Pour les puriste je ne me targue pas de savoir écrire, je raconte, je n’écris pas un roman, alors soyez indulgent.
Ma chienne, DORA.
Je vais vous raconter, en détail comment je pratiquais avec la chienne, de la ferme. d’abord elle s’appelait DORA, une chienne de chasse genre braque de toute façon un croisement qui lui donnais de l’allure, elle étais couleur caramel, brave chienne gentille et affectueuse, je partais souvent avec elle pour garder les vaches dans les pâtures, nous partions seuls pour la journée donc j’avais du temps, pour réaliser plein de chose avec elle,.
Il faut dire aussi que si ma cousine ne m’avait pas provoquée avec cette idée de le faire avec la chienne, je ne sais pas si aujourd’hui, mon attirance zoo serait au rendez-vous. Mais voilà elle m’a inoculé le virus, mais je pense qu’au fond de moi il y avait ce quelque chose.
Donc la première fois ce ne fut pas aussi simple, d’abord j’avais peur de plusieurs choses.
La première c’est qu’elle me morde la queue, la deuxième d’avoir une maladie, la troisième que je me fasse voir, et enfin que je n’aime pas. Il n’en fut rien, bien au contraire.
Alors un jour je suis parti avec dora, me balader au bois d’acacias, on arrivait par un petit chemin de terre qui serpentait à travers champs jusqu’au bois. Nous étions en période de moisson ça sentais bon, les blés la terre chaude, la nature j’adorais et j’adore toujours, la chienne courrais dans les champs, reniflant les traces de lapins, ou faisans, du gibier sûrement j’étais impatient d’arrivé sur place pour essayé , ha ! Oui, j’avais oublié de dire j’avais 15 ans, et la découverte de la sexualité je l’avais eu à 12 ans en colo. Bref, j’avais des pulsions sexuelles fortes je me masturbais tous les jours voir plusieurs fois par jour, j’aimais le sexe et je l’aime toujours. Nous voici arrivé, le bois n’est pas très grand, de plus il passe au milieu un petit ru à sec à cette époque, mais le petit pont lui et propice pour être tranquille. Comme j’avais envie de me branler je suis descendu sous le pont, j’ai sorti un revu avec des filles nues, puis en feuilletant je pris mon sexe en main, et je commençais à me masturber, doucement, j’avais baisser mon pantalon je sentais l’air sur moi, hum ! Cette sensation sur ma queue, je sentais mon odeur ça m’excitais comme un fou, j’adore sentir la mienne et celle de la femme, ma main allait et venait le long de ma queue, Voyant que rien ne se passait je lui ai fait sentir, sa truffe toute froide et humide c’est approcher de mon gland, je sais pas si c’est le fait d’être en faute mais, j’ai eu l’impression que ma queue avait doublée de volume, je du me retenir de gicler tout de suite, je l’ai repoussée alors qu’elle n’avait pas encore mis un coup de langue, le regrettant aussitôt , trop excité je me suis laissé aller, elle est revenue m’a à nouveau sentie, et sa langue ma léché le gland, une fois , puis deux, j’ai éprouvé un plaisir inconnu , jamais une femme ne m’avais sucer, et là cette sensation d’une langue sur ma queue, je n’ai pas pu me retenir , j’ai senti monter en moi une onde de plaisir du plus profond de mon ventre, une vague, que dis je une déferlante, brûlante et comme un volcan une éruption mon sperme a giclé en de longs jets , sur son museau sur sa langue jamais je n’avais jouis aussi fort, j’en étais resté pantois, vidé, mais un peu honteux, mais je venais d’avoir un plaisir fabuleux , certes particulier, mais ado n’ayant pas encore connu le sexe ni la bouche d’une femme je m’en suis contenté. Il y eu d’autre fois, et puis un jour j’ai passé le cap supérieur.
Comme, je prenais du plaisir, à me faire lécher je me suis senti de mieux en mieux personne ne me dérangeait dans mon coin tranquille, aussi je décidais de me mettre entièrement nu avec dora, je le faisais souvent seul, alors avec la chienne je serais plus à l’aise pour jouir et prendre du plaisir, après tout j’étais un mâle avec une femelle.
J’avais amené une couverture, de l’eau il faisait chaud et soif, et plus tard cette eau me servirait, pour autre chose. Bref, j’étais excité à l’idée d’être nu avec cette chienne, je me mis à 4 pattes comme un chien, lui offrant mon cul, pour qu’elle me sente et avec l’espoir qu’elle me lèche, ce qui ne tarda pas après m’avoir senti comme si j’étais un mâle me reniflant sous le ventre, me donnant quelques coup de langue,sur la queue, elle passa derrière moi me sentant les fesses , je bandais comme un fou, les couilles dures , j’étais si excité par cette situation que j’aurais voulu que ma cousine me voit faire, je senti la langue de dora sur mon cul, bon dieu que c’était bon, je tendais mon cul vers cette langue , si douce, si humide, je sentais l’air sur mon anus , puis de nouveau sa langue, ne pouvant plus me retenir je me suis masturbé, et j’ai joui en de longues giclée sous moi , je voyais mon sperme sur la couverture , et dora venir le laper comme une gourmandise comme si elle avait attendu ce moment. C’est une vision humaine de la chose, je l’avoue.
J’avais donc pris du plaisir, de cette façon et je décidais de le refaire chaque fois que je le pourrais, ce qui était facile. Un jour que je décidais d’aller avec dora pour une séance de lèche, je m’aperçu qu’elle avait un comportement plus câlin, je compris rapidement qu’elle était en chaleur elle se frottait à moi me tendant son cul, enfin sa vulve la queue sur le coté s’offrant a un mâle, venant me sentir au travers du pantalon je trouvais ça très excitant, me disant elle va me lécher encore plus que d’habitude, ce qui fut vrai. Je me mis donc nu bandant, nous nous tournions autour, elle me sentais cherchant ma queue pour la lécher, moi lui passant la main sous le ventre, le dos la caressant, lui parlant comme à une femme, lui disant que je voulais qu’elle me fasse jouir, que j’aimais sa langue, que son poil était doux. Et ma main glissa sous son ventre, remontant vers son entre cuisse, elle bougea, et mes doigts touchèrent sa vulve, je fus surpris, et pourtant je refis la caresse, touchant doucement ce sexe de chienne il était doux, j’en fut très étonné, et je passai le bout de mon doigt sur sa fente, je senti sur mon doigt un liquide, je me dis tiens elle mouille, idiot que j’étais rien avoir, mais bon. Elle avait l’air d’aimer, je bandais encore plus, que je cru, mais ça m’excitais aussi , me donnant un sentiment de honte, faire ça avec une chienne, mais l’excitation me le fit oublier, je continuais ma caresse la chienne se tenait debout sans bouger attendant la saillie du mâle, j’osais ouvrir délicatement sa vulve avec le bout de mon doigt, et doucement je le fis pénétré dans son sexe, c’était une sensation nouvelle , chaud humide, et doux, je me plaçais derrière elle la queue tendue je regardais cette vulve prenant ma queue je me branlais dessus me vidant sur ce sexe de femelle me soulageant moi et la laissant là sans qu’elle soit remplie par une queue de mâle, j’avais un sentiment de honte et de gène, qui dura deux jours.
Au bout de deux jour je ne pus me retenir, j’avais envie de le refaire, de toucher sa vulve, et de jouir dessus, je repartis dans le bois avec elle, arrivé sur place je me mis nu tout de suite, elle était toujours en chaleur, je pris la bouteille d’eau, lui lavais la vulve et je me remis à la caresser, avec la main mes doigts , je voulu être son mâle je me penchais et je me mis à la sentir , je devenais un chien, et je mis mon premier coupe de langue sur cette vulve , j’étais excité, fou de sexe, je la léchais je la voulais comme femelle, alors je me suis relevé je me sui frotté contre elle, sur son poil, me rapprochant de son sexe, ma queue toucha la vulve, je la caressait du bout de mon gland gonflé, énorme, je me dis non tu peux pas ta queue est trop grosse, et je me suis appuyé sur son sexe, je vis cette vulve s’entre ouvrir et mon gland força , je rentrais doucement en elle je la prenait, quand mon gland fut rentré entièrement je ne pu retenir ma jouissance me vidant en elle , je fut terrassé, anéanti par ce plaisir interdit et inavouable.