Tout à commence un soir après le boulot, je rentrai chez moi à pied (jhabite tout près de mon lieu de travail) avec une collègue qui habite non loin de là. Elle sappelle Delphine, très jolie pas très grande mais très jolie, un beau cul et une belle grosse paire de seins. Cest une fille assez réservée, du genre à rougir sur une blague ou une réflexion au dessous de la ceinture et très sérieuse, ça nest pas le genre de fille à tromper son copain, enfin je croyais.
Ce soir là elle me demande si je peux lui rendre un service. Jaccepte volontiers.
Elle minvite chez elle car cest un peu spécial.
On rentre donc, moffre un verre et mexplique que la dernière fois que son copain est venu la voir, elle a vu passé un sms sur son portable, dune fille la réclamant. Elle ma expliqué quelle a été beaucoup déçue, car elle laime beaucoup malgré tout et quelle voulait se venger. Elle me proposa donc de passer la nuit avec elle, son copain ne se gênant pas de le faire avec dautres filles.
Je ne me suis posé aucune question, elle me plaît beaucoup et je ne connais son copain ni dAdam ni dEve, donc aucun remord sur ce que jallais faire.
Même si elle était déterminée à le faire, sa nature timide était quand même là, je décidais donc dy aller en douceur. Je me mis sur le canapé, linvita à sasseoir sur moi et commença à lembrasser, je pris mon temps sachant que je lavais pour moi toute la nuit. Au fur et à mesure de nos baisers je commençais à la caresser histoire quelle se détende. Je lui ôtais son haut et dégrafer son soutient gorge, jen profitais un maximum, je me délectais de ses seins. Les caressant, les pétrissant, les goûtant avec plaisir. En y repensant, jaimais aussi son attitude un peu réservée, la voir un peu gênée de subir ce que je lui faisais. Mais elle aimait ça, elle se décrispa tout doucement, profitant ce mes caresses de mes baisers. Ses petits gémissements étaient ma récompense.
Comme elle se détendait, elle me demandait daller un peu plus loin, elle ondulait du bassin sur moi. Je voulais lavoir à moi entière et comme personne ne laurai peut être jamais. Je voulais réveiller la petite salope en elle. Je lui demandais alors ce quelle voulait, et comme le naturel reviens vite au galop, elle me dit un peu gênée et dune voix faible « un cunnilingus ». Je la regardais en souriant, lembrassa dans le cou et lui susurrait à loreille, je te donnerai ce que tu veux quand tu seras prête. Et je continuais mes aller retour entre sa bouche, son cou, ses seins. Caressant son corps tranquillement, même si je commençais moi même à avoir du mal à me contenir. Ses mouvements du bassin mavaient donné une bonne trique. Elle lavait bien remarqué et essaya de me caresser la bite à travers mon jean, histoire daccélérer les choses. Tout en gémissant elle me demanda daller plus loin, quelle était prête. Je la regardais en souriant et lui dis me le demander. « Fais moi un cunnilingus!», jai envie que tu me la lèche comme tu me lèche les seins.
« On est entre nous lâche toi », lui dis je.
A partir de là, elle a compris, encore un peu hésitante elle me dit « lèche moi la chatte, fais moi jouir », encore un peu timide à mon goût mais elle ma bien montré ce quelle voulait.
Je lui enlevais son jean, et ce qui ne métonna pas: une culotte blanche. Jétais ravi. Je linstallais bien dans le canapé, et lembrassai puis descendis vers ses seins, puis son ventre sur lequel je mattardais. Son ventre tremblais sous ma langue elle gémissait, je la laissais sur sa faim. Je descendis vers sa culotte, mais pas encore, dabord entre ses jambes, je jetais des coups dil vers elle, elle ondulait son corps, se caressait les seins, et de temps en temps se les léchait. Jaimais la voir gémir, la voir monter. Puis jai commencé les choses sérieuses, jai passé ma main sur sa chatte à travers la culotte qui sest vite imprégnée de sa mouille, elle était bien chaude, puis jai écarté le tissu pour goûter à son con totalement épilé (jétais ravi et en même temps un peu étonné la connaissant), je me délectais de son jus. Elle gémissait de plus en plus fort, sa respiration saccélérait.
Je passais ma langue partout son clitoris, ses lèvres, jentrais ma langue dans sa chatte, ses forts gémissements mexcitaient trop, il fallait passer à létape supérieure. Je pris sa chatte bien en bouche, et lui léchait le clitoris, elle nen pouvait plus, elle criait me demandant de ne pas arrêter, ses mains gardant bien ma tête calée entre ses jambes et dans un cri mêlé de spasmes, elle se mit à jouir. Comme pour me récompenser de la mouille coulais de son antre que je récupérer pour mon propre plaisir.
Au bout dune minute elle me remercia, elle avait trouvé ça génial, elle était heureuse. Je la remerciais aussi mais lui dis aussi que ça nétait que le début.
Je me déshabillais et libérai ma bite qui était bien dure, elle aussi en voulait un peu. Jai demandé à Delphine de me sucer, elle me dit quelle navait jamais fais ça. Aussi, sans rien dire, je massis tranquillement, linvitant à se mettre à genoux devant moi et la guidait vers ma bite, elle me regarda hésitante et lui dis, juste « vas y », je la guidais, elle a ouvert la bouche au début un peu maladroite, elle a vite retrouvé le truc. Elle me mangeait avec envie, des « hum » entre chaque va et vient, elle y prenait goût. Jétais aux anges, de temps en temps je lui caressais les seins, et cest là que je vis quelle se caressait en même temps quelle me suçait. Je ne sais pas si elle la vu venir mais elle a continué comme si de rien était, comme si cétais un devoir. Dun coup je me raidis et sans prévenir je lâchais la sauce. Après la première giclée elle sorti de moi, la deuxième et la troisième giclée furent pour son visage. Elle me regardait un peu perdue. Une petite pause simposait. Elle est partie se « nettoyer » et est revenue vêtue dun boxer et dun top que je lui ai demandé de retirer tout de suite. Nous avons discuté de tout et de rien dans le canapé autour dun verre. Delphine était détendue, on discutait, tout en sembrassant, se caressant.
La vigueur reprenant je linvitait à poursuivre dans sa chambre, ne voulant plus faire durer les choses, nous fîmes un 69, histoire de nous remettre en forme tous les deux. Je la sentais plus excitée quau début, elle gémissait sous mes coups de langues. Une fois bien en forme, je lai allongée et jai caressé son clitoris avec ma bite. Puis me suis introduit en elle, je ny suis pas allé par quatre chemin, jallais de plus en plus vite, elle gémissait sous mes coups de butoir et en demandait encore et encore. Je ne voulais pas venir trop vite mais la pression était forte, je décidait donc de la prendre en levrette, chose quelle se mis à beaucoup apprécier, elle nattendait pas que cela se passe et était très active, je me délectait de son corps, jai adoré avoir ses seins entre mes mains pendant que je la prenais. Puis elle pris linitiative: elle sur moi. Elle non plus ny allais pas par quatre chemins de grand va et vient dans sa chatte et plus elle y allait plus elle en voulait, plus de gémissements, des cris qui résonnaient entre des « prends moi! », « baise moi! », « fais moi jouir » et autres. Je décidais de la finir, de nouveau allongée, je lai pilonnée, ses jambes sur mes épaules. Je crus que ça ne finirai jamais, javais du mal à me retenir. Puis un grand cri retenti, elle jouissait dans une grand spasme. Jai suivi immédiatement, je me suis lâché dans un grand râle.
Delphine ma regardé pendant quelle sentait mes jets en elle.
Malgré ce qui venait de se passer, elle me fit part qu’en fait elle ne prenait pas la pilule. Je lui ai dit quelle pourrait prendre la pilule du lendemain. Mais linvita à patienter car ce quon venait de vivre nétait que le début, et que je moccuperai delle pour le reste de la soirée et de la nuit.
Nous avons eu par la suite dautres aventures, elle a toujours le même comportement en public mais en privé avec moi, elle est devenue une vraie salope.
Peut être que je raconterai dautre aventures que nous avons vécu,
Merci davoir lu