Bonjour à vous, je vais me présenter pour ceux qui n’auraient pas lu ma première histoire :
Je m’appelle C, j’ai 19 ans, je vis à Rouen. Pour le côté physique je suis blond aux yeux bleus et je mesure 1m78.
Nous sommes le 12 septembre 2018 et la rentrée vient de se faire, je suis étudiant sur le campus de Mont-Saint-Aignan. Je rentre en deuxième année et je suis plutôt excité à l’idée de bientôt terminer mes études. Bref, nous sommes un mercredi, j’ai cours de math et j’avoue que je me fais chier. Quand soudain, je ne sais pourquoi, mon cerveau se met à penser à mon plan cul, je me mets à rêvasser et j’imagine sa belle queue qui dégouline de sperme devant mes yeux, j’en bave. Quand soudain mon pote me ramene à la réalité (quel con) et il est déjà l’heure d’aller manger. Je vais donc au self et quel est le menu ? Steak frites ! (non pas saucisse de Toulouse). Bref, rien d’intéressant jusqu’à ce que mon plan cul m’envoie un message pour me demander si je suis disponible à 15h, je checke mon emploi du temps et remarque que je ne termine qu’à 19h. Je lui envoie donc un message lui annonçant la mauvaise nouvelle. Il répond simplement : une dick pic, c’est con mais moi ça me fait fondre, je lui dis donc de m’attendre chez lui pour 15h tapante.
Il est maintenant l’heure de reprendre les cours, j’y vais à reculons car je meurs d’envie d’elle. J’attends, je glande, je rêvasse puis vint la fin du cours, l’heure pour moi de m’en aller me faire baiser ! Je m’en vais donc prétextant un rendez-vous bidon chez le médecin suite à mon dépistage, mes potes, même les plus proches ne sont pas au courant que je suis bi, s’il savait qu’au lieu d’aller chez le médecin je partais chez un mec pour lui sucer la bite jusqu’à ce qu’il éjacule tout son sperme. Je prends ma voiture, et c’est parti !
J’arrive devant chez lui, je galère à trouver une place et hop, me voilà devant sa porte à taper dessus. Cela doit bien faire une minute que j’ai toqué et toujours personne, je me demande si je ne me suis pas trompé de maison, pourtant je suis sûr de moi, je viens ici plus d’une fois par semaine tout de même ! Je regarde donc par la petite fenêtre de sa porte et je le vois arriver, la bite à l’air et déjà bien dure. Je me recule, et il ouvre la porte, pas le temps pour les hostilités, je franchis sa porte, la referme, me mets à genoux et le suce, je fais en sorte de faire une pipe bien baveuse, comme on les aime puis il m’arrête.
— Mon coloc est dans la salle, on va dans ma chambre.
— Qu’est-ce que tu foutais à poil alors ?
— Je voulais t’accueillir de façon originale mais je ne pensais pas que tu me sucerais directement ! Tu as si soif que ça ma pute ?
— Bah oui, on na pas baisé depuis samedi dernier…
— Justement, mes couilles sont bien pleines, viens.
Et nous montons donc en direction de sa chambre, je rentre, me déshabille et me mets à quatre pattes sur son lit en écartant mon cul pour quil vienne me prendre. J’attend donc de sentir son gland entré en moi mais au lieu de cela j’ai sens une langue contre mon cul, je n’avais jamais essayé ça et j’avoue que ça me plait, je commence à gémir de plaisir le suppliant de m’enculer. Pour seule réponse, il se dirige vers sa table de chevet et en sort un gode, un gros gode, il fait la taille de mon avant-bras et en largeur je dirais à peu près l’équivalent de trois ou quatre doigts, bref, un beau morceau. Il l’enduit de gel lubrifiant, heureusement vu la taille, et commence à le faire pénétrer.
Je dois avouer que je ne pensais pas que ça rentrerait aussi facilement, peut-être que le fait de me doigter tous les soirs a aidé ce jour-ci.
Il enfonce donc ce gode dans mon cul puis s’arrête et le retire d’un coup laissant un "pop" éclater. Je porte mes doigts à mon cul pour lui faire comprendre de le remettre mais il n’en fait rien, à la place il y enfonce sa bite d’un coup, or, mon cul étant très dilaté, je ne sens presque pas sa bite. Il se retire et me dit "tu vas prendre cher aujourd’hui", je crois avoir répondu "ta gueule et baise-moi". Je ne me fait pas prier, il reprend le gode et l’enfonce de moitié en moi, puis en faisant des petits va-et-vient, il commence à l’enfoncer de plus en plus jusqu’à ce que j’arrive en butée. A ce moment précis je suis comblé, mais que d’un trou, je lui demande donc de me baiser la bouche et il répond à mon appel très vite. Il se place devant moi, sa bite à hauteur de ma bouche, j’ouvre cette dernière et y enfourne sa bite, j’ai fait des progrès depuis ma première fois, j’arrive quasiment à tout mettre maintenant ! Je suis donc à quatre pattes, un gode énorme dans le cul et sa bite dans ma bouche quand je commence à m’étouffer avec sa queue, c’est-à-dire que bloquer ma respiration à l’aide de son gland, cela m’excite beaucoup, et lui aussi, et quand je me suis retiré, un long filet de bave mélangé à du liquide préséminal coule sur ses draps.
Je reprends sa bite en bouche et me lance dans une pipe plus traditionnelle, je laisse aller mes lèvres le long de sa hampe tout en léchant son gland. Je le sens venir et je veux boire sa semence, je veux la sentir sur mon visage, il gémit de plus en plus fort, je prends sa bite en main et commence à le branler pour le faire éjaculer sur mon visage quand soudain en pleine éjaculation… la porte de sa chambre s’ouvre et son coloc entre dans la chambre pour savoir ce qui fait tant de boucan, il s’arrête net en nous voyant, il regarde mon plan cul, puis il me regarde moi, j’ai un gode dans le cul, sa bite dans ma main, du sperme partout sur le visage et je tire la langue. Il fait demi-tour et referme la porte aussi vite qu’il est entré, je regarde mon plan cul et le complimente sur la dose de sperme qu’il arrive à produire. Effectivement, j’ai trois énormes traînées sur le visage, c’est donc avec mon doigt que j’ai "raclé" le sperme afin de le porter à ma bouche. Cependant, de la semence est tombée sur ses draps, j’aspire ces derniers pour ne pas en perdre une goutte.
Je pensais que c’était fini, mais non, mon plan cul me retire le gode, met sa bite et y introduit le gode à nouveau ce qui me fait hurler de plaisir tant mon cul est dilaté. Il commence une baise timide ayant peur de me faire mal, mais je l’encourage à, je cite, "me défoncer le cul". Il me baise, littéralement, je hurle de plaisir. Je sens sa bite faire des va-et-vient tout en étant rempli par ce gros gode. Je ne tient pas longtemps et j’éjacule dans ma main avant de porter cette dernière à ma bouche pour boire ce nectar.
Après 10 bonnes minutes de baise intense, il se retire et me présente sa bite en face de ma bouche, je l’ouvre et il y introduit sa queue et éjacule dans la foulée, j’avale tout, bien évidemment.
Il se retire et retire le gode que j’ai pour me laisser respirer un peu. Je prends sa bite redevenue molle et la léche comme un merci.
Il est 16h30, ce n’est que le début…