Quel imbécile.
J’ai oublié mon sac de sport en quittant le bureau. Je le laisse toujours sous ma table de travail quand je suis assez motivé en me levant le matin pour passer un moment à la salle de sport de mon quartier. Je fais demi-tour après avoir déjà parcouru une quinzaine de kilomètres en direction de chez moi. Quand j’arrive, le bâtiment est fermé, et j’ouvre avec ma clé, et me dirige au second étage, d’une petite foulée souple en montant l’escalier, mes baskets ne font pas de bruit et j’arrive à la porte de mon bureau surpris d’y voir de la lumière, alors que j’étais certain d’avoir tout fermé en partant. Je pousse la porte entre-ouverte et me fige de stupeur.
Je vous trouve installée à mon bureau, les cuisses légèrement écartées, une jupe que je ne vous connaissais pas retroussée sur vos hanches, le bas-ventre en avant de votre chaise, les reins cambrés faisant saillir vos mamelons cachés par une jolie brassière de votre matière préférée, mon short de sport à la main, vous le humez visiblement avec délice. Votre autre main caresse tendrement la bosse qui se forme lentement entre vos jambes, sous la pression de votre main douce et câline.
Que vous êtes belle, ainsi, alanguie, votre corps musclé dont les formes viriles sont soulignées par le lycra de vos sous-vêtements, exposées aux caresses de vos mains de plus en plus coquines au fur et à mesure que vous respirez l’entrejambe de mon vêtement imprégné de mon odeur de mâle, de transpiration et sûrement d’un peu plus. Je vous surprends ainsi, et vous voir rougir de la situation vous rend désirable à mes yeux. Vous vous levez de votre chaise, tentant de remettre de l’ordre dans votre tenue, rajustant votre brassière, lissant votre jupe en bredouillant quelques mots inaudibles, les joues rouges de confusion, le regard un peu affolé, les mains tremblantes. Je m’approche de vous, prends vos mains dans les miennes et vous empêche de rabaisser votre jupe. Vous serrant contre moi, je pose un baiser sur vos lèvres douces pour vous faire taire et vous faire comprendre que j’aime vous voir ainsi, hésitante, un peu perdue, votre corps finement musclé mis en valeur par le lycra qui couvre les parties les plus attrayantes de votre anatomie.
Ma bouche prend peu à peu possession de la vôtre, vos lèvres s’entre-ouvrent et ma langue fait connaissance avec la vôtre, nos salives se mêlent. Vos mains ne me résistent plus et je les laisse doucement retomber le long de votre corps. Les miennes, larges, chaudes, conquérantes se plaquent sur vos hanches, je vous caresse. Je vous plaque contre moi, vous laissant sentir le désir que j’ai de vous à ce moment. Ma queue raide dans mon pantalon se frotte à la vôtre pendante contre votre cuisse.
Mon baiser gagne en intensité et je vous sens vous relâcher lentement contre moi, la seule tension qui trahisse votre émotion est celle de votre sexe qui rejoint peu à peu l’état de la mienne. Mes mains se baladent dans votre dos, glissent sur vos épaules qu’elles griffent du bout des ongles avant de redescendre le long de vos flans, sur vos fesses musclées et fermes. Je sens vos muscles tressaillir sous les caresses de mes doigts, la chaleur et la douceur de votre peau, du lycra qui ne vous couvre que partiellement m’électrise, me faisant grogner de plaisir contre vos lèvres d’où de doux couinements s’échappent et qui ne font qu’attiser mon désir. J’ai envie de vous, ma belle.
Mes mains quittent vos fesses qu’elles pétrissaient tendrement et s’emparent des vôtres, les guident sur mon corps et les posent sur mon torse, elles descendent le long de vos bras et remontent sur vos épaules, dans votre cou, emprisonnent votre visage qu’elles reculent, vous libérant de ma bouche, le temps de vous contempler droit dans les yeux et de vous dire : "Sois sage et déshabille-moi, ma belle"…
Vous me regardez un instant, vos yeux pétillent, vous tremblez un peu quand vous commencez à déboutonner ma chemise dont vous écartez les pans pour poser vos mains bien à plat sur mon torse légèrement velu et vous frissonnez autant que moi, vous de sentir la chaleur de mon corps sous la paume de vos mains, moi de sentir leurs douces caresses sur ma peau. Ma chemise tombe sur sol et vos mains glissent lentement sur mon ventre, je sens vos doigts jouer un instant avec mon nombril avant qu’ils ne finissent leur course sur la ceinture de mon pantalon, qu’ils débouclent et ma braguette suit le même chemin. Vous découvrez de la paume de la main la bosse dure qui déforme mon boxer Kelvin Klein noir.
Mes mains glissent de vos joues à vos épaules, griffant tendrement la peau de votre cou, y laissant de jolis sillons rosés. Je presse entre mes doigts vos épaules et vous force à vous agenouiller lentement, mon regard plongé dans le vôtre, sans ciller. Docilement, vous prenez soin de délacer mes chaussures, l’une après l’autre vous retirez mes chaussettes, vous vous débarrassez de mon pantalon, et vous prenez mon pied entre vos mains pour le porter à vos lèvres, l’embrasser, le humer, le lécher, vous placez mon gros orteil dans votre bouche et le sucez avec application, comme pour me donner un avant-goût de ce que sait faire votre langue quand quelque chose de dur et volumineux pénètre vos lèvres sensuelles. J’apprécie la caresse buccale à sa juste valeur et vous flatte la tête d’une douce caresse dans les cheveux puis vous redresse lentement, j’empoigne vos cheveux et vous fais pencher en arrière, je me baisse et tout en laissant couler dans votre bouche ouverte un filet de salive, je vous embrasse goulûment, mélangeant nos baves de nos langues tournoyantes et enflammées.
Je vous murmure à l’oreille : " c’est bien ma belle, tu es très sage, continue comme ça, montre-moi si tu es aussi gourmande que la tenue de femelle en chaleur que tu cachais sous ton costume le laisse penser".
Je me redresse et plaque de mes deux mains votre visage sur la bosse de mon boxer. Mon pied droit vient se poser sur votre queue tendue sous le lycra qui la recouvre, et je vous masse doucement de ma plante et de mes orteils, vous arrachant de petits gémissements de plaisir et de douleur quand je presse un peu trop fort la paire de couilles qui palpite sous mes caresses appuyées. Je lâche vos cheveux pour baisser le devant de mon boxer que je viens coincer sous mes boules velues et ma queue jaillit, dure, fière de ses 19 centimètres, le gland déjà humide d’une goutte de présperme que j’étale sur vos lèvres, guidant ma queue d’une main, votre visage de l’autre, vous empêchant de l’enfourner trop vite, le temps de savourer le désir qui s’empare encore de moi et que je lis à l’identique au fond de vos yeux à demi fermés.
Le mot claque dans le silence seulement troublé par vos soupirs.
— Suce !
Vous approchez votre visage de ma queue tendue et vos lèvres posent un baiser sur mon gland gonflé de désir. J’appuie sur votre nuque et peu à peu vous avalez mon sexe, vos lèvres douces glissent le long de ma hampe m’arrachant un gémissement rauque de mâle satisfait. Votre langue caresse ma bite et je sens à vos succions gourmandes que vous aimez ça. Avoir une belle queue dans la bouche, une grosse main dans les cheveux qui vous pousse à la prendre plus profondément. Vous sucez merveilleusement ma queue dressée, aspirée au fond de votre bouche, et je vous encourage d’une voix grave : " Avale bien, jolie salope, tète le gland qui va forer ton joli petit cul de chienne". A ces mots, vous forcez votre gorge à accepter mon gland et très vite votre nez s’enfonce dans mes poils grisonnants, je sens votre souffle chaud qui les ébouriffe, vous bavez abondamment sur mes couilles. Mon pied écrase tendrement votre bite gorgée de sang, raide, chaude, toujours emprisonnée sous le Lycra de votre petite culotte.
Vous mouillez, je sens l’humidité de votre jus s’étaler sous la plante de mon pied.
— "Tu aimes ça, salope, pomper mon dard. Tu aimes tellement ça que tu souilles ta culotte comme une femelle en chaleur".
Vous ne répondez pas, la bouche pleine de ma queue jusque dans votre gosier. Mais vos reins vous trahissent. Vous vous trémoussez pour accentuer les caresses de mon pied le long de votre bite tendue, votre petit cul ondule doucement sous mon regard amusé. Je vous demande de retirer votre culotte de me la donner sans cesser de me sucer. Aux prix de nombre de contorsions vous arrivez à vos fins et me donnez votre culotte trempée. Je vous enfonce encore ma queue bien au fond de la gorge et porte le morceau de Lycra à ma bouche, je la goûte, je la hume, je la lèche, savourant votre mouille de chienne de toutes mes papilles excitées.
Je me rends compte que je suis sur le point de jouir, d’inonder votre bouche vorace de ma semence épaisse et chaude. Je me retire brutalement d’entre vos lèvres et frappe vos joues de ma queue dure, luisante de bave. Vous gémissez pour protester de vous avoir enlevé votre biberon mais je vous fais taire d’un dernier coup de reins au fond de votre gosier qui vous arrache un haut-le-cur de surprise.
Un long filet de bave relie mon gland et vos lèvres quand je me retire enfin, prêt à exploser. J’ai du mal à reprendre le contrôle de moi et à ne pas gicler mon sperme sur votre visage. Vous êtes belle à ce moment, à genoux devant moi, la bouche encore ouverte, la langue sortie réclamant le retour de ma queue entre vos lèvres, les yeux mi-clos, votre petit top en Lycra légèrement remonté sur vos tétons saillants, la bite bandée, le gland baveux de mouille, le cul frétillant d’envie de se faire remplir.
D’une poussée brutale sur votre tête, je vous fais tomber face contre terre. Instinctivement, vous relevez votre bassin, et vous vous cambrez, offrant votre croupe à mon regard, à mes mains. Vous gémissez, frustrée, votre bite continue de couler au goutte-à-goutte sur le sol. Vos épaules contre mes chevilles, je resserre mes pieds autour de votre cou pour vous immobiliser. Je pose mes mains sr vos fesses douces, je les palpe, je les malaxe, m’amusant à découvrir votre mignon petit trou, étoile brune au cur de cette vallée blanche qu’est la raie de votre cul magnifique. Je me penche et laisse couler ma salive au creux de votre sillon, puis d’un doigt je l’étale autour de votre corolle puis dessus. Je suce mon doigt et renouvelle l’opération, titillant votre petite chatte de mec avec plus d’insistance. Un long râle de plaisir vous échappe quand mon index pénètre de toute sa longueur au cur de votre pastille palpitante. Je vois aux réactions de votre anus que vous aimez ça, que vous en voulez plus, comme une bonne chienne qui n’attend plus que la saillie de son mâle pour assouvir ses plus bas instincts danimal.
Je crache à nouveau sur votre rondelle et y ajoute un second doigt. Vous couinez votre plaisir.
— "Tu la veux la queue de ton mâle, ta chatte anale se dilate autour de mes doigts, tu les sens te fouiller, t’ouvrir, jouer à attiser ton désir en caressant ta prostate ?".
Votre réponse n’est qu’une suite de "oui", dahanements, de soupirs profonds trahissant votre excitation à vous offrir à moi, à faire de vous ma salope, ma chienne, à me laisser vous posséder comme je le désire.
Je vous contourne et me retrouve derrière vous. Quel régal pour les yeux. Votre cul offert, cambré, votre anus à moitié dilaté qui tremble de plaisir, vos couilles qui pendent entre vos cuisses, votre bite si bandée qu’elle tressaute à chacune de vos respirations, vos muscles fins qui frémissent sous les caresses de mes mains qui parcourent votre dos. Je m’empare de vos fesses, fermes, belles, et je les écarte, exposant à ma vue, sans pudeur, votre anus tendre.
Vous êtes belle, votre jupe troussée sur les hanches, le cul cambré comme une chienne qui s’offre à son mâle, les couilles et la bite tendue pendant entre vos cuisses écartées, vos lèvres anales gonflées par les caresses et les pénétrations de mes doigts. Je bande comme jamais, j’ai envie de vous, de vous prendre de vous posséder, de vous faire jouir de mes coups de reins entre les vôtres. Je me penche et pose un baiser sur chacune de vos fesses musclées, j’ai peine à les mordiller tant vos spasmes de plaisir les contractent à chaque fois que ma bouche s’y pose.
Ma langue laisse un sillon de salive sur votre peau avant de se glisser au cur de votre vallée intime. Elle contourne votre anneau de chair tendre, s’y attarde un peu s’en éloigne pour aller taquiner vos jolies couilles que je devine bien pleines, je les gobe l’une après l’autre, les suce tendrement, puis ma langue retourne sur l’objet de mes désirs. Je vous sens frissonner et vous gémissez quand vous sentez ma bouche se ventouser à votre anus, et ma langue le forer doucement. Je vous renifle, vous respire. J’aime le parfum suave de votre transpiration entre vos fesses que je continue de palper, d’écarter pour mieux vous dévorer. J’aime le goût de votre petite chatte de mec, la saveur poivrée de votre mouille anale qui a suinté sur votre anus quand je vous doigtais. Je me recule un peu et glisse mes deux index en vous. Ils s’enfoncent doucement vous arrachant un cri de volupté, comme si vous étiez satisfaite d’être à nouveau remplie et déçue de ne pas l’être davantage. Mes doigts ouvrent votre petit trou et j’y plonge ma langue dardée, ma salive coule en vous, vous mouille, vous lubrifie.
Je me redresse et pose mon gland baveux de présperme sur votre chatte attendrie, je pousse doucement. Vous êtes serrée. Je force. Vous criez. Je vous claque la fesse gauche assez brutalement. Vos muscles anaux se relâchent le temps pour moi de vous enfoncer mon gland et de sentir votre anus épouser les contours de ma queue et de verrouiller mon gland dans votre petit cul de chienne. Je crache sur mon membre et étale de mes doigts ma salive le long de ma hampe et sur les lèvres de votre chatte serrée sur ma queue.
Je pousse encore.
Je vous écarte les fesses à deux mains. Je m’enfonce en vous. Le corps épais de ma bite se fraye un chemin, tout droit, profondément, en douceur. Je vous remplis de toute la longueur de ma queue. Vous gueulez un peu. Je sais ça fait mal la première fois. La première fois… Il me vient à l’idée que vous étiez peut-être pucelle, et ça m’excite encore plus. Je ne dis rien gardant pour moi cette impression délicieuse que je prends votre pucelage, qu’à ce moment précis, je fais de vous une femelle, ma femelle, ma salope, que je vous marque au fer rouge de mon glaive, fiché en vous jusqu’aux couilles. Je m’immobilise un moment, sentant vos crispations anales tout autour de mon pieu de chair. C’est divin.
Mes mains vous attrapent par les hanches, sur votre jupe que je remonte un peu encore pour mieux profiter de la vue que vous m’offrez de votre si joli cul. Je vous écarte de moi et regarde votre anneau de chair tendre coulisser le long de ma queue. Que c’est beau une petite chatte serrée comme la vôtre qui palpite autour de ma bite, le bourrelet de peau tendre qui se forme autour de ma queue. Je ressors mon sexe presque entièrement de votre douce chatte de mec et le râle que vous exhalez quand je me replonge en vous est partagé entre douleur et plaisir.
Il me suffit de quelques coups de reins lents, longs, profonds, pour que la douleur soit totalement remplacée par le plaisir. Vous gémissez comme une femelle en chaleur, heureuse de se faire saillir par son mâle. Mes coups de reins se font plus rapides, plus profonds encore, plus puissants. Je sens vos couilles ballotter contre les miennes à chaque fois que ma bite va toucher le fond de votre cul de chienne.
— "Tu as un sacré bon petit cul, Sam, un cul fait pour servir ton homme".
— "Haaaa ouiii, baisez-moi, Philippe".
Ce sera votre seule réponse, un violent coup de reins vous fait taire, ou plutôt vous fait crier. Je viens de trouver sous quel angle attaquer votre délicieux petit cul de salope pour vous faire gueuler de plaisir à chaque assaut de ma bite au cur de vos entrailles et je ne me prive pas de le faire. Je vous pilonne les fesses, plus fort, plus vite. Ma queue sort maintenant totalement de votre fourreau brûlant et s’y replonge avec puissance, non sans que j’aie pris le temps de contempler votre chatte de mec dilatée, béante, rose et mouillée, me laissant deviner la jolie fleur de chair tendre qui sy cache encore et que je vais me faire un devoir d’explorer davantage un jour.
Mon plaisir monte, je sens ma queue se gorger de mon sperme, et les palpitations de votre anus, de plus en plus forte, comme des contractions, comme pour traire le pis viril et dur qui laboure vos reins aux rythmes de nos respirations haletantes et saccadées. Je ne vais plus pouvoir retenir longtemps le désir qui me ronge depuis que je vous ai trouvée vous caressant à travers votre culotte de Lycra, la jupe remontée sur votre ventre. Je me penche en avant couvrant votre dos de mon torse velu et glisse une main sous votre ventre, je saisis vote bite baveuse à souhait tressaillant entre mes doigts et vous branle avec force, au même rythme que ma queue qui défonce avec passion votre si joli petit cul musclé.
Me sentant proche de l’explosion, vous balancez votre adorable cul contre ma queue pour vous l’enfoncer davantage alors que déjà en forçant un peu je pourrais rentrer mes couilles l’une après l’autre dans votre chatte de mec béante et vous verrouiller tel un chien bloque sa femelle pour mieux la féconder.
Je ne suis plus moi-même, je suis un animal, je grogne comme un ours, ma sueur goutte sur vos reins cambrés. Mes mains empoignent vos hanches, mes ongles griffent votre peau si douce, laissant des sillons roses sur la pâleur de votre corps. Je défonce de toute la puissance de mon corps le petit cul que vous m’offrez, et que je prends avec passion. Votre bite tremble entre mes doigts quand je la reprends pour vous faire jouir en même temps que moi.
J’explose.
Je jouis.
Je gueule mon plaisir.
Mon sperme chaud gicle tout au fond de vous, engluant votre boyau, ma queue, se répandant en vous comme la marée de l’océan remonte un bras de rivière.
Vous criez.
Votre respiration se coupe le temps que votre orgasme remonte le long de votre corps et jaillisse dans votre gorge. De la salive coule entre vos lèvres frémissantes, vos yeux se ferment, et de votre jolie bouche s’échappe un râle puissant, long, rauque, qui ne finit que quand vous êtes à bout de souffle. Votre jus remplit la paume de la main qui vous branlait, et je m’efforce d’en garder le plus possible entre mes doigts.
Encore plantée en vous, ma queue perdant de son volume, je m’écroule sur votre dos, lèche votre nuque humide de sueur, je caresse vos cheveux, votre visage, étalant avec tendresse votre sperme sur vos joues puis le lèche avec gourmandise ne laissant sur votre peau que les traces humides de ma salive. Je vous embrasse, tendrement d’abord puis passionnément. Ma bouche remonte le long de votre cou jusqu’à votre oreille, et j’en grignote le lobe sensuellement vous arrachant encore de doux gémissements. Au moment où ma bite, vidée de son jus, ramollie après l’effort quitte votre anus dilaté baveux de mon sperme qui commence à couler le long de vos couilles, je vous murmure dans le creux de votre oreille :
— Si j’avais su que vous étiez aussi salope, patron, je t’aurais baisé plus tôt.
Pour Samantha, malgré tout.