Je dis ensuite au revoir à tout le monde, Claire, Aurélie et Carole. Une fois arrivé dans ma chambre, je m’installe sur le balcon. Je suis à peu près sûr que Carole va se présenter, elle en a très envie, mais osera-t-elle franchir le pas ? J’ai failli rire quand j’ai vu les regards interloqués de Claire et Aurélie. Je regarde du balcon vers la piscine, il n’y a plus qu’elles deux, Carole est partie. Il est minuit et personne n’a frappé. Elle ne va pas oser. Jute à instant où je me fais cette réflexion, trois petits coups sur la porte, je pousse un soupir de soulagement et je vais ouvrir. Carole est là, nue. Il n’y a personne dans le couloir. Je lui fais écarter les jambes et je mouille mon majeur et le passe entre les lèvres de sa chatte. Elle mouille. Je la fais entrer. Une fois au milieu de la pièce, je la fais tourner sur elle-même, j’admire son corps. Je la trouve jolie, elle a de grosses fesses, ses seins ne tombent pas beaucoup et se tiennent très bien. Elle n’a pas de poils. Je m’approche, lui donne une claque sur les fesses et lui donne l’ordre de se pencher.
— Je vais te saillir et t’enculer. Je veux voir si tu es accueillante.
Elle se penche en écartant les jambes. Je commence par la pénétrer, je rentre sans aucun problème, elle mouille énormément. Je lui donne deux trois claques sur les fesses et lui dit de bien les écarter avec ses mains. Je mets de la mouille sur son anus et présente ma queue. Je force un peu mais je n’ai pas trop de difficulté à rentrer. Elle m’a dit qu’elle avait été déjà sodomisée. Je fais plusieurs va et vient, Carole gémit commence à haleter à parler aussi.
— C’est bon maitre d’être enculée par vous, j’ai envie de jouir maitre, ai-je le droit ?
— Jouies, mais tu n’auras plus le droit de jouir le reste de la soirée.
Je sens Carole frémir et la jouissance arrive. Elle en perd l’équilibre, je suis obligé de la retenir. Je sors de son cul. Je bande toujours. J’attends qu’elle reprenne ses esprits. Elle ouvre les yeux, me souris.
Je présente ma queue devant sa bouche. Elle commence à me sucer sans hésiter. Elle nettoie ma queue avec entrain. Décidément Carole est étonnante et me plaît de plus en plus. Elle a complètement nettoyé ma queue, toutes traces a disparu.
Je vais m’assoir, une petite pause fera le plus grand bien. Carole vient à mes pieds. J’attrape son téton du sein gauche et m’amuse avec.
Je bande encore, il faut que je jouisse. Je fais mettre Carole à quatre pattes et la prends en levrette et pendant que je la saillis, je lui claque les fesses. Celles-ci rougissent. Carole pousse de petits cris, sanglote. Je continue. Cela dure longtemps, j’ai mal aux mains. Je n’ai toujours pas joui et continue cette chevauchée fantastique. Les fesses de ma femelle sont rouges écarlates. Je me vide enfin en elle. Une dernière claque et je me retire. Je lui dis de ne pas bouger, je veux voir le sperme sortir de sa chatte.
Je la laisse ainsi, à quatre pattes, ses mains écartant ses fesses. C’est vulgaire de la voir comme cela, les deux trous ouverts, le sperme qui coule. Au bout d’une heure, je lui permets de venir me voir, de s’assoir en tailleur devant moi, les mains dans le dos. Je vais jouer avec sa poitrine, ses tétons. Je commence en les effleurant, les caressant, de petites claques. Je prends ses tétons, m’amuse avec, les lâches et je recommence. Les caresses sont plus appuyées, les claques un peu plus fortes, la pression sur les tétons plus longue et dure. Je m’amuse longtemps, jusqu’à ce que la poitrine soit rouge, les tétons très sensibles. Les yeux de Carole sont brillants, je lui interdis de les fermer. J’adore voir les yeux d’une femme quand elle est excitée.
Il est tard, cela fait plus de trois heures que je m’amuse avec cette femelle et elle a passé le test haut la main et je commence à être fatigué et elle aussi, je le voie. Son corps est marqué, ses tétons sensibles et elle ne dit rien, toujours obéissante, un petit sourire aux lèvres. Je la sens heureuse
Je la regarde, j’hésite à la renvoyer dans sa chambre. Je la garderais bien avec moi, je me dis que si je me réveille, je jouerai bien avec, ou je lui demanderai bien une petite pipe le matin au réveil. En même temps, je veux garder une certaine distance, je ne veux pas qu’elle pense qu’elle peut coucher tranquillement avec son maitre. J’ai plusieurs solutions, la renvoyer dans sa chambre ou la faire coucher par terre, par exemple. Si elle est dans ma chambre, un simple ordre et le tour est joué. Cette solution est trop simple, à mon gout. Je vais lui dire d’aller dans sa chambre
— Rentre dans ta chambre. Voilà la carte de ma porte je veux que tu sois là à sept heures. Tu me suceras jusqu’à ce que je me réveille
— Oui, maitre. Pourrais-je venir vêtue ?
— Oui, mais que tes trous soient disponibles. Allez casses-toi
Carole part. Avant de me coucher, je fais le point. Une vieille habitude que j’ai prise. Faire le point de la journée. Aurélie m’a présenté Carole et c’est pour cela qu’elle m’a fait venir. Pourquoi ne me l’a-t-elle pas dit avant ? Elle me fait la gratuité du séjour pour cela, j’ai du mal à le croire, il doit y avoir une autre raison. Pour l’instant, profitons du moment, Carole me semble une bonne femelle, on verra comment ce passera demain, si elle a toujours les mêmes dispositions. Je le saurais dès le réveil. Quoi qu’il en soit, j’aurais passé un bon week-end. J’ai baisé, la chambre est agréable avec une superbe vue, que demande le peuple ? Allez, au lit. Une fois couché, je m’endors comme une masse