Lors de ces événements, j’avais dix sept ans et ma soeur cadette quatorze ans. C’était pendant une chaude journée d’été. Cet après midi là, ma soeur, Henriette, et moi, Roland, nous sommes allés nous mettre à l’ombre au bord de la rivière qui passe au fond de notre propriété. Comme il fait très chaud nous sommes en maillot de bain. Ma soeur porte un deux pièces qui met bien en valeur sa jeune poitrine. Nous sommes allongés chacun sur une serviette, nous lisons un livre. Puis la lecture nous fatiguant nous nous mettons à discuter. Pour une raison banale nous nous chamaillons comme il nous arrive souvent. A un moment donné je me retrouve sur elle, elle est sur le dos moi à califourchon sur le haut de ses cuisses mes mains lui tiennent ses bras plaqués au sol. Comme elle se débat, je me penche sur elle. A ce moment je sens que mon sexe dressé est en contact avec son ventre. De plus j’ai à quelques centimètres de mon visage ses seins que cache son soutien-gorge. Le jeu change à ce moment je me surprends à donner des coups de reins pour faire pression sur son ventre. Elle-même change de registre. Ces cuisses s’écartent légèrement si bien que nos deux sexes, encore protégés par nos slips sont l’un contre l’autre.
Il faut que je précise qu’avant ces événements je n’avais jamais fait l’amour. Comme tous les garçons de mon age je me branle souvent en pensant aux jeunes filles Avec ma soeur nous nous étions comparé nos anatomies et une fois après avoir examiné son minou et l’avoir caressé avec ma main je m’étais branlé devant elle. Elle avait été surprise lorsque mon sperme avait jailli, mais le jeu s’était arrêté là.
Mais aujourd’hui il en va autrement elle aussi avance son ventre vers mon sexe, à force de se frotter l’un l’autre nous sommes très excités. Je lui dis : ? enlève ton soutien-gorge que je vois tes seins ? Comme je lui ai lâché les bras elle s’exécute. Je contemple ses deux superbes seins ronds ou pointe un joli téton rose. J’y porte ma main, je les lui caresse puis ma bouche s’empare d’un téton et je la suce. Comme nous sommes toujours allongés l’un sur l’autre nos ventres se cherchent, nous frottons chacun notre sexe à l’autre. Elle me dit : ? tu ne veux pas enlever ton slip ? Je lui réponds : ? Oui, mais toi aussi. ? Tout en restant allongés, Nous enlevons donc notre dernière protection. Nous nos regardons l’un l’autre. ? Comme tu l’as grosse, me dit-elle, est-ce que je peux la toucher ? ?oh ! Oui prends là dans ta main ? Elle s’empare de mon sexe je crois que du coup je grossis encore. Elle me dit : ? ton bout est tout rouge et gros, je ne l’avis jamais vu aussi gros ?j ’ai envie qu’elle me branle, aussi mettant ma main sur la sienne je lui fais faire des vas et vient. De mon côté avec l’autre main je lui caresse le minou. Quand j’ai trouvé son petit trou je suis surpris de trouver une fine liqueur gluante. Pendant quelques minutes nous tripotons l’un l’autre. La tension augmentant je lui remonte dessus. Je lui dis : ? je voudrais te la mettre dans toi ? elle me répond : ? non je ne veux pas que tu me prennes mon pucelage, mais je veux bien qu’avec ta queue tu me caresse le minou, mais ne rentre pas dans mon trou. ? Je prends ma queue en main et je lui caresse sa fente avec, j’essai bien de m’introduire, mais la coquine a fermé ses jambes, étant très excité et maladroit je n’arrive pas à mes fins. Cela ne fait rien je me sers des cuisses serrées pour me branler. Je donne de violents coups de reins. Au moment au j’éjacule une voix, venu de derrière nous dit : ? eh ! Bien mes salauds ! Le frère et la soeur ! ? Je me relève d’un bon et me retourne, surprise c’est notre père qui est là. ? Mon petit salaud de Roland tu baise Henriette ? ?euh ! Non papa, je n’ai rien fait. ? ? Menteur depuis un moment je vous observe, et, regarde ta soeur, sur ses poils il y a ta semence ainsi que sur ta queue qui bande encore. ? Je regarde le sexe de ma soeur en effet des traînées de spermes maculent ses poils et l’intérieur de ses cuisses. En même temps je réalise qu’une bien grosse bosse déforme le slip de bain de mon père. Il ne quitte pas des yeux l’entre jambe de ma soeur. Il porte même la main à son slip est se caresse la queue. Il a l’air très intéressé par le con de ma soeur car sa main n’arrête pas d’astiquer son membre.
Il fait une chose étonnante il enlève son maillot en disant : ? puisque vous êtes à poil tous les deux pourquoi pas moi aussi ? Quand son maillot tombe à ses pieds je suis surpris par son sexe il très tendu et de grosses couilles pendent en dessous. Il est recouvert d’une épaisse forêt de poils noirs. Il s ?assoie prés de ma soeur et tout de suite plonge sa main dans le sexe de ma soeur. Elle est surprise, il lui caresse le minou et lui dit : puisque tu aimes les jeunes queues je vais te faire goûter à la mienne. Tout en disant cela de son autre main il se branle. La grosseur de sa queue me stupéfie : au moins deux fois plus grosse que la mienne, son gland me semble énorme. De voir mon père s’occuper du sexe d’Henriette me fait retrouver de la vigueur ma queue qui se ramollissait regagne de la fermeté. La main de mon père continue de triturer le minou de ma soeur, il semble qu’un doigt lui agace son trou Tout à coup il dit : ? mais tu es encore vierge, il ne t’a pas pris ton pucelage, quel maladroit ? et il caresse le con de ma soeur de plus belle. Il me semble qu’elle y prend du plaisir car son ventre s’agite de légers mouvements d’avant en arrière. Mon père qui a lâché sa queue se penche sur les nichons d’Henriette et il commence à la téter. Puis sa tête descend sur son ventre, comme il ne s’occupe plus de moi, je me rapproche pour regarder. La petite pousse des soupirs en disant : ? Oh ! Papa ! Oh ! Papa ? Son ventre bouge de plus en plus. Je vois la langue de mon père lui lécher le nombril. Il lui dit : ? écarte tes jambes Henriette, je vais m’occuper de ton joli minou ? Sa main exerce une pression et je vois ma soeur ouvrir ses cuisses. Sa fente couverte d’un fin duvet s’ouvre. Mon père de sa main écarte les grandes lèvres, puis soulevant sa tête et me regardant il me dit : ? regarde comment on s’occupe d’une femme, vois le trou humide de ta soeur, et son petit bouton qui durcit sous mes caresses ? et joignant le geste à la parole il frotte rapidement le bouton de ma soeur qui en devient tout rose. Sous cette caresse ma soeur ouvre grand ses cuisses, me montrant son intimité comme jamais je ne l’aie vue. Ce spectacle m’excite au plus haut point si bien que je recommence à me branler. Mon père remplace sa main par sa langue. Il lèche copieusement le sexe d’Henriette. Sous cette caresse elle s’agite encore plus et gémit. Mon père se déplace et se mettant à genoux entre ses cuisses il prend son sexe énorme dans sa main et se penchant, il en frotte le sexe d’Henriette. Puis il se penche en avant à ce moment ma soeur qui doit sentir le gland essayant de s’introduire en elle dit : ? Non, papa, je ne veux pas que tu me le rentre, puis tu es trop gros fais comme Rolland lâche ton jus sur moi mais pas dans moi ? ?tais-toi petite dévergondée je fais te faire voir ce que c’est un homme. ? Il pousse en grand coup. Il doit être dans la place car ma soeur pousse un cri strident. Ce cri doit exciter mon père car il pousse encore plus. Cette fois Henriette commence à pleurer et dit : ? Non papa arrête, tu me fais mal ? et de ses bras elle essaie de le repousser mais lui reste en place et il lui dit : ? Laisse toi faire le plus dur est passé ma queue est maintenant bien en toi et tu vas voir dans un moment tu me diras de rester ?. Il commence des mouvements de vas et vient, ?oh ! J ’ai mal, tu es trop gros papa et je suis trop petite ? dit-elle, mais petit à petit les larmes de ma soeur s’arrêtent ainsi que ses plaintes. Ses jambes bien écartées entourent la taille de mon père. Moi je regarde tout en me masturbant. Les couilles de mon père se contractent, je suis impressionné par les coups de reins qu’il donne. Sa queue sort presque entièrement du con de ma soeur et puis rentre jusqu’à la racine. Henriette agite son ventre au rythme des coups de boutoir de son père. Il émet des ?ha ? de plaisir et accélère la cadence. ? Papa arrête ne me fais pas un enfant, sort? dit ma soeur. Mais mon père ne ralentit pas la cadence et un coup en avant plus violent que les autres et il s’immobilise. Il dit : ? Oh ! Que c’est bon de jouir dans le petit con d’une jeune fille ? Ses couilles se contractent encore plus il pousse et s’écrase sur Henriette, je réalise qu’il est entrain de juter dans le ventre de ma soeur qui est aussi sa fille. A cette idée moi aussi je jute. Je lance de longs jets de sperme qui se perdent sur la serviette. Il reste un moment immobile planté dans ma soeur. Puis il se retire, son sexe est encore bandé mais un peu mou me semble-t-il. Le trou de ma soeur qui tout à l’heure était petit est maintenant énorme, du jus sort. Ma soeur dit : ? Oh ! Papa tu m’as fait un enfant ? ?mais non dit-il ; on n’a pas un enfant à tous les coups ? ?je t’ai bien baisée, maintenant tu es bien ouverte, tu n’auras plus mal, et même tu auras du plaisir à te faire bourrer. Mais je veux que lorsque j’en aurai envie, tu viennes te faire mettre. Je suppose que ton nigaud de frère, maintenant que je lui ai ouvert la voie, te baisera comme il faut. Par contre hors de Rolland je ne veux pas que tu te fasses mettre par d’autres hommes cela doit rester dans la famille. ? Il se relève son sexe a diminué de volume il pendouille entre ses jambes. Je lui dis : ? Papa Henriette saigne ? Il me répond se n’est rien c’est son pucelage qui est partit ? Il remet son slip il me dit : ? occupe-toi de ta soeur, moi je rentre à la maison ? Avant de partir il jette un coup d’oeil sur ma queue qui pend lamentablement et dit : ? tu devrais peut-être voir du côté de ta maman une jeune queue devrait l’intéresser. ? Je suis intrigué par ce discours. Il s’en va. Henriette me dit : ? j’ai le ventre en feu, j’ai mal, qu’est-ce qu’elle est grosse sa queue, moi qui ne voulais pas de la tienne, il me l’a enfournée en entier et il ma remplie de son sperme, tu ne diras rien à maman c’est son mari quand même. Est-ce qu’il lui fait aussi mal quand il la baise ? ? Je ne lui réponds pas, elle s’essuie l’entre jambe avec la serviette. Elle se dirige vers l’eau et va se baigner. Je la suis, l’eau fraîche me fait du bien. Après le bain nous nous faisons sécher sans rien dire. En fin d’après midi nous regagnons la maison.