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Une amie enceinte – Chapitre 2

Une amie enceinte - Chapitre 2



Elle était donc là, en face de moi, assise en tailleur, son ventre rebondi reposant sur ses jambes, ses seins reposants sur son ventre, son port altier, ses longs cheveux ébène glissant dans son dos, sur ses épaules. Elle minaudait, me regardant fixement des ses yeux noirs.

J’étais en fait tétanisé par une telle beauté qui m’était offerte.

Je m’approchai d’elle, elle de moi, gênée néanmoins par son ventre qui faisait obstacle. Nos bouches se cherchèrent, se trouvèrent, se collèrent. Nous nous embrassâmes goulûment, nos langues se mélangeant. Je cherchai à me coller contre ce corps chaud comme la braise.

— Pas trop près Xavier, dans mon état, les rapprochements face à face sont un peu plus compliqués.

Elle s’échappa de moi, me repoussant tendrement pour s’allonger de tout son long sur le lit. Elle se mit sur le coté, pris ma main et m’attira amoureusement contre elle.

Nos bouches se retrouvèrent instantanément et nos langues recommencèrent leur ballet. Je caressai ses formes rebondies, elle en faisait de même de mon torse.

Mes mains s’approchèrent de ses seins et les saisirent délicatement. Ils étaient fermes et doux. Cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas touché des seins aussi remplis.

— Vous voulez tirer un peu de mon lait ?

Cette demande me ravit. Ma main droite remonta sur son magnifique sein gauche, glissa délicatement sur l’aréole distendue et atteignit le téton déjà fortement érigé. Je commençai à le malaxer et, gonflé comme il l’était, il se mit immédiatement à produire un liquide chaud, doux et légèrement sirupeux. Heimata avait les yeux fermés et sa respiration était lente mais profonde.

Ma bouche quitta la sienne et je commençais à descendre vers ce miel délicat qui m’attendait et que j’allais pouvoir boire directement à la source.

Je m’abouchai à ce téton en érection, mis mes lèvres autour de lui et commençai à aspirer. Le lait coula immédiatement dans ma bouche, dans ma gorge. Il était chaud, sucré, délicieux.

— Vous aimez ? Me dit-elle langoureusement.

Je ne voulais pas me détacher de cette merveilleuse source et grognai un hum, hum qui sembla-t-il, lui plut puisqu’elle pris ma tête entre ses mains et me commença à me masser délicieusement.

— Eh là Xavier, son petit frère est jaloux !

Je me retirais et vis, effectivement, que le droit relâchait sans discontinuer des gouttes qui perlaient le long de ses formes.

Je l’embouchais lui aussi et commençai à téter.

— C’est bon Xavier.

Une sensation de plénitude m’envahit.

Ma main restée libre descendit le long de son ventre arrondi, de sa toison, de son mont de venus et trouva rapidement le capuchon qui protégeait son bouton déjà turgescent. A mon simple contact, elle se raidit et souffla languissamment. Il était trempé de son jus de femme et je commençai à imprimer autour de lui un léger mouvement de rotation. Il ne lui fallut pas plus de 30 secondes pour atteindre un nouvel orgasme. Elle lâcha ma tête, son corps se banda comme un arc et sa bouche laissa entendre un long râle de plaisir. Ses jambes se mirent à trembler puis, lentement, elle se relâcha et se détendit.

— C’est une sensation extraordinaire Xavier. Je n’avais pas fait l’amour avec une personne autre que Heiva depuis le début de ma grossesse. Et là, avec vous, c’est… comment dire, merveilleux. Allongez-vous sur le lit et laissez-moi faire, c’est à vous maintenant.

J’obtempérai derechef et m’allongeai comme elle me l’avait demandé.

Elle descendit lentement les mains sur mon corps faisant glisser ses ongles sur ma peau, s’arrêta à mes tétons qu’elle pinça doucement et qu’elle mordillât de ses dents… Une onde de plaisir me parcouru. Elle faisait également glisser ses seins sur moi. Ils laissaient de petites traces blanches partout sur ma peau, traces qu’elle lapait de sa petite langue et qu’elle aspirait avec un joli bruit de succion. Elle mit un temps infini à se retrouver à mon entrejambe, relava sa tête, me lança un regard de braise… et emboucha mon vit turgescent.

J’étais tendu comme un arc et ne souhaitais bien évidemment pas lâcher toute ma semence dans sa bouche dès maintenant.

— Tout doucement Heimata, lui fis-je je ne voudrais pas exploser si rapidement.

Elle me regarda, acquiesça et se remit au travail.

Elle jouait de sa langue, de ses cheveux infiniment longs sur mon gland, sur ma hampe, sur mes couilles… Descendait à mon périnée et à mon anus, s’y introduisait délicatement, sur quelques millimètres, en ressortait, revenait à mes couilles qu’elle aspirait avidement, remontait sur mon gland qu’elle dégustait avec délectation.

— Oui, oui, oui… c’est bon… Tu es une déesse.

L’acmé était tel que le tutoiement devenait la norme.

Je me dégageai de son emprise.

— A toi maintenant.

Elle se rallongea sur le lit.

— Écarte tes jambes.

Je glissai ma tête entre ses cuisses et commençai à la gamahucher sauvagement. Ma langue se repaissait de sa délicate intimité. Sa liqueur d’amour s’écoulait de son ventre brûlant.

Elle écarta ses cuisses le plus qu’elle pût. Ses lèvres mapparurent dans leur entièreté. A l’entrée de son vagin perlaient les traces blanches de sa cyprine que je commençai à lécher avec délectation. Son goût était merveilleux.

Ma langue fouillait son intimité et je me nourris de son odeur, des ses effluves, durant des secondes interminables. Elle commença à onduler du bassin en émettant de petits couinements de plaisir.

— Oh oui Xavier, c’est bon, c’est si bon. Tu me fais du bien… Continue, lèche moi, suce moi, bouffe moi la chatte. Mets tes doigts aussi… J’aime ça… Mets tes doigts.

J’obtempérai à cette demande et commençai à lui fouailler le ventre. En un rien de temps 3 doigts pénétrèrent ses entrailles tandis que mon pouce titillait son clitoris. Je m’appliquai à lui donner le plus de plaisir possible quand, pour la troisième fois, un orgasme vînt. A nouveau, elle se tendit et trembla, bandant ses jambes qui la firent décoller du lit. Puis elle retomba en poussant un long râle de jouissance. Je me remis à ses cotés et vint l’embrasser tendrement en recommençant à manipuler ses seins qui coulaient toujours.

Elle m’allongea, me chevaucha, pris mon vit en main, approcha mon gland de son entrée distendue et bouillante et se laissa tomber délicatement, m’avalant jusqu’à ce qu’elle soit assise sur moi, puis, elle commença à onduler du bassin.

J’avais devant les yeux son gros ventre distendu par la maternité, ses seins qui distribuaient leur précieux liquide, elle passait ses mains dans ses cheveux, rejetant la tête en arrière, et accélérant son mouvement.

— Oui, c’est bon Xavier, oui, baise moi comme ça…

— Tu sens ma bite dans ton ventre ma belle, tu la sens bien ? Je vais profond en toi.

— Oui, je te sens bien au fond, tu butes sur mon col, ta bite est longue et large et tu me remplis à fond… Ouiiiiii.

— Attends, viens, je vais te prendre à 4 pattes ma belle, comme une petite chienne que tu es.

Elle posa ses mains sur le coté, poussa dessus et se dégagea de mon emprise. Elle se retourna et se mit à 4 pattes. Je me plaçai derrière, passai mon gland sur son clitoris, sur ses lèvres, sur son périnée, puis, je me dirigeai vers son entrée en l’enfilai d’un seul coup. Je commençai à la buriner comme une belle chienne qu’elle est, elle haletait sous mes coups de butoir.

— C’est bon Xavier, baisse moi comme ça, prends moi comme une chienne que je suis, laboure moi le ventre. J’en peux plus, tu me défonces la chatte.

J’entrepris le malaxage de ses fesses tout en accélérant mes mouvements et la vue qui en résultait mis mon esprit en émoi. En effet, tandis que je massai son postérieur, je voyais son petit anneau serré qui palpitait. Je mouillai mon pouce et le posai dessus, imprimant une toute petite pression.

Elle tourna la tête en arrière, me regarda et son regard se fit suppliant.

Je ne comprenais pas cette supplique. Souhaitait elle que j’arrête, ou, au contraire, que je continue et que je déflore son anus toujours vierge.

J’arrêtai mes mouvements et mon regard se fit interrogateur.

Sans qu’un mot ne sorte de ma bouche, elle compris que j’attendais son refus ou son acceptation.

— Encule moi… Déflore moi l’anus mon beau mâle en rut !

— Je sais que c’est ta première fois, je vais te montrer et tu vas me guider. En fait, la meilleure position pour que je réponde à tes attentes, c’est encore en missionnaire. Remets toi sur le dos et écarte bien tes cuisses.

Je sortais de son vagin. Elle se retournait et, comme demandé, s’écartait.

Je posai mon gland sur son anneau sombre.

— Je vais y aller doucement Heimata. Pour que ça se passe mieux, il faut que tu pousses légèrement pendant que je m’introduis.

— Mais, si je pousse, je vais t’empêcher d’entrer ? Non ?

— En fait, non. Le fait que tu pousses va détendre ton anus et tu vas m’accueillir plus facilement.

Ce que je lui demandai, elle le fît. En sentant son anus s’ouvrir délicatement, j’effectuai une petit poussée. Mon gland disparu dans ses entrailles. Elle poussa à peine un petit cri. Je m’arrêtai pour contrôler qu’elle m’acceptait et recommençai ma pénétration. Mon sexe disparaissait petit à petit dans son cul tandis qu’elle soufflait. Je l’introduisis jusqu’à ce que mes couilles heurtent ses fesses.

Elle me regardait et ses yeux envoyaient des éclairs de plaisir.

— Pourquoi n’ai je pas fait ça avant… ? C’est bon, c’est si bon. Vas y maintenant… Baise mon cul de chienne.

— Tu veux que je te défonce salope ? Redemande le moi et tu vas voir ce que je vais te mettre.

— Tu aimes quand je te demande ça hein ? Tu aimes ? Vas-y salaud, casse moi le cul maintenant que tu y es… Enfile moi à fond et crache ton foutre au fond de mes entrailles.

Je n’en pouvais plus d’’excitation. Je recommençai donc mes mouvements de va-et-vient mais cette fois ci dans son cul. J’accélérai mon rythme en m’accrochant à sa taille, labourant ce cul offert, malaxant ses cotés.

— Oui, c’est bon, c’est bon, continue, déchire moi le cul, ouvre moi à fond. Je suis ta chienne, ta pute, ta salope.

— Oui sale chienne, je sens, ça monte, je vais te juter dans le fion. Tu vas tout prendre au fond de toi.

Mon anus se contracta et j’éjaculai au fond de ma belle polynésienne. Les longs jets de foutre qui maintenant l’emplissaient provoquèrent chez elle le 4ème orgasme de la soirée.

Nous restions là, tout deux pantois, collant de sueur. Je n’osais me reposer sur elle de peur de lui faire mal au ventre. Je passai sa jambe au dessus de moi et la mit sur le coté. Je vins me coller à son dos, ma main se reposant sur son sein.

Mon sexe rapetissait lentement et je fini pas libérer son fourreau. En me dégageant, j’entendis un « slurp » quand je sortais de son anus. Un long filet blanc reliait encore mon sexe à son corps. Elle le sentit, passa sa main dessus, l’apporta à sa bouche et commença à s’en régaler.

— Je n’ai jamais joui autant Xavier, jamais. C’est la première fois qu’un homme me fait venir 3 fois en à peine une heure. Vous êtes vraiment super.

— Au temps pour vous Heimata. Quelle soirée. J’adore la façon dont vous vous lâchez quand on vous baise. Et surtout, merci de m’avoir donné votre virginité anale. Si vous me permettez, c’est un sacré trophée.

— Je me suis sentie prête… Je dois dire que cette idée me trottait derrière la tête depuis un moment. Et si je vous ai appelé l’autre jour…:)

— Vous êtes vraiment une coquine. Bon, on va prendre une bonne douche et faire dodo ? Vu l’heure, nous arriverons demain en fin de matinée.

Le lendemain, sur la route qui nous menait à la Baule, nous continuâmes à discuter de sujet très divers revenant à peine sur cette nuit de luxure. Elle rentrait à paris le week end suivant.

— Vous souhaitez faire le trajet avec moi ? Demandais-je.

— Avec plaisir oui.

J’avais une idée assez précise derrière la tête, mais me gardais bien de lui en parler. Une nouvelle expérience à la fois.

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