lui avouais manquer de compagnie ces temps-ci et il se trouvait que lui aussi. Nous convînmes alors un rendez-vous le mardi suivant pour nous rencontrer.
Le mardi suivant…
Cela faisait deux jours que je ne tenais plus en place. J’étais nerveux et excité. J’avais vraiment hâte. Nous avions établi le rendez-vous à 17 heures. Il était quinze heures. Plus que deux heures à attendre. Le lieu de rendez-vous se trouvait à 2 arrêts de train. Je partis donc de chez moi dans les environs de 16 heures trente. Arrivé au lieu de rendez-vous, je m’appuyais contre un arbre et j’attendis.
Dix minutes plus tard, je le voyais arriver. Il était encore plus beau en vrai que sur les photos. Il arriva vers moi et nous nous fîmes la bise. On marcha quelque temps l’un à côté de l’autre. Je faisais semblant de marcher au hasard, mais en réalité je me dirigeais doucement vers l’hôtel le plus proche. Arrivé devant celui-ci, je lui proposai de passer aux choses sérieuses en désignant l’hôtel de la tête. Il accepta et nous entrâmes.
Une fois dans la chambre, je sentais ma confiance et mon enthousiasme s’envoler et laisser place à une légère appréhension. Je ne savais quoi dire ni faire. À ce moment, il prit le dessus. Il vint vers moi et colla sa bouche à la mienne. Je ne m’attendais pas à ce contact, mais je m’en réjouis. Il entrouvrit légèrement la bouche et je fis de même pour que nos langues puissent se caresser. Commença alors un véritable ballet de langues. Pendant que sa langue tournait autour de la mienne, je descendis instinctivement la main le long de son corps… En partant de sa nuque, je laissais glisser doucement ma main le long de son dos, jusqu’à arriver à ses fesses. Je sentais qu’il faisait de même. Je passai alors ma main devant lui et déboutonnai doucement son pantalon. Je sentis ses mains toujours posées sur mes fesses, et cela me donna assez de courage pour baisser son pantalon et passer ma main timidement sur son boxer.
Je sentais alors sous mes doigts sa queue, qui commençait à grossir. Je m’interrogeais sur la taille de celle-ci, et baissai les yeux. Je vis alors une queue gigantesque sous mes doigts. Elle devait faire au moins 28 centimètres par 7 centimètres de large. En voyant mon regard, il me rassura, et descendit son slip. Puis comme poussé par une volonté autre que la mienne, je m’agenouillai devant cette magnifique queue, et entrouvris ma bouche. Sans me laisser le temps d’hésiter encore, Edward poussa ma tête et j’enfournai le monstre dans ma bouche. Je commençai alors de lents va-et-vient, tout en faisant tourner ma langue autour du gland. Il se déshabilla, et très vite je fis de même pour être à l’aise. Je repris alors ma fellation, et me dis que j’appréciais et que j’apprécierai toujours ça. Après quelques minutes de ce traitement, je sentais ses mains derrière ma tête commencer à pousser de plus en plus fort. Je l’entendais respirer de plus en plus vite, alors j’accélérai mes mouvements. Il gémissait carrément maintenant et sentant qu’il venait, il poussa un grand coup sur ma tête et enfonça alors sa queue dans ma gorge… Et là je sentis des spasmes courir le long de sa queue, et un liquide couler dans ma gorge. Une fois les spasmes terminés, il remonta ma tête et me remercia. Il me dit alors : « Maintenant, c’est mon tour de m’occuper de toi. »
Il commença ensuite une fellation du feu de Dieu. Je n’avais jamais ressenti de telles sensations jusqu’à ce jour, et je sentis rapidement que j’allais venir. Je le prévins, et sa seule réaction fut d’augmenter le rythme de ses va-et-vient, et de commencer à me caresser doucement les couilles. Je me laissai donc exploser dans sa bouche. Après m’être complètement vidé, il remonta et m’embrassa en collant son corps à moi. Je sentis son membre plein de vigueur contre mon ventre. En décollant sa bouche de la mienne il dit : « Passons aux choses sérieuses maintenant »
Il me coucha alors sur le lit, et vint par-dessus moi. Il m’embrassa doucement et dirigea sa main vers mon petit cul. Il caressa doucement mon anus avec son index, et après avoir craché sur celui-ci, y rentra un doigt. Il commença à faire de rapides va-et-vient, et y ajouta un deuxième puis un troisième doigt. Sentant mon anus détendu, il présenta le bout de son gland sur mon anus, et commença à pousser. Je sentis le premier centimètre de ce bourgeon turgescent entrer dans mon anus, et une douleur fulgurante me traversa, mais je mordis l’oreiller et attendis que cela passe. Pendant ce temps, Edward continuait de pousser et je sentis enfin ses couilles toucher mon cul. Je ne m’étais jamais senti aussi plein, et n’attendant pas ma permission, il commença à bouger ses hanches. Il ne me fit aucun cadeau. Il bougea dès le début ses hanches rapidement et violemment. Je sentais alors qu’un jeu de domination s’était engagé entre nous. Il était mon maître et moi j’étais sa chienne. Quand il vit que j’avais compris cela, il accéléra le mouvement. Et je sentis les veines de sa queue frotter contre mon anus, et je commençai à trouver cela bon. Au fil des minutes qu’il passait à me pilonner le cul, la douleur omniprésente au départ, s’effaça pour laisser place à un plaisir grandissant. En voyant cela, mon maître me rappela que j’étais sa chienne en me frappant le cul de sa main droite. Il me retourna alors et nous passâmes en missionnaire. Dans cette position, il avait accès à beaucoup plus d’endroits stratégiques. Il continua de me baiser, et commença à me branler doucement. Puis sans prévenir, il attrapa mon cou de sa grande main. Il commença à serrer de plus en plus fort mon cou et ma queue au fil des minutes qu’il passait dans mon cul. Puis, il accéléra et d’un coup se crispa. Je sentis alors mes entrailles se remplir de sperme. Il se détendit alors et se coucha sur le lit. Je le remerciai, car au moment où il explosait dans mon cul. J’avais joui moi aussi. Alors c’est rassasié que je me tournai sur le côté, et je le sentis se coller derrière moi. Et c’est dans cette position que je m’endormais dans ses bras, une simple phrase en tête. « C’est sur maintenant, j’aime les hommes »