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Un week-end particulier – Chapitre 5

Un week-end particulier - Chapitre 5



Dans le car, Aurélie explique l’histoire de ce village. Un village pauvre, qui s’est développé avec le tourisme mais qui a su garder son charme. Bien sûr, Vauban est passé par là et a fait une fortification.

Après la visite du port de pêche, de l’artisanat local, nous allons voir la fortification. Elle surplombe la falaise. Pendant que Carole se penche pour voir par-dessus le mur, je lui relève sa jupe et lui mets deux doigts dans sa chatte. Personne ne peut nous voir. Je les ressors et lui donne à lécher ce qu’elle fait goulument. Nous continuons la visite. Alors que nous sommes les derniers, près d’un mur en haut de la fortification, qu’Aurélie décrit les différents points de vue que nous pouvons voir, je soulève discrètement la jupe de Carole, passe mes deux doigts sur la raie des fesses et quand j’arrive à son anus, les enfonce d’un coup sec. Carole pousse un petit cri, Aurélie nous regarde et reprend son discours. Je remue mes doigts, les laisse enfoncer. Tout le monde repart, nous restons, nous sommes seuls, j’enlève mes doigts, les sens, ils puent. Je les donne à lécher. Elle le fait sans rechigner. C’est vraiment une bonne femelle.

— J’adore faire des visites avec vous, c’est plein d’imprévu dit Carole.

Nous redescendons au village. Sur le port, je soulève légèrement la jupe, juste pour faire voir les plis des fesses. Les pêcheurs viennent de rentrer, je suis sûr que ce genre de vue leur fait plaisir. Nous avons du temps libre avant de reprendre le bus pour rentrer à l’hôtel. On se balade dans les petites rues du port comme deux amoureux. Il y a des toilettes publiques. Ce sont des vieilles toilettes, l’urinoir est fait de grandes plaques d’ardoise. De l’urine croupie au fond, une odeur âcre remonte. Je sors mon sexe et urine. Une fois fini, je demande à Carole de me sucer. Elle se met à genoux. Le sol est humide et sale. Elle commence à me sucer. Elle s’applique. Elle me caresse les couilles tout en prenant ma queue dans sa bouche. J’éjacule très vite. Carole se relève, me regarde et avale le sperme. Elle ouvre la bouche pour faire voir qu’elle a tout avalé et me dit :

— J’espère que vous êtes satisfait de votre vide couille.

— Tout à fait. Tu pourras faire une bonne femelle.

Une fois rentrés à l’hôtel, nous allons manger. A part un couple de jeunes qui n’ont rien à se dire, tout le monde a trouvé son alter ego. Nous nous mettons à une table, au bord de la piscine. Nous discutons, rigolons, regardons les autres, nous moquons. Carole me dit qu’elle est obligée de partir demain, elle travaille le lundi de Pentecôte, son patron n’a pas voulu lui donner sa journée.

Je passe toute la soirée avec Carole, je m’amuse avec elle. Je la fais s’allonger sur le plancher pour qu’elle me serve de paillasson. Je m’amuse avec son clitoris, je le pince, le caresse, le décalotte, le claque. Je m’amuse avec sa poitrine, avec ses tétons. Je tire, pince ses tétons jusqu’à ce qu’ils soient très sensibles. Bien sûr, je la fesse, j’aime que les culs soient rouges et le sien rougit vite. Je profite de ses trous, je lui ordonne de jouir. Je joue avec la badine de noisetier. Je la prends sur le balcon. J’enfonce ma queue dans son sexe, dans son anus. Je jouie, me repose et bande de nouveau quand je la regarde. La soirée est longue, agréable, très sexe et très fatigante.

Je me couche vers cinq heures du matin. Je suis épuisé. J’ordonne à Carole de dormir par terre, je lui donne une couverture pour ne pas qu’elle est froid.

Je me réveille vers onze heures. Carole est debout, m’attend, souriante. Elle a des traces sur le corps. Je lui fais un signe, elle s’approche, soulève le drap et commence à me sucer. J’adore une bonne pipe au réveil. Cela me met en forme. Pendant qu’elle me suce, je mets deux doigts dans sa chatte. Ils rentrent sans problème. Je les remue un peu, et j’en ajoute un. Je tourne, agite mes doigts, Carole gémit mais continue à me sucer. J’en ajoute un quatrième. Je fais quelques va et vient et j’ajoute le pouce. La chatte de Carole est dilatée. Je remue ma main, la tourne un peu, l’enfonce, la ressort. Les phalanges sont passées, reste le plus difficile, la ou la main est le plus large. Je force un peu. Ma main rentre doucement. Après quelques va et vient, ma main est rentrée complètement. La chatte de Carole est serrée. Je bouge ma main, Carole a arrêté de me sucer et pousse de petit cri. Je retire ma main, elle est pleine de mouille. Carole recommence à ma sucer, j’éjacule. C’est vraiment trop bon, j’adore me faire sucer au réveil. J’essuie ma main sur le corps de Carole. Elle me regarde et dit :

— Merci, c’était la première fois que l’on me faisait cela, et j’ai beaucoup aimé. Je me sentais entièrement sous votre emprise. Il va falloir que je me prépare, je vais devoir partir.

— Je te laisse une semaine pour réfléchir. Si tu acceptes d’être une de mes femelles, tu m’envoies un mail pour te mettre à ma disposition. Files-te vêtir.

Une fois Carole partie, je passe l’après-midi à la piscine à me reposer. J’en ai besoin, cela faisait longtemps que je n’avais pas baisé autant. Tout le monde est parti en balade, je suis seul. Le soir arrive, je mange avec les deux jeunes qui ont l’air de s’ennuyer. Nous discutons de choses et d’autres, rien de bien spécial, ils ne sont pas désagréables. Lui, Axel, travaille comme commercial dans une boîte qui vend des joints et elle, Manon, est étudiante. Deux univers différents, ils n’ont pas de point commun sinon d’être seul et jeune. Il a 24 ans et elle a 23 ans. Manon est mignonne, un visage fin, pas ou peu de poitrine, de très jolies jambes. Elle a un rire cristallin et surtout une jolie voix. La soirée est agréable, reposante aussi et je passe un très bon moment avec eux.

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