Annoncer à sa famille son homosexualité n’est jamais chose aisée. Même à notre époque. Dans ces moments-là tout le monde aurait rêvé d’avoir la famille de Guillaume. Compréhensive, immédiatement. Pas d’à priori, une acceptation franche et directe. Guillaume était ravi, lui qui ne voulait absolument pas que cela brouille la relation qu’il a avec famille.
On pourrait se dire que c’est déjà suffisamment de nouvelles à intégrer pour une famille, mais quand en plus il faut rajouter à ça qu’on est en couple, avec une transsexuelle. Cela fait deux grosses nouvelles à digérer pour l’entourage. Encore une fois heureusement pour lui, sa famille est très ouverte d’esprit, et il n’y avait eu aucun mal à faire accepter la nouvelle,
Le seul véritable problème qui allait se profiler était dans l’éducation de Jenny, la compagne de Guillaume. Ce dernier l’ayant invité pour les traditionnelles vacances d’été, dans la maison de famille. Ses parents, grands-parents, oncle, tante et son cousin, seul membre de la famille qu’il ne connaît quasiment pas, seraient tous présents pendant leur séjour.
Des mauvaises langues pourraient dire qu’en regardant le couple, il était facile de deviner qui faisait la femme. Guillaume est un peu plus petit qu’elle, pas maigre, ni gros mais pas musclé non plus, quelqu’un qui passe inaperçu somme toute. Quand à Jenny elle rend six centimètres de plus à Guillaume, est un peu plus large que lui, et manière générale a plus de force tout simplement que lui. Les mauvaises langues auraient d’ailleurs raison. Sans savoir que la queue de Jenny faisait le double de celle de Guillaume.
C’est simple en deux ans de relations Jenny n’avait d’ailleurs jamais touché le sexe de Guillaume avec sa bouche ou ses lèvres, et ce dernier n’avait jamais pu non plus s’en servir avec elle autrement qu’en la masturbant. Et le peu de fois où elle l’avait touchée ce n’était pas à caractère sexuel, mais pour se moquer ou jouer avec.
Dans le caractère aussi Jenny avait le dessus. Guillaume ayant toujours eu une attirance pour les trans Jenny savait, que Guillaume était conscient d’être chanceux d’en avoir trouvé une. Elle accepta en tout cas l’invitation de vacances. Guillaume n’osant pas lui faire de réflexion sur sa tenue que ce soit vestimentaire ou verbal, espérant simplement qu’en public privé elle serait plus respectueuse. Il avait vite regrettait de l’avoir emmené en vacances.
Arrivée pour l’heure du déjeuner le malaise s’installa rapidement. Malaise jamais élucidée tant la famille de Guillaume était polie, respectueuse et un peu docile il faut bien le dire. Après que tout le monde se soit salué et que les présentations soient faites, la campagne d’humiliation de Guillaume commençait.
La première phrase de Jenny donnant le ton de ce qu’allait être le séjour :
« Comme on n’est pas parti pour baiser, pour une fois je vais faire la femme et je vais te laisser porter la valise, enfin si t’arrives à la soulever. Et surtout si tu ne boites pas avec ce que tu as pris hier soir », au milieu des rires gênés à part le sien qui, Guillaume le savait était franc, Jenny allait s’asseoir à table, attendant le service.
Le repas fut très silencieux que ce soit par timidité, parce que ma famille ne connaissait pas Jenny, ou même moi ne connaissant pas mon cousin, ou bien par gêne après ses propos, rien ne permettait de débloquer la situation. Et tout cela ne faisait que commencer.
Après un passage dans la chambre pour se mettre en maillot de bain, il était prévu d’aller se faire bronzer au bord de la piscine. Il y avait alors déjà les parents de Guillaume qui prenait le soleil, ainsi que la tante. Sauf qu’une fois arrivée aux transats, sous la stupeur de tout le monde Jenny se met nue.
Tout d’abord elle retire son soutien-gorge laissant apparaître sa poitrine, refaite, mais imposante, puis son string de bain laissant tomber son sexe imposant. Le tout sans un mot. Elle s’allonge sur le dos et, toujours dans le silence, tend la crème solaire à Guillaume. Il commence alors à étaler, la crème sur le corps de Jenny. Arrivé au niveau de l’entrejambe, il passe à côté du sexe de Jenny.
— Tu fais quoi là ? Tout le monde n’a pas un bout de clitoris pendant à la place de la queue, donc t’es mignon tu m’étales de la crème dessus. Tu fais moins ta timide quand elle vient racler ta gorge, ou quand tu fourres ta langue dans mon cul.
A ce moment-là c’est comme si le silence avait encore baissé d’un cran. Guillaume s’exécutait alors, s’attardant sur les pieds que Jenny lui ordonna de masser. Honteux il allait sur son transat sans jeter un regard vers sa famille. Il préférait essayer de faire la sieste et ne pas penser à la suite.
Le repos fut de courte durée, Jenny le réveillait brusquement, pour qu’il lui étale de la crème dans le dos. A peine avait-il commencé que Jenny le mis en garde :
« Et si tu passes bien sur mon cul, que tu me refais ta mijaurée comme tout à l’heure je te fais étaler avec ta langue, t’as compris ?!
— Oui Jenny »
Cette fois-ci il s’exécutait sans hésitation, n’hésitant pas à aller dans la raie, et n’oubliant son sexe qui dépassait d’entre ses jambes.
Il retournait se coucher, finissant par s’endormir véritablement, pour se réveiller une bonne heure plus tard. Il regardait autour de lui, il était seul. En regardant vers la piscine il remarquait que Jenny parlait, apparemment de manière complice avec son cousin, ils avaient l’air assez proche. Jenny le flattant sur son physique n’hésitant pas à caresser ses pectoraux.
Le contraste de sa manière de lui parler de manière presque douce, et demandeuse, avec la façon dont elle s’adressait à Guillaume était saisissant. Même s’il n’entendait pas tout ce qui se disait. Puis ils finirent par sortir de la piscine. Jenny invitant très fortement, Guillaume à le suivre dans la chambre. Ne voulant surtout pas la froisser il s’y précipitait pour la suivre.
Une fois arrivée dans la chambre elle était debout dans la douche, elle avait déjà commencé à se mouiller
— Grouille, j’ai envie de pisser !
Guillaume enlevait alors son maillot pour rentrer dans la douche et se mettre à genoux, ouvrant grand la bouche.
— T’as intérêt à tout avaler je ne veux pas m’en foutre sur le pied. Dit-elle avant de pousser un râle de soulagement
Une fois son envie terminée, elle prit la tête de Guillaume pour lui foutre sa queue dans la bouche.
— Tu vas en profiter pour me vider les couilles aussi, parce que ton cousin il m’a excitée ! Je crois que je vais le laisser me baiser, ça fait longtemps qu’un mec ne m’a pas fourré
En entendant ces mots, Guillaume eut une érection.
— T’es pathétique je te dis que je veux me faire baiser et tu bandes, enfin tu bandes, c’est dommage que tu n’aies pas une chatte ça m’aurait servi j’aurais pu te défoncer encore plus.
Et il allait être servi.