J’ai d’abord commencé par prendre une douche, bien que réellement ce nétait pas la peine, puisque j’avais passé une bonne partie de laprès midi à me laver et me préparer.
Je suis ensuite passée au sauna avant de monter dans une cabine.
Une fois dans la cabine, j’ai laissé la porte ouverte et je me suis regardée dans le miroir, allongée sur le ventre sur la banquette, dans la lumière diffuse.
J’ai mis une culotte noire transparente, en soie, et un soutien gorge assorti.
Il est rentré, nu, et m’a caressé les fesses, lentement, avec la porte ouverte, pour voir ma réaction. Je me suis laissée faire, ouvrant légèrement les jambes. Il a fermé la porte, je me suis retournée.
Il a commencé par me caresser le sexe et l’entrecuisse, lentement, avec soins, à travers ma culotte, qu’il a ensuite écartée. Mon sexe épilé était minuscule entre ses mains rugueuses, il le massait délicatement, avec plaisir. Il l’a pris dans sa bouche et l’a aspiré doucement, petit à petit pendant qu’il restait au repos. J’ai senti le désir m’envahir et mes cuisses s’ouvrir inexorablement, presque malgré moi. Il m’a relevé les jambes et m’a baisé les fesses avec de petits coups de langue à travers le tissu. Son sexe me touchait presque, tandis qu’il posait ses lèvres sur mon nombril et je lui caressais les testicules en passant mon bras sous ma cuisse. Chacune d’elles me remplissait la paume de la main.
Il s’est alors dressé, pour me toucher la poitrine au travers de mon soutien gorge. Il s’est levé à côté de la banquette, à ma gauche, et m’a présenté son sexe pour que je le suce. Il était massif, en semi érection, il sentait bon, il sentait l’homme. Je lui ai pris les testicules de la main droite, afin de rapprocher son sexe de mes lèvres, j’ai entrouvert la bouche et je l’ai léché, de bas en haut, allant et venant sur mes lèvres dans leur longueur, il imprimait un va et viens à son bassin. Je me suis agenouillée, je l’ai pris dans ma bouche, et j’arrivais à peine a l’entourer. Je l’ai aspiré aussi fort que je pouvais, et pendant que je lui baisais les testicules je sentis un peu de liquide tiède couler sur mon front, il me félicita et me dit qu’il allait me baiser comme je le méritais.
Il avait une voix calme, tranquille, décidée, virile. J’étais à son bon vouloir.
Je l’ai repris dans ma bouche et j’ai aspiré les quelques gouttes de sperme qui y restaient. Il a gémi et m’a ordonné de m’allonger sur le dos.
Il avait un corps viril, un peu gros, la poitrine velue, il devait mesurer 1m80 pour 100 kilo, il était noir. Il s’est masturbé quelques minutes sur mon visage, laissant parfois échapper une goutte de sperme que j’essayais d’attraper avec la langue. Il gémissait et m’insultait, me traitant de salope, de pute, d’avaleuse de sperme, me disant qu’il allait me baiser et ensuite m’éjaculer sur le visage, me reprendre et me remplir mon petit cul cette fois-ci de sperme. Je lui répondais que oui, qu’il me baise, qu’il me traite comme sa soumise, et je me masturbais et je me caressais les fesses en le regardant, fier, tremblant de désir devant moi, comme un petit homme exigeant.
J’ai alors senti qu’il se décidait. Il me retourna brutalement sur le ventre, mécrasa le visage contre la banquette en moleskine, mécarta violemment les jambes et m’arracha ma culotte, et je sentis son énorme gland décapuchonné peser contre mon petit trou du cul. J’essayais de me dégager, par orgueil plus que pour toute autre chose, mais il me maintenait fermement de son bras gauche entourant mon ventre, tandis qu’il me mettait le pouce dans ma bouche, afin que je l’humecte, et je suçais ce pouce qui me paraissait humide et familier. Je sentais mes jambes s’ouvrir presque malgré moi et je me frottais maintenant contre son pubis, sentant son membre battre contre mes toutes petites couilles de fille manquée. Il me pénétra les fesses avec son pouce et me repoussa vers l’avant profitant de son emprise, et je sentis remonter sur l’arrière de mes cuisses ses lèvres qui se refermaient maintenant à nouveau sur mon petit pénis. Jémis un court cri quand il m’entra son index en plus de son pouce, mais je m’ouvris encore plus. Il se retira et me retourna brusquement, presque violemment, mais avec un confiance en lui qui me rendait folle. J’étais maintenant sur le dos, sous lui, les genoux sur les épaules, et il gémissait en me baisant la poitrine et maintenait son sexe prêt à me pénétrer, posé sur mon anus. J’avais une envie folle de lui. Je lui attrapais le sexe,mais je n’arrivais pas à en faire le tour avec ma main. Je réussis à faire rentrer à peine son gland à l’intérieur de moi, et je le masturbais quelques secondes dans cette position, pour laisser le temps à mon corps de s’habituer à sa grosseur. Il était sur moi et m’appelait maintenant maman, laissant échapper un filet de bave qui me coulait sur le visage, et que je recueillais avec ma langue. Il poussait pour rentrer en moi mais je lui disais que non, en riant, et je le repoussais en forçant avec mes cuisses, il insistait et j’avais limpression qu’il me partageait en deux, je sentais les muscles de mon intimité se détendre à mesure qu’il s’enfonçait plus profondément. Un plaisir infini envahissait mon bassin et mon sexe, et je commençais à me balancer moi aussi au rythme de mon amant. J’étais maintenant un simple réceptacle au plaisir de cet homme, et j’avais envie qu’il me baise encore et encore. Un filet de sperme coulait de ma petite bite, au repos comme une petite femme, sur mon ventre, pendant qu’il me tenait les jambes de façon à mempêcher de bouger et avoir plus d’amplitude pour rentrer et sortir son sexe de mon anus à son aise. Il me libéra et m’ordonna de me remettre à quatre pattes, à genoux, la tête contre le matelas. Il se mit debout derrière moi et, pliant légèrement les genoux, il me pénétra violemment dans cette position, et se retira immédiatement. Je sentis une secousse électrique parcourir mon corps. Il me frappa alors plusieurs fois les fesses, avec une main, les écartant avec l’autre, et je tendais les jambes de plaisir. J’étais maintenant le visage contre la banquette et les fesses offertes au bout de mes jambes tendues. Il me frappa l’anus avec son membre, tout en se masturbant, et s’agenouilla afin de me lécher le sexe par derrière, en l’approchant à l’aide de sa main gauche pendant qu’il continuait à se masturber avec la droite. Je retombais à genou, il me léchait maintenant l’anus passionnément, et je sentais sa langue me pénétrer et jouer avec moi. Il se leva de nouveau, et me prit longuement dans cette position, ses mollets contre mes hanches, me dominant totalement, me traitant de chienne et de pute. Je tremblais de plaisir et m’offrais totalement, les yeux fermés, à cet homme, à cet inconnu dont je ne connaitrai jamais le visage, à cette bonne grosse queue qui vivait entre mes fesses et me limait comme la dernière des chienne.
Je sentis alors qu’un autre homme, noir lui aussi, était en train de se masturber contre ma bouche , pendant que le premier était toujours en train de me baiser. Il était debout face à la couchette, il était beau. Il me caressait le front en me présentant un sexe volumineux pour que je le suce. Je me relevais sur mes coudes et l’engloutis autant que possible, en lui massant les testicules de mes deux mains. J’entendais derrière moi mon amant haleter au rythme de son ardeur à me sodomiser, et la bite s’enfonçait dans ma bouche à la même cadence. Mon premier amant mentraîna alors sur le côté avec lui, et enfin se plaça sous moi, maintenant mes cuisses écartées en l’air. Je me trouvais en face du miroir et je voyais parfaitement son énorme membre aller et venir en moi. Il me levait et me reposait sur son sexe, qui rentrait en moi de toute sa longueur et ressortait. Mon second amant se plaça à son tour entre mes cuisses, et commença à me masturber lentement. Je l’attrapais à mon tour pour le masturber, mais il se libéra et entreprit de me pénétrer lui aussi. J’étais folle de plaisir à sentir ces deux énormes sexes me pénétrant. Ils me baisèrent tous les deux pendant de longues minutes, jusqu’à ce que je prenne mon plaisir.
Enfin, après s’être assurés que j’avais eu du plaisir, ils me firent agenouiller sur le sol, et me demandèrent de les sucer tous les deux. Ils m’éjaculèrent, dans la bouche, sur le visage et la poitrine et s’en allèrent en me traitant de pute pendant que je me masturbais avec volupté en léchant leur sperme.
Je me laissais tomber sur la couchette pour m’endormir, repue…