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Un taxi voyeur – Chapitre 2

Un taxi voyeur - Chapitre 2



J’arrive trop tard quand j’ai le téléphone en main, il y a un appel en absence et trois messages, tous de mon homme.

Je m’installe sur le siège passager pour écouter le message, je me demande ce qui peut le tracasser comme cela, ce n’est pas dans ses habitudes de me contacter quand il bosse.

Il est court, juste pour me dire qu’il aime et qu’il a hâte de me retrouver ce soir.

Idem pour les SMS à la différence qu’il veut que je lui prouve que je tiens ma promesse de ne pas remettre string, culotte ou autre.

Je le retiens avec son idée, je ne serai pas dans cette situation mais au fond de moi j’avoue aimer ce qui se passe depuis mon départ en taxi ; voir l’effet obtenu sur le chauffeur et son état actuel d’excitation ne me laisse pas non plus de marbre.

Alors mon chéri ne va pas être déçu, je vais lui faire une photo plus que hot pour lui prouver que je tiens cette promesse.

J’en oublie mon voyeur toujours sa verge à la main qui me regarde avec gourmande.

— Alors tu as réfléchi à une manière de me soulager ma belle ? Je n’en peux plus moi !!!

Pour toute réponse, je relève mes fesses et descends à nouveau le collant sur mes chevilles, j’écarte bien mes cuisses, reprends mon téléphone et prends une photo de cette pose plus qu’indécente.

Je ne ressens plus aucune gêne d’avoir fait ça devant un vieux libidineux bien au contraire.

Sa réaction ne se fait pas attendre, il se rapproche de la voiture, trop à mon goût.

— Je savais que tu aimais ça te montrer, tu l’as faite pour qui cette photo ? Moi j’espère, tu vas me l’envoyer ma belle ? Allez viens me soulager j’ai envie que tu me suces.

— Dans vos rêves mon vieux mais je vais vous offrir un spectacle qui va vous plaire.

Il n’a pas le temps de réagir, je referme la porte de la voiture, et la condamne, le laissant pantois mais toujours aussi excité, je laisse juste la vitre entrouverte à ma gauche celle qui me sépare du voyeur.

Je me penche afin d’enlever mes escarpins, car pour la suite je serai plus à l’aise.

Sans aucune pudeur maintenant je pose mes pieds presque nus sur le tableau de bord, je suis bien enfoncée dans le fauteuil, le taxi n’en revient pas.

— Oh la salope !!!

Oui je l’ai bien cherché mais je le prends comme un compliment et de l’attrait que j’exerce sur lui.

Je commence à me caresser, mon sexe est humide ce qui facilite le mouvement de mes doigts sur mes grandes lèvres.

Je ferme les yeux et joue aussi avec ma langue sur mes lèvres histoire de bien faire la « salope » comme l’a dit mon voyeur.

Mes doigts commencent à fouiller mon intimité je suis trempée comme jamais, j’insinue 2 doigts dans mon antre d’amour mon pouce commençant à s’occuper de mon clitoris.

J’entends les râles et les mots salaces du taxi, il est aux anges.

Il a posé une main sur sa voiture et je la sens bouger au rythme de sa masturbation.

Mon ventre est en feu, la situation l’ambiance ont mis mes sens en ébullition, mes doigts s’activent en moi.

Je sens mon sexe couler entre mes cuisses, ma jupe commence à être trempée, trois doigts sont dans mon vagin le pouce toujours sur mon clitoris de plus en plus sensible, mon autre mais passe de mon cou à ma poitrine.

J’entends le taxi me demander de dévoiler mes seins, ceux-ci sont à l’étroit dans mon soutien-gorge, mes tétons me font mal.

Machinalement ma main gauche quitte mon corps pour trouver la commande de la vitre que je fais descendre un peu, suffisamment pour laisser passer une main.

Cette main attendue consciemment ne tarde pas à arriver sur mon sein droit le seul que mon voyeur peut attendre, elle est fébrile et maladroite comme pourrait l’être un adolescent ce qui prouve l’état d’excitation du vieux libidineux.

Je rouvre les yeux et pour éviter qu’il ne me griffe ou abîme mon top je décide de libérer moi-même mon sein du tissu qui l’emprisonne, le téton fièrement dressé et sensible au possible.

Sa main malaxe mon sein tandis que l’autre astique son sexe qu’il me présente derrière la vitre de son véhicule, je vois dans son attitude qu’il est ravi d’enfin caresser mes seins, enfin juste le droit, et fier d’exhiber sa vieille verge rougie à une jeune femme.

Mon corps réagit de plus en plus à ses caresses maladroites sur ma poitrine et surtout à mes doigts qui s’activent dans mon intimité trempée de désir.

Je tente tout de même de garder le contrôle sur mes sensations, je ne veux pas jouir avant mon voyeur et je sais comment l’achever.

De ma main libre je libère mon sein gauche de son entrave, ce qui soulage la pression sur celui-ci et me soulage, et je retire ma main souillée d’entre mes cuisses pour le masser, il devient rapidement luisant de ma cyprine.

Je suis maintenant complètement désinhibée, je n’ai plus l’excuse de l’alcool, je prends plaisir à m’exhiber et me caresser devant le vieux. Une barrière en moi est tombée de nouveaux horizons à découvrir.

Je reviens à la réalité avec un long râle du taxi accompagné d’une belle traînée blanche sur la vitre, son second orgasme a été bien plus rapide que le premier mais toujours aussi fourni en sperme.

Sa pression sur mon sein droit se relâche, je repousse sa main hors de l’habitacle du véhicule, profitant de son moment de flottement.

Je remonte la vitre et la laisse de nouveau entrouverte.

A mon tour de prendre du plaisir et de jouir pour la deuxième fois aujourd’hui mais d’une manière inédite pour moi.

Je reprends mes caresses sur mon corps en ébullition, je ne vais pas tarder moi non plus à atteindre mon orgasme, entre les stimulations sur mes tétons et mon clitoris une douce chaleur m’envahit, je deviens aussi plus sonore, mes râles sont plus forts.

Je sens le souffle du chauffeur par l’entrebâillement de la vitre accompagné de commentaires salaces.

— Humm, oui, vas-y ma cochonne, mets des doigts bien au fond comme si c’était ma bite, tire sur tes seins, que tu es bonne, p’tain que t’es excitante, mes potes vont être jaloux !!!

Cette dernière phrase m’intrigue mais je suis toute à mon plaisir qui arrive sans tarder

Mon ventre se cambre, tout mon corps se raidit et je lance un long gémissement.

Je reste un moment ma main droite entre mes cuisses le temps d’émerger et retrouver mes esprits, le vieux me parle toujours, je le regarde il a toujours sa verge à la main, mais flasque cette fois, il est enfin rassasié, enfin j’espère.

Avant de déverrouiller le véhicule, j’essuie le trop-plein de cyprine sur mes cuisses et mes doigts, réajuste mon haut, seins de nouveau cachés, remonte mon collant toujours dans un état déplorable et renfile mes escarpins.

J’ouvre la porte, et suis attendue par mon chauffeur, qui lui aussi a remis pantalon et caleçon en place.

Il se rapproche de moi et devient encore plus familier.

— C’est dommage que tu te sois enfermée ma belle, j’espérais vraiment que tu me suces, et avec ce que tu m’as montré, tu dois faire des pipes d’enfer, et dire que mon téléphone est resté aussi à l’intérieur, j’ai même pas pu te filmer ou prendre des photos de toi en action.

— Ah oui, vous m’auriez filmé à mon insu ? Et pour me montrer à vos amis aussi vicieux que vous ?

— Ce que j’ai fait avec vous c’est de mon plein gré et je ne regrette rien, si vous voulez des photos ou vidéos de moi, ce sera avec mon accord je risque de me fâcher fort !!

Au vu du ton que j’emploie, je suis tout sauf crédible, la nouvelle facette de ma personnalité que je viens de découvrir m’excite autant qu’elle me fait peur, jusqu’où pourrais-je aller ?

— Alors la photo de ta chatte que tu as prise tout à l’heure, tu peux me l’envoyer ? Tu l’as pas prise que pour toi, faut partager !!

— Je ne sais pas si vous méritez, à cause de vous mon collant est foutu et ma jupe trempée, et ce n’est que pour mon mari ce genre de photo d’abord.

— Bon, je te rachète des collants alors, et tu m’envoies ça ?

— Ça peut se faire, mais d’abord les collants et ensuite je verrai

— Faudra que tu me laisses le tien alors pour que je ne me trompe pas, depuis que je suis veuf j’en achète plus moi.

Je me dirige à nouveau vers la voiture, dans l’état où se trouve mon collant je préfère le retirer.

Le taxi me regarde faire, je reste toujours dans mon jeu de séduction, je retire lentement mes escarpins en face de lui.

Il pose à nouveau une main sur son entrejambe en me matant.

Je pivote sur mon siège pour retirer ce collant souillé, je prends appui avec mes pieds sur le tableau de bord pour soulever plus facilement mon bassin, puis je remonte doucement le long de mes cuisses qui se dénudent pour arriver aux chevilles et enfin je retire le tout.

Je repivote vers l’extérieur afin de me rechausser.

— Tu as des jambes superbes ma belle, tu as raison de porter des jupes, mais écarte-les un peu que je revois ta chatte.

— Non c’est tout pour aujourd’hui, vous en avez assez vu non, et si je vous excite encore nous ne sommes pas près de partir, mine de rien nous sommes là depuis presque une heure.

J’écarte tout de même un peu mes cuisses mais pas suffisamment pour lui dévoiler mon jardin intime.

— Bon dommage mais tu as raison j’ai une autre course après toi, je vais être à la bourre, mais je ne regrette rien, et puis merde, je l’annule j’envoie un collègue à ma place et je vais t’acheter tes collants.

Eh bien il est vraiment sous le charme mon chauffeur, je reste donc sur mon siège et m’attache, il me rejoint et se met derrière le volant.

Au lieu de démarrer il prend son téléphone, cherche dans son répertoire et appelle, au bout de 3 sonneries, il a son correspondant.

— Allo, Gérard ? Oui c’est Michel, j’ai un service à te demander et ça va te rapporter du fric, je ne vais pas pouvoir assurer ma course à 17H, 2 personnes à emmener à l’aéroport, si tu peux mon pote je te revaudrai ça !!

— Oui ?? Je t’ai dit c’est toi qui empoches le fric en plus, c’est d’accord ? Merci tu m’enlèves une épine du pied, je te rappelle ce soir gars.

— Voilà ma belle, tu es ma dernière cliente pour aujourd’hui, bon comme on est intime on peut s’appeler par nos prénoms ?

— Comme t’as entendu, moi c’est Michel et toi Lydia c’est bien ça ?

— Oui Michel, OK mais je ne pourrai pas vous tutoyer en retour

— Pas grave ma belle Lydia, des filles comme toi, j’en rencontre pas tous les jours.

Il ferme à son tour sa ceinture de sécurité sur son gros ventre et nous repartons de notre lieu de débauche ; discutant toujours autant mais ne fait plus allusion à notre pause sexe.

15 ans qu’il est veuf et ses enfants sont partis loin donc sa vie est assez monotone à part son travail il a peu de loisirs.

Je ne vois pas le temps passer jusqu’à ma destination, enfin avec une heure de retard.

Michel serviable se gare au plus près de la porte, et avant que je ne le laisse.

— Lydia je te laisse et file t’acheter tes collants, ce soir je t’apporte ça, j’ai ton adresse ton numéro, trop hâte d’avoir la photo de ta chatte !!!

Bon, il m’a prise au premier degré, il va falloir que j’explique ça à mon homme ce soir moi, d’ailleurs je vois que j’ai encore des messages de sa part en absence…

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