C’était au mois d’août. Je suis cavalière, passionnée de chevaux et profite de l’été pour y aller tous les jours, ayant le droit de monter les chevaux seule. Ce jour là il n’y avait personne, peu importe puisque ça arrive très souvent.
J’ai été cherché la jument que je voulais, l’ai attachée et ai commencé à la brosser. Je voyais qu’elle soulevait un peu la queue, ce qui me fit penser à quelque chose. Je n’avais jamais eu d’idée en rapport avec le sexe vis-à-vis des chevaux. Jamais. Mais aujourd’hui je m’y intéressais vraiment, je sentais la chaleur dans mon bas-ventre qui me dictait de le faire.. Intriguée, je sortais mon portable et faisais une petite recherche sur l’anatomie de la jument. Incroyable mais vrai, je découvrais qu’une jument avait un clitoris. Sur les différents schémas et dessins que je pouvais observer, on voyais vraiment que c’était profond. Ça me donnait encore plus envie d’essayer. Mais était-elle vraiment en chaleur? Sinon j’allais me prendre un coup de pied.
Pour voir je commençais par lui caresser la vulve. La jument ne protesta pas, j’écartais donc ses lèvres pour observer son sexe. Je vis son clitoris alors le caresser comme je le faisais en me masturbant. Pour toute réponse la jument tendit un peu sa croupe vers moi et leva un peu plus sa queue. Je l’observai, elle avait les oreilles pointées en avant et la tête légèrement tournée vers moi. Elle avait vraiment l’air d’apprécier, moi qui croyais qu’au mieux elle ne bougerait pas. Je me retirais, allant chercher mon cure-pied. La jument pissa et sa vulve "clignota", c’est-à-dire me montra son clitoris. C’est une chose que les juments font pour montrer qu’elles sont en chaleur. Excellent, elle ne me repoussera pas alors.
Je prends mon cure-pied et lui enfonce doucement le manche dans son vagin. Elle ne bouge pas, tend encore plus sa croupe et lève bien plus sa queue que quand je m’occupais de son clitoris. C’est bon. Elle n’a pas repoussé le cure-pied donc je vais y aller avec mes doigts. Avant je fais quelques va et vient avec celui-ci, le retire et le remet un peu plus franchement. La jument a encore l’air d’aimer ça. Je le retire définitivement puis met un doigt. J’en mets deux. J’écarte un peu son vagin avec mes doigts pour voir à l’intérieur. J’en ai des bouffée de chaleur, c’est génial. J’hésite pour le troisième et puis pense au sexe d’un étalon. Trois doigts ne l’égaleront pas en taille, et puis la jument fait 1m50 au garrot, elle ne doit pas être petite. Et en plus elle a déjà eu deux poulains. J’enfonce donc un troisième doigt et avec délicatesse un quatrième.
Alors que j’allai enfoncer ma main entière, la chienne du club aboya. Et merde, quelqu’un arrivait. Je retirais ma main et recommençais à brosser comme si il ne s’était rien passé, même si j’avais terriblement envie de terminer. J’espérais de tout cur arriver à recommencer et cette fois à la fister jusqu’au bout. Je me demandais bien s’il était possible qu’une jument ai un orgasme. Si oui, je serais vraiment contente de lui en donner un…