Timothée venait de commencer son stage de master. Dès le premier jour, il avait eu la chance de rencontrer Alain, un cadre d’une trentaine d’années qui allait lui donner quelques conseils :
— Si tu veux, je peux te donner des adresses pour sortir le soir.
— Ça serait sympa car je ne connais pas bien le coin.
— Il y a un night-club pas loin d’ici, juste au bout de la rue.
— Merci du tuyau !
Alain laissa Timothée s’éloigner puis il envoya un message sur son téléphone : "Tu vois le nouveau stagiaire, Timothée ? Je te parie qu’il vire sa cuti avant quinze jours".
Le lendemain matin, Alain croisa à nouveau Timothée à la machine à café.
— Alors qu’est-ce que tu as fait hier soir ?
— Je me suis rendu au night-club que tu m’avais conseillé, il y avait une atmosphère étrange. Je me suis assez vite rendu compte qu’il n’y avait que des hommes ! Quand j’ai vu des mecs s’embrasser à pleine bouche, ça m’a tellement surpris que je suis rentré chez moi !
— Désolé, je me suis trompé sur ton compte. En fait tu préfères sortir avec des filles ?
— Oui ! Enfin, je crois ! Pour tout te dire, à chaque fois que jai essayé avec une fille, ça s’est mal terminé. Mais pour autant, je ne me sens pas tout à fait prêt à tenter avec un garçon.
— Tu sais ce qu’on dit : "Rome ne s’est pas faite en un jour". Il faut persévérer, sinon tu passes peut-être à côté d’une belle rencontre ! SI j’étais toi, je retournerais dans ce club, et je me mêlerais aux conversations. Ça ne t’engage à rien !
Quelques jours après, Timothée faisait le compte-rendu de sa visite au club :
— Je suis retourné à la boîte hier soir. Je me suis fait aborder par un jeune homme, on a discuté et ensuite on a dansé ensemble. Et puis on en est resté là.
— Et il ne t’a pas proposé de passer la soirée ensemble ?
— Si, c’est vrai mais je ne me sentais pas prêt. J’ai compris qu’il voulait qu’on aille chez lui pour se caresser. Mais là j’ai eu comme un blocage.
— Je comprends ta réaction mais crois-moi quand tu auras franchi le pas, tu vas bien t’amuser !
Timothée se rendit à nouveau au club plusieurs jours de suite.
La semaine suivante, il décrivit sa visite à Alain :
— J’ai fait la connaissance d’un jeune homme, très beau, assez grand. Il m’a emmené dans les backrooms. Il était vraiment super-sympa avec moi, il m’a d’abord doucement caressé à travers mon pantalon. Je te passe les détails… Et finalement je me suis laissé faire. Il m’a taillé une pipe et il s’y prenait vraiment bien !
— Je suis vraiment content pour toi !
— Attends la suite ! Du coup, j’ai voulu le sucer aussi mais je m’y suis pris comme un manche, je l’ai mordu sans faire exprès et il s’est barré sans demander son reste. J’étais vraiment désolé qu’il l’ait pris comme ça…
— Timothée, ne t’inquiète pas. Ça arrive à tout le monde au début ! Mais je suis là pour t’aider : je peux te montrer deux ou trois trucs si tu veux.
Timothée accepta la proposition d’Alain en qui il avait une confiance aveugle.
Le lendemain, il entra dans le bureau d’Alain un peu angoissé. Alain ferma la porte du bureau à clé puis Timothée commença par ôter ses chaussures, il défit sa ceinture et retira son pantalon. Comme il avait gardé son caleçon, Alain lui fit signe de le baisser : Timothée obéit et Alain lui dit soudainement :
— Ne t’inquiète pas, Tim ! La taille ne compte pas !
Alain avait deviné que Timothée était complexé par sa petite bistouquette. Du coup, Timothée se sentit plus à l’aise.
Timothée s’allongea sur le bureau et Alain lui prodigua quelques caresses bien placées : maintenant qu’il bandait, Timothée pouvait être fier de son engin ! Alain continua en prenant ses bourses dans la paume de la main gauche et sa queue dans la main droite puis il se mit à lécher l’extrémité de son gland.
Timothée observait tout cela avec grande attention. Alain continuait à tenir la base de son pénis tout en avalant la hampe ! Il le suçait en serrant les lèvres, montant et descendant sur sa tige, accélérant par moments, ralentissant à d’autres, attentif aux réactions de son protégé.
Timothée regardait son collègue faire son office avec intérêt.
Au bout de quelques minutes, Timothée sentit qu’il allait bientôt jouir. Sans qu’il ait besoin de le lui dire, Alain se retira au dernier moment. Timothée vit son jus se répandre sur le bureau tandis qu’Alain lui disait :
— Je n’avale jamais ! Ça c’est dans les films ! Allez lèche !
Timothée un peu honteux se retrouva à lécher sa propre semence avec la langue ! Puis il se rhabilla et sortit du bureau.
Le lendemain, après une nuit passée au club, Timothée raconta ses nouveaux exploits à Alain :
— Je crois que je progresse. J’ai mis tes conseils à profit. J’ai sucé des queues en pagaille hier soir !
— C’est bien ! Continue comme ça !
Alain attendit quelques semaines pour lui faire une autre demande :
— Tim, tu sais qu’il y a autre chose que la fellation entre deux hommes ?
— Bien sûr, tu me prends pour qui ? Pour te dire la vérité, j’y ai pensé mais ça ne me tente pas trop. Ça doit être très douloureux, non ?
— Ça dépend. Il faut juste bien te préparer. Je vais te donner quelques conseils.
Alain sortit de son tiroir une petite mallette en métal.
— Le secret, c’est d’y aller progressivement. Ici tu as des godes de tailles différentes. Tu commences par le plus petit et tu augmentes la taille au fur et à mesure.
Le soir même sous la douche, Timothée suivit les conseils d’Alain. Il enfonçait le gode le plus possible, le tournait dans tous les sens. Ce massage prostatique lui faisait le plus grand bien !
Tous les jours, il recommençait ; dès qu’il se sentait à l’aise, il passait au gode de taille supérieure. Au bout d’une semaine, Timothée annonça à Alain qu’il était arrivé au dernier !
Alain le reçut dans son bureau. Il demanda à nouveau à Timothée de se mettre en tenue d’Adam et de se positionner à quatre pattes sur le bureau.
Alain enfila un gant en latex et il inséra son index tout doucement dans le fondement de Timothée. Puis il essaya avec deux doigts : en constatant qu’il passait sans problème, il essaya avec trois doigts.
— C’est bien ça, Tim ! Félicitations ! Tu n’as pas crié, et pourtant je t’ai mis trois doigts ! Es-tu prêt à tenter une expérience nouvelle pour toi ?
— Oui, dit timidement Timothée.
— En fait, je dois t’avouer que je ne suis pas moi-même adepte de la sodomie. Mais j’ai un ami qui en est absolument fan ! Tu le connais : c’est notre collègue Helmut Grosske.
Timothée tentait de se remémorer qui était Helmut : ne serait-ce pas ce géant bavarois qu’il croisait parfois dans les couloirs ? Il commençait à avoir un peu d’appréhension, mais il ne le laissa pas paraître. Il donna son accord à Alain pour organiser le rendez-vous avec Helmut.
Le soir même, les trois collègues se retrouvèrent dans la salle de conférences. Alain s’assura que les portes étaient bien verrouillées.
Helmut et Timothée étaient face à face en train de retirer leurs vêtements. Timothée éprouvait une légère crainte devant ce grand gaillard tout en muscle. Alain proposa à Timothée de se faire bander les yeux puis il lui demanda de s’accroupir et d’ouvrir la bouche.
Timothée n’avait plus qu’à mettre ses leçons en application une fois de plus. Quand il sentit le chibre imposant d’Helmut au fond de sa gorge, il referma les lèvres. Il n’avait rien d’autre à faire car c’est Helmut qui avançait et reculait en tenant fermement le crâne de Timothée.
Timothée sentait bien qu’il avait affaire à un gros morceau, même s’il ne voyait rien. Le gland d’Helmut poussait sur sa glotte en l’étouffant à moitié. Heureusement, le calvaire ne dura pas plus de trente secondes après quoi Helmut se retira sans avoir joui ; il se réservait pour la suite.
Ensuite, Timothée toujours les yeux bandés se laissa guider par Alain, et il monta à quatre pattes sur la table de conférence tandis qu’Helmut se positionnait juste derrière lui.
Helmut commença par lui lécher la rondelle : Timothée semblait surpris d’une telle attention. Mais ce n’était qu’un hors-d’uvre. Le plat principal allait être sans doute plus dur à avaler.
Helmut fit appel à Alain qui étala du lubrifiant sur le chibre d’Helmut et dans l’anus de Timothée.
Helmut grimpa sur la table et il s’introduisit entre les fesses de Timothée qui tentait de dissimuler son angoisse.
Même si Helmut faisait de son mieux pour entrer avec tact, Timothée poussa un cri de surprise. Ce qui était peut-être le plus surprenant, c’est qu’il ne ressentait pas la moindre douleur ! Il pouvait remercier Alain de lui avoir conseillé d’assouplir ses sphincters.
Le gros engin entrait et sortait de son cul ; le rythme s’accroissait à chaque fois. Timothée commençait à apprécier ; jamais il n’avait ressenti une telle volupté ! Manifestement le massage prostatique lui donnait des sensations nouvelles !
Helmut continuait son mouvement sans se lasser. Timothée ne se lassait pas non plus. Il aurait voulu que cela dure encore des heures, c’était sans compter sur Helmut qui parvenait à la jouissance en hurlant bruyamment et en inondant ses entrailles ! Quand Timothée sentit qu’Helmut s’était retiré, il enleva son bandeau. En se retournant, il constata avec un certain soulagement qu’il n’y avait personne dans la salle en dehors d’Alain et d’Helmut ; en effet, il avait craint pendant un temps que certains collègues n’aient été conviés à regarder le spectacle ! Quelle humiliation ça aurait été pour lui !
Timothée regarda machinalement du côté d’Helmut et il vit pour la première fois son impressionnant membre viril ! C’est certain, s’il n’avait pas eu le bandeau, il serait parti en courant ! Néanmoins, par politesse, il passa quelques instants à discuter avec Helmut en le remerciant de l’avoir fait tant jouir. Puis il se rhabilla, et il sortit en laissant Alain et Helmut seul à seul.
Helmut attendit que Timothée se soit éloigné pour dire à Alain :
— Merci, tu as fait du beau travail. Ces derniers temps, j’ai vraiment du mal à trouver chaussure à mon pied !