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Une autre de mes exhibitions – Chapitre 1

Une autre de mes exhibitions - Chapitre 1



Une autre de mes exhibitions m’a également beaucoup marquée. Cela se passait sur le parking d’une grande surface. On était vendredi soir du mois de septembre de l’année 1998. Il était environ 20h. Comme d’habitude, je suis arrivée en voiture et je me suis garée au milieu des autres voitures sans trop m’approcher des entrées principales du magasin.J’ai éteint le moteur puis retiré les clés pour les cacher derrière l’autoradio comme à mon habitude. Certaines précautions ne sont jamais trop superflues.

Ensuite, j’ai commencé à me déshabiller pour me retrouver en petite culotte et soutien-gorge. Une fois nue, j’ai ouvert la porte puis suis sorti de la voiture pour commencer. Au bout de quelques minutes et après m’être montrer

à un certain nombre de personnes, un groupe de quatre mecs est arrivé et à ouvert le coffre d’une voiture à une dizaine de voitures de la mienne. Ils y ont déposé un pack de bières et quelques sacs pleins de bouffe. Visiblement, ils préparaient une soirée entre mecs.

Une fois la voiture chargée, un mec a pris le volant les autres sont entrés également et sont restés un moment là à me regarder. L’ambiance avait l’air très chaleureuse dans la voiture, les rires parvenant jusqu’à moi.

Un des mecs qui était à l’arrière m’a fait signe d’approcher par la fenêtre.

J’ai hésité un instant puis me suis avancée. Il a ouvert la porte de la voiture et est descendu. Il m’a demandé quel était mon prénom, tout en regardant autour de nous pour voir si du monde nous regardait. Alors que j’allais lui répondre, il m’a attrapée par le bras et tout en me serrant assez fort me poussa en direction de la voiture. Il me poussa à l’intérieur puis monta derrière moi. J’étais dès cet instant installée à l’arrière de la voiture entourée par deux jeunes hommes.

Le conducteur démarra quasiment dès que la porte fut fermée. Le dialogue qui s’en suivit fut pour moi assez terrifiant :

— ? Alors comment tu t’appelles ?

— Mélanie.

— Et bien Mélanie, tu vas te rappeler de ta soirée parce que tu vas souffrir. Espèce de petite salope, tu montres ton cul à tout va. Eh bien !

Il va falloir t’en servir. Avant que nous arrivions, tu vas te caresser devant nous. Vas-y écarte les jambes, petite pute.

— Laissez-moi, ramenez-moi à ma voiture.

— Obéis, écarte les jambes ?.

Ils étaient excités comme des dingues et je dus m’exécuter sinon je ne sais pas ce qui se serait passé. Cela faisait peut être à peine deux kilomètres que nous roulions et j’étais déjà en train de me branler devant eux. J’avais très peur et tremblait comme une feuille. Malgré cela, je commençais déjà à mouiller.

Puis les deux mecs situés à mes cotés ont baissé leurs pantalons et m’ont ordonné de les caresser et de les branler. Leurs queues étaient déjà bien dures. Alors que je m’activais à les branler, le conducteur pris un petit

chemin pour atterrir dans un petit sous-bois où il s’engouffra sur un petit chemin. La voiture s’arrêta et ils descendirent tous les quatre. L’un d’eux m’attrapa par le bras et me sortit de la voiture sans ménagement.

Ils m’installèrent sur le capot et me demandèrent de ma branler pour les exciter. Je redemandais une fois encore pour qu’ils me ramènent à ma voiture. L’un d’eux me répondit :

— ? Tu as intérêt à obéir sinon tu vas passer un sale quart d’heure ?.

La réponse était très claire et je n’eus d’autre solution que d’obéir.

Alors que je me branlais sur le capot, il commencèrent à se déshabiller puis s’approchèrent de moi et commencèrent à me toucher de partout. Leurs mains se promenaient sur moi et me fouillaient jusqu’au moment où ils ont découvert que je mouillais abondamment.

— ? Mais elle mouille en plus cette salope ! Quelle chienne ! Viens ici tu vas nous sucer maintenant, petite garce. ?

Ils m’installèrent au milieu et formèrent un cercle autour de moi pour que je les suce à tour de rôle. Je les pris en bouche un à un. Ils étaient comme fous et me traitaient de tous les noms. Ne sachant pas comment cette partie allait finir j’étais encore un peu effrayée.

Ils m’installèrent à nouveau sur le capot sur le dos. Pendant que j’en suçais un les autres me broutaient la chatte chacun à leur tour. J’étais maintenant complètement trempée.

Un se décida à me baiser. Il agrippa mes jambes après avoir pris la précaution de mettre un préservatif et s’introduisit en moi d’un seul coup et très fortement. Dès le début, il me bourrait de toutes ses forces. Je commençais à ce moment là à émettre quelques petits cris, qui démultiplia leur ardeur.

— ? Et en plus elle aime ça, cette poufiasse ! ?

Ils me baisèrent ainsi pendant un long moment, me prenant successivement dans la chatte et la bouche. Un d’eux décida qu’il était temps de m’enculer et ils décidèrent de me prendre en levrette sans ménagement. Il posa son

gland sur ma rondelle avant de pousser fort. Et tout recommença. Ils voulurent tous m’enculer chacun leur tour. Ce qui les excitaient par-dessus tout c’était de m’enculer fortement et ensuite de me présenter immédiatement leur bite à sucer.

Un s’installa sur le dos par terre et me demanda de m’asseoir sur sa bite.

Une fois bien empalée sur lui, un s’est installé derrière moi et m’encula.

Ca y est, j’étais en sandwich, les deux autres s’étant invités dans ma bouche et mes mains. Et la ronde reprit de plus belle. Ils alternaient successivement entre ma bouche, ma chatte et mon cul, prenant un malin plaisir à me faire sucer leur bite après chaque pénétration.

Un éclair dut traverser l’esprit de l’un qui s’écria d’un coup :

— ? On va la baiser à deux en même temps dans la chatte ?.

Ils eurent un peu de mal à me baiser ainsi. J’étais véritablement dilatée et recevais leurs coups de boutoir avec délice même si je ressentais une petite douleur. Ils me demandèrent ensuite de leur montrer ma chatte dilatée. Je

m’installais sur le capot et ouvrit en grand les jambes pour leur montrer.

Ils s’approchèrent et attrapèrent chacun une jambe ou un bras. Ils me tenaient fermement. J’étais immobilisée sans pouvoir rien faire.

Celui qui me tenaient ma jambe droite décida de me doigter.

— ? Regardez moi cette salope, je vais lui enfoncer complètement la main. Tu vas voir ce que tu vas prendre.

— Non, pas ça. Je vais avoir mal. Pitié ?.

Je n’ai même pas eu le temps de réagir qu’il était en train de pousser fort sur son bras pour forcer mon entrée. Je ne me faisais pas trop de souci car ce n’était pas la première fois que j’allais subir un fist. La pénétration

fut brutale et surtout assez douloureuse. Je ne pus m’empêcher de crier de douleur. Sa main était maintenant en moi et il me fouillait sous toutes les coutures. Ils me retournèrent pour me positionner à plat ventre sur la voiture, sa main étant toujours en moi. Je hurlais de bonheur et de plaisir, mais ils m’immobilisaient toujours.

C’est à ce moment que le plus grand décida de m’enculer à nouveau pendant que l’autre me fistait. Et la ronde repris de plus belle, et ils voulurent me fister à tour de rôle. Enfin arriva le moment où ils n’en purent plus et

décidèrent de m’offrir une bonne rasade de sperme.

Ils s’installèrent autour de moi et je dus à nouveau les sucer pour les faire jouir. Ils jouirent presque tous en même temps et j’étais couverte de sperme sur tout le visage.

Une fois terminé, ils commencèrent à se rhabiller. J’étais bien incapable d’en faire de même mes vêtements étant restés dans ma voiture sur le parking du supermarché. Une fois habillés, ils remontèrent dans leur voiture. C’est

à cet instant que je me suis rendue compte qu’ils allaient me laisser sur place. Je les suppliaient de me ramener mais le conducteur démarra en me criant par la fenêtre :

— ? On n’a pas que ça à foutre, sale pute ?.

Les rires fusèrent depuis l’intérieur de la voiture. Il partit ensuite en trombe me laissant nue, épuisée et couverte de sperme au milieu de cette forêt. J’étais à au moins 5 km du parking où était garée ma voiture.

A ce moment là, je me suis dis que j’étais dans une situation très inconfortable, d’autant plus qu’il ne devait être pas loin de 22h et que je commençais à avoir froid.

Connaissant un peu les lieux j’entreprit de traverser la forêt pour raccourcir le trajet mais le trajet était encore long et il fallait que je longe une route. Je dus me décider à faire du stop ainsi. Ce fut pour moi

l’occasion de recevoir un certain nombre de coups de klaxon. Mais au bout de deux ou trois minutes, un mec seul s’est arrêté pour me demander ce que je faisais ainsi.

Je lui expliquais qu’un groupe de mecs m’avait attrapée et traînée de force dans leur voiture et m’avaient mise nue avant de me baiser et de me piquer mes fringues. Il accepta de me ramener à ma voiture me demandant si je souhaitais qu’il me dépose dans un commissariat ou une gendarmerie. Je le remerciais mais lui fit comprendre que j’étais moi-même un peu fautive. Je lui demandais de me ramener à ma voiture qui était sur le parking, en lui

expliquant que je m’étais livrée à une petite séance d’exhibition qui avait mal tournée. Il compris toutefois que cette petite expérience surprise n’avait pas été si désagréable que ça et que même j’y avais pris un certain

plaisir difficilement dissimulable.

Une fois sur le parking, je descendis de la voiture en le remerciant. Ma voiture était toujours là. J’avais eu peur que les mecs viennent pour y foutre le bordel ou pour me la piquer.

Je remontais vite à l’intérieur, attrapais les clés puis démarrais pour me rendre chez moi. Je pris, tout de même, la précaution de faire un détour et de m’arrêter plusieurs fois pour voir si personne ne me suivait.

Une fois arrivée chez moi, je fus soulagée mais surtout heureuse de ce qui venait de m’arriver. Je garait ma voiture dans le garage souterrain de mon immeuble et sortit de la voiture pour me rhabiller avant de remonter dans

mon appartement.

J’ai revu une seule fois l’un des mecs de cette journée. C’était en ville à Saint-Etienne. Il s’est approché de moi et m’a dit :

— ? Bonjour, ça va ?

— Oui très bien, mais .

— Tu n’as pas l’air de me reconnaître.

— Non, en effet.

— Rappelle toi on s’est rencontré sur le parking de Auchan, et on est allé faire un petit tour de voiture avec trois de mes collègues.

— Ah oui ! Bien sur. Au fait, merci pour le retour jusqu’à ma voiture ?.

Et je suis partie sans rien dire d’autre. A cet instant, il regretta sans

doute de ne pas m’avoir ramené à ma voiture, sachant très bien que si il avait été plus cools, il aurait sans doute pu à nouveau abuser de moi.

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